Williams F1 Team





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Williams F1 Team



Logo













Localisation
Drapeau du Royaume-Uni Grove





















Dirigeants et pilotes
Président
Drapeau du Royaume-Uni Frank Williams
Drapeau du Royaume-Uni Claire Williams
Directeur technique
Drapeau du Royaume-Uni Paddy Lowe
Pilotes
18. Drapeau du Canada Lance Stroll
35. Drapeau de la Russie Sergey Sirotkin
Pilotes essayeurs
Drapeau de la Pologne Robert Kubica
Drapeau du Royaume-Uni Oliver Rowland

















Caractéristiques techniques
Châssis
FW41
Moteurs
Drapeau de l'Allemagne Mercedes V6 turbo M09 EQ Power+
Pneumatiques
Drapeau de l'Italie Pirelli









































Résultats
Début
En tant qu'écurie
Grand Prix d'Espagne 1977
En tant que constructeur
Grand Prix d'Argentine 1978
Courses disputées
En tant qu'écurie : 703 GP disputés (699 départs)
En tant que constructeur : 692 GP disputés (691 départs)
Points marqués
3560
Titres constructeurs
9
Titres pilotes
7
Victoires
114
Podiums
315
Pole positions
128
Meilleurs tours en course
133



Williams Grand Prix Engineering (engagée en compétition sous la dénomination commerciale Williams Martini Racing depuis 2014) est une écurie britannique de Formule 1, basée à Grove. Fondée en 1977 par Frank Williams et Patrick Head, l'équipe est actuellement la propriété de Frank Williams (52,25 %), Brad Hollinger (14,75 %), Patrick Head (9 %), le marché public (20 %) et le fonds en fiducie des employés (4 %).


Frank Williams a commencé à faire courir des voitures en Formule 1 au cours de la saison 1969. L'écurie a fait ses débuts dans le championnat du monde des constructeurs, sous son nom propre, en 1975 avant d'être rachetée fin 1976. L'équipe Williams telle qu'elle existe aujourd'hui n'a vu le jour qu'en 1977 et a débuté en 1978. Avec ses 16 titres mondiaux acquis lors des années 1980 et 1990, 114 victoires et 128 pole positions, elle est l'une des plus prestigieuses écuries de l'histoire de la Formule 1.




Sommaire






  • 1 Historique


    • 1.1 Naissance de l'écurie


    • 1.2 1977 à 1979 : les débuts


    • 1.3 1980 à 1987 : succès avec Ford puis Honda


    • 1.4 1989 à 1997 : succès avec Renault


    • 1.5 1998-1999 : période de transition


    • 1.6 2000 à 2005 : renouveau avec BMW


    • 1.7 2006 à 2011 : déclin


    • 1.8 2012 : victoire avec Renault


    • 1.9 2013-2014 : une année catastrophique puis un podium


    • 1.10 2015-2016


    • 1.11 2017-2018 : arrivée de Sirotkin et Kubica puis arrivée de Paddy Lowe et départ de Bottas




  • 2 Pilotes champions du monde sur Williams


  • 3 Résultats en championnat du monde de Formule 1


  • 4 Notes et références


  • 5 Liens externes





Historique |



Naissance de l'écurie |




Brabham BT26 engagée par l'écurie Frank Williams Racing Cars pour Piers Courage.




Wolf-Williams FW05 à Goodwood en 2010.


La première écurie Williams a été fondée en 1966 sous le nom « Frank Williams Racing Cars Ltd ». À cette époque, Frank Williams prépare et engage des châssis Brabham en Formule 3 et en Formule 2. Puis, à partir de 1969, Williams engage des voitures en Formule 1 : une Brabham BT26A en 1969, une De Tomaso 505 en 1970, deux March en 1971 et 1972 ainsi qu'une Politoys FX3 en 1972.


Devant la médiocrité des résultats accumulés depuis 1969, Frank Williams décide courant 1972 de changer de stratégie et devient constructeur à part entière. C'est ainsi que nait en 1972 la Polytoys FX3, baptisée du nom d'un fabricant de jouets partenaire de l'opération. Elle deviendra Iso-Marlboro FX3 en 1973, à la suite d'un partenariat avec le fabricant de voitures de sport italien Iso Rivolta. En 1975, le partenariat se termine, et les châssis sont, pour la première fois, baptisés « Williams ».


Toujours aussi désargenté, Williams accepte fin 1975 la prise de participation majoritaire dans l'écurie du milliardaire austro-canadien Walter Wolf. En 1976, l'équipe devient donc Wolf-Williams et aligne les voitures de l'ancienne écurie de Lord Hesketh. Mais au bout d'une seule saison, Walter Wolf pousse Frank Williams dehors et rachète la totalité de l'écurie, qui devient Walter Wolf Racing en 1977.


Début 1977, Frank Williams fonde une nouvelle écurie en association avec le jeune ingénieur Patrick Head. C'est cette nouvelle structure, baptisée Williams Grand Prix Engineering, qui perdure de nos jours et communique sous le nom de Williams F1 Team.




1977 à 1979 : les débuts |


En 1977, par manque de temps, la nouvelle équipe Williams ne peut faire autre chose que d'engager une March 761 de la saison précédente, motorisée par un Ford-Cosworth DFV. Mais dès 1978, l'équipe retrouve son statut de constructeur, avec toujours le même motoriste. Clay Regazzoni signe la première victoire de l'écurie au Grand Prix de Grande-Bretagne 1979.



1980 à 1987 : succès avec Ford puis Honda |




La Williams FW07C de 1980




Keke Rosberg sur la Williams FW10 en 1985


Alan Jones remporte le championnat en 1980, imité par Keke Rosberg en 1982. En 1980 et 1981, l'écurie décroche également le titre des constructeurs.


