Arte France

























































Arte France

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Création
27 février 1986
Dates clés

30 mai 1989 : Début des émissions de La Sept

30 avril 1991 : Création d'Arte
30 mai 1992 : Début des émissions d'Arte
27 septembre 1993 : Changement de nom pour La Sept-Arte
1er décembre 1994 : GIE avec La Cinquième
1er août 2000 : Changement de nom pour Arte France


Personnages clés

Georges Duby, Jérôme Clément

Forme juridique

Société anonyme à directoire et conseil de surveillance

Siège social

Issy-les-Moulineaux
Drapeau de France France

Direction

Véronique Cayla (présidente)
Anne Durupty (directrice générale)
Actionnaires

France Télévisions (45 %)
État français (25 %)
Radio France (15 %)
INA (15 %)

Activité

Télévision, radiodiffusion, édition, cinéma

Produits
Chaînes de télévision, web radio, production audiovisuelle, édition

Sociétés sœurs

Arte Deutschland TV

Filiales
Télévision : Arte (disponible également via Arte Deutschland TV) et TV5 Monde (3,29%)
Radio : Arte Radio
Production et autres : Arte France Cinéma et Arte France Développement (Arte Studio et Arte Éditions)

Arte France est une société française d'édition de programmes de télévision créée le 27 février 1986 sous le nom La Sept. Devenue le pôle français de la chaîne franco-allemande Arte à la création de cette dernière le 30 avril 1991, elle prend le nom La Sept-Arte le 27 septembre 1993, puis son nom actuel le 1er août 2000.


La société possède des filiales dans le cinéma avec Arte France Cinéma, la radio avec Arte Radio et l'édition (livre ou multimédia) et la production avec Arte France Développement. Elle a également participé ou participe encore au financement de chaînes françaises et internationales telle que TV5 Monde.




Sommaire






  • 1 Histoire de la société


    • 1.1 La Sept (1986-1990)


    • 1.2 Intégration dans Arte (1990-1992)


    • 1.3 La Sept-Arte (1993-2000)


    • 1.4 Arte France (depuis 2000)




  • 2 Identité visuelle (logo)


  • 3 Organisation


    • 3.1 Dirigeants


      • 3.1.1 Le Directoire


      • 3.1.2 Le Conseil de surveillance




    • 3.2 Mission


    • 3.3 Capital


    • 3.4 Siège social


    • 3.5 Budget




  • 4 Activités


    • 4.1 Télévision


    • 4.2 Radio


    • 4.3 Production et autres




  • 5 Communication


    • 5.1 Activité de lobbying en France




  • 6 Polémiques


  • 7 Notes et références


    • 7.1 Notes


    • 7.2 Références




  • 8 Voir aussi


    • 8.1 Articles connexes


    • 8.2 Liens externes







Histoire de la société |



La Sept (1986-1990) |


Dans les années 1980, le paysage audiovisuel français est en plein bouleversement avec une libéralisation menant à l'apparition d'opérateurs privés (Canal+, La Cinq, TV6 et TF1). Dès 1984, François Mitterrand, alors président de la République, a l'idée d'une chaîne culturelle et éducative à vocation européenne[1]. Le 14 novembre 1984, Georges Fillioud, secrétaire d'État chargé des Techniques de la communication dans le gouvernement Laurent Fabius, charge Pierre Desgraupes, ancien PDG d'Antenne 2, d'imaginer un nouveau programme de télévision publique de dimension européenne destiné à être diffusé par le futur satellite TDF 1. En juin 1985, Desgraupes remet le rapport « Canal 1 », et le mois suivant, le gouvernement annonce la création d’une nouvelle chaîne de service public inspirée du rapport[2].


Le 27 février 1986, La Sept, pour « Société d'Édition de Programmes de Télévision », est créée. Elle est détenue à 45 % par FR3, à 25 % par l'État français, à 15 % par Radio France et à 15 % par l'INA[3]. Bernard Faivre d'Arcier est le président du directoire jusqu'à l'automne où il se voit remplacé par Georges Duby, historien au Collège de France. En novembre 1986, la société se dote d'un Comité des programmes ouvert aux représentants des chaînes publiques européennes. Le 23 mars 1987, La Sept signe un premier accord de coopération avec la ZDF (Allemagne). Entre 1987 et 1988, de nombreux autres accords sont signés avec l'ARD (Allemagne), la RTBF (Belgique), la SSR (Suisse), la Danmarks Radio (Danemark), la SVT (Suède), Channel 4 (Royaume-Uni), l'ORF (Autriche), la RTVE (Espagne) et l'ERT (Grèce)[2].


