Michel Déon





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Michel Déon au salon du livre de Paris 2012.jpg

Michel Déon en 2012.










































Biographie
Naissance

4 août 1919Voir et modifier les données sur Wikidata
ParisVoir et modifier les données sur Wikidata
Décès

28 décembre 2016Voir et modifier les données sur Wikidata (à 97 ans)
GalwayVoir et modifier les données sur Wikidata
Nom de naissance

Édouard MichelVoir et modifier les données sur Wikidata
Pseudonyme

Michel DéonVoir et modifier les données sur Wikidata
Nationalité

FrançaisVoir et modifier les données sur Wikidata
Formation

Lycée Janson-de-Sailly
Faculté de droit de ParisVoir et modifier les données sur Wikidata

Activités

Écrivain, dramaturgeVoir et modifier les données sur Wikidata
Conjoint

Chantal Déon (d) (de 1963 à 2016)Voir et modifier les données sur Wikidata
Enfant

Alice Déon (d)Voir et modifier les données sur Wikidata

























Autres informations
Religion

Église catholiqueVoir et modifier les données sur Wikidata
Parti politique

Action française‎‎Voir et modifier les données sur Wikidata
Membre de

Association des amis de Robert Brasillach
Académie française (1978)Voir et modifier les données sur Wikidata

Mouvement

Les HussardsVoir et modifier les données sur Wikidata
Distinctions


Liste détaillée
Officier des Arts et des Lettres‎
Prix Interallié (1970)
Grand prix du roman de l'Académie française (1973)
Officier de la Légion d'honneur (1993)
Commandeur de la Légion d'honneur‎ (2002)
Prix Jean-Ferré (2010)Voir et modifier les données sur Wikidata






Œuvres principales

Les Poneys sauvages (1970), Un taxi mauve (1973), Le Jeune Homme vert (1975)Voir et modifier les données sur Wikidata



Michel Déon, né Édouard Michel[Information douteuse] [?][1] à Paris le 4 août 1919 et mort le 28 décembre 2016 à Galway, est un écrivain et dramaturge français.


Membre de l'Académie française, il est généralement rattaché au mouvement des « Hussards ».




Sommaire






  • 1 Biographie


    • 1.1 Jeunesse et études


    • 1.2 Carrière


    • 1.3 Élection à l'Académie française


    • 1.4 Mort




  • 2 Décorations


  • 3 Œuvres


    • 3.1 Filmographie


      • 3.1.1 Adaptation au cinéma


      • 3.1.2 Adaptations à la télévision


      • 3.1.3 Documentaires






  • 4 Notes et références


  • 5 Annexes


    • 5.1 Bibliographie


    • 5.2 Liens externes







Biographie |



Jeunesse et études |


Son père, Paul Déon (ou Paul Michel)[Information douteuse] [?], est conseiller de Louis II, prince de Monaco[2]. Après une enfance passée entre le 16e arrondissement de Paris et Monaco (puis Nice), Michel Déon est élève au lycée Janson-de-Sailly, puis part étudier à la faculté de droit[2],[3].



Carrière |


Engagé volontaire de 1940 à 1942 (152e Régiment d'infanterie) et démobilisé à Lyon en novembre 1942, il devient en zone sud secrétaire de rédaction à L'Action française auprès de Charles Maurras. Dans le même temps, il collabore à Marie Claire[4]. Il devient également par la suite journaliste à Paris Match[3].


En 1950, il adhère à l'Association des amis de Robert Brasillach[5]. Il commence au même moment une vie de voyages qu'il n'arrêtera plus et qui nourrira constamment son œuvre romanesque. D'une manière plus ou moins prolongée, il séjourne notamment en Suisse, en Italie, aux États-Unis, qu'il parcourt en train et en bus Greyhound grâce à une bourse de la fondation Rockefeller, au Canada, au Portugal et en Grèce (à partir de 1959), d'abord à Skyros, puis à Spetsai. Mais c'est encore en Irlande, pays dont il se sent proche culturellement, qu'il séjourne le plus longtemps en famille, avec Chantal (née Renaudeau d'Arc, épousée en 1963[4]), et ses enfants Alice et Alexandre. Ses voyages et séjours en Irlande furent de grandes inspirations pour ses romans[6].


