Sandro Botticelli





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Sandro Botticelli 083.jpg

Autoportrait de Botticelli, publié vers 1475. Détail issu de L'Adoration des mages.







































Naissance

Entre le 1er mars 1444 et le 1er mars 1445
Florence
Décès

17 mai 1510(à 66 ans)
Florence
Nom de naissance

Alessandro di Mariano di Vanni Filipepi
Activité

Artiste peintre
Maître

Fra Filippo Lippi
Élève

Filippino Lippi
Lieux de travail

Florence, Rome, Pise, MantoueVoir et modifier les données sur Wikidata
Mouvement

Première Renaissance
Mécènes

Laurent de Médicis, Sixte IV, Laurent II de Médicis




Œuvres principales



  • Le Printemps

  • La Naissance de Vénus







Compléments

L'Annonciation du Cestello, Vénus et Mars, La Madone du Magnificat, Pallas et le Centaure, La Calomnie d'Apelle, illustrations de la Divine Comédie de Dante




Alessandro di Mariano di Vanni Filipepi, dit Sandro Botticelli, est un peintre italien né à Florence le 1er mars 1445[1],[2] et mort le 17 mai 1510 dans la même ville. Botticelli est l'un des peintres les plus importants de la Renaissance italienne et de l'histoire de l'art.




Sommaire






  • 1 Biographie


  • 2 Connaissances probables de Sandro Botticelli


  • 3 Œuvres


    • 3.1 Allégories


    • 3.2 Thèmes religieux


    • 3.3 Peintures


    • 3.4 Fresques


      • 3.4.1 Chapelle Sixtine


      • 3.4.2 Autres fresques




    • 3.5 Enluminure




  • 4 Notes et références


  • 5 Annexes


    • 5.1 Bibliographie


    • 5.2 Articles connexes


    • 5.3 Liens externes







Biographie |


Alessandro di Mariano di Vanni Filipepi, qui sera plus tard surnommé Sandro Botticelli, naît dans le quartier Borgo Ognissanti, à Florence, en Toscane. Il grandit dans une famille modeste, son père Mariano Filipepi est tanneur, son atelier est situé dans le quartier voisin de Santo Spirito. Sa mère est Smeralda Filipepi, et il est le plus jeune de quatre frères (Giovanni, Antonio et Simone). Selon Vasari, Alessandro tient son surnom du nom du maître orfèvre chez qui il a été placé comme apprenti, Botticello[3].


Botticelli entre à l'âge de vingt ans dans l'atelier de Fra Filippo Lippi (entre 1464 et 1467), moine et peintre de Florence, auteur de peintures religieuses. Il y travaille avec les peintres Antonio del Pollaiuolo et Andrea del Verrocchio quand son maître part pour Spolète. Cet apprentissage de l’orfèvrerie, de la gravure et de la ciselure influence la ligne de son dessin. Botticelli travaille beaucoup avec les artisans et notamment avec son frère Antonio, orfèvre avec qui il partage son atelier.


Il reçoit sa première commande publique en 1470 quand il ouvre son propre atelier. Il s'agit d'une allégorie pour le Tribunal de Commerce de Florence qui doit représenter la Force, panneau qui doit s'insérer dans une commande passée à Piero Pollaiuolo qui devait livrer les six autres vertus chrétiennes mais qui fut révoqué pour n'avoir pu les livrer à temps[4].


Il compose en 1472 le diptyque des Épisodes de la vie de Judith, avec La Découverte du cadavre d'Holopherne dans le style du Pollaiuolo, et Le Retour de Judith à Béthulie, avec la sensibilité de Fra Filippo.


Devenu l'ami des philosophes néoplatoniciens, en accueillant pleinement leurs idées, il réussit à rendre visible cette beauté qu'ils théorisent, en y rajoutant son interprétation personnelle du caractère mélancolique et contemplatif, qui le distingue des autres artistes de son temps comme le Martyre de saint Sébastien de 1473, en une version totalement différente de celle du Pollaiuolo.
Botticelli fréquente le cercle de la famille Médicis, notamment les humanistes comme Ange Politien ou Pic de la Mirandole, ce qui lui offre protection et garantie de nombreuses commandes, comme L'Adoration des mages (celle de 1475), peinte pour la chapelle funéraire de Gaspare Zanobi del Lama de Santa Maria Novella, une œuvre importante dans laquelle il dépeint un cortège dans lequel il représente les membres de la famille Médicis.


