Sainte-Hélène (île)





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Carte de Sainte-Hélène.
Carte de Sainte-Hélène.
Géographie
Pays

Drapeau : Royaume-Uni Royaume-Uni
Localisation

Océan Atlantique
Coordonnées
15° 57′ S, 5° 42′ O
Superficie
122 km2
Point culminant

Pic de Diana (818 m)
Géologie

Île volcanique
Administration

Territoire britannique d'outre-mer

Sainte-Hélène, Ascension et Tristan da Cunha
Démographie
Population
4 349 hab. (2016[1])
Densité
35,65 hab./km2
Plus grande ville

Jamestown
Autres informations
Découverte

1502
Fuseau horaire

UTC±00:00
Site officiel http://www.sainthelena.gov.sh/


Géolocalisation sur la carte : océan Atlantique



(Voir situation sur carte : océan Atlantique)
Sainte-Hélène

Sainte-Hélène
Sainte-Hélène




Îles au Royaume-Uni

Sainte-Hélène[2], en anglais : Saint Helena, est une île volcanique de 122 km2, située dans l'océan Atlantique sud, à 1 856 km à l'ouest des côtes de l'extrême-nord-ouest de la Namibie et à 3 286 km à l'est-sud-est de la ville brésilienne de Recife, et faisant partie de Sainte-Hélène, Ascension et Tristan da Cunha, territoire d'outre-mer du Royaume-Uni. Elle fut découverte par le navigateur galicien João da Nova Castella le 21 mai 1502 et nommée en l'honneur d'Hélène, mère de Constantin Ier. Dès 1657, elle devient possession de la Compagnie anglaise des Indes orientales.


Essentiellement connue comme lieu d'exil de Napoléon Ier du 14 octobre 1815 à sa mort le 5 mai 1821, l'île lui doit son intérêt touristique qui repose sur l'attrait des lieux qu'il a fréquentés. En 1890, le chef zoulou Dinizulu y fut détenu, avant que les Britanniques y emprisonnent le général Piet Cronje et 6 000 Boers durant la Seconde Guerre des Boers.


Île forteresse sur le passage des navires de la Compagnie des Indes, elle perdit son rôle stratégique lors de l'ouverture du canal de Suez.




Sommaire






  • 1 Géographie


    • 1.1 Climat




  • 2 Histoire


    • 2.1 Découverte du volcan


    • 2.2 Observations astronomiques


    • 2.3 Détention de Napoléon Ier




  • 3 Population


  • 4 Politique


    • 4.1 Divisions administratives


    • 4.2 Présence française




  • 5 Flore et faune


    • 5.1 Flore


    • 5.2 Faune




  • 6 Accès à l'île


    • 6.1 Voie maritime


    • 6.2 Voie aérienne




  • 7 Dans la culture


  • 8 Notes et références


  • 9 Annexes


    • 9.1 Bibliographie


    • 9.2 Article connexe


    • 9.3 Liens externes







Géographie |


Malgré son isolement, l'île de Sainte-Hélène fait partie de l'Afrique du Sud-Ouest.



Climat |


Bien que l'île de Sainte-Hélène soit située dans la zone intertropicale, le climat qui y règne est de type méditerranéen à été tempéré (Csb) selon la classification de Köppen; ce qui est surprenant pour une latitude de seulement 16°S.



Histoire |



Découverte du volcan |


L'île est découverte par le navigateur galicien João de Nova, qui était au service du Portugal, le 21 mai 1502[3], jour de la fête de sainte Hélène selon l'usage antique et orthodoxe, qui lui vaut son nom.


Quelques aventuriers et esclaves la peuplent. Les voiliers, au cours de leurs longues traversées, y font escale pour renouveler leur provision d'eau douce et de vivres frais, ce qui lui vaut le nom d'« Auberge de l'Océan »[4]. En 1633, une flotte hollandaise en prend possession au nom des Pays-Bas qui l'annexe sans l'occuper. La Compagnie britannique des Indes orientales qui ne possède dans les mers australes aucun point de relâche pour ses navires, s'en empare en 1659 et l'aménage avant de la céder à la Couronne en 1834. Des gouverneurs sont alors nommés. De 1815 à 1821, l'île est prêtée au Gouvernement britannique comme lieu d'exil pour Napoléon[5].



