Mirebeau





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Mirebeau
L'église au début du 20e siècle.

Blason de Mirebeau
Blason

Administration

Pays

Drapeau de la FranceFrance

Région

Nouvelle-Aquitaine

Département

Vienne

Arrondissement

Poitiers

Canton

Migné-Auxances

Intercommunalité

Communauté de communes du Haut-Poitou

Maire
Mandat
Daniel Girardeau (Les Républicains)
2014-2020

Code postal
86110

Code commune
86160
Démographie

Gentilé
Mirebalais

Population
municipale
2 213 hab. (2016 en augmentation de 2,31 % par rapport à 2011)
Densité 160 hab./km2
Géographie

Coordonnées

46° 47′ 09″ nord, 0° 10′ 57″ est

Altitude
Min. 89 m
Max. 158 m

Superficie
13,84 km2
Localisation


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Mirebeau







Mirebeau est une commune du Centre-Ouest de la France, située dans le département de la Vienne en région Nouvelle-Aquitaine.


Son dicton est « il en passe plus qu'il n'en reste ». Surnommé aussi « pays des ânes », car il se tenait un important marché aux ânes à Mirebeau. Ses habitants sont appelés les Mirebalais[1].




Sommaire






  • 1 Géographie


    • 1.1 Localisation


    • 1.2 Climat


    • 1.3 Voies de communication et transports




  • 2 Toponymie


  • 3 Histoire


  • 4 Politique et administration


    • 4.1 Intercommunalité


    • 4.2 Tendances politiques et résultats


    • 4.3 Liste des maires


    • 4.4 Instances judiciaires et administratives


    • 4.5 Services publics


    • 4.6 Jumelages




  • 5 Démographie


  • 6 Économie


    • 6.1 Agriculture


    • 6.2 Industrie


    • 6.3 Foires et Commerces




  • 7 Culture locale et patrimoine


    • 7.1 Lieux et monuments


      • 7.1.1 Patrimoine civil


      • 7.1.2 Patrimoine religieux


      • 7.1.3 Patrimoine environnemental


        • 7.1.3.1 Les plaines du Mirebalais et du Neuvillois


        • 7.1.3.2 La carrière souterraine de la Boule d'Or






    • 7.2 Personnalités liées à la commune


    • 7.3 Héraldique




  • 8 Voir aussi


    • 8.1 Articles connexes


    • 8.2 Liens externes




  • 9 Sources


    • 9.1 Bibliographie




  • 10 Notes et références


    • 10.1 Notes


    • 10.2 Références







Géographie |



Localisation |


Mirebeau est la capitale du Pays Mirebalais, pays traditionnel situé à la croisée de trois anciennes provinces : l'Anjou, la Touraine et le Poitou.


Contrairement au découpage actuel, où la région Nouvelle-Aquitaine présente au nord du département de la Vienne une excroissance pour englober Loudun, au Moyen Âge et jusqu'à la Révolution française, c'est le Saumurois et l'Anjou qui s'enfoncent dans le Poitou actuel englobant Loudun jusqu'à Mirebeau au sud.



Climat |


Le climat est océanique avec des étés tempérés.


D’une manière générale[2], le temps est assez sec et chaud pendant l’été, moyennement pluvieux en automne et en hiver avec des froids peu rigoureux.


La température moyenne est de 11 °C. Juillet est le mois le plus chaud (maximale absolue 40,8 °C en 1947). Janvier est le mois le plus froid (minimale absolue – 17,9 °C en 1985). 9 °C à peine sépare les moyennes minimales des moyennes maximales (cette séparation est de 6 °C en hiver et de 11 °C en été). L’amplitude thermique est de 15 °C.



Voies de communication et transports |




Fichier:WV0153-D347 Mirebeau.ogvLire le média

Traversée de Mirebeau via la RD 347.


La commune est située au croisement de deux axes routiers fréquentés : la RD 725 reliant Bressuire à Châtellerault et la RN 147 reliant Angers à Limoges par Saumur et Poitiers, à moins de 30 km au nord de Poitiers.