Le 14 mars 1989, La Sept devient la « Société européenne de programmes de télévision » et change de statut pour devenir diffuseur en plus de producteur de programmes[1],[2]. En avril, elle reçoit l'autorisation du CSA d'émettre sur un canal du satellite TDF 1[4], et commence la diffusion le 30 mai 1989[3],[5]. La chaîne passe des accords pour que son signal soit repris sur les réseaux câblés européens et sur les réseaux hertziens d'Europe de l'Est[2]. En France, Jérôme Clément, président de La Sept, obtient que ses programmes soient repris le samedi de 15h à minuit[6] sur FR3 du 3 février 1990[3] au 25 avril 1992 dans le cadre de La Sept sur la 3[7].



Intégration dans Arte (1990-1992) |


Le 2 octobre 1990, à la veille de la réunification allemande, un traité interétatique entre la France et les onze länder allemands établissant les fondements d'une Chaîne Culturelle Européenne (CCE) est signé à Berlin. Le 30 avril 1991, la chaîne Arte, pour « Association relative à la télévision européenne », est créée sous la forme d'un groupement européen d'intérêt économique (GEIE). Le groupement est composé de deux pôles paritaires : La Sept en France et Arte Deutschland TV GmbH en Allemagne[3].


Le 4 septembre 1991, La Sept crée La Sept Cinéma, une société de production cinématographique. En juillet 1992, elle fonde La Sept Vidéo, une société de production, d'édition et de commercialisation de vidéos[3].


Le 30 mai 1992, Arte débute sa diffusion par câble et satellite lors d'une soirée spéciale en direct de l'Opéra de Strasbourg. Le 26 septembre 1992, la chaîne étend sa visibilité en France en récupérant le 5e réseau hertzien terrestre français, jusqu'alors attribué à La Cinq qui vient de faire faillite[3],[8]. La Sept a perdu son rôle de diffuseur et n'est plus qu'une société d'édition de programmes de télévision intégré dans Arte.



La Sept-Arte (1993-2000) |


Le 27 septembre 1993, La Sept change de nom en La Sept-Arte[3].


En mai 1994, La Sept-Arte lance Arte Éditions, qui doit prolonger les programmes de la chaîne dans le domaine du livre et du multimédia[3].


En 1994, une nouvelle chaîne publique voit le jour : La Cinquième. Le ministre de la Communication Nicolas Sarkozy impose alors la création le 1er décembre 1994 d'un groupement d'intérêt économique (GIE) incluant La Sept-Arte et La Cinquième afin de faire des économies. À partir du 13 décembre 1994, les deux chaînes doivent se partager le canal no 5 : La Cinquième diffuse de h à 19 h et Arte le reste du temps[9],[10]


Le 24 juin 1996, la chaîne Festival (future France 4) fait ses débuts. La Sept-Arte en est actionnaire à hauteur de 11 %[11].


Fin 1996, face à l'échec du GIE La Sept-Arte/La Cinquième en termes d'économies, le ministre de la Culture Philippe Douste-Blazy envisage la création d'une nouvelle société dotée d'un budget propre[12]. Cette structure est mise en place par le gouvernement Jospin après les élections législatives françaises de 1997[9].


Le 16 juillet 1998, La Sept Cinéma prend le nom d'Arte France Cinéma[3].


En septembre 1999, La Sept-Arte/La Cinquième devient actionnaire de la chaîne francophone internationale TV5 Monde à hauteur de 12,5 %. TV5 Monde diffuse quelques émissions d'Arte France qu'elle co-produit ou achète et réalise le sous-titrage en 13 langues[13],[14].


Au moment de la création du groupe France Télévisions en 2000, le gouvernement Jospin, sa ministre de la Culture et de la Communication Catherine Trautmann, et le directeur des chaînes publiques Marc Tessier veulent faire passer le groupement La Sept-Arte /La Cinquième dans le giron de la nouvelle holding publique. Jérôme Clément, président du Comité de gérance d'Arte, obtient avec l'appui des Allemands qu'Arte soit maintenue en dehors par un amendement voté au Sénat le 18 janvier 2000. La chaîne reste donc indépendante[15],[16],[17], tandis que La Cinquième intègre France Télévisions le 2 août 2000 et prend le nom de France 5 le 7 janvier 2002[9].



Arte France (depuis 2000) |


Le 1er août 2000, La Sept-Arte prend le nom d'Arte France. Le 5 mars 2001, La Sept Vidéo change de nom pour Arte France Développement[3].