Entre 1960 et 1962, il collabore à Défense de l'Occident[7], au comité de patronage duquel il figure[8].


Parallèlement à la composition de ses livres, il poursuit une carrière d'éditeur pour la maison Plon et de critique aux Nouvelles Littéraires ou au Journal du dimanche. Lié aussi à la revue et aux éditions de La Table Ronde, il est associé aux Hussards[3], bien qu'il ait lui-même contesté l'existence de ce mouvement comme il le confie à son ami journaliste Jean-Luc Delblat dans Le Métier d'écrire publié au Cherche Midi en 1994 : "Nimier et Laurent ne s'aimaient guère, de même que Blondin et Laurent. Nous étions très différents. D'ailleurs les écrits de chacun témoignent de cette profonde divergence, bien que nous ayons été rassemblés un jour, par hasard, à l'occasion des préfaces à un livre d'André Fraigneau... Nous avons aussi été réunis par Jacques Laurent, dans la revue La Parisienne. Mais les "Hussards" n'ont jamais existé..."[9]


Après la liberté de ton de La Corrida ou de La Carotte et le Bâton, Michel Déon donne une nouvelle orientation à son œuvre en recourant au genre plus classique mais aussi plus ambitieux de la fresque contemporaine (Les Poneys sauvages) ou du roman de formation (Le Jeune Homme vert)[10]. Publié en 1981, Un déjeuner de soleil est le roman que Déon confiera être son préféré à Jean-Luc Delblat avec Les Poneys sauvages en répondant à la question : "Lequel de vos romans voudriez-vous qu'un jeune écrivain lise en premier ?" : "Je crois qu'il trouvera son profit dans Un déjeuner de soleil qui est un roman sur la création littéraire. Et puis Les poneys sauvages. Je pense que ce dernier n'est pas trop mal réussi. Je m'en aperçois maintenant parce que ce sont des gens très jeunes qui le lisent aujourd'hui, alors qu'il a été publié il y a vingt ans. Il fait l'objet de nombreuses thèses... Et j'ai de la chance : si mes romans n'étaient lus que par des gens de mon âge, d'abord il y en aurait moins, et puis ce ne serait pas rassurant ! "[11]


.


En 1999, il signe pour s'opposer à la guerre en Serbie la pétition « Les Européens veulent la paix »[12], initiée par le collectif Non à la guerre[13].


En juin 2004, l'Université française lui rend hommage : un colloque est organisé à la Sorbonne sur son œuvre à l'initiative d'Alain Lanavère et Thierry Laurent[14].


En décembre 2006, il signe le « Manifeste en faveur de la messe tridentine » qui paraît dans Le Figaro[15].


En 2009, les éditions de l'Herne publient un cahier sur son œuvre[16].


En 2010, Michel Déon est membre du jury du prix Françoise-Sagan[17].


Lors du 23e anniversaire de Radio Courtoisie, le 7 novembre 2010, le prix Jean-Ferré lui a été décerné[18].


Il fut « consul » du royaume d'Araucanie et de Patagonie en Irlande[19].



Élection à l'Académie française |


Vivant entre la Grèce et l'Irlande, il est élu le 8 juin 1978 à l'Académie française en même temps qu'Edgar Faure. Il y est reçu le 22 février 1979 par Félicien Marceau et fait l'éloge de son prédécesseur au 8e fauteuil, Jean Rostand. Sa carrière d’académicien permet de révéler au grand jour Vincent Delecroix (Tombeau d’Achille) et Jean Rolin (Chrétiens). Il est au moment de sa mort vice-doyen d'âge et vice-doyen d'élection de l'Académie.



Mort |


Il meurt le 28 décembre 2016 d'une embolie pulmonaire à Galway en Irlande[20], sa terre d'inspiration, à l'âge de 97 ans[21],[22].


L'année suivante, la famille de Michel Déon cherche un cimetière parisien pour l'accueillir mais se heurte au refus de la mairie de Paris, bien qu’il ait été un romancier ayant beaucoup traité de la capitale française dans ses ouvrages et y ayant longtemps vécu (il est né rue de la Roquette, a vécu après guerre rue Férou puis rue de Beaune jusqu'à la fin des années 1990) et qu'Hélène Carrère d'Encausse milite pour ce lieu de sépulture[3]. En février 2018, la mairie de Paris maintient sa position, en s'appuyant sur le Code général des collectivités territoriales[23]. Face au tollé, Anne Hidalgo fait ensuite marche arrière[24].