Toponymie |


Le nom de la ville découle du latin Mirabellum qui désigne un lieu d'où l'horizon est bien visible[3].



Histoire |


Le comte d’Anjou Foulques Nerra (970-1040) conquiert Mirebeau et y fait construire un château[Quand ?]. Son fils, Geoffroy II d'Anjou, après sa victoire à la bataille de Moncontour en 1033, retient prisonnier pendant cinq ans Guillaume VI de Poitiers duc d’Aquitaine et comte du Poitou. C’est à partir de cette date que Mirebeau, comme seigneurie, appartient au comté d’Anjou jusqu’en 1790.


À la mi-juillet 1202, la reine Aliénor d’Aquitaine est bloquée par l’armée du roi de France commandée par le duc de Bretagne Arthur Ier de Bretagne, petit-fils d'Alienor. Il prend la ville, et s'apprête à donner l’assaut au château où s’est réfugiée Aliénor lorsqu’elle est sauvée par l’arrivée de son fils Jean sans Terre, le 1er août[4]. Jean, prenant à revers les troupes d'Arthur, les anéantit et capture son neveu[5] qu'il tuera dans sa prison en avril 1203 (une des versions de la mort d'Arthur).


En 1429, durant son trajet pour Orléans, pour mettre fin au siège, Jeanne d'arc passera une nuit a l'auberge de Mirebeau, aujourd'hui toujours visible, place de la poterie.




Mirebeau dans la sénéchaussée de Saumur au XVIIIe siècle.


Le château a été reconstruit pour Jean de Moulins de Rochefort - secrétaire du roi Louis XI, échevin et maire de Poitiers - avec l' l'accord du duc d'Anjou du 10 mars 1474.


Au XIVe siècle, Mirebeau est érigée en baronnie relevant, avec Moncontour, de la sénéchaussée d'Angers. La baronnie de Mirebeau comportait 114 fiefs.


Le couvent des franciscaines est fondé en 1411, puis réorganisé en 1616[6].
En 1551 furent créés les présidiaux. La baronnie de Mirebeau, possédant une justice seigneuriale, formait une enclave relevant toujours de la sénéchaussée d’Angers, transformée en présidial d'Angers en 1551.


Lorsque fut créé la sénéchaussée de Saumur en 1572, le Mirebalais en fit partie, mais Mirebeau continua à être sous le présidial d’Angers.


En 1628, la baronnie de Mirebeau fut acquise par le cardinal de Richelieu et unie en 1631 au duché-pairie de Richelieu, et dont le tribunal ducal relevait à la fois du Parlement de Paris et de la sénéchaussée de Saumur[7].


En 1789, lors de la Révolution française, l'Assemblée constituante ordonne la création de départements. Les cités de Mirebeau et de Moncontour sont rattachées au département de la Vienne. Les habitants de Mirebeau accueillent favorablement les avancées de la Révolution française. Ils plantent ainsi un arbre de la liberté, symbole de la Révolution. Il devient le lieu de ralliement de toutes les fêtes et des principaux événements révolutionnaires, comme le serment de haine à la royauté[8].




Sénéchaussée de Saumur sous l'Ancien Régime.


Le château est transformé en prison pour hommes pendant la Révolution, puis devient une ferme.


Pendant la Seconde Guerre mondiale, un camp de prisonniers de l’armée d'Afrique est établi par les Allemands à Mirebeau : ils sont affectés aux travaux agricoles dans le canton. Progressivement, ils sont renvoyés en Afrique par l’occupant ; un certain nombre d’entre eux ont disparu[9].



Politique et administration |



Intercommunalité |


La communauté de communes du Mirebalais associe les communes de : Amberre, Champigny-le-Sec, Cherves, Chouppes, Coussay, Cuhon, Maisonneuve, Massognes, Mirebeau, Thurageau, Varennes et Vouzailles.