Observations astronomiques |


Présent sur l'île pendant deux ans au bout desquels il publie son Catalogue du ciel austral[6], Edmund Halley y observe également en 1677 le transit de Mercure ; suite à son observation il imagine une méthode pour utiliser les transits, essentiellement ceux de Vénus pour déterminer la distance Terre-Soleil
[7]. Une expédition britannique observe depuis l'île le transit de Vénus de 1761 dans ce but[7].



Détention de Napoléon Ier |





Longwood House




Sainte-Hélène - La vallée du Tombeau


Déportation à Sainte-Hélène

À la suite des Cent-Jours, Napoléon Ier fut exilé et déporté par les Britanniques sur Sainte-Hélène où il arriva le 14 octobre 1815 à bord du HMS Northumberland et y débarqua le 16 octobre 1815[8]. L'arrivée de l'empereur entraîna une augmentation de la population de l'île : près de 1 500 soldats anglais (en plus des 800 militaires de la Compagnie des Indes) et 500 marins de la flottille de guerre, ainsi que des officiels du gouvernement britannique, accompagnés de leurs familles, sans oublier la petite colonie française qui vivait dans l'entourage de Napoléon Ier[9]. De plus, les Britanniques, craignant un débarquement de marins français pour libérer le prisonnier, revendiquèrent l'île de l'Ascension — jusque-là inhabitée — et y établirent une garnison.


Napoléon mourut le 5 mai 1821. Le lendemain, le gouverneur de l'île, Sir Hudson Lowe, jusqu'alors en perpétuel conflit avec son ancien prisonnier, vint en personne s’assurer de sa mort et déclara alors à son entourage : « Hé bien, Messieurs, c'était le plus grand ennemi de l'Angleterre et le mien aussi ; mais je lui pardonne tout. À la mort d'un si grand homme, on ne doit éprouver qu'une profonde douleur et de profonds regrets[10]. »


Conformément à ses dernières volontés dans le cas où son corps ne devait pas être ramené en Europe, Napoléon Ier fut inhumé le 9 mai près d'une source, dans la vallée du Géranium, dénommée depuis « vallée du Tombeau ». Le 27 mai, toute la colonie française quitta l'île. Dix-neuf ans après la mort de Napoléon, le roi Louis-Philippe put obtenir du Royaume-Uni la restitution des cendres de l'ex-empereur. L'exhumation du corps de Napoléon eut lieu le 15 octobre 1840, puis il fut rapatrié en France et inhumé aux Invalides à Paris.


En 1822, l'habitation de Longwood fut cédée à un fermier qui lui redonna l'usage de ferme qu'elle avait avant l'arrivée de Napoléon Ier, si bien, qu'ensuite, les visiteurs constatèrent que la maison de l'empereur en détention abritait « moulin, silo, bottes de paille et même des chevaux. »[11]


À partir de 1854, l'empereur Napoléon III négocia avec le gouvernement britannique l'achat de Longwood House et de la vallée du Tombeau, qui devinrent propriétés françaises en 1858, sous le nom de « domaines français de Sainte-Hélène » et gérées depuis par le Ministère des Affaires étrangères. Le pavillon des Briars, première demeure de l'empereur sur l'île, fut adjoint au domaine en 1959, lorsque sa dernière propriétaire en fit don à la France.



Population |


Il n'existe pas de population indigène sur l'île. Les habitants de l'île sont des Européens descendants de Britanniques, des Africains descendants d'esclaves et des Chinois. Tous les habitants parlent anglais ; il n'y a jamais eu de créoles et les populations d'origine non britannique ont perdu la langue de leurs ancêtres.