Décorations |



  • Commandeur de la Légion d'honneur

  • Officier de l'ordre des Arts et des Lettres



Œuvres |


Auteur de nombreux ouvrages illustrés (notamment par Jean Cortot, Olivier Debré, George Ball) sa bibliographie comporte plus de 40 volumes. Ses œuvres majeures ont été réunies en un seul volume paru dans la collection « Quarto » chez Gallimard en 2006.





  • Adieux à Sheila, roman, Robert Laffont, 1944


  • Amours perdues, roman, Bordas, 1946


  • Je ne veux jamais l’oublier, roman, Plon, 1950


  • La Corrida, roman, Plon, 1952


  • Le Dieu pâle, roman, Plon, 1954 (Prix des Sept)


  • Tout l'amour du monde, I, récits, Plon, 1955


  • Plaisirs, roman érotique sous le pseudonyme de Michel Férou. 6e de la Série Blonde des Éditions de Paris, 1955,


  • Lettre à un jeune Rastignac, libelle, Fasquelle, 1956


  • Les Trompeuses Espérances, roman, Plon, 1956


  • Les Gens de la nuit, roman, Plon, 1958


  • L'Armée d'Algérie et la pacification, Plon, 1959


  • La Carotte et le Bâton, roman, Plon, 1960


  • Tout l'amour du monde, II, récits, Plon, 1960


  • Le Balcon de Spetsai, récits, Gallimard, 1961 (Prix Kauffmann)


  • Louis XIV par lui-même, Librairie Académique Perrin, 1964


  • Le Rendez-vous de Patmos, récits, Plon, 1965


  • Mégalonose, La Table Ronde, 1967


  • Un parfum de Jasmin, nouvelles, Gallimard, 1967


  • Les Poneys sauvages, roman, Gallimard, 1970 (prix Interallié)


  • Un taxi mauve, roman, Gallimard, 1973 (grand prix du roman de l'Académie française)


  • Le Jeune Homme vert, roman, Gallimard, 1975


  • Thomas et l'infini, conte, Gallimard, 1975 pour la jeunesse


  • Les Vingt Ans du jeune homme vert, roman, Gallimard, 1977


  • Mes arches de Noé, récits, La Table Ronde, 1978


  • Un déjeuner de soleil, roman, Gallimard, 1981


  • Je vous écris d'Italie, roman, Gallimard, 1984


  • Bagages pour Vancouver, récits, La Table Ronde, 1985


  • Ma vie n'est plus un roman, théâtre, Gallimard, 1987


  • La Montée du soir, roman, Gallimard, 1987


  • Un souvenir, roman, Gallimard, 1990


  • Le Prix de l'amour, nouvelles, Gallimard, 1992


  • Ariane ou l'oubli, théâtre, Gallimard, 1993


  • Parlons-en..., conversations avec Alice Déon, Gallimard, 1993


  • Pages grecques, récits, Gallimard, 1993 (Le Balcon de Spetsai, Le Rendez-vous de Patmos, Spetsai revisité)


  • Je me suis beaucoup promené, miscellanées, La Table Ronde, 1995


  • Une longue amitié, lettres échangées avec André Fraigneau, La Table Ronde, 1995


  • Le Flâneur de Londres, Robert Laffont, 1995


  • Orphée aimait-il Eurydice?, Séguier, 1996


  • La Cour des grands, roman, Gallimard, 1996


  • L'Enfant et la sorcière, roman pour la jeunesse, Gallimard, 1998


  • Madame Rose, roman, Albin Michel, 1998


  • Pages françaises, récits, Gallimard, 1999 (Mes arches de Noë, Bagages pour Vancouver, Post-scriptum)


  • Taisez-vous, j'entends venir un ange, sotie, Gallimard, 2001


  • Mentir est tout un art, nouvelle, Éditions du Rocher, 2002


  • Le poète, Éditions Sigalla, 2003


  • Sarah, Éditions Sigalla, 2003


  • Larbaud, heureux Larbaud, Éditions Sigalla, 2003


  • La Chambre de ton père, souvenirs, Gallimard, 2004


  • Guerres et roman, dialogues avec Lakis Proguidis, Flammarion, 2005


  • Cavalier, passe ton chemin !, récits, Gallimard, 2005


  • Œuvres, Gallimard, coll. « Quarto », 2006 (Thomas et l'infini, La Chambre de ton père, Les Trompeuses Espérances, Les Poneys sauvages, Un taxi mauve, Un déjeuner de soleil, La Montée du soir, Cavalier, Passe ton chemin !...)