Tendances politiques et résultats |


Article connexe : Élections municipales de 2014 dans la Vienne.



Liste des maires |



















































Liste des maires successifs
Période
Identité
Étiquette
Qualité
1830
1834
Charles Rousseau-Laspois[10]

Socialiste
Propriétaire
Conseiller général du canton de Mirebeau (1833 → 1834)

Les données manquantes sont à compléter.
1848
1851
Charles Rousseau-Laspois

Républicain

Conseiller général du canton de Mirebeau (1848 → 1852)

Les données manquantes sont à compléter.
avril 1979
mars 2001
Daniel Veillon

SE
Enseignant
mars 2001
mars 2008
Bernard Rousselle[11]

PS
Professeur de mathématiques
Ancien conseiller général du canton de Mirebeau (1979 → 1992)
Ancien président du district de Mirebeau (1979 → 1987)
mars 2008
En cours
Daniel Girardeau

UMP-LR
Retraité de l'industrie
Réélu en 2014[12]

Les données manquantes sont à compléter.



Instances judiciaires et administratives |


La commune relève du tribunal d'instance de Poitiers, du tribunal de grande instance de Poitiers, de la cour d'appel de Poitiers, du tribunal pour enfants de Poitiers, du conseil de prud'hommes de Poitiers, du tribunal de commerce de Poitiers, du tribunal administratif de Poitiers et de la cour administrative d'appel de Bordeaux, du tribunal des pensions de Poitiers, du tribunal des affaires de la Sécurité sociale de la Vienne, de la cour d’assises de la Vienne.



Services publics |


Les réformes successives de La Poste ont conduit à la fermeture de nombreux bureaux de poste ou à leur transformation en simple relais. Toutefois, la commune a pu maintenir le sien.



Jumelages |


La ville est jumelée avec :




  • Drapeau du Burkina Faso Bassemyam (Burkina Faso) ;


  • Drapeau de l'Espagne Membrilla (Espagne) ;


  • Drapeau de l'Allemagne Regen (Allemagne) ;


  • Drapeau du Québec Saint-Raymond (Québec).



Démographie |


L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[13]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[14].



En 2016, la commune comptait 2 213 habitants[Note 1], en augmentation de 2,31 % par rapport à 2011 (Vienne : +1,78 %, France hors Mayotte : +2,44 %).





























Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 902 2 021 1 633 2 181 2 405 2 555 2 544 2 641 2 732



























1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
2 426 2 719 2 621 2 646 2 710 2 700 2 732 2 739 2 589



























1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
2 535 2 508 2 507 2 226 2 220 2 242 2 297 2 278 2 362



























1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2010 2015
2 212 2 142 4 922 2 379 2 299 2 254 2 226 2 175 2 195



























2016 - - - - - - - -
2 213 - - - - - - - -

De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[15] puis Insee à partir de 2006[16].)



Histogramme de l'évolution démographique




La densité de population de la commune est de 164 hab./km2. Celle du département est de 61 hab./km2. Elle est de 68 hab./km2 pour la région Poitou-Charentes et de 115 hab./km2 pour la France (INSEE - 2008).



Économie |



Agriculture |


Selon la direction régionale de l'Alimentation, de l'Agriculture et de la Forêt de Poitou-Charentes[17], il n'y a plus que 9 exploitations agricoles en 2010 contre 31 en 2000.


Les surfaces agricoles utilisées ont chuté et sont passées de 1 333 hectares en 2000 à 860 hectares en 2010. 64 % sont destinées à la culture des céréales (blé tendre essentiellement) et 18 % pour les oléagineux (colza et tournesol).


En 2000, 52 hectares (45 en 2010) étaient consacrés à la vigne pour la production des vins AOC Haut-Poitou.


L'élevage de volaille a disparu au cours de cette décennie (145 têtes réparties sur treize fermes).



