Jean-Jacques Pauvert





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Jean-Jacques Pauvert


























Nom de naissance
Jean-Albert Pauvert
Naissance
8 avril 1926
Paris, France
Décès
27 septembre 2014(à 88 ans)
Toulon, Var, France
Activité principale

Éditeur
Écrivain

Distinctions

Prix des Deux Magots




Jean-Jacques Pauvert, né Jean-Albert Pauvert à Paris le 8 avril 1926 et mort le 27 septembre 2014 à Toulon[1], est un éditeur et écrivain français, fondateur des Éditions Pauvert.


Il s'est surtout fait connaître par la réédition d'œuvres oubliées, proscrites ou considérées comme marginales et la publication de nouveaux auteurs dont beaucoup ont été des best-sellers. À près de vingt ans, il est le premier à publier Sade sous son propre nom d'éditeur, sortant le « divin marquis » de la clandestinité. Jusqu'alors son œuvre avait toujours été diffusée sous le manteau. Pauvert fait face à un procès historique où il est défendu par le légendaire avocat Maurice Garçon.


Pauvert a fait appel à des maquettistes de talent, comme Jacques Darche ou Pierre Faucheux ; ce dernier, a conçu dans les années 1960, pour les éditions Jean-Jacques Pauvert, l'identité graphique de la collection « Libertés » (format poche : 9 cm × 18 cm, couverture en papier kraft, gros caractères d'affiche noirs pour le titre, tranche noire)[2], offrant ainsi une présentation originale tout en réduisant les coûts de fabrication.


Il a révélé des auteurs qui ont connu de grands succès de librairie, tels Albertine Sarrazin, Michel Bernard, Jean Carrière, Hortense Dufour, Françoise Lefèvre, Brigitte Lozerec'h[3], Mario Mercier, Edouard Limonov, etc.




Sommaire






  • 1 Biographie


    • 1.1 Vie privée




  • 2 Maisons d'édition


  • 3 Œuvres


    • 3.1 Correspondance




  • 4 Notes et références


  • 5 Bibliographie


    • 5.1 Ouvrages


    • 5.2 Articles




  • 6 Filmographie


  • 7 Liens externes





Biographie |


Fils de Marcel Pauvert, journaliste, petit-neveu d'André Salmon par la branche maternelle, Jean-Jacques Pauvert passe son enfance à Sceaux et fait ses études primaires au lycée Lakanal, où il a pour professeur de français José Lupin, avant de passer brièvement par l'École alsacienne, où son grand-père paternel avait été professeur. Cancre incurable et chaque fois renvoyé de ses établissements scolaires, il se retrouve en 1942 vendeur à la librairie Gallimard, boulevard Raspail à Paris.


En 1945, sous le nom Éditions du Palimugre, il publie de courts textes de Sartre, Montherlant, Léautaud, Flaubert, puis, en 1947, une édition intégrale de l'Histoire de Juliette du marquis de Sade. Pour la première fois, Sade est officiellement publié sous une jaquette d'éditeur, « Jean-Jacques Pauvert », ce qui lui vaudra plus de dix ans de poursuites judiciaires. Il sera défendu par le célèbre avocat Me Maurice Garçon. Le dernier des dix volumes sortira en juillet 1949, avec une couverture en carton dont la maquette est signée Mario Prassinos.


En 1949, il fonde la première Librairie du Palimugre, rue de Vaugirard. En 1953-1954, Jean Paulhan (qui en rédige la préface) lui confie le manuscrit d'Histoire d'O d'une certaine Pauline Réage (on apprendra trente ans plus tard qu'il s'agissait de Dominique Aury). Pauvert le publie en 1954.


En 1955, il reprend la revue Bizarre, créée par Éric Losfeld[4].


