La Llagonne






















































































La Llagonne.mw-parser-output .entete.map{background-image:url("//upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/7/7a/Picto_infobox_map.png")}

La Llagonne
Vue aérienne de la Llagonne.

Blason de La Llagonne
Héraldique

Administration

Pays

Drapeau de la France France

Région

Occitanie

Département

Pyrénées-Orientales

Arrondissement

Prades

Canton

Les Pyrénées catalanes

Intercommunalité

CC Pyrénées catalanes

Maire
Mandat
Jean-Pierre Astruch
2014-2020

Code postal
66210

Code commune
66098
Démographie

Population
municipale
219 hab. (2016 en diminution de 9,88 % par rapport à 2011)
Densité 9,5 hab./km2
Géographie

Coordonnées

42° 31′ 38″ nord, 2° 07′ 18″ est

Altitude
1 657 m
Min. 1 546 m
Max. 2 196 m

Superficie
23,09 km2
Localisation


Géolocalisation sur la carte : Pyrénées-Orientales



Voir sur la carte administrative des Pyrénées-Orientales

City locator 14.svg

La Llagonne





Géolocalisation sur la carte : Pyrénées-Orientales



Voir sur la carte topographique des Pyrénées-Orientales

City locator 14.svg

La Llagonne





Géolocalisation sur la carte : France



Voir la carte administrative de France

City locator 14.svg

La Llagonne





Géolocalisation sur la carte : France



Voir la carte topographique de France

City locator 14.svg

La Llagonne





Liens

Site web

www.lallagonne.fr


La Llagonne .mw-parser-output .prononciation>a{background:url("//upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/8/8a/Loudspeaker.svg/11px-Loudspeaker.svg.png")center left no-repeat;padding-left:15px;font-size:smaller}Écouter (catalan : La Llaguna) est une commune française située dans le département des Pyrénées-Orientales, en région Occitanie.


Ses habitants sont appelés les Llagonnais.




Sommaire






  • 1 Géographie


    • 1.1 Localisation


    • 1.2 Communes limitrophes


    • 1.3 Géologie et relief


    • 1.4 Hydrographie


    • 1.5 Voies de communication et transports




  • 2 Toponymie


  • 3 Histoire


    • 3.1 Moyen Âge


    • 3.2 Hameau des Cortals


    • 3.3 Époque contemporaine




  • 4 Politique et administration


    • 4.1 Canton


    • 4.2 Administration municipale


    • 4.3 Liste des maires




  • 5 Population et société


    • 5.1 Démographie ancienne


    • 5.2 Démographie contemporaine


    • 5.3 Enseignement


    • 5.4 Manifestations culturelles et festivités


    • 5.5 Santé


    • 5.6 Sports




  • 6 Économie


    • 6.1 Revenus de la population et fiscalité


    • 6.2 Emploi


    • 6.3 Entreprises et commerces




  • 7 Culture locale et patrimoine


    • 7.1 Lieux et monuments


    • 7.2 Personnalités liées à la commune


    • 7.3 Héraldique




  • 8 Voir aussi


    • 8.1 Bibliographie


    • 8.2 Articles connexes


    • 8.3 Liens externes




  • 9 Notes et références


    • 9.1 Notes


    • 9.2 Références







Géographie |



Localisation |


La commune de La Llagonne est située dans les Pyrénées-Orientales en Haut-Conflent, près des bassins d'effondrement de la Cerdagne au sud-ouest et du Capcir au nord, la commune abrite un important domaine de ski nordique, ainsi qu'une petite station de ski alpin familiale et l'aérodrome de la Quillane implantés au col de la Quillane (1 717 m d'altitude).




Situation de la commune.



Communes limitrophes |






















Communes limitrophes La Llagonne[1]

Les Angles

Matemale

Caudiès-de-Conflent

Bolquère
La Llagonne[1]
Ayguatébia-Talau

La Cabanasse

Mont-Louis

Sauto



Géologie et relief |


Le col de la Quillane marque la limite de la commune avec Matemale à 1 713 m d'altitude.


La commune est classée en zone de sismicité 4, correspondant à une sismicité moyenne[2].



Hydrographie |




Voies de communication et transports |


Transports aériens


  • Aérodrome de Mont-Louis La Quillane.

L'ancienne voie royale du Capcir se détachant de celle de Perpignan à La Cabanasse et construite sous Louis XIV traversait le bourg et la station de ski de la Quillanne.