Industrie |



  • Zone industrielle à l'ouest de la commune, comprenant entre autres, le site de production Maries Surgelés (anciennement Établissements Gérard Gorcy) et l'entreprise Sateco.

  • Zone artisanale, au sud, en direction de Poitiers.



Foires et Commerces |


Les Floralies mirebalaises : chaque année, le dernier week-end d'avril, sous le marché couvert et à l'extérieur, est organisé un important marché de plantes, de fleurs, et d'artisanat.


La fête de l'Âne : elle avait lieu chaque année, l'avant-dernier samedi du mois d'août. Cette fête rassemblait à Mirebeau plus d'une centaine d'ânes. Le matin, il y avait un concours régional et l'après-midi était consacré aux baudets et aux animations. La fête de l'Âne n'est plus au calendrier des manifestations de Mirebeau depuis 2008.


Un marché se tient toutes les semaines, le mercredi matin, place de la République (50 exposants) et le samedi matin, place de la Libération (50 exposants).



Culture locale et patrimoine |



Lieux et monuments |



Patrimoine civil |


  • L'emplacement du château construit pour Foulques Nerra au XIe siècle et détruit en 1621 sur l'ordre de Richelieu.

  • Les vestiges des anciens remparts de la citadelle ont été inscrits monument historique 23 octobre 1941, ainsi que l'ensemble de la forteresse d'agglomération datée des XVIIe siècle et XVIIIe siècle.

  • Le château situé au lieudit Rochefort a été construit à partir de 1475 pour remplacer un château plus ancien détruit par un incendie. Il a été réaménagé au XVIIe siècle. Inscrit monument historique le 30 octobre 1925, il est en cours de restauration. Il comporte une écurie une remise, un four à pain et une chapelle. Le bâtiment à deux étages en pierre de taille et calcaire est desservi par un escalier hors-œuvre[6].

  • La grange aux Dîmes daterait du XIIIe siècle. Une tourelle et une maison du XVe siècle une maison du XVIIe siècle ont été inscrites monument historique le 18 février 1927. Six autres maisons remonteraient au XVe siècle ainsi que le lavoir de la Fontaine aux Femmes et la fontaine de la rue du Baconnet.

  • De nombreuses maisons, un pigeonnier carré à la Fouleresse et un moulin à la Roche-Bridier datent du XVIIIe siècle.

  • L'habitat refuge cavernicole : ce refuge souterrain pouvait accueillir les populations lors des conflits. Il se compose d'une salle de garde, d'un four intérieur, d'une cheminée, d'un pigeonnier seigneurial, d'une écurie.

  • Le musée du Haut-Poitou : ce musée d'art et tradition populaire expose des outils anciens et des objets de la vie quotidiennes des campagnes poitevines. 4000 objets sont présentés dont une scie circulaire de 1860 en état de marche, un ensemble de distillerie de 1890, des moteurs de lave-linge de 1830 à 1948, des photocopieurs de 1905 et plus de 400 poupées en porcelaine. Une grande maquette animée de 100 mètres carrés présente l'évolution de la ville de Mirebeau du XIIe siècle au XXe.

  • Le musée Georges-David. C'est un petit musée consacré à un horloger-écrivain-poête-musicien qui dépeint la vie provinciale au XIXe siècle.


Patrimoine religieux |


  • L'aumônerie Saint-Jean est datée de 1185.

  • La collégiale Notre-Dame ou église Notre-Dame de Mirebeau est une église à trois vaisseaux en forme de croix latine reconstruite au XIXe siècle. De l'église du XIIe siècle détruite en 1568, reconstruite en 1573, il ne reste que les deux travées formant l'actuelle sacristie. On peut remarquer sur l'un des vitraux le blason de Karol Wojtyla (plus connu sous le nom de Jean-Paul II) qui fit une donation à l’église. Sur la façade, on peut remarquer aussi deux statues de saints.