Pour rester en haut de l'affiche, Williams se doit de s'allier à un grand constructeur et de passer aux moteurs 1.5L turbocompressés, à la place des vieux Cosworth DFV 3.0L. C'est le cas avec Honda dès la fin de l'année 1983. Après quelques coups d'éclats en 1984, Keke Rosberg et Nigel Mansell emportent chacun deux succès l'année suivante. En 1986, Nelson Piquet rejoint l'écurie aux côtés de Mansell, sur une Williams qui est maintenant la référence. Au Grand Prix d'Australie 1986, Mansell est en position de remporter le titre, mais une crevaison le contraint à abandonner. Par mesure de sécurité, Piquet est rappelé aux stands pour changer de pneus, ce qui va permettre à Alain Prost de remporter son second titre, malgré une McLaren globalement moins compétitive. Néanmoins, l'écurie remporte le titre constructeur, une implacable domination que ne parvient même pas à troubler l'accident de la route qui laisse Frank Williams paralysé, cette même année.


En 1987 en revanche, Mansell et Piquet n'ont pas de rivaux, mais c'est en interne que leur duel va s'avérer le plus intense. Piquet va faire un pied de nez à Frank Williams, souffler le titre à Mansell, et quitter l'écurie, mécontent de ne pas être clairement le numéro 1. De plus, en raison de divergences avec Williams, Honda décide de motoriser McLaren.




1989 à 1997 : succès avec Renault |




Mansell sur la Williams FW14 en 1991




Villeneuve sur la Williams FW18 en 1996


Frank Williams, qui a perdu son champion, se rabat sur le moteur Judd en 1988, en attendant le moteur Renault Sport prévu pour 1989. L'année est difficile, égayée par deux podiums de Nigel Mansell, qui rejoint Ferrari à la fin de l'année.


L'année suivante, Renault Sport motorise donc l'écurie et Thierry Boutsen offre deux victoires à Montréal et Adelaïde. Riccardo Patrese est troisième du championnat du monde des pilotes et Williams termine second du championnat des constructeurs.


En 1990, malgré les victoires de Boutsen à Budapest et de Patrese à Imola, la saison est une déception et Williams termine quatrième du championnat du monde.


En 1991, Nigel Mansell remplace Boutsen. Après des débuts difficiles, la FW14 devient redoutable et remporte sept victoires. Toutefois, l'avance prise par Ayrton Senna en début de saison lui permet d'être sacré champion du monde.


En 1992, Williams décroche 10 victoires, 14 pole positions et un doublé au championnat des pilotes. La FW14B bénéficie au maximum des aides électroniques très développées. Néanmoins, le champion du monde, Mansell, quitte Williams et la Formule 1 pour le championnat CART.


En 1993, Alain Prost remplace Mansell et le pilote essayeur Damon Hill remplace Patrese. Malgré des débuts difficiles sous la pluie d'Interlagos et Donington, Prost remporte son quatrième titre et Hill finit troisième avec trois victoires.


En 1994, Prost, qui a pris sa retraite, est remplacé par Ayrton Senna. Les aides au pilotage ont été supprimées, ce qui rend très instable la FW16. Senna ne marque aucun point lors des deux premières courses. Survient alors le drame d'Imola, où Senna meurt dans un accident alors qu'il était en tête du Grand Prix. Hill est propulsé leader de l'écurie face à Michael Schumacher mais il ne peut rien face à l'Allemand malgré l'aide de David Coulthard et Nigel Mansell qui revient pour cinq Grands Prix et qui contribuent au sacre constructeur de Williams avec sept victoires.


En 1995, Hill fait équipe avec David Coulthard préféré à Mansell. Face à Schumacher et Benetton-Renault, l'Anglais est impuissant et commet de nombreuses erreurs. Williams ne remporte que cinq victoires et finit second au championnat. En 1996, Williams conserve Damon Hill qui fait équipe avec le novice Jacques Villeneuve. La FW18 est très performante et Hill devient champion du monde avec huit victoires. Hill déçoit en fin de saison, se laissant rattraper par Villeneuve et quitte l'écurie en 1997, où il est remplacé par Heinz-Harald Frentzen.


En 1997, malgré une FW19 supérieure à la concurrence, Villeneuve doit attendre la dernière course pour être sacré face à Schumacher et Ferrari. Williams est également champion avec huit victoires, les sept de Villeneuve ajoutées à celle obtenue par Frentzen au Grand Prix de Saint-Marin.



1998-1999 : période de transition |




Alessandro Zanardi sur la Williams-Supertec en 1999


En 1998, les départs de Renault Sport et d'Adrian Newey ne permettent pas à Williams et Jacques Villeneuve de conserver leurs titres. Le moteur Mecachrome (ex-Renault) n'est pas assez performant et Newey a manqué pour le développement de la FW20 alors qu'il dessinait la voiture championne du monde, la McLaren MP4/13. L'équipe signe trois podiums à Melbourne, Hockenheim et Budapest et doit lutter jusqu'au bout pour la troisième place du championnat.


1999 est une année de transition, en attendant BMW. Le moteur est toujours un Mecachrome/Supertec, mais Villeneuve et Frentzen sont partis, remplacés par Alessandro Zanardi et Ralf Schumacher. L'Italien est la déception de l'année, ne marquant aucun point. Ralf réalise en revanche de bonnes performances, montant à trois reprises sur le podium (à Melbourne, Silverstone et Monza) et inscrivant 35 points. Williams ne termine que cinquième du championnat.




