Olomouc













































































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Blason de Olomouc
Héraldique


Drapeau de Olomouc
Drapeau


Olomouc
Administration

Pays

Drapeau de la République tchèque République tchèque

Région

Flag of Olomouc Region.svg Olomouc

District

Olomouc

Région historique

Moravie

Maire
Mandat
Antonín Staněk
2014 -

Code postal
779 00
Démographie

Gentilé
Olomoutsiens

Population
100 494 hab. (2018)
Densité 972 hab./km2
Géographie

Coordonnées

49° 35′ 43″ nord, 17° 15′ 07″ est

Altitude
219 m


Superficie

10 336 ha = 103,36 km2
Localisation


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Olomouc





Liens

Site web

Site officiel


Olomouc (prononcé en tchèque : /ˈolomou̯ʦ/; en allemand : Olmütz; prononcé en allemand : /ˈɔlmʏʦ/ ; en polonais : Ołomuniec ; prononcé en polonais : /ɔwɔˈmunjɛʦ/ ; en dialecte local : Holomóc ou Olomóc) est une ville de la République tchèque, chef-lieu de district et capitale régionale. Elle se trouve dans la région historique de Moravie. Sa population s'élevait à 100 494 habitants en 2018[1], (480 000 habitants environ pour l'ensemble de l'aire urbaine).


Olomouc est, avec Brno, le centre historique, politique, religieux et universitaire de la Moravie. Elle abrite l'Université Palacký et l'archevêché de Moravie. Elle est la ville principale du pays de Hana (Haná ou Hanácko en tchèque) qui a conservé une identité culturelle marquée dans le contexte tchèque.




Sommaire






  • 1 Géographie


  • 2 Histoire


    • 2.1 La Reculade d'Olmütz


    • 2.2 Le XXe siècle




  • 3 Population


  • 4 Culture et patrimoine


    • 4.1 Patrimoine civil


    • 4.2 Patrimoine religieux


    • 4.3 Fontaines




  • 5 Éducation


    • 5.1 Université


    • 5.2 Lycées




  • 6 Sports


    • 6.1 Hockey sur glace


    • 6.2 Athlétisme


    • 6.3 Football




  • 7 Transports


    • 7.1 Train


    • 7.2 Tramway




  • 8 Personnalités


  • 9 Jumelages


  • 10 Voir aussi


    • 10.1 Article connexe


    • 10.2 Liens externes




  • 11 Notes et références





Géographie |


Olomouc se trouve au centre-nord de la Moravie, sur les rives de la Morava, à 65 km au nord-est de Brno, à 78 km à l'ouest-sud-ouest d'Ostrava et à 209 km à l'est-sud-est de Prague[2].







Panorama d'Olomouc.





Histoire |


Des fouilles archéologiques récentes ont dévoilé l'existence d'un camp romain dans l'enceinte de la ville d'Olomouc confirmant la présence des légions romaines remontant depuis la Pannonie. La légende remontant à la Renaissance et selon laquelle Jules César aurait fondé la ville reste, à ce jour, invérifiable, comme l'étymologie du nom de la ville Iuliomontium (Mont Jules) qui serait devenu Olomutium puis Olomutz.




Plan d'Olomouc en 1757.


Pendant le Moyen Âge, Olomouc et Brno rivalisent pour la prééminence en tant que capitale de la Moravie. Olomouc, qui reste à ce jour la métropole religieuse morave, perd définitivement la suprématie politique en 1640 : l'empereur Ferdinand III lui préfère alors Brünn (Brno, aujourd'hui), plus méridionale et donc plus proche de Vienne, alors que la guerre de Trente Ans éclate et que la noblesse morave, dans sa grande majorité, embrasse la religion protestante.


L'occupation d'Olmütz, de 1642 à 1650, par les troupes protestantes suédoises affaiblit définitivement la ville d'un point de vue économique. Les décennies suivantes voient l'écart entre les deux villes s'accentuer. Reconquise par les armées impériales, Olmütz se voit dotée de fortifications par l'impératrice Marie-Thérèse, reine de Bohême et de Hongrie.