En 1956, il est surveillé par la police. Un procès lui est intenté du 15 décembre 1956 au 12 mars 1957 par le Ministère public concernant la publication de quatre livres de Sade : La Philosophie dans le boudoir, La Nouvelle Justine, Juliette, Les Cent vingt journées de Sodome. Défendu encore par Me Garçon, Pauvert finit par gagner le procès en appel. Quatre fameux témoins furent cités pour sa défense : Jean Cocteau, André Breton, Jean Paulhan et Georges Bataille. Seuls les deux derniers témoignèrent au procès le 15 décembre 1956, Cocteau adressa au tribunal une courte lettre lue par Me Garçon, et Breton, absent de Paris, adressa un texte qui, malencontreusement égaré, ne put être lu au procès. Cocteau écrivit : « Le moindre roman policier de la pudibonde Amérique est plus pernicieux que la plus audacieuse des pages de Sade » ; tandis que Paulhan cite Freud, la Bible et ajoute : « N'importe quel livre risque d'entraîner une corruption. Baudelaire risque d'entraîner toutes les corruptions possibles. »[5] La déposition de Bataille est restée fameuse, contribuant autant à la reconnaissance de la valeur philosophique et éthique de l'œuvre de Sade qu'à celle du travail d'éditeur de Pauvert : « c'est ici la philosophie que je représente [...] j'estime que pour quelqu'un qui veut aller jusqu'au fond de ce que signifie l'homme, la lecture de Sade est non seulement recommandable, mais parfaitement nécessaire. »[6] Pauvert est d'abord condamné à une lourde amende (200 000 francs), les ouvrages saisis devant être détruits, mais il annonce que le jugement n'aura aucune incidence sur la publication (« Nous n'avons pas l'intention de rendre Sade aux imprimeurs clandestins ») ; l'affaire est plaidée l'année suivante en appel, et il finit par obtenir le sursis.[7] Il continua à publier et à réimprimer Sade et ne fut plus jamais poursuivi de ce chef. Après quelques années d'observation, d'autres éditeurs français l'imitèrent sans être inquiétés : grâce à l'acharnement de Pauvert, « Sade était enfin libre. »[8]


Parmi les auteurs qu'il édite ou réédite figurent Georges Darien, Georges Bataille, Gilbert Lely, André Breton, Erckmann-Chatrian, Pierre Klossowski, Raymond Roussel, Charles Cros, Lewis Caroll, Albertine Sarrazin, la comtesse de Ségur, Oscar Panizza, Fulcanelli, Eugène Canseliet, Salvador Dalí, C. R. Maturin ou encore René de Solier. Il publie également une édition des œuvres complètes de Victor Hugo en quatre volumes, ainsi que l’Histoire de l'art d'Élie Faure en trois tomes[9].


Il fonde plusieurs collections, dont la « Bibliothèque Internationale d'érotologie », abondamment illustrée et dirigée à partir de 1958 par Joseph-Marie Lo Duca, qui y publie plusieurs ouvrages, notamment Histoire de l'érotisme (1959), mais aussi sa somme en trois volumes sur L'Érotisme au cinéma (1958-1962), ainsi que Les Larmes d’Éros (1961), le dernier livre de Georges Bataille.


En 1964, il réédite les œuvres complètes d'Élie Faure en trois tomes, sous la direction d'Yves Lévy.


En 1965, Salvador Dali le contacte pour la publication de son livre écrit en 1938 : Le Mythe tragique de l'Angélus de Millet (dans lequel il applique son procédé d'interprétation paranoïaque-critique au tableau de Jean-François Millet), pour lequel il fait une présentation originale, cartonnée et entoilée, d'un format 21,5 cm X 27,5 cm.[10]


En 1967, il publie une biographie, rédigée par Jean Nohain, du pétomane Joseph Pujol, artiste phénomène qui donnait des spectacles de pets fort prisés au début du siècle.


Au début de Mai 1968, il fonde L'Enragé, journal satirique avec les dessinateurs Siné, Reiser, Cabu, Topor, Wolinski, Willem[11].


En 1968, il publie pour la première fois en français La Désobéissance civile de Henry David Thoreau, paru aux États-Unis en 1849 et qui a inspiré[citation nécessaire]Gandhi dans son action non-violente.


En 1972, l'un de ses auteurs, Jean Carrière, obtient le prix Goncourt pour son roman L'Épervier de Maheux. Pauvert découvre Françoise Lefèvre, qu'il révèle en 1974 au public par son roman La Première Habitude (grand prix des lectrices de Elle 1975). En 1976, il publie les Mémoires d'un fasciste de Lucien Rebatet[12].


Commence le temps où il mène de front son métier d'éditeur et celui d'auteur, car il a entamé l'immense travail de mise en perspective depuis les premiers signes de l'écriture jusqu'à nos jours d'une Anthologie historique des lectures érotiques, dont il fait précéder chaque extrait d'un texte de présentation historique. La publication des cinq volumes sera échelonnée de 1979 à 2001. Entre le pénultième et le dernier volume, il rédige une immense biographie du Marquis de Sade en trois volumes, intitulée Sade vivant, parue d'abord chez Robert Laffont (1986-1990), puis revue et augmentée, en un seul volume, aux éditions Le Tripode (2013), ce qui sera sa dernière publication.