2000 à 2005 : renouveau avec BMW |




Schumacher sur la Williams-BMW en 2003




Webber sur la Williams-BMW en 2005


Début 2000, Williams bénéficie de nouveau d'un moteur d'usine BMW. Alessandro Zanardi est remplacé par le jeune espoir Jenson Button. Malgré les craintes hivernales en raison de problèmes de fiabilité récurrents, la saison est une réussite. Ralf Schumacher signe trois podiums à Melbourne, à Spa et à Monza. Button confirme les espoirs placés en lui et l'équipe termine troisième du championnat.


En 2001, le grand espoir colombien Juan Pablo Montoya remplace Button, prêté à Benetton Formula, et Michelin remplace Bridgestone. La FW23 apparaît comme très performante, remportant à Imola la première victoire de l'équipe depuis 1997, suivie de trois autres à Montréal, Hockenheim et Monza. L'équipe est à nouveau troisième du championnat.


En 2002, Williams fait figure de premier challenger de Ferrari. Si l'équipe finit seconde au championnat, cette saison est une déception car Williams finit très loin de Ferrari (129 pts) et ne remporte qu'une victoire, à Sepang.


Le début de saison 2003 est également décevant en raison de problèmes aérodynamiques. Ceux-ci réglés, les Williams deviennent très performantes à partir de l'Autriche avec une série de quatre victoires à Monaco, au Nurburgring, à Magny-Cours et Hockenheim. Quelques erreurs coûtent les deux titres à Williams. Fin 2003, Montoya annonce son transfert chez McLaren pour 2005.


En 2004, Williams présente un aileron avant révolutionnaire. Mais tandis que Ferrari reprend sa domination, Williams ne parvient pas à lutter avec British American Racing et Renault F1 Team pour la seconde place du championnat. À Indianapolis, Ralf Schumacher est victime d'un grave accident : il est remplacé par Marc Gené puis Antônio Pizzonia. En fin de saison, un aileron plus classique est de retour et Montoya remporte son dernier Grand Prix pour Williams au Brésil. Williams finit quatrième du championnat du monde.


En 2005, Mark Webber et Nick Heidfeld remplacent Montoya et Ralf Schumacher mais la FW27 n'est pas très performante et ils ne peuvent apporter plus que quelques podiums à Sepang, Monaco et au Nürburgring. BMW annonce son départ à mi-saison en rachetant Sauber et les performances plongent : plus aucun podium et Antônio Pizzonia remplace Heidfeld en fin de saison.



2006 à 2011 : déclin |




Rosberg sur la Williams-Toyota FW29




Nakajima sur la Williams-Toyota FW30




Rubens Barrichello sur la FW32 en test à Jerez




Rubens Barrichello et la FW33 au Grand Prix de Malaisie 2011


En 2006, Cosworth remplace BMW et Bridgestone remplace Michelin qui équipait l'équipe depuis 2001. La saison est la pire de l'écurie depuis 1977 avec seulement 11 points inscrits et aucun podium. Les pilotes Mark Webber et le débutant Nico Rosberg ne peuvent pallier les performances d'un matériel rétif, notamment un moteur peu fiable. Ainsi, quelques coups d'éclats sont vite avortés par des ennuis de fiabilité.


À la suite de cette désastreuse saison, Williams change de motoriste et Toyota remplace Cosworth. Mark Webber, parti chez Red Bull Racing, est remplacé par l'Autrichien Alexander Wurz jusqu'alors pilote d'essai. Même si la FW29 ressemble fortement à la FW28, sa fiabilité et ses résultats en essais durant le mois de février contrastent avec sa devancière. Les résultats se confirment durant la première moitié de saison, Nico Rosberg se hissant presque toujours dans la dernière partie des qualifications et engrangeant plusieurs points encourageants. Quant à Alexander Wurz, si ses résultats souffrent de la comparaison avec ceux de son équipier, il fait preuve d’opportunisme avec une troisième place lors du chaotique Grand Prix du Canada, le premier podium de l'écurie depuis trente-cinq épreuves, et une quatrième place sous la pluie au Nurburgring.


Après une saison 2007 encourageante, Kazuki Nakajima, jeune espoir de Toyota, remplace Alexander Wurz en 2008 au volant d'une FW30 présentée discrètement mais sur laquelle l'équipe fonde de grands espoirs. La saison débute bien puisque Nico Rosberg monte sur son premier podium grâce à sa troisième place et que Kazuki Nakajima finit sixième en Australie. Au Grand Prix de Singapour, Kazuki Nakajima se classe huitième tandis que Nico Rosberg monte sur la deuxième marche du podium derrière Fernando Alonso et devant Lewis Hamilton. Mais ces deux bons résultats sont les seuls coups d'éclats de l'année et l'écurie termine huitième du championnat.


En 2009, Williams fournit les châssis de la nouvelle Formule 2 et profite de la nouvelle règlementation (pneus slicks, SREC, aérodynamique modifiée, réduction des coûts) pour se relancer grâce au double diffuseur qui lui offre un avantage en début de saison, tout comme Brawn GP et Toyota. Mais au fur et à mesure de la saison, l'équipe rentre dans le rang et doit se contenter de la septième place du classement des constructeurs grâce principalement à Nico Rosberg qui marque tous les points de l'équipe.


Le 19 novembre 2009, Frank Williams et Patrick Head annoncent avoir vendu une part minoritaire de leur écurie à une société d'investissement dirigée par l'Autrichien Christian « Toto » Wolff qui rejoint également le directoire de la société[1]. Wolff est notamment connu pour avoir remporté les 24 Heures de Dubaï 2006 en catégorie GT et pour son record du tour de la Nordschleife du Nürburgring au volant d’une Porsche 997 RSR en avril 2009[2]. Un peu plus d'un an plus tard, Frank Williams dit envisager une entrée en bourse[3].


