Trois-Rivières





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Blason de Trois-Rivières
Armoiries


Drapeau de Trois-Rivières
Drapeau


Trois-Rivières
Administration

Pays

Drapeau du CanadaCanada

Province

Drapeau : Québec Québec

Région

Mauricie

Statut municipal

Ville et territoire équivalent

Maire
Mandat
Poste à pourvoir
À déterminer
Fondateur
Date de fondation

Laviolette
4 juillet 1634

Constitution
1er janvier 2002
Démographie

Gentilé
Trifluvien, ienne

Population
134 413 hab. (2016)
Densité 465 hab./km2
Géographie

Coordonnées

46° 21′ nord, 72° 33′ ouest

Superficie

28 892 ha = 288,92 km2
Divers
Site(s) touristique(s)

Forges du Saint-Maurice
Moulin seigneurial de Pointe-du-Lac
Vieille prison de Trois-Rivières
Sanctuaire Notre-Dame-du-Cap
Île Saint-Quentin
Vieux-Trois-Rivières

Langue(s)

Français

Fuseau horaire

UTC−05:00

Indicatif
+1 819

Code géographique

2437067
Devise

Deus nobiscum quis contra
Localisation


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Trois-Rivières





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Trois-Rivières





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Trois-Rivières





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Trois-Rivières





Liens

Site web

Site officielVoir et modifier les données sur Wikidata


Trois-Rivières est une ville de la province de Québec (Canada)[1] située à l'embouchure de la rivière Saint-Maurice[2]. Elle se trouve sur la rive-nord du fleuve Saint-Laurent, à mi-chemin entre Québec et Montréal[3]. Avec ses 134 413 habitants au dernier recensement en 2016[4], elle est la ville la plus peuplée de la région administrative de la Mauricie ce qui en fait la capitale régionale[5]. Fondée en 1634, elle est la deuxième plus ancienne ville du Québec[6].


En 2009, la ville de Trois-Rivières a été désignée capitale culturelle du Canada[7],[8].




Sommaire






  • 1 Toponymie


  • 2 Géographie


    • 2.1 Situation


    • 2.2 Relief


    • 2.3 Municipalités limitrophes


    • 2.4 Les îles des Trois-Rivières


    • 2.5 Hydrographie


    • 2.6 Géologie


    • 2.7 Protection du territoire


    • 2.8 Climat




  • 3 Transport


    • 3.1 Routier


    • 3.2 Collectif


    • 3.3 Ferroviaire


    • 3.4 Nautique et aérien




  • 4 Économie


  • 5 Histoire


    • 5.1 Fondation de Trois-Rivières


    • 5.2 Époque contemporaine


    • 5.3 Héraldique


    • 5.4 Drapeau




  • 6 Organisation administrative


    • 6.1 Municipal


      • 6.1.1 Liste des maires de Trois-Rivières




    • 6.2 Provincial


    • 6.3 Fédéral




  • 7 Démographie


  • 8 Culture et patrimoine


  • 9 Arts


  • 10 Musées


  • 11 Festivals et événements


  • 12 Sports


    • 12.1 Événements sportifs


    • 12.2 Équipes sportives


    • 12.3 Sports universitaire et collégial




  • 13 Médias


    • 13.1 Presse écrite


    • 13.2 Télévision


    • 13.3 Radio




  • 14 Centres commerciaux


  • 15 Institutions scolaires


  • 16 Personnalités liées à la ville


  • 17 Personnages historiques liés à la ville


  • 18 Jumelages


  • 19 Galerie


  • 20 Notes et références


  • 21 Bibliographie


  • 22 Annexes


    • 22.1 Articles connexes


    • 22.2 Liens externes







Toponymie |


L'origine du nom de Trois-Rivières (localement prononcé : [tʁwɔ.ʁi.vjaɛ̯ʁ] .mw-parser-output .prononciation>a{background:url("//upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/8/8a/Loudspeaker.svg/11px-Loudspeaker.svg.png")center left no-repeat;padding-left:15px;font-size:smaller}Écouter), qui date de la fin du XVIe siècle, est due en fait à une illusion d'optique. Ce nom fait en effet référence aux 3 chenaux que la rivière Saint-Maurice[9] forme à son embouchure avec le Saint-Laurent en s'écoulant entre deux îles, l'île de la Potherie et l'île Saint-Quentin[10]. La ville occupe un emplacement connu des Français depuis 1535 alors que Jacques Cartier, dans un voyage le long du Saint-Laurent, s'y arrête pour planter une croix sur l'île Saint-Quentin. Mais son nom Trois-Rivières n'est employé pour la première fois qu'en 1599 par le Sieur Dupont-Gravé, géographe à l'emploi de Champlain[11], lequel confirme le nom en 1603. Sieur Dupont-Gravé, alors qu'il navigue sur le fleuve en direction de Montréal, aperçoit à peu d'intervalles un premier affluent du fleuve, une langue de terre, un deuxième affluent, une autre langue de terre, et finalement un troisième affluent qu'il prend encore pour une rivière différente. Il ne sait pas alors que deux grosses îles divisent le cours de la rivière Saint-Maurice en trois branches à l'endroit où celle-ci se jette dans le fleuve[12].



Géographie |



Dans la région : Mauricie.



Situation |


Trois-Rivières est située dans les basses-terres du Saint-Laurent, à la confluence du Saint-Maurice avec le fleuve Saint-Laurent. Au sud-ouest de la ville se trouve le lac Saint-Pierre, reconnu comme site Ramsar et réserve mondiale de biosphère[13].


Le territoire de la ville est grossièrement rectangulaire avec une orientation sud-ouest/nord-est d'une longueur de 26 km sur une profondeur de 17 km, situé sur la rive nord du Saint-Laurent. Elle est bordée par les municipalités de Saint-Étienne-des-Grès[14] et Yamachiche[15] à l'ouest, Notre-Dame-du-Mont-Carmel[16] et Saint-Maurice[17] au nord, Champlain[18],[19],[20] à l'est et finalement le fleuve Saint-Laurent au sud[21].



Relief |


Le relief de la ville est généralement plat et est composé de plateaux qui s'élèvent en s'éloignant du Saint-Laurent pour atteindre 75 m d'altitude au nord de celui-ci. Le Saint-Maurice coupe ce plateau en deux et creuse une vallée profonde dont le fond n'atteint pas 20 m d'altitude. La partie la plus basse est le Saint-Laurent, dont l'estuaire commence à Pointe-du-Lac[22],[23].



Municipalités limitrophes |























Rose des vents
Saint-Étienne-des-Grès

Notre-Dame-du-Mont-Carmel, Saint-Maurice
🌊 Rivière Saint-Maurice

Champlain
Rose des vents

Yamachiche

N

🌊 Fleuve Saint-Laurent

O    Trois-Rivières    E

S

🌊 Lac Saint-Pierre

🌊 Fleuve Saint-Laurent
Nicolet

Pont vers :
Bécancour



Les îles des Trois-Rivières |


Article détaillé : Île Saint-Quentin.

Ce sont les îles des Trois-Rivières qui sont à l’origine de son nom[24]. Elles sont actuellement au nombre de cinq. La plus grosse, l’île Saint-Christophe est considérée par les citoyens comme l’île centrale car c’est à elle que sont arrimés les deux ponts Duplessis et c’est par elle que les véhicules automobiles peuvent atteindre les autres îles. Cette île a des vocations militaire (réserve navale) et récréative (club de golf Métabéroutin). En outre, elle accueille le club de canoë-kayak des Trois-Rivières.