  • Lettres de château, Gallimard, 2009 (Prix Coup de Cœur de l'Essai du Point, 2009)


  • Cahier Déon, L'Herne, 2009. Cahier de L'Herne qui contient de nombreux inédits, témoignages et études sur son œuvre (contribution d'écrivains, universitaires, et amis dont Fernando Arrabal, Nicolas Briançon, Philippe Le Guillou, Frédéric Vitoux, Milan Kundera, Emmanuel Carrère, Yasmina Reza, Jean d'Ormesson, Xavier Darcos).


  • Journal 1948-1983, L'Herne, 2009


  • De Marceau à Déon, De Michel à Félicien, Lettres 1955-2005, correspondance avec Félicien Marceau, 2011


  • Partir ! ..., Nicolas Chaudun, 2012


  • A la légère, nouvelles, Finitude, 2013




Filmographie |



Adaptation au cinéma |


  • 1977 : Un taxi mauve, réalisé par Yves Boisset avec Charlotte Rampling et Fred Astaire


Adaptations à la télévision |



  • 1979 : Le Jeune Homme vert, réalisé par Roger Pigaut avec Philippe Deplanche, diffusé sur Antenne2

  • 1983 : Les Poneys sauvages, réalisé par Robert Mazoyer, avec Jacques Weber et Michel Duchaussoy

  • 2008 : Un souvenir, réalisé par Jacques Renard, avec Daniel Prévost et Valérie Mairesse



Documentaires |



  • 1982 : Documentaire dans la collection « La Part de vérité », réalisé par Christian Giudicelli et Michèle Armand, diffusé sur TF1

  • 1995 : Documentaire dans la collection « Un Siècle d'écrivains », réalisé par Pierre Dupouey, diffusé sur France 3

  • 2018 : Michel Déon ou la force de l'amitié, réalisé par Jérémie Carboni, avec Michel Déon, Jean d'Ormesson, Xavier Darcos, Emmanuel Carrère, Yves Boisset, Milan Kundera, Antoine Gallimard, Éric Neuhoff, Frédéric Vitoux, Nicolas Briançon, Belinda Cannone, Thierry Laurent[25]



Notes et références |




  1. Il a tout d'abord adopté Michel Déon comme nom de plume avant d'en faire son patronyme légal (autorisation accordée par le Conseil d'État le 19 octobre 1965).


  2. a et bPierre Joannon, [1], sur universalis.fr


  3. a b c et dÉtienne de Montety, « Michel Déon sera-t-il enfin inhumé à Paris ? », Le Figaro, samedi 10 / dimanche 11 février 2018, page 15.


  4. a et b« Michel Déon », sur whoswho.fr.


  5. Jean-Yves Camus et René Monzat, Les Droites nationales et radicales en France : répertoire critique, Lyon, Presses universitaires de Lyon, 1992, 526 p. (ISBN 2-7297-0416-7), p. 397.


  6. http://www.academie-francaise.fr/les-immortels/michel-deon


  7. Jean-François Homassel, « Bardèche (Maurice) », dans Jacques Julliard et Michel Winock (dir.), Dictionnaire des intellectuels français : les personnes, les lieux, les moments, Paris, Le Seuil, 2009(ISBN 978-2-02-099205-3), p. 131-132.


  8. Olivier Dard, Michel Leymarie, Jacques Prévotat et Neil McWilliam (dir.), Le Maurrassisme et la Culture : l'Action française : culture, société, politique, t. III, Villeneuve-d'Ascq, Presses universitaires du Septentrion, 2010, p. 247.