En 2010, Williams perd Nico Rosberg parti chez Mercedes Grand Prix et se sépare de Kazuki Nakajima, protégé de Toyota qui quitte la discipline. L'écurie est désormais motorisée par Cosworth et les nouveaux pilotes sont Rubens Barrichello, troisième du championnat écoulé et Nico Hülkenberg, champion GP2 2009 dès sa première participation. Après un début de saison difficile, l'équipe réalise une seconde partie de saison intéressante, qui lui permet de terminer à la sixième place du championnat des constructeurs. Le coup d'éclat de la saison est réalisé par Nico Hülkenberg qui signe la pole position à Interlagos sur une piste séchante. Il devient, à 23 ans et 79 jours, le sixième plus jeune poleman de l'histoire de la Formule 1 et permet à Williams de décrocher sa 126e pole position, sa première depuis 2005.


En 2011, Williams perd plusieurs sponsors majeurs et, pour assurer l'avenir de l'écurie, une partie de son capital est mis en bourse[4], et le pilote payant vénézuélien Pastor Maldonado (champion GP2 2010) remplace Nico Hülkenberg. Le manque de budget se fait ressentir sur les performances, la FW33 manque de fiabilité et de vitesse, seuls cinq points sont inscrits, installant l'écurie à la neuvième place du championnat, son pire classement depuis 1978[5].


Le directeur technique, Sam Michael, en place depuis 2004, est débarqué au profit de Mike Coughlan[6]. Williams et Renault Sport F1 annoncent un partenariat châssis-moteur de longue durée, le département F1 de Renault équipant Williams de ses blocs moteurs V8 pour les saisons 2012 et 2013. Outre la fourniture de moteurs, le partenariat comprend d'autres opportunités commerciales et marketing, avec une possibilité de prolongation après l'introduction du futur moteur V6 turbo en 2014[7],[8].




2012 : victoire avec Renault |


Après le retour du moteur Renault, le 16 janvier 2012, Williams annonce la titularisation de Bruno Senna en tant que deuxième pilote, aux côtés de Pastor Maldonado[9],[10]. Le 28 février 2012, Alexander Wurz est engagé pour aider les pilotes Bruno Senna et Pastor Maldonado et partager son expérience de la course[11].


Lors de la manche inaugurale de la saison, en Australie, Maldonado sort de la piste dans le dernier tour alors qu'il était sixième, en position d'inscrire huit points. En Malaisie, Senna tire parti de conditions climatiques difficiles et termine septième pour son deuxième Grand Prix avec Williams. Alors que ces performances sont encourageantes pour la suite de la saison, l'écurie annonce la démission de son président Adam Parr[12],[13] et l'arrivée de Susie Wolff comme pilote de développement[14].


Maldonado inscrit quatre nouveaux points grâce à sa huitième place en Chine, avant de s'illustrer lors du Grand Prix d'Espagne où il obtient sa première pole position et remporte la première victoire de sa carrière, la première de Williams depuis 2004. Le dernier succès du partenariat Williams-Renault remontait au Grand Prix du Luxembourg 1997.



2013-2014 : une année catastrophique puis un podium |


La saison 2013 est catastrophique car la Williams FW35, monoplace ratée, est incapable de viser les points à la régulière. Ainsi, Bottas inscrit 4 points en terminant huitième du Grand Prix des États-Unis tandis que Maldonado se classe dixième en Hongrie. Avec 5 points, l'écurie termine neuvième du championnat du monde.




Massa au Grand Prix automobile de Chine 2014 à bord de sa Williams FW36.


En 2014, le moteur Renault est remplacé par celui de Mercedes-Benz. Côté pilotes, Felipe Massa remplace Pastor Maldonado parti chez Lotus F1 Team, Valtteri Bottas étant reconduit.


Pour la manche inaugurale, en Australie, Massa est accroché dès le départ par Kamui Kobayashi, victime d'un problème de freins. Bottas termine cinquième malgré une crevaison et la perte d'une roue. En Malaisie, Massa et Bottas finissent septième et huitième, Massa ayant refuser de s'écarter malgré les consignes de son équipe. Lors du Grand Prix de Bahreïn, les deux pilotes sont en lutte pour le podium mais une forte dégradation des pneus ne leur permet pas de finir mieux que septième et huitième. En Chine, Massa est victime d'un long arrêt aux stands, il ne finit que quinzième, Bottas termine septième. En Espagne, Bottas termine à une belle cinquième place, Massa termine treizième à cause d'une mauvaise stratégie. Lors du Grand Prix de Monaco, Bottas abandonne sur casse de moteur, Massa finit septième.


Au Grand Prix du Canada, Massa est d'abord victime, à nouveau, d'un long arrêt aux stands, mais il deviendra un candidat au podium jusqu'au dernier tour où il est victime, au dernier tour, d'un accrochage avec Sergio Pérez, anéantissant tout espoirs de podium pour l'écurie anglaise. Bottas termine septième. Encore, Massa aura le mérite de signer le meilleur tour en course.


En Autriche, les deux voitures se qualifient en première ligne, Massa en pole-position, Bottas à la deuxième place. Mais en course, il devront s'effacer devant les Mercedes de Nico Rosberg et de Lewis Hamilton. Bottas monte sur son premier podium en Formule 1, le premier de l'écurie depuis la victoire de Pastor Maldonado depuis le Grand Prix d'Espagne 2012. Massa termine quatrième.



2015-2016 |




Valtteri Bottas au Grand Prix du Canada 2015.





Felipe Massa au Grand Prix de Bahreïn 2016 avec la Williams FW38


2015 est du même niveau que 2014, avec quatre podiums (2 pour Valtteri Bottas au Canada et au Mexique et 2 pour Felipe Massa en Autriche et en Italie). Régulièrement dans le top 10, l'écurie britannique se classe troisième du championnat des constructeurs avec 257 points.