  • Le prieuré Saint-André fondé entre 1051 et 1053 a été inscrit comme monument historique en 1926 pour sa salle capitulaire (mais pas l'église actuelle construite au XIXe siècle), tandis que les bâtiments formant l'ancien prieuré l'ont été en 2003. Il contient une statue de la Vierge à l'enfant en bois peint doré du XIIe siècle, un fragment de retable peint et deux groupes de cinq stalles du XVe siècle et une chaire à prêcher du XVIIe siècle.

  • Le couvent dit des Clarisses fondé au XVe siècle dont il reste l'ancien logis abbatial, une tourelle à mâchicoulis et la chapelle inscrite monument historique le 9 juillet 2003. Une de ses portes de style Renaissance l'a été dès 1932. La chapelle a été remaniée au XVIIIe siècle mais a conservé sa charpente lambrissée du XVe siècle.

  • De l'église Saint-Pierre qui a été fermée en 1760 et démolie en 1778 ne subsiste que le chœur daté du XIIe siècle.

  • L'église de Bournezeau construite à la fin du XVIe siècle possède un portail qui a été inscrit monument historique le 4 octobre 1932.

  • L'église paroissiale Notre-Dame située au lieudit Seuilly daterait du XIIe siècle.

  • C'est sur l'emplacement de l'église Saint-Hilaire qu'a été construite la mairie. De cette église qui aurait existé dès le Xe siècle, il ne reste que des vestiges de l'abside paraissant dater du XIIe siècle.

  • La chapelle Notre-Dame de Seuilly date du XVIIIe siècle.

  • Le calvaire de Gâline situé à un kilomètre de Mirebeau, la long de la route départementale D 7, en allant vers Champigny. C'est un étrange monument bâti par un curé un peu fou, au début du XXe siècle. Il est composé de trois tableaux : la Montée du Golgotha, la Crucifixion, la Mise au tombeau. Ces scènes regroupent treize personnages grandeur nature qui résument les derniers instants de la vie du Christ.


Patrimoine environnemental |



Les plaines du Mirebalais et du Neuvillois |

  • Les plaines du Mirebalais et du Neuvillois qui couvrent 100 % du territoire communal sont classées comme zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF)[18].


La carrière souterraine de la Boule d'Or |

La carrière souterraine de la Boule d’Or est située à quelques kilomètres à l’est de Mirebeau. C’est une ancienne carrière de tuffeau (ou craie dure du Turonien) qui a été creusée dans le calcaire dont l’exploitation a été abandonnée depuis plusieurs décennies. Cette cavité, instable et dangereuse, est, de nos jours, un site important dans le département de la Vienne pour l’hibernation des chiroptères dont sept espèces ont été recensées au cours de la première décennie du XXIe siècle. Deux espèces présentent des effectifs significatifs : le Grand rhinolophe (200 individus) et la Barbastelle (10 individus). Ces deux espèces sont accompagnées du Grand Murin, du Murin à moustaches, du Murin à oreilles échancrées, du Murin de Daubenton et du Petit rhinolophe.



Personnalités liées à la commune |




  • Paul-Marie Coûteaux, député européen et écrivain, réside à Mirebeau.


  • Guillaume Poulle (1861-1937), sénateur de la Vienne de 1906 à 1927. Maire adjoint en 1898 et conseiller général pour le canton de Mirebeau en 1899, et maire de Cherves.


  • Maurice Aguillon, député et résistant mort en camp de concentration, né à Mirebeau.


  • Georges David, horloger et écrivain.


  • Jules Auriault, historien, auteur de neuf livres sur « La Sainteté aux origines du christianisme », publiés de 1900 à 1909.


  • Jean Raffarin, né le 23 mars 1914 à Vouzailles (canton de Mirebeau), a donné son nom à l'école primaire de Mirebeau.


  • Jean-Louis Riguet, écrivain né à Mirebeau.



Héraldique |


Article détaillé : Armorial des communes de la Vienne.





Blason

Blasonnement :
Écartelée de gueules au pal d'argent et d'argent à la fasce de gueules[19].