De cette même période date (1474-1475) une œuvre composée avec les mêmes principes qui révèle également l'influence flamande dans le Portrait d'un jeune homme portant le sceau de Cosme l'Ancien et plus tard en 1478, le célèbre Portrait de Julien de Médicis.


À partir de 1481, Botticelli est appelé à Rome par le pape Sixte IV pour décorer la chapelle Sixtine accompagné par Cosimo Rosselli, Domenico Ghirlandaio et Le Pérugin pour illustrer les vies de Jésus et Moïse sur les murs latéraux de la chapelle. La rivalité qui existe entre le pape, un Della Rovere et les Médicis, ses mécènes, fait que son talent n'est pas reconnu.


Il réalise trois grandes fresques[5]Les Épreuves de Moïse, La Tentation du Christ et La Punition des Rebelles Lévites.


Il revient à Florence, mécontent de l'accueil réservé à ses fresques, et décide de ne plus jamais quitter sa ville natale. Aussitôt rentré, il peint pour la villa Medicea di Castello de Laurent de Pierre-François de Médicis, cousin de Laurent le Magnifique, Le Printemps en 1482[6] et La Naissance de Vénus vers 1485, ses deux œuvres les plus connues[7].



En 1497, le moine révolutionnaire Savonarole et ses disciples élèvent le bûcher des Vanités. Des jeunes garçons sont envoyés de porte en porte pour collecter tous les objets liés à la corruption spirituelle : les miroirs et cosmétiques, les images licencieuses, les livres non religieux, les jeux, les robes les plus splendides, les nus peints sur les couvercles des cassoni, les livres de poètes jugés immoraux, comme les livres de Boccace et de Pétrarque. Ces objets sont brûlés sur un vaste bûcher de la Piazza della Signoria. Des chefs-d’œuvre de l’art florentin de la Renaissance ont ainsi disparu dans le bûcher, y compris des peintures de Sandro Botticelli, que l’artiste avait lui-même apportées : "[...]regrettait publiquement d'avoir sacrifié au goût du paganisme" et allait se consacrer aux peintures religieuses[8]. Vasari dans les "Vies des peintres , tome I" dit qu'il était adepte de Savonarole en ces termes : « [...] de la secte dont il était partisan, au point qu'il abandonna la peinture, et comme il ne possédait aucune ressource, il tomba dans le plus grand embarras. Sectateur acharné de ce parti, comme on disait alors, il piagone, il cessa de travailler, et à la fin de sa vie il se trouva vieux et pauvre, de telle sorte que les Médicis pour lesquels il avait beaucoup travaillé, ne le soutinrent plus financièrement[3]. ». Aussi, l'on comprend mieux pourquoi Vasari, en qualité d'architecte du Piazzale des Offices, ne fait pas figurer Sandro Botticelli au rang des statues des "grands hommes" qui font le prestige de Florence. Il mourut infirme et fortement diminué.


Il eut comme élève Filippino Lippi, le fils de son maître, Fra Filippo Lippi.


Il meurt en 1510 dans la maison de la Via della Porcellenna où il a travaillé toute sa vie. Son tombeau est situé dans l'église Ognissanti.



Connaissances probables de Sandro Botticelli |





  • Simonetta Vespucci (1463-1476)


  • Julien de Médicis, frère de Laurent de Médicis


  • Flavius Mithridate,


  • Ange Politien,


  • Pic de la Mirandole,


  • Jérôme Savonarole (1452-1498)


  • Michel Marulle (1453-1500).


  • Léonard de Vinci (1452-1519)


  • Michel-Ange (1475-1564)





Œuvres |


Le premier nu peint par Botticelli est masculin. Il s'agit du corps nu du général assyrien Holopherne décapité : La Découverte du cadavre d'Holopherne. Ce tableau, où Holopherne est retrouvé par ses aides de camp, est le deuxième panneau d'un diptyque dont le panneau gauche montre le retour de Judith suivie de sa servante portant la tête du général dans un panier. Le second nu du même peintre, masculin également, est un Saint Sébastien (Botticelli) percé de flèches, montré en pied lié à une colonne, et auquel, pour la première fois, Botticelli fait observer une double arabesque. Dans ces deux œuvres, le sexe du personnage est dissimulé sous des voiles opportuns. Dans La Naissance de Vénus, panneau peint une dizaine d'années plus tard, la déesse est représentée nue de face, en pied, grandeur nature.