L'île Saint-Quentin est une île vouée presque exclusivement aux loisirs. Elle est pourvue de sentiers pédestres, d’une marina, d’une piscine, d’une plage, d’espaces de pique-niques, et de terrains de jeux. En hiver, des glissades, des sentiers et des patinoires y sont aménagés. Les plages de l’île étaient fréquentées par les citoyens au début du XXe siècle de façon clandestine au moment où elle appartenait à une compagnie papetière (Consolidated Bathurst). L’île a été rachetée par la cité des Trois-Rivières et aménagée comme lieu de loisirs au début des années 1960. On y accède présentement par le pont Cloutier.



Iles de Trois-Rivières

Les îles de Trois-Rivières[5].


L'île de la Potherie a une vocation industrielle depuis très longtemps. On y retrouvait, au XIXe siècle la scierie Baptist (on l’appelait l’île Baptist). Au début du XXe siècle, elle est devenue le site de l’usine papetière Wayagamack de la Consolidated Bathurst (maintenant opérée par Kruger Inc.). L’île est maintenant unie à l’île Caron, où se trouve le pont qui permet aux travailleurs d’y accéder, de même qu’aux camions chargés de copeaux et de billes de bois.


Il y a moins de cent ans, l’île Saint-Joseph située plus au nord était une entité distincte. Au cours du XXe siècle elle s’est soudée à l’île Saint-Christophe et figure maintenant comme telle dans les plans officiels. À l’est de la pointe « Saint-Joseph » de l’île Saint-Christophe, se trouve une petite île privée, l’île Ogden. Il existe plusieurs ilets parmi les îles principales. Ils disparaissent ou réapparaissent au gré des années et marées. Parmi ces îles disparues ou fondues aux marécages : l’île Blonville et l’île Margot. On retrouve aussi une petite île située entre la rive est, les piliers de l’ancien pont d’acier et l’île Saint-Christophe. Elle s’appelle l’île de Sable et n’a aucune vocation connue.


Aujourd’hui, les îles des Trois-Rivières ne sont pas habitées, mais il en fut autrement jusqu’au début du XXe siècle, alors qu’on y trouvait, maisons, fermes et même une école.



Hydrographie |





Rivière Saint-Maurice.


La ville de Trois-Rivières est bordée par le fleuve Saint-Laurent, au sud, et traversée par la rivière Saint-Maurice.



Géologie |


Le sous-sol est composé de trois formations de l'Ordovicien[25], faisant toutes partie de la plateforme du Saint-Laurent : les groupes de Trenton, Black River et Chazy, le groupe d'Utica et le groupe de Lorraine. Les roches les plus courantes sont le shale, le grès et le calcaire[26]. On retrouve aux Trois-Rivières deux gisements de gaz naturel, l'un correspondant à la fontaine du Diable localisé aux Forges-du-Saint-Maurice et l'autre, à Pointe-du-Lac est épuisé.



Protection du territoire |





Lac Saint-Pierre.


Trois-Rivières compte 5 aires protégées désignées par le gouvernement du Québec, soit la réserve écologique Marcel-Léger (0,36 km2), le refuge faunique de Pointe-du-Lac (2,61 km2), les aires de concentration d'oiseaux aquatique de l'île aux Sternes (9,3 km2) et de Pointe-du-Lac–Rivière-Yamachiche (14,28 km2) et l'habitat du rat musqué de l'île aux Sternes (63 800 m2). La ville administre aussi le parc de l'Île-Saint-Quentin, qui est situé dans le delta du Saint-Maurice.



Climat |


Trois-Rivières connait un climat continental ayant une amplitude thermique de 32 °C entre les mois de janvier et de juillet. Il tombe en moyenne 1 100 mm de précipitations par année, ce qui est plus humide que Montréal (979 mm), mais plus sec que Québec (1 230 mm). Il tombe en moyenne 241 cm de neige. La plus basse température observée fut de −41,1 °C le 24 janvier 1976 et la plus haute de 36,1 °C le 1er août 1975.















































































































Relevé météorologique de Trois-Rivières - Aqueduc
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc.
Température minimale moyenne (°C) −17,6 −15,4 −8,8 −0,5 6,2 11,5 14,1 13 7,9 2,2 −3,8 −12,8
Température moyenne (°C) −12,5 −10 −3,7 4,7 12,4 17,3 19,8 18,6 13,1 6,9 0 −8,3
Température maximale moyenne (°C) −7,3 −4,6 1,4 9,9 18,6 23,2 25,5 24,1 18,3 11,5 3,8 −3,8
Record de froid (°C) −41,1 −35,6 −35 −17,2 −6,1 −1,5 3,5 1,1 −7,2 −10,6 −25,6 −35,5
Record de chaleur (°C) 13 10 17 31,5 32,2 34,5 34 36,1 30,5 27,2 20 12,5
Précipitations (mm) 85,6 59,8 74,9 80,3 92,3 101,3 108,6 107,7 104,7 94 101,6 89,1

Source : Environnement Canada[27]




Transport |



















Autoroute / Route
Fonction

Panneau autoroute 40 Autoroute 40
Montréal−Trois-Rivières−Québec

Panneau autoroute 55 Autoroute 55
Saguenay−La Tuque−Shawinigan−Trois-Rivières−Drummondville−Sherbrooke−États-Unis

Panneau route 138 Route 138

Panneau chemin du Roy Chemin du Roy


Routier |




Trois-Rivières vue du ciel.





Pont Laviolette, plus long pont à charpente métallique de la province de Québec[28].


La ville est située à la jonction des autoroutes 40 et 55. La première mène aux villes de Québec et Montréal. La seconde relie Saguenay et La Tuque via la route 155 de Shawinigan au Vermont en passant par Drummondville et Sherbrooke. Cette autoroute est, par le pont Laviolette, la seule traversée du fleuve entre Québec et Sorel-Tracy et le seul pont entre la région de Montréal et Québec à enjamber le fleuve. Trois routes provinciales parcourent aussi les limites de la ville, soit la route 138, la route 157 et la route 352. Les autoroutes 40 et 55 ainsi que le trajet formé par les boulevards des Récollets, Gene-H.-Kruger, de la Commune et la rue Notre-Dame Centre de la sortie 198 de l'autoroute 40 et le port de Trois-Rivières sont considérés comme route principale du réseau routier national du Canada[29].



Collectif |


Le transport en commun est assuré par la société de transport de Trois-Rivières ou STTR, qui avec ses 13 lignes régulières effectue 3,2 millions de déplacements par années[30]. La ville de Bécancour offre aussi deux aller-retour par jour entre Trois-Rivières et celle-ci[31].
Elle est aussi reliée par autocar aux villes de Montréal, Québec et La Tuque par la compagnie Orléans Express et aux villes de Drummondville et Sherbrooke, par la société Autobus La Québécoise.



Ferroviaire |


Le transport ferroviaire est assuré par le chemin de fer Québec-Gatineau, qui possède les deux lignes parcourant Trois-Rivières, soit la subdivision Trois-Rivières, qui relie Montréal à Québec et la subdivision St. Maurice Valley qui relie Trois-Rivières à Shawinigan. Seul le transport de fret est disponible sur ses lignes, le service de passagers n'étant plus offert depuis 1990[32].