En 2001, Arte France devient actionnaire à 25 % de l'Agence française de coopération médias (CFI), chargée d'aider le développement des médias des pays du Sud[18]. Une convention fixant le cadre de la collaboration est signée entre les deux sociétés le 23 février 2012[19]. En juin 2001, Arte France devient actionnaire à 15 % de la nouvelle chaîne culturelle canadienne francophone ARTV[13]. Elle revend sa participation à Radio Canada le 14 mars 2015[20].


En septembre 2002, Arte France lance Arte Radio, une webradio à la demande qui propose des courts-métrages (reportages, documentaires, créations sonores...)[21],[22].


En 2008, lors de création de la holding Audiovisuel extérieur de la France (AEF), Arte France réduit sa participation dans TV5 Monde à moins de 4 %[14].



Identité visuelle (logo) |




Organisation |



Dirigeants |



Le Directoire |


Le Directoire assure la gestion de la société. Il est composé de trois membres nommés pour cinq ans : le président, le directeur général et le directeur de la gestion et de la coordination[23].




Présidents[24] :




  • Bernard Faivre d'Arcier : février 1986 - octobre 1986[2] ;


  • Georges Duby : octobre 1986[25] - janvier 1989 ;


  • Jérôme Clément[N 1] : janvier 1989[3] - 21 mars 2011 ;


  • Véronique Cayla[N 2] : depuis le 22 mars 2011[26].




Directeurs généraux[24] :




  • Victor Rocaries[N 3] : 1992 - 1993


  • Hélène Font : 1993 - 19 mars 2001


  • Jean Rozat : 20 mars 2001[27] - 22 mars 2011


  • Anne Durupty[N 4] : depuis le 23 mars 2011[28]





Le Conseil de surveillance |


Le Conseil de surveillance décide des grandes orientations stratégiques et économiques, et contrôle et nomme les membres du Directoire. Il est composé de onze membres qui se réunissent quatre fois par an[23].




Présidents du conseil de surveillance :




  • Georges Duby : mars 1989 – 30 juin 1993 ;


  • Bernard-Henri Lévy : depuis le 1er juillet 1993[29].




Vice-présidents :




  • Michel Guy : 1989[30] - 1991 ;


  • Daniel Toscan du Plantier[N 5] : 1991 - 11 février 2003[31] ;


  • Nicolas Seydoux[N 6] : depuis avril 2003[32].





Mission |


Arte France, comme Arte Deutschland TV GmbH, est chargée de concevoir, produire et acheter des programmes pour alimenter la grille d'Arte[33]. Les deux pôles doivent fournir respectivement 40 % des programmes et les chaînes européennes partenaires les 20 % restants[34].



Capital |


Le capital d'Arte France est détenu conjointement par des entreprises publiques ou des organismes d'État[33] :




  • France Télévisions (45 %)


  • État français (25 %)


  • Radio France (15 %)


  • INA (15 %)



Siège social |


Le siège d'Arte France se situe au 8 rue Marceau à Issy-les-Moulineaux, dans les Hauts-de-Seine[35].



Budget |


Le budget 2016 s'élève à 270,15 millions d'€. Les recettes comprennent essentiellement la contribution audiovisuelle publique ː 264,5 M d'€[36] . Les dépenses principales sont la production et l'achat de programmes ː 149,25 M d'€, la subvention à Arte GEIE ː 63,64 M d'€.



Activités |



Télévision |


Arte France participe au capital de plusieurs chaînes de télévision en France et à l'international :




  • Arte, chaîne franco-allemande à vocation culturelle européenne
    Détenue à parité par Arte France et Arte Deutschland TV GmbH ;



  • TV5 Monde, chaîne francophone internationale créée le 2 janvier 1984
    Arte France est actionnaire à 12,5 % depuis 1999, réduit à 3,29 % en 2008.



Elle a également été par le passé au capital de plusieurs chaînes :




  • Arte Belgique, version belge d'Arte diffusée du 25 septembre 2006 à 2015 ;


  • Festival, chaîne thématique créée le 24 juin 1996 et remplacée par France 4 le 30 mars 2005
    Arte France est actionnaire à 11 % jusqu'à sa disparition ;



  • ICI ARTV (ex-ARTV), chaîne culturelle québécoise créée le 1er septembre 2001
    Arte France est actionnaire à 15 % à sa création et revend sa participation le 14 mars 2015.