Toponymie |


Première mention du nom en 942, ipsa Laguna, puis villa Lacuna (1011), ça Laguna (1267), La Leguna, La Laguna (XIVe siècle), La Llaguna (1632) et enfin La Llagonne. Le terme latin lacuna renvoie à lagune, cette lagune ayant été asséchée au XXe siècle pour y faire passer la RN118, l'ancienne voie royale la contournant par l'ouest.


Le nom catalan de La Llagonne est la Llaguna[3].



Histoire |



Moyen Âge |




Le bourg et les Cortals, vus de l'ouest.


Un premier village se trouvait autrefois à 700 m plus à l'ouest, au lieu-dit « Iglesia Vella » (« vieille église », mentionné dans le cadastre de 1834) où se trouve encore un antique sanctuaire[précision nécessaire].


L’histoire du village débute en 811 à la conquête du Roussillon par Charlemagne.


En 866 est fondée l’église Saint-Vincent.


En 942, La Llagonne (le vilar de La Llagona) et son église Saint-Vincent, sont donnés par le comte de Cerdagne Sunifred II à l’abbaye Saint-Michel de Cuxa qui conserve les lieux comme fief jusqu’à la Révolution. Cette donation est confirmée par le pape Serge IV en 1011 (« Villam Lacunam cum eglesia sancti Vincentii »).


En 1267, on retrouve la mention d’un castrum de ça Laguna, désignant une fortification. La tour circulaire de l’église fortifiée en est probablement un vestige. La tour la surplombant est nommée « le Capil ». Elle fut construite en 1267 en même temps que les fortifications de la ville dans le but de prévenir les invasions françaises. La frontière franco-aragonaise se trouvait alors plus au nord, au col, juste après Puyvalador. La tour avait un rôle d'alerte, elle était le maillon central d'un dispositif qui était complété par la tour des Angles, celle de Prats-Balaguer, celle de Fedges, celle de la Quillane et celle d'Ovansa.



Hameau des Cortals |


Article détaillé : Els Cortals.

Le hameau des Cortals situé à l’est du village appartient à la baronnie de Nyer, et donc à la famille de Banyuls de 1340 à la Révolution.[réf. nécessaire]


Cortals est érigée en commune à la Révolution française, puis absorbée par La Llagone le 17 avril 1822[4].



Époque contemporaine |


La Communauté de communes Capcir Haut-Conflent est créée par arrêté préfectoral du 17 décembre 1997 par les communes de Caudiès-de-Conflent, Fontrabiouse-Espousouille, La Llagonne, Matemale et Réal-Odeillo[5].



Politique et administration |



Canton |




La mairie.


En 1790, la commune de La Llagonne est intégrée dans le canton d'Olette. Elle en est rapidement détachée pour rejoindre en 1793 le nouveau canton de Mont-Louis, dont elle fait partie jusqu'en 2015[4],[6].


À compter des élections départementales de 2015, la commune est incluse dans le nouveau canton des Pyrénées catalanes.



Administration municipale |


Le nombre d'habitants au dernier recensement étant compris entre 100 et 499, le nombre de membres du conseil municipal est de 11[7].



Liste des maires |















































































































Liste des maires successifs[8]
Période
Identité
Étiquette
Qualité
 
 
 
 
 
1913
1914
Baptiste Fonbère
 
 
1914
1917
Martin Corrieu
 
 
1917
1919
Baptiste Fonbère
 
 
1919
1925
Antoine Trilles
 
 
1925
1929
Gilles Nobet
 
 
1929
1939
Jean Aspero
 
 
1939
1940
Isidore Puig
 
 
1940
1983
Jean Aspero
 
 
1983
1989
François Corrieu
 
 
1989
1995
Philippe Massot
 
 
juin 1995
mars 2008
Guy Milani[9]
SE
 
mars 2008
mars 2014
Marcel Fourcade
SE (Puis EE-LV)
 
mars 2014
En cours
Jean-Pierre Astruch[10]
 
 



Population et société |



Démographie ancienne |


La population est exprimée en nombre de feux (f) ou d'habitants (H).





























Évolution de la population
1358 1365 1378 1424 1515 1553 1709 1720 1767
56 f 20 f 11 f 4 f 5 f 4 f 27 f 21 f 273 H



























1774 1789 - - - - - - -
50 f 50 f - - - - - - -

(Sources : Jean-Pierre Pélissier, Paroisses et communes de France : dictionnaire d'histoire administrative et démographique, vol. 66 : Pyrénées-Orientales, Paris, CNRS, 1986, 378 p. (ISBN 2-222-03821-9))



  • 1358 : pour La Llagonne et Quillanne.