  9. « Bienvenue sur le site de Jean-Luc Delblat », sur delblat.free.fr (consulté le 7 février 2019)


  10. http://www.gallimard.fr/Contributeurs/Michel-Deon


  11. « Bienvenue sur le site de Jean-Luc Delblat », sur delblat.free.fr (consulté le 7 février 2019)


  12. « Liste des personnalités signataires de l'Appel », sur nonguerre.chez.com.


  13. Renaud Dély, « L'extrême droite ratisse large contre les frappes de l'Otan. Le «Collectif non à la guerre» a tenu une réunion proserbe hier soir », sur liberation.fr, 22 avril 1999.


  14. https://www.academia.edu/15349925/MICHEL_DEON_AUJOURDHUI_Pr%C3%A9sentation_du_livre_


  15. « Un manifeste en faveur de la messe tridentine », Le Figaro,‎ 18 décembre 2006(lire en ligne).


  16. http://www.editionsdelherne.com/publication/cahier-deon/


  17. http://www.francoisesagan.fr/6.aspx?sr=10


  18. http://radio-courtoisie.over-blog.com/tag/%C2%BB%20prix%20jean%20ferre%20%28prix%20daudet%29/


  19. Jean-Yves Camus et René Monzat, Les Droites nationales et radicales en France : répertoire critique, Lyon, Presses universitaires de Lyon, 1992, 526 p. (ISBN 2-7297-0416-7), p. 383.


  20. (en) « French writer Michel Déon dies in Galway, aged 97 », The Irish Times,‎ 28 décembre 2016(lire en ligne, consulté le 29 décembre 2016)


  21. « L’écrivain et académicien Michel Déon est mort », sur lemonde.fr, 28 décembre 2016


  22. « Mort de l'écrivain et académicien Michel Déon », sur Le Figaro.fr, 28 décembre 2016


  23. « L'académicien Michel Déon n'aura pas de sépulture à Paris », lefigaro.fr, 12 février 2018.


  24. « Hidalgo capitule, Déon aura bien une sépulture à Paris », lefigaro.fr, 19 février 2018.


  25. https://www.imdb.com/title/tt4886400



Annexes |



Bibliographie |




  • Pol Vandromme, « Le Prince du bonheur », dans La Droite buissonnière, Paris, Les Sept Couleurs, 1960 ; « Michel Déon », dans Littérature de notre temps, Paris, Casterman, 1970.


  • André Thérive, « Michel Déon », dans Livres de France, Paris, 1962.


  • Kléber Haedens, Une histoire de la littérature française, Paris, Grasset, 1970.

  • Dossier Michel Déon : textes et témoignages de Pierre de Boisdeffre, André Fraigneau, Roland Laudenbach, Éric Lestrient, Jacques Perret, Philippe Sénart, Paul Sérant, Pol Vandromme et Michel Déon lui-même. Matulu no 27, juillet août 1973

  • Pol Vandromme, Michel Déon : le nomade sédentaire, Paris, La Table Ronde, 1990.


  • Marie-Hélène Ferrandini et Pierre Brunel (dir.), L'Univers romanesque de Michel Déon (thèse de doctorat en littérature française), Paris, université Paris-IV, 1993, 383 p. (SUDOC 01302034X).


  • Éric Neuhoff, Michel Déon, Monaco, Le Rocher, coll. « Domaine français », 1994, 97 p. (ISBN 2-268-01560-2, notice BnF no FRBNF36153648).

  • Thierry Laurent, Michel Déon : écrivain engagé ou désengagé ? Postface de Michel Déon. Paris, Éditions de la Société des écrivains, 1999.

  • Thierry Laurent, Alain Lanavère et Jean-Pierre Poussou (dir.), Michel Déon aujourd'hui, Presses de l'université Paris-Sorbonne, 2005.


  • Déon, Cahiers de l'Herne, 2009.


  • Michel Mourlet, Écrivains de France XXe siècle, réédition augmentée : « Le Calender Michel Déon », Paris, France Univers, 2011.

  • Dossier Michel Déon : "La Fin d'une époque", Livr'Arbitres n° 22, Hiver 2017.


  • Christian Authier, Les Mondes de Michel Déon, Paris, Séguier, 2018, 192 p. (ISBN 978-2-84049-754-7).



Liens externes |




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