Côme





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Flag of Como.svg


Altocomo.jpg

Vue d'ensemble de la ville.


































Géographie
Pays

Flag of Italy.svg ItalieVoir et modifier les données sur Wikidata
Région

Lombardie
Province

Côme
Capitale de

Côme, département du Lario (1797-1814), département du Lario (1801-1815) (d), province de Côme (1815-1859) (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Superficie

37 km2
Altitude

201 mVoir et modifier les données sur Wikidata
Coordonnées

45° 49′ 00″ N, 9° 05′ 00″ E

















Démographie
Population

85 263 hab.
Densité

2 304,4 hab./km2
Gentilé

comaschi (en français comasques)

















Fonctionnement
Statut

Commune d'ItalieVoir et modifier les données sur Wikidata
Chef de l'exécutif

Mario Lucini (en)Voir et modifier les données sur Wikidata
Jumelages

Netanya, Fulda, Tōkamachi, NaplouseVoir et modifier les données sur Wikidata

























Identifiants
Code postal

22100Voir et modifier les données sur Wikidata
ISTAT

013075Voir et modifier les données sur Wikidata
TGN

7005851Voir et modifier les données sur Wikidata
Indicatif téléphonique

031Voir et modifier les données sur Wikidata
Site web

www.comune.como.it






Côme (en italien Como, en lombard Còmm) est une ville italienne d’environ 83 000 habitants, chef-lieu de la province du même nom en Lombardie.




Sommaire






  • 1 Géographie


    • 1.1 Situation


    • 1.2 Hameaux


    • 1.3 Communes limitrophes




  • 2 Histoire


  • 3 Politique et administration


  • 4 Population et société


    • 4.1 Évolution démographique


    • 4.2 Gentilé


    • 4.3 Sports




  • 5 Économie


  • 6 Culture et patrimoine


    • 6.1 Monuments religieux


    • 6.2 Monuments civils




  • 7 Personnalités


  • 8 Transports et équipements


    • 8.1 Transport aérien


    • 8.2 Transport ferroviaire


    • 8.3 Transport routier


    • 8.4 Funiculaire




  • 9 Notes et références


    • 9.1 Notes


    • 9.2 Références




  • 10 Annexes


    • 10.1 Articles connexes


    • 10.2 Liens externes







Géographie |



Situation |


Côme se trouve dans la région de la plaine du Pô, à 45 km au nord de Milan, au bord du lac de Côme.


Les montagnes (Alpes de Lombardie) et quelques collines couvrent la province de Côme. Le lac de Côme constitue la plus grande étendue d'eau.




Hameaux |


Albate, Breccia, Camerlata, Camnago Volta, Civiglio, Lora, Monte Olimpino, Muggiò, Ponte Chiasso, Prestino, Rebbio, Sagnino, Tavernola



Communes limitrophes |


Blevio, Brunate, Capiago Intimiano, Casnate con Bernate, Cavallasca, Cernobbio, Chiasso (CH-TI), Grandate, Lipomo, Maslianico, Montano Lucino, San Fermo della Battaglia, Senna Comasco, Tavernerio, Torno, Vacallo (CH-TI)



Histoire |


Les collines entourant l'emplacement actuel de Côme ont été habitées, depuis au moins l'âge du bronze, par une tribu celte des Orobii.
Des vestiges d'établissements sont encore présents dans les bois des collines au sud-ouest de la ville. Notamment une nécropole, dite « nécropole de Ca' Morta » attribuée aux environs de -600/-550[2][a],[3], et comportant notamment une tombe à char princière, dite « Tombe III/1928 » ou « Tombe de Ca'Morta », laquelle est indexée aux alentours de -450[4].