Le nom de Ollmütz est utilisé bien avant 1867. Jusqu'en 1918, la ville de Olmütz - Olomouc fait partie de l'empire d'Autriche), puis de l'Autriche-Hongrie (Cisleithanie après le compromis de 1867, ville autonome du district de même nom, l'un des 34 Bezirkshauptmannschaften en Moravie[3].





La Reculade d'Olmütz |


La cour impériale autrichienne se réfugie à Olmütz lors de l'insurrection viennoise d'octobre 1848.


Cependant, Olomouc est surtout connue des historiens sous son nom allemand d'Olmütz, à l'occasion de la « reculade d'Olmütz ». Frédéric-Guillaume IV de Prusse renonce à unifier l'Allemagne, malgré les mouvements nationalistes allemands qui le poussent à prendre la tête d'une Allemagne réunifiée. Il est en effet en butte à l'opposition de l'empereur François-Joseph. Son chancelier, le baron Otto Theodor von Manteuffel rencontre à la Conférence d'Olmütz du 29 novembre 1850 son homologue autrichien Edmond de Schwarzenberg et lui fait part de sa renonciation. Les nationalistes allemands comprennent qu'il faut briser par la force l'opposition autrichienne, ce que Bismarck, nommé en 1862 chancelier de Prusse, réalise en 1866, après la bataille de Sadowa.



Le XXe siècle |


De fortes tensions existent à Olomouc dès la fin du XIXe siècle entre les populations de langue tchèque et allemande. La population du centre-ville (la ville historique), majoritairement allemande s'oppose alors à celle des faubourgs qui est majoritairement tchèque, ce qui retarde la démolition des remparts et l'extension de la ville. Après l'indépendance de la Tchécoslovaquie, le Grand Olomouc (Velká Olomouc) est enfin créé en 1919 avec annexion à la ville de deux faubourgs et onze villages.


La population germanophone, dans sa grande majorité, est très favorable aux thèses nazies et applaudira l'arrivée des troupes allemandes le 15 mars 1939; le conseil municipal, totalement germanisé, propose même de donner le nom d'Adolf Hitler à la place principale de la ville. L'antisémitisme se développe en son sein et la synagogue sera détruite par des nazis locaux, le jour même de l'entrée de la Wehrmacht dans la ville. L'importante population juive est peu à peu déportée et disparaît presque entièrement dans la Shoah.


Le patrimoine bâti est pour l'essentiel épargné par la guerre ; seule l'horloge astronomique du XVe siècle est détruite par les troupes allemandes en retraite. À la suite des accords de Potsdam, la libération voit le départ des derniers germanophones qui n'avaient pas déjà fui avec le repli de la Wehrmacht.



Population |


Recensements (*) ou estimations de la population de la commune dans ses limites actuelles[4] :























Évolution démographique
1869 1880 1890 1900 1910 1921
30 134 39 440 43 755 52 607 59 852 66 060





















1930 1950 1961 1970 1980 1991
77 602 73 714 80 246 89 386 99 328 102 786





















2001 2014 2015 2016 2017 2018
102 607 99 489 99 809 100 154 100 378 100 494



Culture et patrimoine |


Olomouc est le centre de la région ethnographique Haná (ou Hanakia).


La ville d'Olomouc peut s'enorgueillir d'un centre ancien très vaste et bien préservé, classé secteur sauvegardé (městská památková rezervace, selon la terminologie tchèque), le second du pays en étendue après celui de Prague, qui comprend un nombre important de monuments, palais et églises. La ville haute s'est développée autour de l'ancien château des margraves de Moravie, actuel enclos de la cathédrale (Václavské náměstí), autrefois essentiellement ecclésiastique et aristocratique. La ville basse, constituée à partir de différents noyaux historique, essentiellement bourgeoise auparavant, est aujourd'hui centrée sur deux places monumentales, Horní náměstí (place haute) et Dolní náměstí (place basse).