En 1982, il révèle Brigitte Lozerec'h en publiant son premier roman L'Intérimaire, en coédition avec Julliard. Ce livre connaît un immense succès et sera traduit en plusieurs langues. En fin d'année, il entame une riche collaboration avec Annie Le Brun, rencontrée en 1978[13], en publiant son mémorable essai sur la fascination pour le roman noir, Les Châteaux de la subversion, puis, plus tard, sous sa marque « Pauvert », sa longue introduction aux œuvres complètes de Sade, Soudain un bloc d'abîme, Sade, éditée par la suite en volume séparé (1986). À la fin de cet essai, Annie Le Brun insère une dédicace en forme d'hommage, « Pour Jean-Jacques Pauvert », dont elle dit que sa relation à Sade « outrepasse le domaine de l'édition. À moins que l'édition ne soit ce que vous en avez fait pour Sade, une formidable machine contre le temps et la mort, ou contre la solitude, la vraie, qui est l'infracassable conscience des deux. [...] C'est que vous êtes un des rares à savoir la fragilité, l'extrême fragilité de toute pensée forte. Je dirais même à en avoir physiquement conscience, au point que vous construisez des livres comme des barricades pour les protéger, ces pensées si fortes qu'elles subvertissent l'ordre des choses sans qu'on s'en aperçoive, ces pensées si fragiles que tout en nous travaille à les empêcher de nous entraîner au-delà de nous-mêmes. »[14]


De 1981 à 1983, il publie deux romans de Françoise Sagan, Un orage immobile en coédition avec les Éditions Julliard, puis La Femme fardée en coédition avec Ramsay. Ce dernier demeure le plus fourni, le plus épais de toute l’œuvre de Sagan avec ses 500 pages.


En 1991, il dirige la réédition des œuvres de Guy Debord aux éditions Gallimard.


Il demeure avec Éric Losfeld le plus grand éditeur d'ouvrages érotiques de la seconde moitié du XXe siècle, et même si les deux hommes se sont un peu fâchés, tous deux étaient des habitués des salles d'audience, en raison du nombre très important de procès pour outrages aux « bonnes mœurs » qui leur fut infligé. Au sujet de Pauvert, Losfeld reconnaît d'ailleurs dans son autobiographie : « force m'oblige de dire que c'est un monstre sacré de l'édition »[15].


Une exposition organisée à la Maison de la Culture de Rennes du 10 janvier au 2 mars 1980, sous le titre L'Univers de Jean-Jacques Pauvert, lui a rendu un vibrant hommage. Dans le catalogue de cette exposition, son amie Annie Le Brun signe un article intitulé « Un sauvage honnête homme », dans lequel elle le décrit en aventurier de l'esprit et funambule de l'édition, « astronome de la nuit sensible qui nous enveloppe de son silence infini [...] participant de cette course énigmatique et toujours inachevée qui a pour but de nommer l'innommable, de faire parler le silence » ; un éditeur dont la curiosité sans frein a permis l'« invention capitale de la contemplation passionnée et clandestine des dessous d'un demi-siècle qui s'était voulu spectaculaire en tout » : « Équilibriste, illusionniste, explorateur, peu importe, Jean-Jacques Pauvert a su dévoiler l'envers de ce décor. Et sous la folie des certitudes, voilà que sont apparues les certitudes de la folie : Sade, Breton, Bataille mais aussi Maturin, Darien, Apollinaire, Wilde »[16].



Vie privée |


Jean-Jacques Pauvert est le père de quatre enfants : l'ainée, Anne-Marie, avec sa première épouse, Claude Marie Jeanne Habert, puis Corinne et Mathias, avec sa deuxième épouse, Christiane Sauviat (morte en 2008)[1]. Il est également le père de Camille Deforges, née en 1966, et dont la mère est Régine Deforges, avec qui Pauvert a eu une longue liaison. Il parle de cette "famille parallèle" dans ses mémoires, La Traversée du Livre (p. 423 ff.). Régine Deforges a toujours favorisé les liens entre sa fille et son père, Pauvert l'a reconnue quand elle a eu quarante ans.


Après la mort de Christiane, Pauvert a épousé Brigitte Lozerec'h le 25 avril 2014 à la mairie du Rayol-Canadel-sur-Mer, comme l'a révélé le quotidien Var-Matin du 26 avril 2014.



Maisons d'édition |


Les éditions Jean-Jacques Pauvert sont toujours restées propriété de leur créateur. Mais celui-ci
a vendu à Hachette la marque Pauvert devenue une collection rattachée aux éditions Fayard.



Œuvres |




  • Anthologie historique des lectures érotiques, 4 volumes aux éditions Stock / Spengler, 1995, complétés par un tome 5 : De l'infini au zéro, 1985-2000, publié en 2001


  • Sade vivant, 3 volumes, éd. Robert Laffont, 1986-1990 Prix des Deux Magots.


  • Nouveaux (et moins nouveaux) visages de la censure, suivi de l'Affaire Sade, Les Belles Lettres, 1994


  • L'Amour à la française, ou l'Exception étrange, Éditions du Rocher, 1997


  • Apollinaire et Monaco, Éditions du Rocher, 1999


  • La Littérature érotique, éd. Flammarion, coll. « Dominos », 2000


  • La Traversée du livre, Tome 1, Viviane Hamy, 2004


  • Métamorphose du sentiment érotique, Éditions Jean-Claude Lattès, 2011


  • Mes lectures amoureuses, La Musardine, 2011


  • Sade vivant, réédition, revue et augmentée, en un seul volume (1204 p.), éd. Le Tripode, 2013



Correspondance |



  • Guy Debord, Correspondance, volume 7, Fayard, 2008
    Les lettres de Guy Debord à Jean-Jacques Pauvert sont regroupées dans ce volume.