Autour du Ier siècle av. J.-C., le territoire a été soumis aux Romains. Le centre-ville était situé sur les collines voisines, mais il a ensuite été déplacé à son emplacement actuel par ordre de Jules César, sur ce qui était à l'époque le marécage près de la pointe sud du lac desséché. Le plan de la ville fortifiée est une grille typique de Rome de rues perpendiculaires. La commune nouvellement créée a été nommée Novum comum et avait le statut de municipe.


En 774, la ville se rendit lors de l'invasion dirigée par les Francs de Charlemagne, et devint un centre d'échange commercial.


En 1127, Côme perdit une guerre s'étalant sur dix ans avec la ville voisine de Milan. Quelques décennies plus tard, avec l'aide de Frédéric Barberousse, Côme eut l'occasion de prendre sa revanche lorsque Milan a été détruite en 1162. Frédéric décida la construction de plusieurs tours défensives autour de la périphérie de la ville, dont une seule, le Château Baradello est restée intacte.


Par la suite, l'histoire de Côme par effet de résonance, a suivi celle des Ducs de Milan (lesquels étaient détenteurs d'un territoire qui approximativement les actuelles limites de la région lombarde) voyant se succéder ainsi l'invasion française puis la domination espagnole jusqu'en 1714, lorsque le territoire a été attribué à l'Empire d'Autriche (Traité de Rastatt). Napoléon occupe la Lombardie en 1796. Mais en 1815, la domination autrichienne a repris avec le Congrès de Vienne : la ville de COMO fait désormais partie du Royaume lombardo-vénitien, gouvernement de Lombardie, chef-lieu de la province de même nom. Enfin, en 1859, la ville fut libérée avec l'arrivée de Giuseppe Garibaldi, et elle fut intégrée au royaume d'Italie nouvellement formé (sous la Maison de Savoie).




Timbre du Royaume lombardo-vénitien de 1850, 45 centesimi oblitéré à Côme.


À la fin de la Seconde Guerre mondiale, après avoir traversé Côme lors de sa fuite vers la Suisse, Benito Mussolini a été fait prisonnier, puis abattu par des partisans à Giulino di Mezzegra, une petite ville sur la rive nord du lac de Côme.



Politique et administration |










































Les maires successifs
Période
Identité
Étiquette
Qualité
28 mai 2002
29 mai 2007
Stefano Bruni

Forza Italia
 
29 mai 2007
20 mai 2012
Stefano Bruni

Le Peuple de la liberté
 
21 mai 2012
26 juin 2017
Mario Lucini

Parti démocrate
 
26 juin 2017
En cours
Mario Landriscina
Indépendant
 

Les données manquantes sont à compléter.



Population et société |



Évolution démographique |


Habitants recensés








Gentilé |


De nombreuses publications d'auteurs, historiens, encyclopédistes, étymologistes, géographes, économistes et toponymistes, confirment que le gentilé français de Côme se matérialise, généralement, sous la forme de l'adjectif : « comasque »[5],[6],[7],[8],[9],[10]. De manière moins fréquente, le terme « Cômois », est souvent employé pour faire référence au lieu de naissance de l'auteur antique, Pline l'Ancien, originaire de l'oppidum de comum[11],[12]. Ce gentilé est également utilisé par certains médiévistes, tel que l'historien Philippe Braunstein[13]. Enfin, et plus rarement, une 3e forme est employée dans certaines publications afférentes à des domaines divers, notamment en histoire, tendent à concrétiser le gentilé de Côme au terme français « Cômien »[14].



Sports |


Les clubs sportifs notables sont une équipe de natation, « Como Nuoto », une équipe de basket-ball, deux fois vainqueur de l'Euroligue féminine de basket-ball, et Calcio Côme, une équipe de football. Il existe également de nombreuses activités récréatives disponibles pour les touristes comme les pédalos, pêche, randonnées et location d'hydravions.


Côme organise chaque année en août un tournoi de tennis sur dur du circuit ATP Challenger Tour. La ville accueille également chaque année l'arrivée du Tour de Lombardie.