Voir aussi |



Articles connexes |



  • Communes de la Vienne

  • Pantine



Liens externes |


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Sur les autres projets Wikimedia :





  • Mairie de Mirebeau

  • Communauté de Communes

  • Maison du Tourisme en Mirebalais


  • photos et souvenirs de Mirebeau et http://www.communes.com/poitou-charentes/vienne/mirebeau_86110/

  • Projet de sauvegarde du patrimoine http://www.an-patrimoine.org/index-module-orki-page-view-id-827-deploy-1.html?PHPSESSID=3672f1c19c3e797a919443ed6f44b689



Sources |



Bibliographie |



  • E. Chevallier, Faits et anecdotes relatifs à l'histoire de Mirebeau, département de la Vienne, Asnières, 1891-1895.

  • Ed. de Fouchier « La baronnie de Mirebeau du XIe au XVIIe siècle. Étude féodale », MSAO, 2e série, I, 1877.


  • Mirebeau et ses environs, Res Universis, 1992.

  • C. Perez, Histoire du pays mirebalais, Sirius, 1986.


  • Regards sur Mirebeau et son canton, Mirebeau - église Saint-André, 8 juillet-1er octobre 1978, catalogue no 74.

  • E. Roblin, La Ville de Mirebeau en Poitou pendant les 17e et 18e Siècles [Texte imprimé], Poitiers, 1878.

  • A. Souché, Loudun et les pays loudunais et Mirebalais. Histoire locale avec notes et lectures sur Poitiers …, Loudun, 1927.

  • « Mirebeau, itinéraire du patrimoine » (textes de Denis Meunier-Christian Pérez, photos de Christian Rome), collection Itinéraires du patrimoine, no 316, 2006.



Notes et références |



Notes |





  1. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2019, millésimée 2016, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2018, date de référence statistique : 1er janvier 2016.




Références |





  1. Gentilé sur le site habitants.fr Consulté le 27/09/2008.


  2. Livret simplifié de la carte des pédopaysages de la Vienne – Novembre 2012, édité par la Chambre d’Agriculture de Poitou-Charentes


  3. Le Patrimoine des communes de la Vienne, Flohic, 2002, 1136 p. (ISBN 2-84234-128-7)


  4. Edmond-René Labande, Pour une image véridique d’Aliénor d’Aquitaine, réédité avec une préface de Martin Aurell par la Société des antiquaires de l'Ouest-Geste éditions en 2005. (ISBN 2-84561-224-9), p. 116


  5. Alain de Sancy, Les ducs de Normandie et les rois de France, 911-1204, Lanore, 1998, p. 113.


  6. a et bBase Mérimée


  7. La Frontière des origines à nos jours, colloque d'historiens, Presses universitaires de Bordeaux, Bordeaux : 1997


  8. Robert Petit, Les Arbres de la liberté à Poitiers et dans la Vienne, Poitiers : Éditions CLEF 89/Fédération des œuvres laïques, 1989, p. et 178-180


  9. Roger Picard, La Vienne dans la guerre 1939/1945 : la vie quotidienne sous l’Occupation, Lyon : Horvath, 1993, 264 pages (ISBN 2-7171-0838-6), p. 66 et 112


  10. La fiche biographique de ROUSSEAU-LASPOIS sur le Maitron en ligne


  11. « Bernard Rousselle à l'honneur », La Nouvelle République,‎ 9 juillet 2012(lire en ligne)


  12. « La suite des résultats dans la Vienne », sur Le 7, 23 mars 2014(consulté le 18 décembre 2018)


  13. L'organisation du recensement, sur insee.fr.


  14. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.


  15. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.


  16. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015 et 2016.


  17. Fiches communales 2000 - 2010 de la Vienne


  18. Secrétariat scientifique de l'inventaire des ZNIEFF, DREAL Poitou-Charentes , 2011


  19. (Malte-Brun, La France illustrée, tome V, 1884)




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