Patrimoine civil |


Parmi les monuments civils, on peut citer en particulier :


  • Les restes du palais Zdík (Zdíkův palác), construit par et pour l'évêque Jindřich Zdík. Ce rare exemple de palais roman en Europe centrale, ensuite englobé dans le palais des Přemyslides (Přemyslovský palác), occupé ensuite par des membres de la famille royale tchèque, et finalement intégré dans le complexe archiépiscopal, jouxte la cathédrale.

  • L'hôtel de ville (Radnice), entamé au XVe siècle, flanqué d'une chapelle gothique et d'un beffroi (de 76 m de haut) qui abrite une horloge astronomique décorée de mosaïque en style réaliste-socialiste. Cette œuvre de Karel Svolinský, détruite pendant la guerre puis restaurée en 1955, porte une mosaïque (défilé des apôtres) remplacée par le défilé de 12 corps de métiers. L'ancien mécanisme se trouve au musée de l'horloge à Šternberk[5].

  • La colonne de la Sainte Trinité, érigée en 1740 à la fin d'une épidémie de peste, œuvre du sculpteur baroque morave Ondrej Zahner, inscrite depuis 2000 au patrimoine mondial par l'UNESCO.

  • Nombre de palais et de résidences privées des XVIe, XVIIe et XVIIe siècles, notamment les immeubles Renaissance connus sous le nom de palais Hauenschild (Hauenschildův palác (cs)), sur la place basse, et de palais Edelmann (Edelmannův palác (cs)) sur la place haute.

  • La villa Primavesi, la plus célèbre des nombreuses maisons Sécession que compte la ville, œuvre des architectes Franz von Krauss et Josef Tölk, construite en 1905-1906 pour une famille de banquiers locaux, futurs commanditaires de leur maison de Vienne à Josef Hoffmann.









L’horloge astronomique.






La colonne de la Trinité.





Patrimoine religieux |


Très ancien centre religieux et citadelle de la Contre-Réforme, la ville (et ses alentours) possède de nombreuses églises et institutions religieuses des époques gothique et baroque, mais aussi du XIXe siècle. Les plus notables sont :



  • La cathédrale saint Venceslas (Katedrála sv. Václava), fondée au XIe siècle, totalement reconstruite en style gothique au XIIIe siècle (1204-1263). Elle apparaît cependant aujourd'hui pour l'essentiel comme une reconstruction néo-gothique(1883-1892), par l'architecte Gustav Meretta, à l'initiative de l'archevêque Bedřich z Fürstenberka (Friedrich von Fürstenberg en allemand). Elle conserve néanmoins un ensemble de chapelles baroques. Le monument revêt une importance particulière dans l'histoire tchèque car il est le lieu de l'assassinat le 4 août 1306 de Venceslas III de Bohême, décès qui marque la fin de la dynastie des Přemyslides et le début de l'hégémonie allemande sur la Bohème et la Moravie.

  • L'église Saint-Maurice (Kostel sv. Mořice), principale église paroissiale de la ville basse, de fondation très ancienne (probablement avant l'an mil). Le sanctuaire apparaît aujourd'hui comme une vaste église halle tardo-gothique (XVe siècle). Sont remarquables la chapelle funéraire renaissance des Edelmann (1572) sur le flanc nord de la nef, et l'exceptionnel ensemble sculpté du XVe siècle du Christ au jardin des oliviers.










La cathédrale Saint-Venceslas.





Église Saint-Maurice.





Église Saint-Gorazd.





  • L'église Saint-Michel archange (Kostel svatého Michaela archanděla), église conventuelle (des Dominicains) d'origine gothique, totalement reconstruite à l'époque baroque (1673-1703) par l'architecte suisse (tessinois) Giovanni Pietro Tancalla. Une partie du cloitre et une chapelle (St Alexis) gothique ont été conservées. À côté de l'église, s'élève la curieuse chapelle néo baroque de Saint-Jean Sarkander (kaple sv. Jana Sarkandra), construite en 1909-1912 par l'architecte Eduard Sochor, à l'emplacement d'une ancienne prison. Elle honore un prêtre catholique, torturé à mort durant la guerre de Trente Ans et canonisé par le pape Jean-Paul II en 1995 lors de sa visite dans la ville.