Le 26 novembre 2015, Lance Stroll, qui faisait partie de la Ferrari Driver Academy depuis 2010, rejoint l'écurie britannique et devient pilote de développement[15]. Quatre mois plus tard, Alex Lynn, qui a rejoint l'écurie en 2015 en tant que pilote de développement, conserve son rôle pour la saison 2016[16].


En 2016, les pilotes accèdent régulièrement au top 10, Bottas montant même sur un nouveau podium, au Canada, comme en 2015. En septembre 2016, Massa annonce son retrait retirer de la Formule 1 et Stroll est annoncé comme son remplaçant pour 2017[17],[18]. L'écurie fait moins bien qu'en 2015, avec 138 points et la cinquième place du championnat des constructeurs.



2017-2018 : arrivée de Sirotkin et Kubica puis arrivée de Paddy Lowe et départ de Bottas |





Lance Stroll lors de l'essai libre 1 du Grand Prix automobile de Malaisie 2017 avec la Williams FW40


En janvier 2017, Paddy Lowe quitte Mercedes pour Williams où, au terme d'un préavis dont la durée n'est pas encore connue, il prendra le poste de directeur exécutif : « J'ai passé trois années remplies de succès et très plaisantes chez Mercedes où j'ai travaillé avec une équipe incroyable. Je regarde maintenant vers l'avenir et un nouveau défi, et je souhaite le meilleur à tout le monde chez Mercedes »[19]. Du côté des pilotes, alors que Williams engage le novice canadien Lance Stroll pour piloter la FW40 en 2017, Felipe Massa quitte théoriquement la Formule 1 après avoir annoncé son départ à la retraite en septembre 2016. Le départ inattendu de Nico Rosberg, cinq jours après l'obtention de son premier titre mondial, change la donne puisque Mercedes Grand Prix choisit Valtteri Bottas pour le remplacer. Pour le libérer de son contrat, Williams souhaite faire sortir Massa de sa retraite. Le 16 janvier 2017, ces mouvements sont officialisés[20] : Bottas rejoint les Flèches d'Argent pour faire équipe avec Lewis Hamilton et Massa dispute une saison supplémentaire avec Williams afin d'épauler Lance Stroll, pour un salaire de 6 millions d'euros financé en partie par Mercedes[20],[21].


La saison commence avec trois abandons consécutifs de Stroll alors que Massa obtient deux sixièmes places. Le Canadien progresse lentement jusqu'au Grand Prix automobile d'Azerbaïdjan 2017 où, troisième, il monte sur son premier podium.


En Hongrie, Massa est contraint de se retirer en raison d'une maladie ; Paul di Resta le remplace et se qualifie en dix-neuvième position après 3 ans d'absence. Le 4 novembre 2017, Massa a annoncé sa décision de se retirer de la Formule 1 à l'issue de la saison[22].


L'écurie se classe, à nouveau, à la cinquième place au championnat des constructeurs, avec 83 points.


Le 16 janvier 2018, l'écurie britannique titularise Sergey Sirotkin aux cotés de Lance Stroll[23]. Robert Kubica est confirmé en tant que pilote de développement et réserve ; il doit participer à plusieurs sessions d'essais libres et à des essais privés[24].


Le 22 novembre 2018, Williams annonce la titularisation de Robert Kubica, aux côtés de George Russell, officialisé plus tôt dans la saison[25].



Pilotes champions du monde sur Williams |




  • 1980 : Drapeau de l'Australie Alan Jones


  • 1982 : Drapeau de la Finlande Keke Rosberg


  • 1987 : Drapeau du Brésil Nelson Piquet


  • 1992 : Drapeau du Royaume-Uni Nigel Mansell


  • 1993 : Drapeau de la France Alain Prost


  • 1996 : Drapeau du Royaume-Uni Damon Hill


  • 1997 : Drapeau du Canada Jacques Villeneuve



Résultats en championnat du monde de Formule 1 |
















































































































































































































































































































































































































































































































































































































































































































































Résultats de l'écurie Williams F1 Team en championnat du monde de Formule 1
Saison
Écurie
Châssis
Moteur
Pneus
Pilotes
Grands Prix disputés
Victoires
Pole positions
Meilleurs tours
Points inscrits
Classement
1969
Drapeau : Royaume-Uni Frank Williams Racing Cars
Brabham BT26A Ford-Cosworth Dunlop
Drapeau : Royaume-Uni Piers Courage
10 0 0 0 0 Non engagé
1970
Drapeau : Royaume-Uni Frank Williams Racing Cars
De Tomaso 505 Ford-Cosworth Dunlop
Drapeau : Royaume-Uni Piers Courage
Drapeau : Royaume-Uni Brian Redman
Drapeau : Australie Tim Schenken
11 0 0 0 0 Non engagé
1971
Drapeau : Royaume-Uni Frank Williams Racing Cars

March 701
March 711
Ford-Cosworth Firestone
Drapeau : France Henri Pescarolo
Drapeau : France Max Jean
11 0 0 0 0 Non engagé
1972
Drapeau : Royaume-Uni Frank Williams Racing Cars

March 711
March 721
Politoys FX3
Ford-Cosworth Goodyear
Drapeau : France Henri Pescarolo
Drapeau : Brésil José Carlos Pace
12 0 0 0 0 Non engagé
1973
Drapeau : Royaume-Uni Frank Williams Racing Cars