Nautique et aérien |


La ville compte aussi un port maritime et un aéroport régional.





Économie |


L’économie de la cité de Laviolette se base sur la fabrication (Trois-Rivières fait la une du magazine Canadian Geographic. Intitulée « Une histoire de ténacité », l’édition d’avril 2009 fait l’éloge de la « plus vieille ville industrielle du Canada ». Une quinzaine de pages sont ainsi consacrées à la cité de Laviolette, dont on décrit les diverses facettes, l’histoire, l’économie ainsi que la qualité de vie[33].) qui constitue 19,1 % du PIB de la ville et sa région métropolitaine, vient en seconde position les services financiers, immobiliers, professionnels, et administratifs avec 17,3 %, suivis directement par l’enseignement, la santé et l’assistance sociale et ses 17,2 %. Quant au commerce il représente 9,2 % du PIB, tandis que la culture, information, loisirs et hébergement enregistrent une contribution de 5,7 % dans le produit intérieur brut de l'agglomération[34]. Trois-Rivières est aujourd'hui un centre important de l'industrie papetière et de la production hydroélectrique. D'autres industries importantes comprennent le traitement des métaux, la fabrication de matériaux de construction et de meubles, de la transformation du bois de même que de la transformation des aliments. Est promu activement la création d'entreprises dans les domaines de l'aérospatiale, la biotechnologie, la logistique, la technologie environnementale et la microélectronique. En outre, Trois-Rivières est fréquenté annuellement par un peu plus de 2,25 millions de visiteurs[35].



Histoire |


Article détaillé : Histoire de Trois-Rivières.



Plan de Trois-Rivières en 1685.




Buste de Laviolette, fondateur de Trois-Rivières[36].


À l’origine, le site des Trois-Rivières (Metaperotin en atikamekw) était fréquenté par des autochtones de la grande famille algonquine. En raison de sa situation sur deux axes importants (rivière Saint-Maurice et fleuve Saint-Laurent), les autochtones avaient déjà choisi, avant l'arrivée des Européens, les lieux pour procéder au troc de fourrures et de spécialités régionales. En 1635, le père Le Jeune rapporte avoir trouvé des vestiges d'une ancienne palissade qui aurait été incendiée par des Iroquoiens. Cette construction date donc d'avant l'établissement officiel de 1634.


Le 12 octobre 1535, l’explorateur Jacques Cartier décrit le site. Il nomme la rivière Saint-Maurice rivière de Fouez en l'honneur de la maison de Foix et fait ériger une croix sur la pointe de l'île Saint-Quentin. En 1599, le capitaine Dupont-Gravé le nomme Trois-Rivières en raison d'une illusion créée par le delta formé par les îles.


C'est à la demande de Capitanal, un chef algonquin (montagnais) dont le père avait combattu aux côtés de Samuel de Champlain que ce dernier mandata Laviolette[37] pour la fondation d'une habitation au lieu-dit des Trois-Rivières pour en faciliter le commerce. Partis le 1er juillet 1634 de Québec, Laviolette et ses hommes arrivèrent le 4 juillet, décrété jour de la fondation[5]. Cela fait-il, comme d'aucuns l'affirment, de Champlain le véritable fondateur de la ville plutôt que Laviolette ? Ce serait comme affirmer que c'est Henri IV qui a fondé Québec.


D’abord comptoir de commerce, Trois-Rivières développe ensuite une triple vocation qu’elle conserve au fil des siècles : siège de gouvernement, ville d’éducation et cité industrielle.


Siège d’un gouvernement régional à partir de 1643[38], Trois-Rivières connaît la Conquête britannique mais n'en souffre pas comme la ville de Québec, et même une brève occupation américaine, qui se termine par la défaite des « Bostonnais », aux portes de la ville, lors de la bataille de Trois-Rivières en 1776.


Au fil des ans, Trois-Rivières consolide sa vocation de chef régional en devenant le siège d’un district judiciaire (1792) et d’un évêché (1852).


Sur le plan de l’éducation, des missionnaires enseignants se présentent sur le site de Trois-Rivières dès 1617, c’est-à-dire avant même la fondation de la ville. Avec l’arrivée des religieuses ursulines, en 1697, une première maison d’enseignement voit le jour et plusieurs autres suivront, jusqu’à l’ouverture de l’Université du Québec à Trois-Rivières, en 1969.


Sur le plan économique, après l’ère des coureurs des bois et du commerce de la fourrure, Trois-Rivières devient ville industrielle quand entrent en production les Forges du Saint-Maurice, fondées en 1733 par M. de Francheville. Cette fonderie où l'on fabriquait boulets de canon, poêles en fonte, ainsi que divers ustensiles et accessoires de cuisine a représenté durant une longue période la principale activité économique de la ville. Une centaine d’années plus tard, avec l’exploitation forestière de la vallée du Saint-Maurice, Trois-Rivières abrite d'abord des scieries, puis enfin des usines de papier. Le transport des billots de bois était alors facilité par la rivière Saint-Maurice qui permettait d'acheminer la ressource de sa coupe à l'usine, par flottaison. C'est ainsi que sont devenus célèbres les techniques de drave et les nombreux draveurs y travaillant. Par la suite, Trois-Rivières revendiquera durant de nombreuses décennies le titre de capitale mondiale du papier et de l'industrie papetière. En 1926, le Canada devient le plus important producteur papetier et Trois-Rivières la capitale mondiale du papier notamment grâce à la présence de la plus grande usine de production de papier au monde appartenant à la Canadian International Paper (CIP)[39]. L'usine de la CIP est désignée lieu historique national du Canada en 1991[40], mais l'édifice est démoli en 2001[41] et sera suivi par le développement du projet Trois-Rivières sur Saint-Laurent.



Fondation de Trois-Rivières |


Article détaillé : Capitanal.




Lieu historique national Fort-Trois-Rivières[42].


Le récit de la fondation de Trois-Rivières s'appuie sur les Œuvres de Champlain, les Relations des Jésuites et l'introduction du premier registre des sépultures de Trois-Rivières ou Catalogue des trépassés. Le nom de Trois-Rivières figure sur une carte dès 1601. Samuel de Champlain connaissait bien le lieu. En 1603, il écrivait : « Ce serait à mon jugement un lieu propre pour habiter et pourrait-on le fortifier promptement, car sa situation est forte de soi et proche d’un grand lac qui n’en est qu’à quatre lieux. »[43] Le lieu était fréquenté depuis longtemps par les Iroquoiens qui y occupèrent peut-être un site fortifié jusque vers 1575-1600[44], remplacés par les Algonquins qui y ont érigé une palissade et dont le Père Lejeune a pu examiner lui-même en 1634 "le bout des pieux tout noirs"[45]. Dès 1611, la traite de fourrures se faisait annuellement à l'embouchure de la rivière Saint-Maurice. En 1633, le chef algonquin Capitanal demande à Champlain qu'il y établisse un poste permanent. Convaincu de l'importance stratégique de l'emplacement pour la traite des fourrures, Samuel de Champlain y fera construire un fort qui servira à la fois au commerce et à l'occupation du territoire. Ce poste deviendra le point de départ d'expéditions vers l'intérieur du pays. En 1637, le rédacteur de l'introduction du Catalogue des trépassés rapporte qu'en 1634[46], « Monsieur de Champlain » chargea « Monsieur de Laviolette » de conduire une barque à l'embouchure de la rivière Saint-Maurice, ayant à bord des artisans et des soldats, les pères jésuites Jean de Brébeuf[47] et Saint Antoine Daniel, ainsi que le matériel nécessaire pour l'établissement. Monsieur de Laviolette met le pied à terre le 4 juillet[48] et commence à faire ériger un fort sur le Platon.