  • L'abbaye de Hradisko, (Klášter Hradisko), remarquable exemple d'architecture conventuelle baroque. Cet ancien monastère de prémontrés, fondé au XIe siècle a été totalement reconstruit en style baroque par Giovanni Pietro Tancalla et Domenico Martinelli. Il sert aujourd'hui d’hôpital militaire.






L'abbaye de Hradisko.





  • La basilique Notre-Dame de la Visitation (Bazilika Navštívení Panny Marie) sur la Sainte butte (Svatý Kopeček), prévôté de l'abbaye de Hradisko et pèlerinage, élevée au rang de basilique mineure par Jean-Paul II. Ce remarquable ensemble baroque est dû à Giovanni Pietro Tancalla et Domenico Martinelli,, avec possible intervention de Jan Blažej Santini-Aichel.

  • L'église (cathédrale) orthodoxe Saint-Gorazd II, siège de l'église orthodoxe autocéphale tchèque et slovaque, construite dans les années 1930 et dédiée à l'origine à un obscur saint slavon du IXe siècle. Elle est, depuis qu'il a été canonisé en 1987, consacrée à l'évêque local Gorazd exécuté par les nazis en 1942 pour fait de résistance.



Fontaines |





La fontaine de César.


Un riche ensemble de fontaines a été édifié à l'époque baroque pour orner les places de la ville, et récemment restauré et complété :




  • 1683 Fontaine de Neptune (place basse) - par le sculpteur polonais Michael Mandík et le tailleur de pierres olomoucien Václav Schüler,


  • 1687 Fontaine d'Hercule (place haute) - id.,


  • 1707 Fontaine de Jupiter (place basse) - par le sculpteur Václav Render,


  • 1709 Fontaine des Tritons (place de la république) - id.,


  • 1725 Fontaine de César (place haute) - id.,


  • 1727 Fontaine de Mercure - par Václav Render et Filip Sattler,

  • Fontaine de la moitié du XVIIIe siècle par Filip Sattler, restaurée en 2005 et réinstallée devant le cloître dominicain,


  • 2003 Fontaine d'Arion (place haute) par le sculpteur Ivan Theimer,



Éducation |



Université |


Miroir du déclin de la ville, l’université fondée en 1573 par la Compagnie de Jésus, est dissoute en 1860 par François-Joseph Ier. Rétablie en 1946, elle prend le nom d’université Palacký, en hommage à František Palacký, historien et homme politique tchèque qui a joué un rôle clé dans la renaissance culturelle et nationaliste tchèque au XIXe siècle.



Lycées |


La ville possède plusieurs lycées. Le plus important est le lycée slave d'Olomouc qui fait partie des dix lycées les plus prestigieux de la République tchèque[6], notamment grâce à sa section franco-tchèque qui a fêté en 2015 ses 25 ans[7].



Sports |



Hockey sur glace |


L'équipe de hockey sur glace d'Olomouc évolue en 1re division depuis la saison 2014-2015. Le club a été le premier champion de République tchèque lors de la saison 1993-1994[8].



Athlétisme |


Le semi-marathon d'Olomouc a lieu chaque année au mois de juin. Cette compétition est labellisée « or », par l'IAAF.



Football |




Le stade Andrův accueille les matchs du SK Sigma Olomouc.


Le Sigma Olomouc est un club de football qui évolue en 1re division du Championnat de République tchèque de football et qui joue ses matchs au stade Andrův.


La ville accueille quatre matchs du Championnat d'Europe de football espoirs 2015.



Transports |



Train |


La gare centrale d'Olomouc se situe sur la ligne ferroviaire du SC Pendolino entre Prague, Pardubice et Ostrava.



Tramway |


Article détaillé : Tramway d'Olomouc.