Iso-Marlboro FX3B
Iso-Marlboro IR
Ford-Cosworth Firestone
Drapeau de l'Italie Nanni Galli
Drapeau de la Nouvelle-Zélande Howden Ganley
Drapeau : Afrique du Sud Jackie Pretorius
Drapeau du Danemark Tom Belsø
Drapeau de la France Henri Pescarolo
Drapeau de la Nouvelle-Zélande Graham McRae
Drapeau des Pays-Bas Gijs van Lennep
Drapeau de l'Australie Tim Schenken
Drapeau de la Belgique Jacky Ickx
15 0 0 0 2
10e
1974
Drapeau : Royaume-Uni Frank Williams Racing Cars
Iso-Marlboro FW Ford-Cosworth Firestone
Drapeau de l'Italie Arturo Merzario
Drapeau du Danemark Tom Belsø
Drapeau des Pays-Bas Gijs van Lennep
Drapeau du Royaume-Uni Richard Robarts
Drapeau de la France Jean-Pierre Jabouille
Drapeau de la France Jacques Laffite
15 0 0 0 4
10e
1975
Drapeau : Royaume-Uni Frank Williams Racing Cars
Williams FW Ford-Cosworth Goodyear
Drapeau de l'Italie Arturo Merzario
Drapeau de la France Jacques Laffite
Drapeau du Royaume-Uni Tony Brise
Drapeau : Afrique du Sud Ian Scheckter
Drapeau de la France François Migault
Drapeau du Royaume-Uni Ian Ashley
Drapeau de la Suisse Jo Vonlanthen
Drapeau de l'Italie Renzo Zorzi
Drapeau de la Suisse Loris Kessel
Drapeau du Royaume-Uni Damien Magee
12 0 0 0 6
9e
1976
Drapeau : Royaume-Uni Frank Williams Racing Cars

Williams FW
Williams FW04
Williams FW05
Ford-Cosworth Goodyear
Drapeau de l'Italie Arturo Merzario
Drapeau de la France Jacques Laffite
Drapeau de l'Italie Lella Lombardi
Drapeau de l'Italie Renzo Zorzi
Drapeau de l'Espagne Emilio Zapico
Drapeau de la Suisse Loris Kessel
Drapeau de la Belgique Jacky Ickx
Drapeau de la France Michel Leclère
Drapeau du Danemark Tom Belsø
Drapeau de la Nouvelle-Zélande Chris Amon
Drapeau de la Nouvelle-Zélande Warwick Brown
Drapeau de l'Autriche Hans Binder
13 0 0 0 0 Non classé
1977
Drapeau : Royaume-Uni Williams Grand Prix Engineering
March 761 Ford-Cosworth Goodyear
Drapeau de la Belgique Patrick Nève
11 0 0 0 0 Non engagé
1978
Drapeau : Royaume-Uni Williams Grand Prix Engineering
Williams FW06 Ford-Cosworth Goodyear
Drapeau de l'Australie Alan Jones
16 0 0 2 11
9e
1979
Drapeau : Royaume-Uni Albilad-Saudia Racing Team

Williams FW06
Williams FW07
Ford-Cosworth Goodyear
Drapeau de l'Australie Alan Jones
Drapeau de la Suisse Clay Regazzoni
15 5 3 3 75
2e
1980
Drapeau : Royaume-Uni Albilad-Williams Racing Team

Williams FW07
Williams FW07B
Ford-Cosworth Goodyear
Drapeau de l'Australie Alan Jones
Drapeau de l'Argentine Carlos Reutemann
Drapeau : Afrique du Sud Desiré Wilson
Drapeau du Royaume-Uni Rupert Keegan
Drapeau des États-Unis Kevin Cogan
Drapeau du Royaume-Uni Geoff Lees
14 6 3 6 120
Champion
1981
Drapeau : Royaume-Uni Albilad-Saudia Racing Team
Drapeau : Royaume-Uni TAG Williams Team

Williams FW07C Ford-Cosworth
Michelin
Goodyear

Drapeau de l'Australie Alan Jones
Drapeau de l'Argentine Carlos Reutemann
Flag of Spain (1977–1981).svg Emilio de Villota
15 4 2 7 95
Champion
1982
Drapeau : Royaume-Uni TAG Williams Team

Williams FW07C
Williams FW08
Ford-Cosworth Goodyear
Drapeau de l'Argentine Carlos Reutemann
Drapeau de la Finlande Keke Rosberg
Drapeau des États-Unis Mario Andretti
Drapeau de l'Irlande Derek Daly
15 1 1 0 58
4e
1983
Drapeau : Royaume-Uni TAG Williams Team

Williams FW08C
Williams FW09

Ford-Cosworth
Honda
Goodyear
Drapeau de la Finlande Keke Rosberg
Drapeau de la France Jacques Laffite
Drapeau du Royaume-Uni Jonathan Palmer
15 1 1 0 38
4e
1984
Drapeau : Royaume-Uni Williams Grand Prix Engineering

Williams FW09
Williams FW09B
Honda Goodyear
Drapeau de la Finlande Keke Rosberg
Drapeau de la France Jacques Laffite
16 1 0 0 25,5
6e
1985
Drapeau : Royaume-Uni Canon Williams Honda Team
Williams FW10 Honda Goodyear
Drapeau du Royaume-Uni Nigel Mansell
Drapeau de la Finlande Keke Rosberg
16 4 3 4 71
3e
1986
Drapeau : Royaume-Uni Canon Williams Honda Team
Williams FW11 Honda Goodyear
Drapeau du Royaume-Uni Nigel Mansell
Drapeau du Brésil Nelson Piquet
16 9 4 11 141
Champion
1987
Drapeau : Royaume-Uni Canon Williams Honda Team
Williams FW11B Honda Goodyear
Drapeau du Royaume-Uni Nigel Mansell
Drapeau du Brésil Nelson Piquet
Drapeau de l'Italie Riccardo Patrese
16 9 12 7 137
Champion
1988
Drapeau : Royaume-Uni Canon Williams Team
Williams FW12 Judd Goodyear
Drapeau du Royaume-Uni Nigel Mansell
Drapeau de l'Italie Riccardo Patrese
Drapeau du Royaume-Uni Martin Brundle
Drapeau de la France Jean-Louis Schlesser
16 0 0 1 20
7e
1989
Drapeau : Royaume-Uni Canon Williams Team