La population s'élève à environ 4 200 habitants en 2008 en incluant les visiteurs (3 900 en ne comptant que les autochtones), se répartissant pour la plupart dans l'intérieur de l'île, plus verdoyant. Cependant, celle-ci est en forte baisse, puisqu'elle a perdu 1 000 habitants depuis 1998.


La capitale de l'île est Jamestown, qui en est également la ville principale avec 864 habitants. Située sur la côte, s'étirant sur 1,5 km, mais dépourvue de port, elle est si encaissée entre deux montagnes que les habitants ne reçoivent aucune chaîne de télévision.


Le tourisme est rare, et les visiteurs sont surtout d'anciens habitants de Sainte Hélène qui viennent rendre visite à leurs familles. S'il y a tout de même quelques centaines de vrais touristes (chiffre qui varie d'une année à une autre), la vie est cependant assez chère sur place, l'ile étant assez isolée. Le prix d'un produit non fait sur place peut facilement coûter deux à trois fois plus cher que son prix dans un magasin standard de Londres.



Politique |




Élisabeth II détient le pouvoir exécutif sur l'île.


Sainte-Hélène est régie par une constitution datant de 1988. À Sainte-Hélène, le pouvoir législatif est exercé par un Conseil législatif (en) de quinze membres, dont douze sont élus par la population du territoire pour un mandat de quatre ans. Les trois autres sont le gouverneur et deux officiers désignés par la couronne britannique.


Le pouvoir exécutif est détenu par la reine Élisabeth II, qui le délègue à un gouverneur, le gouverneur de Sainte-Hélène, Ascension et Tristan da Cunha – résidant à Plantation House –, nommé par elle sur conseil du gouvernement britannique. Un conseil exécutif existe également, comprenant le gouverneur et ses deux officiers, et six membres élus choisis par le gouverneur parmi les douze du conseil législatif. La gouverneure actuelle est Lisa Phillips (en) (depuis avril 2016).



Divisions administratives |




Les districts de Saint-Hélène.






























































































District Superf.
km2
Pop.
1987
Pop.
1998
Pop.
2008[12]
Pop.
2016[1]
Densité
hab./km2
Alarm Forest 5,4 ... 289 276 383 70,4
Blue Hill 36,8 190 177 153 158 4,3
Half Tree Hollow 1,6 1 075 1 140 901 984 633,2
Jamestown 3,9 ... 884 714 629 161,9
Levelwood 14,8 415 376 316 369 25,0
Longwood 33,4 ... 960 715 790 23,6
Sandy Bay 16,1 305 254 205 193 12,0
Saint Paul's 11,4 ... 908 795 843 74,0
Total 121,7 5 644 5 157 4 255 4 349 35,3


Ces districts sont réduits à deux : Est et Ouest. Quatorze hectares forment les domaines français de Sainte-Hélène.



Présence française |


Article détaillé : Domaines français de Sainte-Hélène.

Après la détention de Napoléon Ier en 1815 à Longwood, la France est devenue propriétaire des bâtiments et des terrains ayant servi à accueillir l'empereur sur l'île. Ce domaine, qui est détenu par le Ministère des Affaires étrangères de la France, regroupe trois territoires : la maison de Longwood, la vallée du Tombeau et le pavillon des Briars.


Le domaine est actuellement administré par un consul honoraire et conservateur du Domaine, Michel Dancoisne-Martineau (en)[13], successeur de Gilbert Martineau.



Flore et faune |



Flore |


La végétation de l'île comptait de nombreuses espèces endémiques au moment de sa découverte, mais a été fortement dégradée par la présence de l'homme. La destruction a commencé peu de temps après la découverte par les Portugais en 1502, avec l'introduction de chèvres. Comme il n'y avait aucun animal herbivore sur l'île, la flore n'était pas adaptée au pâturage. Plus tard, avec l'établissement d'une population permanente par la Compagnie anglaise des Indes orientales en 1659, de nombreuses plantes, comme Phormium tenax, ont été introduites, lesquelles ont créé de nouveaux paysages. De plus, les arbres ont été fortement utilisés pour la construction et la cuisine, et la distillation de l'arrack.