Le tramway d'Olomouc, circule depuis 1899 dans la ville d'Olomouc. Sept lignes forment un réseau d'une longueur de plus de 38 kilomètres.



Personnalités |


Modèle:Voir catégories




  • Gilbert du Motier de La Fayette, dit La Fayette (1757-1834), emprisonné à Olomouc avec Jean-Xavier Bureau de Pusy (1750-1806) et Charles-César de Fay de La Tour-Maubourg (1756-1831) en mai 1795


  • Georg Flegel (1566-1638), peintre


  • Marek Heinz (né en 1977), footballeur tchèque


  • David Juříček (né en 1974), handballeur


  • Charles-Joseph de Lorraine (1680-1715), évêque


  • Jiří Louda (1920-2015), peintre héraldiste,


  • Berthold Oppenheim (1867-1942), rabbin


  • Jiří Paroubek (né en 1952), homme politique


  • David Prinosil (né en 1973), joueur de tennis allemand, né dans cette ville


  • Eva Romanová (née en 1946) et Pavel Roman (1943-1972), fratrie de champions mondiaux de patinage artistique


  • Olga Taussky-Todd (1906-1995), née à Olomouc, mathématicienne


  • Edgar G. Ulmer (1904-1972), réalisateur, scénariste, producteur et directeur de la photographie


  • Veronika Varekova, top-modèle née à Olomouc et vivant à New-York



Jumelages |


La ville d'Olomouc est jumelée avec[9] :




  • Drapeau de la France Antony (France)


  • Drapeau de la Slovaquie Vieille ville de Bratislava (Slovaquie)


  • Drapeau de la Pologne Cracovie (Pologne)


  • Drapeau de la République populaire de Chine Kunming (Chine)


  • Drapeau de la Suisse Lucerne (Suisse)


  • Drapeau de la Croatie Makarska (Croatie)


  • Drapeau de l'Allemagne Nördlingen (Allemagne)


  • Drapeau des États-Unis Owensboro (États-Unis)


  • Drapeau de la Hongrie Pécs (Hongrie)


  • Drapeau de la Serbie Subotica (Serbie)


  • Drapeau de la Finlande Tampere (Finlande)


  • Drapeau des Pays-Bas Veenendaal (Pays-Bas)



Voir aussi |



Article connexe |


  • Université Palacký


Liens externes |



  • (cs) Site officiel

  • Site Unesco (fr)


  • Olomouc - Czech.cz, Le site web officiel de la République tchèque

  • UNESCO: liste de l'héritage culturel mondial - la colonne de la Sainte Trinité

  • Office du tourisme d'Olomouc, dont la region card


  • Villa Primavesi, Site officiel de la Villa Primavesi

  • Tourisme : région d'Olomouc

  • Petite galerie de sites touristiques

  • Vidéo d'histoire d'Olomouc sur le site de la radio tchèque (fr)



Notes et références |


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Sur les autres projets Wikimedia :






  1. (cs) Population des communes de la République tchèque au 1er janvier 2018.


  2. Distances à vol d'oiseau ou distances orthodromiques.


  3. Wilhelm Klein, Die postalischen Abstempelungen auf den österreichischen Postwertzeichen-Ausgaben 1867, 1883 und 1890, Vienne, 1967.


  4. Český statistický úřad, Historický lexikon obcí České republiky 1869–2005, vol. I, Prague, Český statistický úřad, 2006, pp. 658-659 ; de 1869 à 1910, les recensements organisés par l'Empire d'Autriche-Hongrie sont officiellement datés du 31 décembre de l'année indiquée. — À partir de 2012, population des communes de la République tchèque au 1er janvier, sur le site de l'Office tchèque de statistique (Český statistický úřad).


  5. L’ horloge astronomique du beffroi


  6. Gymnázium Mikuláše Koperníka Bílovec sur www.gmk.cz.


  7. La section bilingue franco-tchèque du lycée slave d'Olomouc souffle ses 25 bougies. sur www.radio.cz.


  8. http://www.hc-olomouc.cz/zobraz.asp?t=historie


  9. Partnerská města




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