Démographie contemporaine |


L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[11]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[12].



En 2016, la commune comptait 219 habitants[Note 1], en diminution de 9,88 % par rapport à 2011 (Pyrénées-Orientales : +4,83 %, France hors Mayotte : +2,44 %).





























Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
295 303 331 414 447 475 482 480 450



























1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
466 470 468 442 455 451 407 411 345



























1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
376 375 343 285 259 225 226 206 212



























1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2009 2014
171 164 138 214 243 263 285 246 230



























2016 - - - - - - - -
219 - - - - - - - -

De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[13] puis Insee à partir de 2006[14].)



Histogramme de l'évolution démographique




Note : à partir de 1826, la population de Cortals est recensée avec celle de La Llagonne.








































Évolution du rang de la commune
selon la population municipale des années :

1968[15]

1975[15]

1982[15]

1990[15]

1999[15]

2006[16]

2009[17]

2013[18]
Rang de la commune dans le département
155
149
123
129
125
131
136
137
Nombre de communes du département
232
217
220
225
226
226
226
226



Enseignement |




L'école communale.


L'école est un regroupement pédagogique intercommunal entre La Llagonne, Saint-Pierre-dels-Forcats, Mont-Louis et La Cabanasse. Saint-Pierre, Mont-Louis et La Cabanasse accueillent chacune une section maternelle. L'école élémentaire est partagée entre Saint-Pierre pour le CP, Mont-Louis pour le CE1, La Llagonne pour le CE2, et La Cabanasse pour le CM1 et CM2[19]. L'école est située au bourg, sur la route de Mont-Louis.


Le secteur du collège est Font-Romeu[20].



Manifestations culturelles et festivités |



  • Fête patronale : 22 janvier[21] ;

  • Fête communale : 1er dimanche d'octobre[21].



Santé |


La santé des habitants de La Llagonne est réputée comme en témoigne une lettre de Vauban datant de 1679[22] :

"On y jouit d'un air un peu froid à la vérité, mais si sain que les habitants m'ont dit leur être ordinaire d'y vivre 80 ou 90 et jusqu'à 100 ans. Les hommes y sont très bien proportionnés dans leur taille, et tous ont les jambes bien faites, les dents blanches, les yeux vifs, de l'esprit et entendent à demy-mot ce qu'on leur veut dire, au surplus un peu pendarts et gens à escoupeter leurs ennemis sans beaucoup de façon.



Sports |



Économie |



Revenus de la population et fiscalité |


En 2010, le revenu fiscal médian par ménage était de 23 378 €[23].



Emploi |



Entreprises et commerces |



  • Station de ski alpin La Quillane.

  • Agriculture, élevage de chevaux.

  • Hôtel.



Culture locale et patrimoine |



Lieux et monuments |


  • L'église paroissiale Saint-Vincent : elle est fondée en 866 puis est reconstruite au XIIe siècle. Elle est bâtie sur les restes d'un ancien château. Elle est de style roman, son portail est sobre. Son abside autrefois circulaire a été remplacé par une abside rectangulaire au XVIIIe siècle. Le départ de l'ancienne abside est toutefois toujours visible. En 1742 est créée la sacristie. En 1801 est refait le côté droit du portail, détruit par un tir d'obus de l'armée du général Dagobert lors des guerres de la Révolution, en 1793. Le vieux clocher effondré en 1842 est reconstruit en 1843, et doté de cloches neuves.

Le mobilier comporte notamment un antependium datant du XIIIe siècle. Celui-ci représente le Christ peint dans une mandorle, assis en majesté lors du jugement dernier. Il mesure 1,65 m sur 96 cm de large. En plus de l'antépendium, l'église de La Llagonne possède un baldaquin richement décoré du XIIIe siècle et un Christ romano-byzantin du XIIe siècle. Ces pièces sont classées aux monuments historiques.


  • La tour du Capil : ancienne tour de guet bâtie en 1267 servant à prévenir des invasions françaises du temps où le Roussillon faisait partie de la couronne d'Aragon, elle est actuellement en ruine.



Cliquez sur une vignette pour l’agrandir.




Personnalités liées à la commune |




  • Simon Fourcade (1984-) : biathlète français, fils du maire Marcel Fourcade.


  • Martin Fourcade (1988-) : biathlète français, frère du précédent.