Le Fort des Trois-Rivières, érigé en 1634 par Laviolette et protégé d'une palissade, repousse une attaque iroquoise importante en 1653 et sert jusqu'en 1668. Il est renforcé de façon très notable par le gouverneur de la Nouvelle-France Louis d'Ailleboust de Coulonge, à la fin de l'année 1650, qui donne des instructions très précises pour obtenir une plus grande efficacité des défenses au commandant de la place, Pierre Boucher. Il fut « sauvé d'une destruction complète lors de l'investissement de 1653, par cinq cents Agniers »[49].



Époque contemporaine |





Fresque de la voûte - Chapelle des Ursulines.


Le terrible incendie qui ravage Trois-Rivières en 1908 détruit la majeure partie de la vieille ville, n'épargnant qu'une dizaine de bâtiments datant du Régime français. Le monastère des Ursulines et le manoir de Tonnancour sont heureusement épargnés. Cela entraîne un réaménagement de la ville, dont l'élargissement et le redressement des rues. La reconstruction du centre de la ville coïncide avec les débuts de l'utilisation d'une nouvelle ligne électrique de haute tension qui a favorisé l'avènement et le développement de nouvelles entreprises, dont celle du textile qui encourage la venue de nouveaux paysans.


À partir des années 1960, Trois-Rivières diversifie sa base économique en misant sur l’éducation collégiale et universitaire, de même que sur l’animation culturelle et touristique. À ce sujet, la ville peut se vanter d’avoir gardé vivant et rayonnant son centre-ville, qui abrite une intense activité culturelle, dont fait partie le Festival International de la Poésie. Elle est aussi une ville de loisir et de sport, qui présente chaque année un Grand Prix automobile à dimension internationale.


Le Vieux Trois-Rivières est décrété arrondissement historique en 1964.


En 1985, le Festival International de la Poésie est créé par une équipe autour de Gaston Bellemare.


En 2002, les villes de Cap-de-la-Madeleine, Sainte-Marthe-du-Cap, Saint-Louis-de-France, Trois-Rivières-Ouest, ainsi que la municipalité de Pointe-du-Lac, ont été fusionnées à la ville de Trois-Rivières, dissolvant ainsi la MRC de Francheville.


L'année 2009 est celle du 375e anniversaire de la fondation de Trois-Rivières. Des fêtes populaires sont organisées dans toute la ville dès janvier.



Cliquez sur une vignette pour l’agrandir.





Héraldique |








Trois rivieres1.jpg
Deus nobiscum
quis contra



L'écu de Trois-Rivières se blasonne ainsi :


D'azur au chevron d'argent chargé d'une fleur de lis du champ, accompagnés de trois grands corégones nageant aussi d'argent.


Les armoiries actuelles ont été adoptées en 1959[50], remplaçant celles de 1857, qui ne respectaient pas l'héraldique. Les ornements extérieurs, représentés ici, se décrivent ainsi :
L'écu surmonté d'un castor et soutenu de deux branches d'érable passées en sautoir, en devise « Deus nobiscum quis contra »



  • Le chevron provient des armoiries de Pierre Boucher, célèbre gouverneur de Trois-Rivières.

  • Les trois poissons (corégones) symbolisent les trois rivières. Ils sont aussi le totem des premiers occupants des lieux, des Indiens attikameks.

  • La fleur de lys indique les origines françaises de la ville.

  • Les feuilles d’érables soulignent l’appartenance canadienne.

  • Le castor représente l’esprit industrieux des habitants.

  • La devise est tirée d’une épître de Saint-Paul aux Romains et signifie « Si Dieu est avec nous, qui sera contre nous ? ».




Blason ville ca Trois-Rivieres.svg









Armoiries de Trois-Rivières (1855-1939).jpg


Les armoiries de Trois-Rivières de 1857 à 1959. Elles furent remplacées, car elles ne respectaient pas l'héraldique.




Armoiries Trois-Rivières (1855-1939).jpg




Drapeau |








Cessna 173 à Trois-Rivières (cropped).jpg


Le drapeau de Trois-Rivières a été conçu par Pierre Rivard en 1984. Sa forme synthétise la réalité géographique de la ville des trois rivières ou chenaux de la rivière Saint-Maurice. Il est bleu, vert et blanc. Le bleu symbolise l'eau alors que le vert représente la végétation. Du haut d'un carré vert descend une ligne bleue qui se divise en trois, bordant deux îles, avant d'aboutir au fleuve en forme de vagues. Le nom de Trois-Rivières est inscrit en bas, en bleu sur un fond blanc[50].




Logo de Trois-Rivières.png




Organisation administrative |



Municipal |





Hôtel de ville de Trois-Rivières.


Le conseil municipal de Trois-Rivières est composé d'un maire et de 14 conseillers élus chacun dans leur propre district.
Depuis la fusion de 2002, la ville de Trois-Rivières ne fait plus partie d'aucune municipalité régionale de comté, elle exerce certaines compétences de celle-ci[51].




Liste des maires de Trois-Rivières |


La liste des maires de la ville s'établie ainsi[52] :



















































































































































































































































































