Économie |


L'économie de Côme, jusqu'à la fin des années 1980, a été traditionnellement fondée sur l'industrie — en particulier, la ville est mondialement célèbre pour ses fabricants de soie — mais ces dernières années la concurrence à bas prix en provenance de Chine a considérablement réduit les marges de profit et de nombreuses petites et moyennes entreprises de fabrication ont cessé leurs activités.


En conséquence, la fabrication n'est plus le moteur de l'économie et la ville a été absorbée dans la zone métropolitaine de Milan, où elle fournit essentiellement des travailleurs du secteur tertiaire. Pour ces raisons, le tourisme est devenu de plus en plus important pour l'économie locale depuis les années 1990. La ville et le lac ont été choisis comme site de tournage de plusieurs longs métrages récents populaire, et cela, avec la présence croissante de célébrités comme George Clooney et Matthew Bellamy qui ont acheté des propriétés au bord du lac. Cela a renforcé le profil international de la ville et impulsé un nouvel élan au tourisme international.



Culture et patrimoine |



Monuments religieux |





  •      Cathédrale

  •      Basilique San Fedele

  •      Temple de Volta

  •      Basilique Sant'Abbondio

  •      Villa Olmo

  •      Château Baradello



  • La cathédrale Santa Maria Assunta est commencée en 1396 sur le site d'une église romane. La façade est construite en 1457, avec une rosace caractéristique et un portail flanqué de deux statues de Pline l'Ancien et de Pline le Jeune, datant de la Renaissance. La construction est achevée en 1740. Le plan de l'intérieur est une croix latine, avec une nef gothique et deux nefs divisées par des pilastres. Elle comprend un chœur sculpté du XVIe siècle et des tapisseries réalisées sur des cartons de Giuseppe Arcimboldo. Le dôme est construit dans le style rococo par Filippo Juvarra.

  • La basilique San Fedele est une église romane érigée vers 1120 sur un édifice préexistant. Le clocher d'origine a été reconstruit à l'époque moderne. La caractéristique principale est la célèbre porte de saint Fedele, sculptée avec un décor médiéval.

  • L'église Sant'Agostino, construite par les cisterciens au début du XIVe siècle, a été largement rénovée au XXe siècle. Le cloître intérieur contient des fresques des XVe et XVIIe siècles, mais la plupart de la décoration est de style baroque.

  • La basilique de Sant'Abbondio a été consacrée en 1095 par le pape Urbain II. L'intérieur, formé d'une nef principale et de quatre nefs latérales, est remarquable pour ses fresques du XIVe siècle.

  • La basilique San Carpoforo remonte au XIe siècle (sauf l'abside et la crypte qui sont du XIIe siècle). Selon la tradition, elle fut fondée sur les vestiges d'un ancien temple du dieu Mercure pour abriter les restes de saint Carpophore et d'autres martyrs locaux.




Monuments civils |



  • La Villa Olmo : centre des activités culturelles de Côme, salle de concerts, de spectacles, de théâtre, de congrès et d’expositions sous le nom de « Centre Volta ».

  • L'ancien hôtel de ville, connu sous le nom de Broletto.

  • La Casa del Fascio (1933-1936) ou « Maison du peuple » : malgré sa fonction de siège du parti fasciste local, ce bâtiment austère, revêtu de marbre, est reconnu par les architectes comme un chef-d’œuvre de conception moderniste de l’architecte Giuseppe Terragni[15].

  • Monument aux morts par Giuseppe Terragni.

  • Le théâtre social par Giuseppe Cusi.

  • Le temple de Volta.

  • La Fontaine monumentale aussi connue comme la fontaine de Volta, est un monument dédié à la pile de Volta. Il a été conçu par l'architecte Carlo Cattaneo et le peintre Mario Radice. Cet édifice de ciment d'une hauteur de 9 mètres est composé d'une alternance de sphères et d'anneaux.

  • Anciens murs médiévaux.