Si l'intérieur de l'île était probablement couvert par une dense forêt tropicale, ainsi que la côte, le paysage actuel est très différent. Il y a trois grandes zones de végétation : les fourrés de fougères arborescentes, sur les plus hautes parties de l'île, des pâturages aux altitudes moyennes, et une zone complètement érodée, sur les parties basses.


Certaines espèces comme Acalypha rubrinervis et Nesiota elliptica (olivier de Sainte-Hélène) ont maintenant disparu. D'autres espèces, comme Pelargonium cotyledonis sont devenues rares ou en voie d'extinction. Une espèce particulière est entrée dans l'Histoire: il s'agit du saule pleureur qui ombrageait le tombeau de Napoléon[14].


En 1996 est créé le parc national du Pic de Diana protégeant autour du sommet éponyme 81 hectares de végétation et de faune[15],[16].



Faune |





Pluvier de Sainte-Hélène.


Seule parmi les six espèces d'oiseaux terrestres endémiques de l'île à survivre à l'arrivée de l'homme[17], le pluvier de Sainte-Hélène figure sur le blason et le drapeau de l'île. Les espèces d'oiseaux terrestres disparues à cause de la chasse, de la destruction de la forêt primaire subtropicale et des espèces prédatrices introduites sont le râle de Sainte-Hélène (Aphanocrex podarces), la huppe de Sainte-Hélène (Upupa antaios), le pigeon bleu, le coucou de Sainte-Hélène (Nannococcyx psix) et une sous espèce de pétrel.


Sur cette île se trouve également un des plus vieux animaux terrestres en vie, une tortue géante des Seychelles appelée Jonathan (en).



Accès à l'île |



Voie maritime |


L'île est accessible par bateau et occasionnellement par avion depuis la construction d'un aéroport, mais ne possède pas de port à quai ; les passagers et les marchandises étant débarqués par des transbordeurs. Un navire britannique le RMS St Helena (RMS pour Royal Mail Service, le dernier bateau postal britannique encore en service), mi-cargo mi-paquebot fait désormais la liaison depuis l'Afrique du Sud ainsi qu'avec l'île de l'Ascension. Avant octobre 2011, il fallait quatorze jours au RMS St Helena, pour parcourir les 8 000 kilomètres qui séparent Cardiff au pays de Galles de Jamestown, avec une escale à Tenerife aux îles Canaries.



Voie aérienne |


Article détaillé : Aéroport de Sainte-Hélène.

Après beaucoup de controverses, le projet d'aéroport est abandonné en raison de la crise économique mondiale en 2009. Cependant, le nouveau gouvernement britannique du Premier ministre David Cameron décide en juin 2010 de relancer le projet qui est adopté en novembre 2011. C'est une société sud-africaine, Basil Read, qui obtient le contrat de 200 millions de livres, l'aéroport devant ouvrir en 2015 (date du 200e anniversaire de l'arrivée en exil de Napoléon), avec des vols réguliers entre l'île et l'Afrique du Sud[18]. L'ouverture est reportée à la suite d'un vol test soulignant de « dangereuses conditions climatiques » lors de l'approche. Finalement, l'aéroport est inauguré le 21 mai 2016. Cependant, des tests effectués par un Boeing 737 de British Airways, montrent que les vents balayant l'île rendent très difficile l'atterrissage. Ainsi, au 23 septembre 2016, aucune ligne n'a encore été ouverte sur l'aéroport et son avenir demeure incertain[19]. Le gouvernement de l’île annonce en 2017 qu'une ligne régulière devrait voir le jour pour un avion de quatre-vingts places[20]. Le premier vol commercial a lieu le samedi 14 octobre 2017. La compagnie aérienne est Airlink. L'avion est un Embraer 190 de moins de cent places.



Dans la culture |


Cette île est le lieu abritant le roman allégorique El Criticón.