Liste des maires successifs
Période
Identité
Étiquette
Qualité
1845
1846

Pierre-Benjamin Dumoulin
 
Avocat
1846
1853

Antoine Polette
 
Avocat
1853
1854

Pierre-Benjamin Dumoulin
 
Avocat
1854
1855

John McDougall
 
Commerçant
1855
1857

Jean-Baptiste Lajoie
 
Marchand
1857
1863

Joseph-Édouard Turcotte
 
Avocat
1863
juin 1865

Louis-Charles Boucher de Niverville
 
Avocat
juin 1865
juillet 1869

Sévère Dumoulin
 
Avocat
juillet 1869
1872

Joseph-Moïse Desilets
 
Avocat
1872
1873

Joseph-Napoléon Bureau
 
Avocat
1873
juillet 1876

Télesphore-Eusèbe Normand
 
Entrepreneur en construction
juillet 1876
juillet 1877

Arthur Turcotte
 
Avocat
juillet 1877
1879

Joseph-Napoléon Bureau
 
Avocat
1879
juillet 1885

Sévère Dumoulin
 
Avocat
juillet 1885
octobre 1888

Henri-Gédéon Malhiot
 
Avocat
octobre 1888
juillet 1889
J.-Édouard Hétu
 
 
juillet 1889
janvier 1894

Télesphore-Eusèbe Normand
 
Entrepreneur en construction
janvier 1894
1896

Philippe-Élizé Panneton
 
Banquier
janvier 1896
janvier 1898

Richard-Stanislas Cooke
 
Avocat
janvier 1898
1900

Arthur Olivier
 
Avocat
1900
1902

Louis-Docithé Paquin
 
Avocat
1902
1904

Nazaire Lefebvre-Denoncourt
 
Avocat
juillet 1904
avril 1905

Nérée LeNoblet Duplessis
 
Avocat
avril 1905
1905

Louis-Docithé Paquin
 
Avocat
1905
1906
J.F. Bellefeuille
 
 
1906
1908

François-Siméon Tourigny
 
Avocat
1908
1913

Louis-Philippe Normand
 
Médecin
1913
1921

Joseph-Adolphe Tessier
 
Avocat
1921
1923

Louis-Philippe Normand
 
Médecin
1923
1931

Arthur Bettez
 
Comptable
1931
1937

Georges-Henri Robichon
 
Avocat
1937
1941

Atchez Pitt
 
Commerçant
1941
1949

Arthur Rousseau
 
Entrepreneur de pompes funèbres
1949
1953

Joseph-Alfred Mongrain
 
Fonctionnaire
1953
1955

Léo LeBlanc
 
Notaire
1955
1960

Laurent Paradis
 
Journaliste
1960
1963

Joseph-Alfred Mongrain
 
Fonctionnaire
1963
1966

Gérard Dufresne
 
Notaire
1966
1970

René Matteau
 
Commerçant
1970
1990

Gilles Beaudoin
 
Marchand
1990
décembre 2001

Guy LeBlanc
 
Notaire
janvier 2002
décembre 2018

Yves Lévesque
 
Restaurateur



Provincial |


Trois-Rivières est divisée en trois circonscriptions provinciales: Champlain, qui englobe les secteurs de Cap-de-la-Madeleine, Sainte-Marthe et Saint-Louis-de-France, est représenté par Sonia LeBel de la Coalition avenir Québec; Trois-Rivières, qui englobe l'ancienne ville de Trois-Rivières, est représenté par Jean Boulet, de la Coalition avenir Québec; et Maskinongé, qui englobe les secteurs de Trois-Rivières-Ouest et Pointe-du-Lac, est représenté par Simon Allaire, de la Coalition avenir Québec. Les trois députés de l'Assemblée nationale du Québec ont été élus lors de l'élection du 1er octobre 2018.


Les circonscriptions provinciales de la ville de Trois-Rivières sont[53]:



  • Champlain

  • Trois-Rivières

  • Maskinongé


Ainsi Trois-Rivières est représentée par 3 députés provinciaux au sein du Parlement québécois[54].



Fédéral |


Au niveau fédéral, Trois-Rivières est représentée à la Chambre des communes du Canada par deux députés du Nouveau Parti démocratique : Ruth Ellen Brosseau, dans Berthier—Maskinongé, qui englobe les secteurs de Trois-Rivières-Ouest et de Pointe-du-Lac; ainsi que Robert Aubin dans Trois-Rivières, qui englobe l'ancienne ville de Trois-Rivières ainsi que le secteur de Cap-de-la-Madeleine et un député du Parti Libéral du Canada; François-Philippe Champagne dans Saint-Maurice-Champlain, qui englobe les secteurs de Sainte-Marthe-du-Cap et de Saint-Louis-de-France. Les trois députés ont été élus le 2 mai 2011 et réélus le 19 octobre 2015.


Les circonscriptions fédérales de la ville de Trois-Rivières sont[55]:



  • Berthier—Maskinongé

  • Trois-Rivières (circonscription fédérale)

  • Saint-Maurice-Champlain


Par conséquent 3 députés représentent la ville au Parlement du Canada[56].



Démographie |





























Évolution démographique[57]
1666 1681 1706 1739 1760 1790 1815 1851 1881
455 150 203 378 586 1 213 2 500 4 936 8 670



























1891 1901 1911 1921 1931 1941 1951 1961 1971
8 334 9 981 13 691 22 367 35 450 42 007 46 074 53 477 55 869



























1981 1996 2001 2006 2011 2016 - - -
50 466 48 419 46 264 126 323 131 338 134 413 - - -

(Sources : Trois-Rivières Illustrée, Recensement du Canada)


Les statistiques de 1666 à 2001 ne valent que pour l'ancienne ville de Trois-Rivières d'avant 2002 et ne comprennent pas les populations de Pointe-du-Lac, Trois-Rivières-Ouest, Cap-de-la-Madeleine, Saint-Louis-de-France et Sainte-Marthe-du-Cap. La statistique de 2006 vaut pour la nouvelle ville fusionnée en 2002. Le tableau ci-dessous témoigne de l'évolution démographique de la population de Trois-Rivières incluant les populations de Pointe-du-Lac, Trois-Rivières-Ouest, Cap-de-la-Madeleine, Saint-Louis-de-France et Sainte-Marthe-du-Cap.





























Évolution démographique[57]
1871 1901 1931 1951 1961 1971 1981 1991 2001
11 107 13 540 48 699 72 254 93 451 103 703 111 453 121 483 122 395

(Sources : Recensement du Canada)



Répartition de la population
selon le sexe (2011)
[58],[57]










  •      Hommes (48,7 %)


  •      Femmes (51,3 %)






Répartition de la population
selon l'âge (2011)
[58],[57]












  •      0-14 ans (16,1 %)


  •      15-64 ans (68,6 %)


  •      65 ans et plus (15,3 %)






Culture et patrimoine |


Article détaillé : Patrimoine de Trois-Rivières.

Lors d'un inventaire patrimonial réalisé en 2010 par une firme de consultants en patrimoine et architecture, l’étude a dénombrée 3 856 bâtiments d'intérêt patrimonial, dont 302 sont considérés comme ayant une valeur supérieure ou exceptionnelle[59]. De ces bâtiments 14 sont classés par le ministère de la Culture et des Communications[60].



Arts |


Trois-Rivières a été proclamée la « capitale nationale de poésie du Québec »[61]. De nombreuses plaques affichant des vers poétiques sont installées à travers le centre de la ville et son « Festival International de la Poésie » honore ce titre.


L'Orchestre symphonique de Trois-Rivières a été fondé en 1978. Le premier directeur artistique (et fondateur) a été Gilles Bellemare. Actuellement, Jacques Lacombe assume ce poste.


La Salle J.-Antonio-Thompson a été construite en 1928. Elle a été acquise par la Ville de Trois-Rivières en 1979. Il s'agit de l'une des plus belles salles de spectacle au pays. De sa construction en 1927 jusqu'en 1979, la salle fut connue sous le nom de Théâtre Capitol[62].


Le Théâtre des Compagnons de Notre-Dame a été fondé en 1920 et existe toujours aujourd'hui sous le nom du Théâtre des Nouveaux Compagnons. La troupe revendique le titre de plus ancienne troupe de théâtre amateur d'expression française en Amérique[63].




  • L'Atelier Presse Papier a été créé en 1979.

  • L'Atelier Silex est un centre de production et de recherche en sculpture actuelle, créé en 1983.

  • Le Centre d'exposition Raymond-Lasnier est une salle d'exposition située à la Maison de la Culture.

  • Le Conservatoire de musique de Trois-Rivières est le troisième au Québec et a été créé en 1964.

  • Les Forges de la Salamandre est un centre de forge artisanale situé sur l'île Saint-Christophe.

  • La Galerie d'art du Parc a été créée en 1972. Elle occupe actuellement le manoir de Tonnancour.

  • La Biennale nationale de sculpture contemporaine.

  • La Biennale internationale d'estampe contemporaine.

  • Les Sages Fous.



Musées |





Rue des Ursulines.