Williams FW12C
Williams FW13
Renault Goodyear
Drapeau de la Belgique Thierry Boutsen
Drapeau de l'Italie Riccardo Patrese
16 2 1 1 77
2e
1990
Drapeau : Royaume-Uni Canon Williams Team
Williams FW13B Renault Goodyear
Drapeau de la Belgique Thierry Boutsen
Drapeau de l'Italie Riccardo Patrese
16 2 1 5 57
4e
1991
Drapeau : Royaume-Uni Canon Williams Team
Williams FW14 Renault Goodyear
Drapeau du Royaume-Uni Nigel Mansell
Drapeau de l'Italie Riccardo Patrese
16 7 6 8 125
2e
1992
Drapeau : Royaume-Uni Canon Williams Team
Williams FW14B Renault Goodyear
Drapeau du Royaume-Uni Nigel Mansell
Drapeau de l'Italie Riccardo Patrese
16 10 15 11 164
Champion
1993
Drapeau : Royaume-Uni Canon Williams Team
Williams FW15C Renault Goodyear
Drapeau du Royaume-Uni Damon Hill
Drapeau de la France Alain Prost
16 10 15 10 168
Champion
1994
Drapeau : Royaume-Uni Rothmans Williams Renault

Williams FW16
Williams FW16B
Renault Goodyear
Drapeau du Royaume-Uni Damon Hill
Drapeau du Brésil Ayrton Senna
Drapeau du Royaume-Uni David Coulthard
Drapeau du Royaume-Uni Nigel Mansell
16 7 6 8 118
Champion
1995
Drapeau : Royaume-Uni Rothmans Williams Renault

Williams FW17
Williams FW17B
Renault Goodyear
Drapeau du Royaume-Uni Damon Hill
Drapeau du Royaume-Uni David Coulthard
17 5 12 6 112
2e
1996
Drapeau : Royaume-Uni Rothmans Williams Renault
Williams FW18 Renault Goodyear
Drapeau du Royaume-Uni Damon Hill
Drapeau du Canada Jacques Villeneuve
16 12 12 11 175
Champion
1997
Drapeau : Royaume-Uni Rothmans Williams Renault
Williams FW19 Renault Goodyear
Drapeau du Canada Jacques Villeneuve
Drapeau de l'Allemagne Heinz-Harald Frentzen
17 8 11 9 123
Champion
1998
Drapeau : Royaume-Uni Winfield Williams
Williams FW20 Mecachrome Goodyear
Drapeau du Canada Jacques Villeneuve
Drapeau de l'Allemagne Heinz-Harald Frentzen
16 0 0 0 38
3e
1999
Drapeau : Royaume-Uni Winfield Williams
Williams FW21 Supertec Bridgestone
Drapeau de l'Allemagne Ralf Schumacher
Drapeau de l'Italie Alessandro Zanardi
16 0 0 1 35
5e
2000
Drapeau : Royaume-Uni BMW Williams F1 Team
Williams FW22 BMW Bridgestone
Drapeau de l'Allemagne Ralf Schumacher
Drapeau du Royaume-Uni Jenson Button
17 0 0 0 36
3e
2001
Drapeau : Royaume-Uni BMW Williams F1 Team
Williams FW23 BMW Michelin
Drapeau de l'Allemagne Ralf Schumacher
Drapeau de la Colombie Juan Pablo Montoya
17 4 4 8 80
3e
2002
Drapeau : Royaume-Uni BMW Williams F1 Team
Williams FW24 BMW Michelin
Drapeau de l'Allemagne Ralf Schumacher
Drapeau de la Colombie Juan Pablo Montoya
17 1 7 3 92
2e
2003
Drapeau : Royaume-Uni BMW Williams F1 Team
Williams FW25 BMW Michelin
Drapeau de l'Allemagne Ralf Schumacher
Drapeau de la Colombie Juan Pablo Montoya
Drapeau de l'Espagne Marc Gené
16 4 4 4 144
2e
2004
Drapeau : Royaume-Uni BMW Williams F1 Team
Williams FW26 BMW Michelin
Drapeau de l'Allemagne Ralf Schumacher
Drapeau de la Colombie Juan Pablo Montoya
Drapeau de l'Espagne Marc Gené
Drapeau du Brésil Antônio Pizzonia
18 1 1 2 88
4e
2005
Drapeau : Royaume-Uni BMW Williams F1 Team
Williams FW27 BMW Michelin
Drapeau de l'Allemagne Nick Heidfeld
Drapeau de l'Australie Mark Webber
Drapeau du Brésil Antônio Pizzonia
18 0 1 0 66
5e
2006
Drapeau : Royaume-Uni Williams F1 Team
Williams FW28 Cosworth Bridgestone
Drapeau de l'Allemagne Nico Rosberg
Drapeau de l'Australie Mark Webber
18 0 0 1 11
8e
2007
Drapeau : Royaume-Uni AT&T Williams
Williams FW29 Toyota Bridgestone
Drapeau de l'Allemagne Nico Rosberg
Drapeau de l'Autriche Alexander Wurz
Drapeau du Japon Kazuki Nakajima
17 0 0 0 33
4e
2008
Drapeau : Royaume-Uni AT&T Williams
Williams FW30 Toyota Bridgestone
Drapeau de l'Allemagne Nico Rosberg
Drapeau du Japon Kazuki Nakajima
18 0 0 0 26
8e
2009
Drapeau : Royaume-Uni AT&T Williams
Williams FW31 Toyota Bridgestone
Drapeau de l'Allemagne Nico Rosberg
Drapeau du Japon Kazuki Nakajima
17 0 0 1 34,5
7e
2010
Drapeau : Royaume-Uni AT&T Williams
Williams FW32 Cosworth Bridgestone
Drapeau de l'Allemagne Nico Hülkenberg
Drapeau du Brésil Rubens Barrichello
19 0 1 0 69
6e
2011
Drapeau : Royaume-Uni AT&T Williams
Williams FW33 Cosworth Pirelli
Drapeau du Brésil Rubens Barrichello
Drapeau du Venezuela Pastor Maldonado
19 0 0 0 5
9e
2012
Drapeau : Royaume-Uni Williams F1 Team
Williams FW34 Renault Pirelli
Drapeau du Venezuela Pastor Maldonado
Drapeau du Brésil Bruno Senna
20 1 1 1 76
8e
2013
Drapeau : Royaume-Uni Williams F1 Team
Williams FW35 Renault Pirelli
Drapeau du Venezuela Pastor Maldonado
Drapeau de la Finlande Valtteri Bottas
19 0 0 0 5
9e
2014
Drapeau : Royaume-Uni Williams Martini Racing
Williams FW36 Mercedes Pirelli
Drapeau du Brésil Felipe Massa
Drapeau de la Finlande Valtteri Bottas
19 0 1 2 320
3e
2015
Drapeau : Royaume-Uni Williams Martini Racing
Williams FW37 Mercedes Pirelli
Drapeau du Brésil Felipe Massa
Drapeau de la Finlande Valtteri Bottas
19 0 0 0 257
3e
2016
Drapeau : Royaume-Uni Williams Martini Racing
Williams FW38 Mercedes Pirelli
Drapeau du Brésil Felipe Massa
Drapeau de la Finlande Valtteri Bottas
21 0 0 0 138
5e
2017
Drapeau : Royaume-Uni Williams Martini Racing
Williams FW40 Mercedes Pirelli
Drapeau du Canada Lance Stroll
Drapeau du Brésil Felipe Massa
Drapeau : Royaume-Uni Paul di Resta
20 0 0 0 83
5e
2018
Drapeau : Royaume-Uni Williams Martini Racing
Williams FW41 Mercedes Pirelli
Drapeau du Canada Lance Stroll
Drapeau de la Russie Sergey Sirotkin
14 0 0 0 7
10e