Notes et références |




  1. a et b« Census 2016 – summary report » [PDF], St Helena Government (consulté le 21 septembre 2016).


  2. Commission de toponymie de l'IGN - Institut national de la statistique et des études économiques, Pays indépendants et capitales du monde : Entité géopolitiques dépendantes au 01.09.2007, Paris, 16 septembre 2007, 10 p. (lire en ligne), p. 6.


  3. Jules-Sébastien-César Dumont d'Urville, Voyage pittoresque autour du monde, tome II, p. 547.


  4. Ulane Bonnel, Sainte-Hélène, terre d'exil, Hachette, 1971, p. 17.


  5. Jacques Macé, Dictionnaire historique de Sainte-Hélène, Tallandier, 2004.


  6. Jean-Michel Faidit, La comète impériale de 1811, Toulon, Les Presses du Midi, 2012, 131 p. (ISBN 978-2-8127-0312-6), p. 7


  7. a et bJean-Eudes Arlot (Coordination) et al. (préf. Jean-Pierre Luminet), Le passage de Vénus, EDP sciences, 2004, 227 p. (ISBN 9782868837318), chap. 2 (« Histoire des observations des passages »)


  8. Thierry Lentz, Napoléon, Éditions La Boétie, 2013, p. 82.


  9. Michel Dancoisne-Martineau, Chroniques de Sainte-Hélène : Atlantique sud, Perrin, 2011, p. 301.


  10. Napoléon, Larousse, 2015, p. 91.


  11. Albert Benhamou, L'autre Sainte-Hélène : la captivité, la maladie, la mort et les médecins autour de Napoléon, 2010, p. 373.


  12. « 2008 Population Census of St Helena » [PDF], St Helena Government (consulté le 21 septembre 2016).


  13. « Les domaines français de Sainte-Hélène : l'achat de la maison de Longwood et du domaine de la tombe » sur le site www.napoleon.org, consulté le 5 juin 2017.


  14. « L'autre Saint-Hélène », sur le site lautresaintehelene.com, consultée le 26 novembre 2014.


  15. (en) « Diana's Peak Park », sur le site de Sainte-Hélène, consulté le 21 août 2017.


  16. [PDF] (en) The Peaks National Park (NP2): Management Development Plan 2013 – 2023., St Helena Government, 2013.


  17. UICN, Changement climatique et biodiversité dans l’outre-mer européen, 2008, p. 171, (ISBN 9782831713229) [lire en ligne].


  18. (en)« Remote UK island colony of St Helena to get airport », BBC 3 novembre 2011.


  19. Guerric Poncet, « Sainte-Hélène : un aéroport sans avion à 330 millions d'euros », 23 septembre 2016(consulté le 23 septembre 2016).


  20. « Insolite : l’aéroport de Sainte-Hélène a (enfin) trouvé sa compagnie régulière », 30 juillet 2017(consulté le 1er août 2017).



Annexes |



Bibliographie |




  • (en) David L. Smallman, Quincentenary: A Story of St Helena, 1502-2002, Hypatia Publications, 2003, 171 p. (ISBN 978-1872229478, lire en ligne).


  • Michel Dancoisne-Martineau, Je suis le gardien du tombeau vide, Flammarion, 2017, 419 p. (ISBN 978-2081395275, lire en ligne).

  • Bernard Chevallier, Michel Dancoisne-Martineau et Thierry Lentz (dir.), Sainte-Hélène. Île de mémoire, Fayard, 2005, (ISBN 978-2213626451).


  • Jean Mendelson, Sainte-Hélène, 2015, Arles, Portaparole, 2018.



Article connexe |


  • Anticyclone de Sainte-Hélène


Liens externes |


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  • (en) Site officiel

  • Napoléon à Sainte-Hélène.

  • L'île de Sainte-Hélène et ses principaux sites.

  • Description de l'île de Sainte-Hélène en 1816 par le pasteur Latrobe.

  • Récit illustré d'une visite à l'île de Sainte-Hélène en novembre 2011.



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