  • Boréalis, centre d'histoire de l'industrie papetière

  • Manoir Boucher-De Niverville

  • Musée des Filles de Jésus

  • Musée Pierre-Boucher


  • Musée des Ursulines de Trois-Rivières, au cœur du Vieux-Trois-Rivières, le musée des Ursulines occupe maintenant l'ancien Hôtel-Dieu des Ursulines de Trois-Rivières. Il offre la visite de trois lieux rappelant plus de trois cents ans d'histoire.


  • Musée du bon père Frédéric (Jansoone), 800 boulevard du Saint-Maurice, secteur Trois-Rivières.

  • Musée militaire du 12e Régiment blindé du Canada

  • Musée Pop



Festivals et événements |



  • FestiVoix

  • Nuits Polaires

  • Trois-Rivières en Blues

  • Festival International de la Poésie

  • Délices d'automne

  • Festival international de danse Encore


  • Grand Prix de Trois-Rivières (GP3R)

  • Rendez-vous des coureurs des bois de Trois-Rivières



Sports |



Événements sportifs |




Course de nuit au Grand Prix de Trois-Rivières, 2011.





Formule Atlantic en 2007.


Trois-Rivières est l'hôte d'un célèbre événement annuel de course automobile en circuit urbain reconnu internationalement, le Grand Prix de Trois-Rivières (GP3R). Au cours des années, cet événement a présenté des séries telles que Trans-Am Series, American Le Mans Series, Indy Lights, Formule Atlantic et NASCAR Canada. En 2014 est introduite une manche de championnat du monde de FIA Rallycross.


La ville de Trois-Rivières héberge le seul hippodrome de classe professionnelle au Québec, l'hippodrome de Trois-Rivières. La piste d'un demi mile est exploitée par le Club Jockey du Québec. Les courses sous harnais y sont transférées depuis 2012, à la suite de la fermeture de l'hippodrome de Québec.


Trois-Rivières a accueilli le championnat mondial de baseball junior de 1989 et le championnat mondial de curling junior de 2004. Elle a aussi reçu les finales des Jeux du Québec d'été 1975 et hiver 1999.



Équipes sportives |


La ville de Trois-Rivières présente depuis 2013 du baseball professionnel indépendant avec les Aigles de Trois-Rivières, qui est une équipe d'expansion de la Ligue Can-Am de Baseball étant domiciliée au stade Stéréo Plus.


Depuis 1934, la cité de Laviolette est l'hôte de l'étape finale de la Classique internationale de canots de la Mauricie. Elle abrite aussi le club de Canoë Kayak Trois-Rivières, qui participe à des compétitions de niveau provincial, national et dont plusieurs athlètes ont fait les championnats du monde ou les Jeux olympiques.


Trois-Rivières a également déjà été l'hôte d'une équipe de hockey de la LHJMQ, les Draveurs de Trois-Rivières. Elle a été en activité de 1973 à 1992. Avant 1973, l'équipe portait le nom des Ducs de Trois-Rivières et était une des équipes fondatrices de la LHJMQ.



Sports universitaire et collégial |


L'UQTR compte un club omnisports, les Patriotes, qui participe au programme de sport interuniversitaire canadien U Sports avec des équipes en natation, volley-ball, golf, football et hockey sur glace. L'équipe de hockey trifluvienne remporta trois fois le championnat universitaire canadien (1991, 2001 et 2003) et à huit reprises le championnat universitaire ontarien (1991, 1992, 1999 à 2003 et 2007)[64]. Le Cégep de Trois-Rivières est quant à lui également représenté par un club omnisports, les Diablos, ayant décroché à maintes occasions le Bol d'or au football collégial. Le Collège Laflèche compte aussi un club collégial, les Dragons, dont l'équipe de baseball compétitionne au niveau national.



Médias |



Presse écrite |




  • Le Nouvelliste, quotidien

  • L'Écho de Trois-Rivières, hebdomadaire


  • L'Hebdo Journal, hebdomadaire

  • Mauricie Express, hebdomadaire


  • La Galère, mensuel

  • La Gazette de la Mauricie, mensuel

  • Le Trifluvien, bulletin d'information municipal, publié 3 fois par année[65]



Télévision |



  • VOX


  • CKTM-DT (Télévision de Radio-Canada)


  • CHEM-DT (TVA)


  • CFKM-DT (V), anciennement TQS


  • Cogeco (TVCogeco)[65]



Radio |




  • CFOU-FM 89,1 (RADIO UQTR)


  • CHEY-FM 94,7 (Rouge FM)


  • CBF-FM-8 96,5 (Première Chaîne de Radio-Canada)


  • CJEB-FM 100,1 (Rythme FM)


  • CIGB-FM 102,3 (NRJ)


  • CBFX-FM-1 104,3 FM (ICI Musique de Radio-Canada)


  • CKOB-FM 106,9 (CKOI)[65]



Centres commerciaux |



  • Centre commercial Les Rivières

  • Carrefour Trois-Rivières-Ouest

  • Galeries du Cap

  • District 55



Institutions scolaires |


Article détaillé : Liste des établissements scolaires de Trois-Rivières.




Université du Québec à Trois-Rivières.


L'éducation primaire et secondaire est offerte par deux commissions scolaires, l'une francophone et l'autre anglophone.


La première, la commission scolaire du Chemin-du-Roy comprend 27 écoles primaires et sept écoles secondaires et centres de formation professionnelle. La commission scolaire Central Québec comprend quant à elle une école primaire et secondaire. On retrouve aussi cinq écoles privées offrant l'éducation primaire et secondaire, les plus notables étant le collège Marie-de-l'Incarnation, l’institut secondaire Keranna et le séminaire de Saint-Joseph des Trois-Rivières.


L'enseignement collégial est offert par deux établissements, le Cégep de Trois-Rivières (public) et le Collège Laflèche (privé). Trois-Rivières abrite également une université, l'Université du Québec à Trois-Rivières.



Personnalités liées à la ville |


Voir la catégorie : Personnalité liée à Trois-Rivières.




  • Jean-Victor Allard, général de l'Armée Canadienne (guerre 1939-45, guerre de Corée)


  • Anaïs Allard-Rousseau, cofondatrice des Jeunesses Musicales du Canada


  • Léon Balcer, industriel, député et ministre (Chambre des Communes)


  • Laurence Bareil, animatrice télévision et journaliste


  • Christine Beaulieu, actrice et dramaturge


  • Steve Bégin, joueur de hockey LNH


  • Jean Béliveau, joueur de hockey LNH


  • Richard Béliveau, biochimiste, chercheur en oncologie


  • François Bellefeuille, humoriste


  • Gaston Bellemare, président et fondateur du Festival International de la Poésie de Trois-Rivières


  • Gilles Bellemare, compositeur et chef d'orchestre


  • Marc-André Bergeron, joueur de hockey LNH


  • Michel Bergeron, entraîneur de hockey LNH


  • Guy Bertrand, chroniqueur radio et télévision, premier conseiller linguistique de la Société Radio-Canada

  • Normand Biron, auteur, commissaire aux relations culturelles internationales et aux prix d’excellence, ville de Montréal


  • Isabelle Blais, actrice et chanteuse


  • Yves Boisvert, poète


  • Josée Boudreault, animatrice radio et télévision


  • Louis-Pierre Bougie, peintre et graveur


  • Phil Branch, animateur radio


  • Marc Bureau, joueur de hockey LNH


  • Jean Chrétien, politicien, ancien premier ministre du Canada (SSJ)