  • Le château Baradello, un château médiéval surplombant la ville et qui est tout ce qui reste de la forteresse construite par Frédéric Barberousse en 1158.





Côme, Jean-Baptiste Camille Corot,1834.



Personnalités |


Voir la catégorie : Personnalité liée à Côme.



  • Pline l’Ancien (Ier siècle)


  • Pline le Jeune (IIe siècle)


  • Paul Jove, (1483-1552) physicien et historien.


  • Innocent XI, né à Côme sous le nom de « Benedetto Odescalchi », pape de 1676 à 1689.


  • Alessandro Volta (1745-1827)


  • Cosima Liszt (1837-1930), seconde femme du compositeur Richard Wagner.


  • Antonio Sant'Elia (1888-1916) architecte.


  • Giuseppe Terragni, architecte mort dans la ville en 1943.


  • Giorgio Perlasca, homme d'affaires et héros de la Seconde Guerre mondiale, né à Côme en 1910.


  • Antonio Spallino (1925-2017), escrimeur, y est né.


  • Gabriele Oriali (1952), footballeur


  • Carlotta Clerici (1965), dramaturge et metteur scène, y est née.


  • Fabio Casartelli, (1970-1995) coureur cycliste italien


  • Gianluca Zambrotta (1977), footballeur


  • Floraleda Sacchi (1978), harpiste


  • Patrick Cutrone (1998), footballeur



Transports et équipements |



Transport aérien |


L'aérodrome de Côme est réservé aux hydravions sur le lac.



Transport ferroviaire |


Le service ferroviaire régional relie Côme en train à d'autres grandes villes en Lombardie. Les services sont fournis par Trenitalia et Ferrovie Nord Milano par deux gares principales : Como S. Giovanni (Trenitalia) et Como Lago (Lenord). Il y a une autre station urbaine desservie par Trenitalia (Albate) et trois autres stations urbaines desservies par Ferrovie Nord Milano (Como Borghi-Università, Como Camerlata Grandate Breccia).


Como S. Giovanni est aussi un arrêt de l'axe Nord-sud entre Milan Centrale et Zurich ou Bâle ce qui rend Côme très accessible à partir du réseau européen de trains express. Les billets peuvent être achetés en ligne auprès de Rail Europe.



Transport routier |


Le réseau de transport public local compte 11 lignes urbaines et des lignes reliant Côme avec la plupart des centres de sa province. Elles sont desservies par ASF Autolinee.


Ferrovie Nord Milano fournit également d'autres lignes de bus reliant Côme à Varèse en substitution de la ligne ferroviaire d'origine qui a été abandonnée dans les années 1960.


Les bateaux et les hydroglisseurs (aliscafi) de la Navigazione Lago di Como relient la ville avec la plupart des villages situés sur les rives du lac.


Un service de taxi est assurée par la municipalité de Côme.



Funiculaire |


Un funiculaire, mis en service en 1894, relie le centre de Côme et Brunate, village situé sur une montagne à 715 mètres d'altitude.



Notes et références |



  • (en) Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia en anglais intitulé « Como » (voir la liste des auteurs).


Notes |







  1. Toutefois, différents éléments archéologiques extraient et plus récemment recueillis plus récemment au cœur du site mortuaire permettent d'accréditer l'assise de la nécropole comense entre -750 et -700 (seconde moitié du VIIIe siècle av. J.-C., autrement dit, durant le 1er âge du fer), à l'âge du bronze récent.




Références |




  1. (it) Popolazione residente e bilancio demografico sur le site de l'ISTAT.