Notes et références |





  1. Wolff entre dans le capital de Williams, sur formula1.com, consulté le 13 décembre 2009


  2. Wolff, nouvel actionnaire Williams, sur f1-live.com, consulté le 20 novembre 2009


  3. Williams explique sa décision d’entrer en bourse, sur AutoMoto365.com, consulté le 24 janvier 2011


  4. F1 – Williams en bourse demain avec une action à 25€, s tomorrownewsf1


  5. Williams prépare sa révolution, sur motorsport.nextgen-auto


  6. Mike Coughlan prend du galon, sur lequipe.fr


  7. Officiel : Williams avec Renault en 2012, sur motorsport.nextgen-auto.com, consulté le 4 juillet 2011


  8. Williams élimine "l’incertitude" Cosworth, sur motorsport.nextgen-auto.com, consulté le 4 juillet 2011


  9. (en) « Williams F1 Confirms Bruno Senna for 2012 », sur williamsf1.com, 16 janvier 2012(consulté le 17 janvier 2012)


  10. « Bruno Senna fera équipe avec Pastor Maldonado chez Williams », sur automoto365.com, 17 janvier 2012(consulté le 17 janvier 2012)


  11. Alexander Wurz engagé par Williams en 2012


  12. (en) « Adam Parr to Leave Williams Grand Prix Holdings », sur williamsf1.com, 26 mars 2012


  13. Olivier Ferret, « Départ choc d'Adam Parr chez Williams ! », sur motorsport.nextgen-auto.com, 26 mars 2012


  14. « Deux femmes en F1 en 2012 », sur le10sport.com, 13 avril 2012


  15. La Presse Canadienne, « Le Québécois Lance Stroll intègre le programme de développement de Williams », Formule 1,‎ 26 novembre 2015(lire en ligne)


  16. Vincent Lalanne-Sicaud, « F1 - Lynn prolonge chez Williams », Sport Auto,‎ 29 février 2016(lire en ligne)


  17. Hadrien Desplas, « F1 : Felipe Massa annonce sa retraite pour la fin 2016 », Automoto,‎ 1er septembre 2016(lire en ligne)


  18. « Lance Stroll pilotera en F1 avec Williams en 2017 », L'Equipe,‎ 3 novembre 2016(lire en ligne)


  19. http://www.nextgen-auto.com/Officiel-Mercedes-confirme-le-depart-de-Paddy-Lowe,112784.html


  20. a et b(en) Formula One Administation, « Bottas to Mercedes, Massa to re-join Williams », sur formula1.com, 16 janvier 2017(consulté le 16 janvier 2017)


  21. Gregory Demoen, « Mercedes paiera une partie du salaire de Massa », sur f1i.fr, 19 janvier 2017(consulté le 19 janvier 2017)


  22. Stéphane Vrignaud, « Felipe Massa prendra sa retraite à la fin de la saison », Eurosport,‎ 4 novembre 2017(lire en ligne)


  23. (en) Communiqué officiel Williams F1 Team, « WILLIAMS MARTINI RACING CONFIRMS SERGEY SIROTKIN TO JOIN LANCE STROLL IN 2018 », 16 janvier 2018(consulté le 17 janvier 2017)


  24. Basile Davoine, « Kubica devient pilote de réserve Williams », 16 janvier 2018(consulté le 17 janvier 2017)


  25. Emmanuel Touzot, « F1 - Officiel : Kubica fera son retour en GP avec Williams en 2019 », 22 novembre 2018(consulté le 22 novembre 2018)




Liens externes |


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