  • Gilles Courteau, commissaire LHJMQ


  • Claude Despins, acteur

  • Johane Despins, animatrice télévision


  • Lynn Diamond, poète et romancière


  • Anne Dorval, actrice


  • Dany Dubé, chroniqueur sportif et animateur radio


  • Maurice Duplessis, politicien, ancien premier ministre du Québec


  • André Dupont, joueur de hockey LNH


  • Mariette Duval, actrice


  • Madeleine Ferron, femme de lettres


  • Yves Gabias, juge et ministre (sous Jean-Jacques Bertrand)


  • Gag (André Gagnon), scénariste et dessinateur de bande dessinée


  • Éric Gagné, joueur de baseball MLB


  • Jean-Marc Gaudreault, artiste-peintre (voir Liste de peintres et sculpteurs québécois)


  • Rodolphe Girard, journaliste et écrivain (Marie Calumet) décédé en 1956


  • Ariane Gélinas, auteure et directrice de revue


  • Gérald Godin, poète et ministre du Parti québécois


  • Benoît Gouin, acteur


  • Annie Groovie, auteure (Léon)


  • Steve Hill, musicien, chanteur


  • Jacques Hétu, musicien, compositeur


  • Mario Jean, humoriste


  • Pauline Julien, chanteuse, compositrice, actrice


  • Simon Kean, boxe (super poids lourd)


  • Alexis Klimov, philosophe, écrivain et poète


  • Jacques Lacombe, chef d'orchestre


  • Jacques Lacoursière, historien


  • Claude G. Lajoie, politicien fédéral libéral 1971-1980, entrepreneur


  • Rita Lafontaine, actrice


  • Jean Lafrenière, poète

  • Marc Langis, bassiste de Céline Dion


  • Suzanne Langlois, actrice


  • Félix Leclerc a habité à Sainte-Marthe-du-Cap-de-la-Madeleine et travaillé dans une station de radio de Trois-Rivières[66]


  • Roland Leclerc prêtre, communicateur et écrivain


  • Longue Distance, groupe musical


  • Robert J Mailhot, poète et chirurgien


  • Pierre Mailloux, psychiatre


  • Guy Marchamps, poète et animateur littéraire


  • François Massicotte, humoriste


  • Arthur Melanson, premier archevêque de Moncton


  • Guillaume Morrissette, auteur de romans policiers

  • Benoit Paillé, artiste international


  • Michèle-Barbara Pelletier, actrice


  • Roméo Pérusse, artiste de variétés


  • Colette Provencher, présentatrice TVA


  • Jean Provencher, historien


  • Ghyslain Raza, phénomène internaute connu sous le surnom de Star Wars Kid


  • René Robert, joueur de hockey LNH


  • Ringuet, médecin, écrivain (Trente arpents) et diplomate (ambassadeur du Canada au Portugal), son véritable nom est Philippe Panneton (1895-1960)


  • Christiane Saint-Pierre, professeure, écrivaine et dramaturge

  • Pierre Sévigny, joueur de hockey AHL


  • Stelio Sole, artiste-peintre (voir Liste de peintres et sculpteurs québécois)


  • Jean-Guy Talbot, joueur de hockey LNH, aréna portant son nom


  • Albert Tessier, prêtre et pionnier du cinéma québécois (1895-1976)


  • The New Cities, groupe musical


  • Martyr, groupe musical


  • Marie-Hélène Thibault, actrice


  • Claude Thompson, prêtre, musicien et pédagogue, fondateur de l'École des Petits Chanteurs de Trois-Rivières et des Pueri Cantores


  • Fabiola Toupin, chanteuse

  • Le duo Tricot machine, Catherine Leduc et Matthieu Beaumont


  • Captain Trois-Rivières, personnage de la télé-série Hero Corp

  • Les 3 écrivains à Trois-Rivières, Michel Châteauneuf, Frédérick Durand et Pierre Labrie


  • Éric Thériault, auteur (bande dessinée)


  • Manu Trudel, auteur-compositeur-interprète


  • Dominique Trottier, journaliste


  • Denis Vaugeois, historien et ministre


  • Gilles Villemure, joueur de hockey LNH


  • Denis Villeneuve, scénariste et réalisateur




Personnages historiques liés à la ville |




  • Pierre-Stanislas Bédard, juge, député (Assemblée du Bas-Canada) et patriote


  • Mathew Bell, homme d'affaires, juge, député et militaire


  • Joseph-Hyacinthe Bellerose, député à la Chambre des communes du Canada où il représentait la circonscription de Laval de 1867 à 1873. En 1873, il fut nommé au Sénat du Canada, où il a siégé jusqu'à sa mort en 1899


  • François-Xavier Berlinguet, architecte, ingénieur civil, sculpteur et membre fondateur de l'Ordre des architectes du Québec


  • Théodore Bochart du Plessis, officier de la marine française, fondateur du poste de traite de Trois-Rivières et commis général de la Compagnie des Cent-Associés


  • Pierre Boucher, deuxième[67] gouverneur des Trois-Rivières (intérimaire en 1652 et en 1653-1654, en titre de 1654-1658 et 1662-1668) et fondateur de Boucherville, il fut le premier colon canadien à être anobli par Louis XIV


  • Jacques Bureau, ministre, solliciteur Général du Canada et sénateur (1860-1933)


  • Capitanal, grand chef anishnabé/algonquin et cofondateur de Trois-Rivières (circa 1600-date de décès inconnue)


  • Napoléon Caron, c'est à la suite de la proposition de l'abbé que la Société Saint-Jean Baptiste a institué le concours (1880) à l'issue duquel on créa l'hymne national (Ô Canada de Calixa Lavallée et Adolphe-Basile Routhier)[68]


  • Edward Brock Carter, écrivain, avocat, professeur et homme politique fédéral et provincial (1822-1883)


  • Jacques de Noyon, premier Européen connu à avoir visité la région des Boundary Waters à l'ouest du Lac Supérieur


  • Simon-Pierre Denys de Bonnaventure, gouverneur de l'Acadie de 1705 à 1706


  • Maurice Duplessis, premier ministre du Québec


  • Ludger Duvernay, éditeur et membre fondateur de la Société Saint-Jean-Baptiste vécut à Trois-Rivières de 1817 à 1827, il édita entre autres Gazette des Trois-Rivières et La Minerve


  • Pierre de Francheville, prêtre et secrétaire de Mgr de Laval, il développa plusieurs paroisses de la colonie


  • Médard Chouart des Groseilliers, explorateur, coureur des bois, commerçant de fourrures et cofondateur de la Compagnie de la Baie d'Hudson


  • Bartholomew Conrad Augustus Gugy, militaire, seigneur et député du Bas-Canada (1796-1876)


  • Aaron Hart, homme d'affaires du Bas-Canada, il est considéré comme le fondateur de la communauté juive du Canada et un des fondateurs de la synagogue Shearith Israël de Montréal (1724-1800)


  • Ezekiel Hart, premier juif à être élu à l'Assemblée Législative du Bas-Canada et, par le fait même, premier juif à faire partie d'un parlement de l'Empire britannique


  • Jacques de La Ferté, abbé de l'abbaye de La Madeleine à Châteaudun (France), membre de la Compagnie de la Nouvelle-France dites des Cent-Associés et seigneur de La Madeleine (1580-1651)


  • Jean-Baptiste Hertel de Rouville, lieutenant dans les troupes de la marine de l'armée de terre française (1668-1722)