Radio |



  • Arte Radio, webradio à la demande créée en septembre 2002 qui propose des courts-métrages (reportages, documentaires, créations sonores...) dans sa sonothèque.


Production et autres |




  • Arte France Cinéma (ex-La Sept Cinéma), société de production cinématographique créée le 4 septembre 1991 ;

  • Arte France Développement (ex-La Sept Vidéo), société créée en 1992 qui regroupe :

    • Arte Studio, société proposant des moyens de conception, la réalisation et production de projets audiovisuels ;

    • Arte Éditions, société d'édition et de commercialisation de livres, DVD, CD et BD, créée en mai 1994 ;





Communication |



Activité de lobbying en France |


Pour l'année 2017, Arte France déclare à la Haute Autorité pour la transparence de la vie publique exercer des activités de lobbying en France pour un montant qui n'excède pas 50 000 euros[37].



Polémiques |


Article détaillé : Un peuple élu et mis à part : L'Antisémitisme en Europe.

En février 2017, la direction francophone de la chaîne refuse la diffusion du documentaire Un peuple élu et mis à part : l’antisémitisme en Europe, écrit et réalisé par deux cinéastes allemands, Joachim Schroeder et Sophie Hafner. Le projet est porté par pôle allemand d’Arte en coopération avec la Radiodiffusion de l'Allemagne de l'Ouest. Il avait été validé en avril 2015 malgré l'opposition de la présidente d'Arte France, Véronique Cayla, du directeur des programmes Alain Le Diberder et leurs responsables de secteurs qui ont estimé que « son contenu n’était pas en adéquation avec la ligne éditoriale de la chaîne sur la question de l’antisémitisme ». Selon Luc Rosenzweig le motif du refus de la diffusion du documentaire est qu'il « met trop en lumière la haine antijuive qui progresse dans la sphère arabo-musulmane et dans une certaine gauche obsédée par l’antisionisme. »
[38].



Notes et références |



Notes |





  1. Jérôme Clément, président, est aussi président du Comité de gérance d'Arte GEIE du 1er mai 1991 au 31 décembre 1998 puis du 1er janvier 2003 au 31 décembre 2006 et vice-président du 1er janvier 1999 au 31 décembre 2002 puis du 1er janvier 2007 au 31 décembre 2010.


  2. Véronique Cayla, présidente, est aussi présidente du Comité de gérance d'Arte GEIE du 1er janvier 2011 au 31 décembre 2015.


  3. Victor Rocaries, directeur général, est aussi directeur des programmes d'Arte GEIE du 29 septembre 1993 au 31 décembre 2004 et directeur de la gestion du 1er janvier 2005 au 31 décembre 2012.


  4. Anne Durupty, directrice générale, est aussi vice-présidente du Comité de gérance d'Arte GEIE depuis le 1er janvier 2016.


  5. Daniel Toscan du Plantier, vice-président, est aussi vice-président de l'Assemblée générale d'Arte GEIE du 1er janvier 1991 au 31 décembre 1998.


  6. Nicolas Seydoux, vice-président, est aussi président de l'Assemblée générale d'Arte GEIE depuis le 1er janvier 2016.




Références |





  1. a et b« Naissance d'Arte, télévision franco-allemande », sur le site de l'Ina (consulté le 4 décembre 2015).


  2. a b c d et ePierre Lefort, « La Sept et le projet de chaîne culturelle européenne », Relations internationales, Presses universitaires de France, no 126,‎ 2006, p. 97-110 (ISBN 9782130556565, lire en ligne).


  3. a b c d e f g h i j et k[PDF]« 1991-2001 : Arte 10 ans », sur le site d'Arte, avril 2001(consulté le 4 décembre 2015).


  4. « Décision européenne du 20 avril 1989 no 89-46 du CSA », sur legifrance.gouv.fr (consulté le 4 décembre 2015).


  5. « Lancement de La Sept », sur le site de l'Ina, 31 mai 1989(consulté le 4 décembre 2015).


  6. « FR3:La grille Chancel », sur lesoir.beTFR3:LA GRILLE CHANCEL


  7. Olivier Millot, « Aux origines d'Arte… était la Sept », sur telerama.fr, 6 avril 2011


  8. Aurélie Marx, « Arte, une aventure franco-allemande », sur histoire-entreprises.fr, 11 septembre 2013(consulté le 4 décembre 2015).


  9. a b et c« La Cinquième, la chaîne de la connaissance », sur le site de l'Ina, 4 décembre 2014(consulté le 4 décembre 2015).