Notes et références |




  1. a et bAlain Beuve-Méry, « Jean-Jacques Pauvert, éditeur légendaire et atypique, est mort », sur Le Monde, 27 septembre 2014(consulté le 28 septembre 2014).


  2. Jean-Jacques Pauvert, La Traversée du livre, Mémoires, Paris, Viviane Hamy, 2004, p. 390-392.


  3. Qui deviendra sa troisième et dernière épouse.


  4. Bizarre. Anthologie 1953-1968, établie et commentée par Jean-Marie Lhôte, Berg international éditeurs, 2009, 640 p.


  5. Jean-Jacques Pauvert, Anthologie historique des lectures érotiques, vol. 4, éditions Stock / Spengler, 1995, p. 314-315.


  6. Georges Bataille, « L'affaire Sade (Le procès) », Œuvres complètes, tome XII, Gallimard, 1988, p. 454-455. Le compte-rendu exact du procès, avec les témoignages de Georges Bataille, André Breton, Jean Cocteau, Jean Paulhan et le texte intégral de la plaidoirie prononcée par Maître Maurice Garçon, a été publié sous le titre L'Affaire Sade, Pauvert, 1957 ; réédité dans Nouveaux (et moins nouveaux) visages de la censure, suivi de l'Affaire Sade, Les Belles Lettres, 1994.


  7. Anthologie historique des lectures érotiques, vol. 4, p. 317.


  8. Anthologie historique des lectures érotiques, vol. 4, p. 318.


  9. OCLC 490862950.


  10. Ce texte a été republié aux éditions Allia, collection « Livres d'art », 2011.


  11. D'après l'article d'Acrimed : « La presse satirique (1) : De Siné Massacre à L’Enragé (avec vidéo) », avec l'interview de Siné à ce sujet.


  12. « Jacques Chardonne, Paul Morand, Lucien Rebatet, le retour des pestiférés », Jérôme Dupuis, lexpress.fr, 15 février 2013.


  13. C'est Jean-Jacques Pauvert qui la contacte et lui envoie des fleurs, suite à son passage dans l'émission de télévision Apostrophes, du 10 février 1978, où elle fait scandale en présentant son pamphlet Lâchez tout. Voir « La mécontemporaine », portrait de Annie Le Brun par Judith Perrignon, Libération, 26 mars 2001


  14. Annie Le Brun, Soudain un bloc d'abîme, Sade, Paris, Jean-Jacques Pauvert, 1986, p. 325-326.


  15. Éric Losfeld, Endetté comme une mule, ou la Passion d'éditer, Paris, Pierre Belfond, 1979, p. 199 (ouvrage réédité en 2017 chez Tristram).


  16. Annie Le Brun, « Un sauvage honnête homme », dans L'Univers de Jean-Jacques Pauvert, Rennes, Maison de la culture, 1980, repris dans À distance, Paris, Jean-Jacques Pauvert aux éd. Carrère, 1984, p. 128-131.



Bibliographie |



Ouvrages |




  • L'Univers de Jean-Jacques Pauvert, Catalogue d'exposition (10 janvier-2 mars 1980, Rennes, Maison de la culture, 1980, 68 p.


  • Emmanuel Pierrat, Jean-Jacques Pauvert, l’éditeur en liberté, Paris, Calmann-Lévy, 2016, 264 p.

  • Chantal Aubry, Pauvert l'irréductible. Une contre-histoire de l'édition, Paris, L'Échappée, 2018, 592 p.



Articles |




  • Annie Le Brun, « Un sauvage honnête homme », dans L'Univers de Jean-Jacques Pauvert, Rennes, Maison de la culture, 1980, repris dans À distance, Paris, Jean-Jacques Pauvert aux éd. Carrère, 1984, p. 128-132.

  • Annie Le Brun, « Pour Jean-Jacques Pauvert », dans Soudain un bloc d'abîme, Sade, Paris, Jean-Jacques Pauvert, 1986, p. 325-327.


  • Olivier Le Naire, « Jean-Jacques Pauvert : "J'étais l'Arsène Lupin de la littérature" », L'Express, 22 mars 2004.



Filmographie |


  • Documentaire de Maria Pinto, Un sauvage honnête homme, 55 minutes, 2012


Liens externes |




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  • Dossier « Jean-Jacques Pauvert l’insoumis », dans les archives de la Radio télévision suisse en ligne.












































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