  • Frédéric Jansoone, père franciscain béatifié en 1988 par Jean-Paul II


  • Michel Leneuf de La Vallière et de Beaubassin, capitaine, commandant et gouverneur de l'Acadie


  • Pierre Gaultier de Varennes et de La Vérendrye, découvreur, il explora le territoire entre Winnipeg et les montagnes Rocheuses


  • Jean Nicolet, explorateur au Wisconsin et coureur des bois


  • Charles Richard Ogden, homme politique et fonctionnaire du Bas-Canada (1791-1866)


  • François Poulin de Francheville, seigneur de Saint-Maurice et fondateur des Forges Saint-Maurice (1730)


  • Maurice Poulin de La Fontaine, l'un des premiers défricheurs de la ville de Trois-Rivières, la région de la Mauricie et la rivière Saint-Maurice lui doivent leur nom (1620-1676)


  • Pierre-Esprit Radisson, explorateur, cofondateur de la Compagnie de la Baie d'Hudson


  • Pierre de Sales Laterrière, aventurier, directeur des Forges du Saint-Maurice et seigneur des Éboulements


  • Benjamin Sulte, écrivain, historien et militaire


  • Albert Tessier, prêtre et pionnier du cinéma québécois (1895-1976)


  • Joseph-Adolphe Tessier, avocat, maire de Trois-Rivières et ministre (sous Lomer Gouin)


  • Denis-Benjamin Viger, parlementaire, député de Trois-Rivières, patriote de 1837-38



Jumelages |




  • Drapeau de la France Châteaudun (France) depuis 1971


  • Drapeau de la France Tours (France) depuis 1973



Galerie |





Notes et références |




  1. http://www4.rncan.gc.ca/recherche-de-noms-de-lieux/search?q=trois-rivières&category=O


  2. Gouvernement du Québec, « Trois-Rivières », Répertoire des municipalités, sur Ministère des Affaires municipales et de l'Occupation du territoire, 10 janvier 2011


  3. « Mot de présentation : à mi chemin entre Québec et Montréal… », sur Érudit


  4. Gouvernement du Canada, Statistique Canada, « Profil du recensement, Recensement de 2016 - Trois-Rivières, Ville [Subdivision de recensement], Québec et Francheville, Division de recensement [Division de recensement], Québec », sur www12.statcan.gc.ca (consulté le 3 septembre 2017)


  5. a b et chttps://www.thecanadianencyclopedia.ca/fr/article/trois-rivieres


  6. Sana Trois-Rivières


  7. http://www.v3r.net/culture/histoire-et-patrimoine/histoire-de-trois-rivieres


  8. http://www.ourculturalcapital.ca/fre.html


  9. http://www4.rncan.gc.ca/recherche-de-noms-de-lieux/search?q=Rivière+Saint+-Maurice&category=O


  10. http://www4.rncan.gc.ca/recherche-de-noms-de-lieux/search?q=Ile+Saint-Quentin&category=O


  11. https://www.thecanadianencyclopedia.ca/fr/article/samuel-de-champlain


  12. Pourquoi « Trois-Rivières » ?


  13. https://oraprdnt.uqtr.uquebec.ca/pls/public/gscw030?owa_no_site=665


  14. http://www4.rncan.gc.ca/recherche-de-noms-de-lieux/search?q=Saint-Étienne-des-Grès&category=O


  15. http://www4.rncan.gc.ca/recherche-de-noms-de-lieux/search?q=Yamachiche&category=O


  16. http://www4.rncan.gc.ca/recherche-de-noms-de-lieux/search?q=Notre-Dame-du-Mont-Carmel&category=O


  17. http://www4.rncan.gc.ca/recherche-de-noms-de-lieux/search?q=Saint-Maurice+&category=O


  18. http://www4.rncan.gc.ca/recherche-de-noms-de-lieux/search?q=Champlain&category=O


  19. http://www.municipalite.champlain.qc.ca/fr/accueil_1.html


  20. https://www.centris.ca/fr/outils/profil-de-la-population/mauricie/champlain


  21. http://ftp.geogratis.gc.ca/pub/nrcan_rncan/raster/atlas_6_ed/reference/bilingual/que.pdf


  22. http://www4.rncan.gc.ca/recherche-de-noms-de-lieux/unique/ERECG


  23. « Les aventures de Rafale: À la découverte des écosystèmes du Saint-Laurent - Tableau des régions hydrographiques du Saint-Laurent », sur Ministère du Développement durable, de l'Environnement et des Parcs (consulté le 23 décembre 2008)


  24. Toponymie : Trois-Rivières


  25. http://www.stratigraphy.org/ICSchart/ChronostratChart2015-01.pdf


  26. Carte Géotouristique: Géologie du Sud du Québec, du Bas-Saint-Laurent et de la Gaspésie, Les Publications du Québec, Québec, 1991


  27. Normales climatiques au Canada 1971-2000, Environnement Canada, consulté le 20 janvier 2008


  28. « Pont Laviolette », sur Grandquebec.com


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  37. Services aux citoyens - FAR Histoire de Trois-Rivières - Laviolette


  38. Le premier à porter le titre de gouverneur est François de Champflour en 1643. Qui dit gouverneur dit gouvernement. Voir l'article Gouvernement des Trois-Rivières.


  39. « Site du patrimoine de l'usine de filtration de la Canadian International Paper », sur Répertoire du patrimoine culturel du Québec


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  43. Œuvres de Champlain. Voir : Marcel Trudel, « Le premier choix du fondateur de Québec », dans Collectif, Rencontrer Trois-Rivières, 375 ans d'histoire et de culture, Trois-Rivières, Éditions d'art Le Sabord, 2009, p. 18-19.


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  45. Marcel Trudel. « Trois-Rivières, le premier siècle, 1535-1635 », Le Ralliement, Trois-Rivières, Séminaire Saint-Joseph, volume 10, numéro 15, mai 1984, pages 3-8. Reproduit dans le site web Trifluviana, Passionnés d'histoire trifluvienne.


  46. Selon Bruno-Guy Héroux, dans son livre "Le catalogue des Trépassés, le Sieur de Laviolette et la fondation de Trois-Rivières", publié en 2017 (Google Book), c'est le Père Jésuite Ambroise Davost, qui est le rédacteur de l'introduction du Catalogue des trépassés.


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  48. Louis Martel et Hermann Plante. Jalons, Paroisse de l'Immaculée-Conception, Trois-Rivières, 1678-1978, p. 9.


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  67. Quelques sources affirment par erreur qu'il fut le premier gouverneur des Trois-Rivières, or, le premier à porter le titre de gouverneur est François de Champflour en 1643, voir l'ouvrage de Marcel Trudel, Histoire de la Nouvelle-France, volume III, La seigneurie des Cent-Associés, tome 1, Les événements, Montréal, Fides, 1979, page 447-448 (ISBN 2-7621-0788-1)


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Bibliographie |




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  • Alain Gamelin, René Hardy, Jean Roy, Normand Séguin et Guy Toupin, Trois-Rivières Illustrée, Trois-Rivières, Corporation des fêtes du 350e anniversaire de Trois-Rivières, 1984.


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  • Jalons: Paroisse de l'Immaculée-Conception Trois-Rivières 1678-1978, Trois-Rivières, Paroisse de l'Immaculée-Conception, 1978.


  • Trois-Rivières incorporée 1857-1957, Trois-Rivières, Cabinet du maire, 1957.


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