Héraldique |












Blason de Llagonne (La) Blason Fascé d'argent et de sable, au chef d'azur chargé d'une meule d'or.
Détails
La partie inférieure de l'écu est une référence aux armes de la famille de Banyuls de Montferré, seigneur des Cortals, hameau à l'Est de la Llagonne dépendant de la baronnie de Nyer, du XIVe siècle à la Révolution. En 1822, le village des Cortals, n'ayant pas une taille suffisante pour constituer une commune à lui seul, est rattaché à La Llagonne.


Voir aussi |


.mw-parser-output .autres-projets ul{margin:0;padding:0}.mw-parser-output .autres-projets li{list-style-type:none;list-style-image:none;margin:0.2em 0;text-indent:0;padding-left:24px;min-height:20px;text-align:left}.mw-parser-output .autres-projets .titre{text-align:center;margin:0.2em 0}.mw-parser-output .autres-projets li a{font-style:italic}

Sur les autres projets Wikimedia :





Bibliographie |




  • Histoire du Roussillon et Œuvres posthumes de Jean de Gazanyola, augmenté des notes recueillies et classées par Clément de Lacroix


  • Histoire de la maison des chevaliers de Banyuls, barons de Nyer, marquis de Montferré, seigneurs de La Rocha, Porcinyans, Fornols, Puig, Réal, Odeillo, Leca, Millepetit 1132-1922, par M. l'abbé Jean Capeille, curé à Banyuls-dels-Aspres



Articles connexes |



  • Liste des communes des Pyrénées-Orientales

  • Anciennes communes des Pyrénées-Orientales



Liens externes |



  • Site officiel

  • Notice Cassini

  • La Llagonne sur le site de l'Institut géographique national (archive)

  • Histoire du Roussillon, La Llagonne



Notes et références |



Notes |




  1. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2019, millésimée 2016, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2018, date de référence statistique : 1er janvier 2016.



Références |




  1. Carte IGN sous Géoportail


  2. « Plan séisme » (consulté le 29 mars 2017)


  3. (ca)(fr)Institut d’Estudis Catalans, Université de Perpignan, Nomenclàtor toponímic de la Catalunya del Nord, Barcelone, 2007(lire en ligne)


  4. a et bJean-Pierre Pélissier, Paroisses et communes de France : dictionnaire d'histoire administrative et démographique, vol. 66 : Pyrénées-Orientales, Paris, CNRS, 1986, 378 p. (ISBN 2-222-03821-9)


  5. Site officiel, section Statuts


  6. Notice Cassini de La Llagonne


  7. art L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales.


  8. MaireGenWeb


  9. G. Milani a parrainé la candidature d'Olivier Besancenot à l'élection présidentielle de 2002, cf. Liste des citoyens ayant présenté les candidats à l'élection du Président de la République de 2002


  10. [PDF] « Liste des maires du département des Pyrénées-Orientales à la suite des élections municipales et communautaires des 23 et 30 mars 2014 », sur http://la-clau.net.


  11. L'organisation du recensement, sur insee.fr.


  12. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.


  13. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.


  14. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015 et 2016.


  15. a b c d et eINSEE, « Population selon le sexe et l'âge quinquennal de 1968 à 2012 (1990 à 2012 pour les DOM) », sur insee.fr, 15 octobre 2015(consulté le 10 janvier 2016)


  16. INSEE, « Populations légales 2006 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, 1er janvier 2009(consulté le 8 janvier 2016)


  17. INSEE, « Populations légales 2009 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, 1er janvier 2012(consulté le 8 janvier 2016)


  18. INSEE, « Populations légales 2013 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, 1er janvier 2016(consulté le 8 janvier 2016)


  19. [xls] Académie de Montpellier, « Effectifs détaillés par école en 2012 », février 2013(consulté le 26 juillet 2013)


  20. Inspection académique des Pyrénées-Orientales, « Circonscription de Prades », 2012(consulté le 26 juillet 2013)


  21. a et bMichel de La Torre, Pyrénées-Orientales : Le guide complet de ses 224 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, coll. « Villes et villages de France », 1990(ISBN 2-7399-5066-7)


  22. Lettres de Louis XIV à VaubanSource insuffisante 



  23. « Fichier RFDM2010COM : Revenus fiscaux localisés des ménages - Année 2010 », sur le site de l'Insee (consulté le 1er février 2013).





  • Portail des pays catalans Portail des pays catalans
  • Portail des Pyrénées-Orientales Portail des Pyrénées-Orientales
  • Portail des communes de France Portail des communes de France
  • Portail des Pyrénées Portail des Pyrénées



Popular posts from this blog

"Incorrect syntax near the keyword 'ON'. (on update cascade, on delete cascade,)

Alcedinidae

RAC Tourist Trophy