  10. « France 5 leur doit beaucoup », sur le site du Parisien, 7 décembre 1994(consulté le 4 décembre 2015).


  11. Martine Esquirou, « Festival fait son cinéma à la télé », sur le site de Libération, 24 juin 1996(consulté le 4 décembre 2015).


  12. Martine Esquirou, « Cinquième-Arte, mariage forcé. », sur le site de Libération, 31 août 1996(consulté le 4 décembre 2015).


  13. a et b[PDF]« Arte 20 ans », sur le site d'Arte (consulté le 4 décembre 2015).


  14. a et b« Partenariat entre Arte France et TV5 Monde », sur le site d'Arte (consulté le 4 décembre 2015).


  15. « Catherine Trautmann », sur le site du Ministère de la Culture, 29 avril 2013(consulté le 4 décembre 2015).


  16. Emmanuel Berretta, « France Télé sans pub : Arte ne se sent pas inquiétée », sur le site du Point, 9 janvier 2008(consulté le 4 décembre 2015).


  17. Marc Endeweld, France Télévisions, Off the Record : Histoires secrètes d'une télé publique sous influences, Éditions Flammarion, 479 p. (ISBN 2081254425, lire en ligne).


  18. « CFI - L'institution », sur cfi.fr (consulté le 4 décembre 2015).


  19. « CFI / ARTE France : Signature d’une convention cadre de collaboration », sur le site d'Arte, 24 février 2012(consulté le 4 décembre 2015).


  20. « Arte sort de ICI-ARTV, nouveau partenariat avec Radio-Canada », sur le site du Point, 14 mars 2015(consulté le 4 décembre 2015).


  21. « Dates clés », sur le site d'Arte (consulté le 4 décembre 2015).


  22. « Informations », sur le site d'Arte Radio (consulté le 4 décembre 2015).


  23. a et b« Les organes de décision », sur le site d'Arte (consulté le 4 décembre 2015).


  24. a et b« À la tête d'Arte », sur le site d'Arte, 28 avril 2014(consulté le 4 décembre 2015)


  25. Charles-M. de La Roncière et Marie-Françoise Attard-Maraninchi, Georges Duby : L'art et l'image: une anthologie, Marseille, Éditions Parenthèses, 2000, 203 p. (ISBN 2863646230, notice BnF no FRBNF37646286, lire en ligne).


  26. Nathalie Silbert, « Véronique Cayla prendra la tête d'Arte France en 2011 », sur le site des Échos, 26 octobre 2010(consulté le 4 décembre 2015).


  27. « Rapport d'activité 2001 » [PDF], sur le site d'Arte, août 2002(consulté le 5 décembre 2015).


  28. B.R., « Entrée en fonction de Véronique Cayla à la tête d'Arte », sur le site de Télé 2 semaines, 23 mars 2011(consulté le 5 décembre 2015).


  29. « Bernard-Henri Lévy nommé président du conseil de surveillance de La Sept-Arte », sur le site de Les Échos, 1er juillet 1993(consulté le 4 décembre 2015).


  30. « Hommage à Michel Guy », sur le site du ministère de la Culture, 24 novembre 2010(consulté le 4 décembre 2015).


  31. Fabienne Bradfer, « Toscan du Plantier meurt d'une crise cardiaque », sur le site du Soir, 12 février 2003(consulté le 5 décembre 2015).


  32. « Nicolas Seydoux Alain Wieder », sur le site de Les Échos, 3 avril 2003(consulté le 5 décembre 2015).


  33. a et b« Le pôle français, Arte France », sur le site d'Arte (consulté le 5 décembre 2015).


  34. « La Conférence des programmes », sur le site d'Arte (consulté le 30 novembre 2015).


  35. « Adresses de la centrale et des pôles », sur le site d'Arte (consulté le 5 décembre 2015).


  36. « Contrat d’objectifs et de moyens (COM) 2017 - 2021 - ARTE France », sur assemblee-nationale.fr (consulté le 28 août 2018), p. 20


  37. « Fiche Organisation «  Haute Autorité pour la transparence de la vie publique », sur www.hatvp.fr (consulté le 3 juin 2018)


  38. « Antisémitisme en banlieue: Arte censure un documentaire », sur Causeur, 1er juin 2017(consulté le 5 juin 2017)




Voir aussi |



Articles connexes |



  • Arte

  • Arte Radio

  • Arte France Cinéma

  • Arte Deutschland TV GmbH



Liens externes |



  • Site officiel

  • Arte Boutique




















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