  2. L'Archéologue numéro 128


  3. Olivier Buchsenschutz (dir.), L'Europe celtique à l'âge du fer : VIIIe-Ier siècles, Paris, Presses Universitaires de France, coll. « Nouvelle Clio », 2015, 437 p. (ISBN 978-2-13-057756-0), p. 57


  4. Christine Lorre et Veronica Cicolani, Golasecca : du commerce et des hommes à l'âge du fer (VIIIe-Ve siècle av. J.-C.), Paris, Réunion des musées nationaux, 2009, 176 p. (ISBN 978-2-7118-5675-6), p. 57


  5. Dorothée Jacoub, « Klaus Voigtländer : Die Stiftskirche zu Gernrode und ihre Restaurierung, 1858-1872. », Bulletin Monumental, vol. tome 140, no 4,‎ 1982, p. 357 (lire en ligne, consulté le 31 août 2016)


  6. Hugo Schuchardt, « Étymologies », Romania,, vol. tome 4, no 4,‎ 1875, page 254 (DOI 10.3406/roma.1875.6724, lire en ligne, consulté le 31 août 2016)


  7. Gérard Gayot, « Alain Dewerpe, L'industrie aux champs : Essai sur la proto-industrialisation en Italie du Nord (1800-1880). », Annales. Économies, Sociétés, Civilisations, vol. 42e année,‎ 1987, page 820 (lire en ligne, consulté le 31 août 2016)


  8. Alain Dewerpe, « Introduction. », dans Alain Dewerpe (préface de Maurice Aymard), L'industrie aux champs : Essai sur la proto-industrialisation en Italie du nord (1800-1880), vol. 85, Rome, École française de Rome, coll. « Publications de l'École française de Rome », 1985, 592 p. (lire en ligne)


  9. Francis Salet, « Sauerländer (Willibald). : La sculpture médiévale ; Grimme (Ernest-Günther). La peinture médiévale en Europe (Histoire de l'art, Payot, 11 et 12). », Bulletin Monumental, vol. tome 123, no 2,‎ 1965, page 269 (lire en ligne, consulté le 31 août 2016)


  10. Clément Gardet, « Raymond Oursel, Art en Savoie », Bulletin Monumental, vol. tome 133,‎ 1975, pages 339-342 (lire en ligne, consulté le 31 août 2016)


  11. Alain Touwaide, « Pline l'Ancien, ses sources, son influence : Roger French (Ed.), Frank Greenaway (Ed.), Science in the Early Roman Empire : Pliny the Elder, his Sources and Influence. », Revue d'histoire de la pharmacie, vol. 76e année, no 276,‎ 1988, page 88 (lire en ligne, consulté le 31 août 2016)


  12. Alain Touwaide, « Nouveaux instruments pour l'étude de l'Histoire naturelle de Pline : G. Serbat, Pline l'Ancien. État présent des études sur sa vie, son œuvre et son influence. », Revue d'histoire de la pharmacie, vol. 80e année, no 292,‎ 1992, pages 100-102 (lire en ligne, consulté le 31 août 2016)


  13. Philippe Braunstein, « Les foires de Chalon : un entre-deux dans l'histoire du commerce européen. », Annales. Économies, Sociétés, Civilisations., vol. 34e année, no 1,‎ 1979, page 176 (DOI 10.3406/ahess.1979.294030, lire en ligne).


  14. Lucienne Deschamps, « Federico Gamberini, Stylistic Theory and Practice in the Younger Pliny, 1983. (Altertums wissenschaftliche Texte und Studien. Band XI) », Revue des Études Anciennes, vol. Tome 90, nos 1 et 2,‎ 1988, pages 281-283 (lire en ligne, consulté le 31 août 2016)


  15. Photo de la « Casa del Fascio »



Annexes |



Articles connexes |



  • Liste des villes italiennes de plus de 25 000 habitants

  • Liste des grandes villes d'Italie classées par leur nombre d’habitants



Liens externes |



  • Le site officiel de la ville

  • Office du tourisme de Côme


  • Notices d'autoritéVoir et modifier les données sur Wikidata :

    • Fichier d’autorité international virtuel

    • Gemeinsame Normdatei

    • Bibliothèque nationale tchèque




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