Commandé par Lorenzo di Pierfrancesco, parent de Laurent de Médicis, comme pendant du Printemps (dont le Magnifique, son tuteur, lui avait fait cadeau), ce tableau était destiné à décorer sa villa de Castello, proche de Florence. Seuls pouvaient l'admirer les amis de son propriétaire, des néoplatoniciens amateurs de mythologie gréco-romaine et souvent collectionneurs de statues antiques, que la nudité ne pouvait choquer.


Botticelli représente dans cette œuvre une Vénus pudique, dont l'attitude est vraisemblablement inspirée par un bas-relief romain. Il montre la déesse sous les traits de Simonetta Vespucci, en dépit du fait que cette jeune femme était morte depuis au moins huit ans quand il a peint d'elle ce portrait idéalisé. Déesse de la beauté et de l'amour, la Vénus nue de Botticelli est au contraire très chaste, se couvrant d'une main la poitrine, dissimulant de l'autre son pubis derrière une mèche de sa longue chevelure flottant au vent. En outre, le peintre a estompé la pointe des seins et le nombril de Vénus, et il lui a donné un regard rêveur qui supprime toute équivoque dans l'esprit du spectateur. Loin d'avoir voulu peindre une Venus Erotica, Botticelli a représenté la Venus Humanitas des platoniciens, pour lesquels la contemplation de la beauté donnait aux hommes une image de la perfection divine. Une copie du personnage central de la Naissance de Vénus a été réaliseé se découpant sur un fond brun par l'atelier de Botticelli, modèle dont devait s'inspirer ultérieurement Lorenzo di Credi pour peindre sa propre Vénus.


Botticelli a peint un dernier nu féminin environ vingt ans plus tard, la Vérité de sa La Calomnie d'Apelle (Botticelli), pour laquelle il a repris la silhouette de Simonetta Vespucci telle qu'il l'avait représentée dans sa Naissance de Vénus, le corps observant la même double arabesque, une main levée pour indiquer le ciel, l'autre dissimulant pudiquement son sexe.



Allégories |


Botticelli est connu pour ses allégories. Son étude de l'Antiquité gréco-romaine fait partie de ses humanités. Peintre intellectuel dont le public est composé des courtisans d'un haut niveau de culture, autant que richissimes, il peint de nombreux tableaux sur le mode de la référence à la mythographie hellénique pour en tirer des allusions destinées aux amateurs. La Calomnie d'Apelle constitue un emblème de ce type de travaux.


Son thème général est la représentation de la femme, sur laquelle il porte un regard nouveau tout en la magnifiant.



Thèmes religieux |


Dans ses thèmes religieux, se détachent celui de ses sept œuvres sur le thème de l'Annonciation et celui de la Vierge à l'Enfant.



Peintures |



  • 1467, La Vierge à l'Enfant avec un ange dite des Innocents

  • 1468, La Vierge à l'Enfant avec un ange

  • 1470, La Force

  • 1470, La Vierge à la roseraie

  • 1472, Le Retour de Judith à Béthulie

  • 1472, L'Adoration des mages

  • 1472, La Découverte du cadavre d'Holopherne

  • 1473, Saint Sébastien

  • 1473, Portrait d'homme avec la médaille de Cosme de Médicis

  • 1475, L'Adoration des mages de 1475

  • 1475, Sainte Catherine d'Alexandrie, en portrait de Catherine Sforza, conservé au Lindenau-Museum de Altenburg (Allemagne)

  • 1477-1478, Le Printemps, détrempe sur bois, 203 × 314 cm, musée des Offices, Florence

  • 1478, Portrait de Julien de Médicis

  • 1480, Portrait d'une jeune femme

  • 1480, Saint Augustin dans son cabinet de travail, église Ognissanti, Florence.

  • 1481/1485, La Madone du Magnificat, tondo, détrempe sur bois, diamètre 115 cm, musée des Offices, Florence

  • 1481, L'Annonciation de San Martino alla Scala

  • 1482, Scène de la vie de Moïse

  • 1482, Le Châtiment de Coré

  • 1482, La Tentation de Christ

  • 1482, Pallas et le Centaure

  • 1483, Vénus et Mars, détrempe sur bois, 69 × 174 cm, National Gallery, Londres

  • 1483, Série de L'Histoire de Nastagio degli Onesti :


    • Premier épisode : Nastagio rencontre une dame et le cavalier dans le bois de Ravenne, musée du Prado, Madrid


    • Deuxième épisode : Assassinat de la dame, musée du Prado, Madrid


    • Troisième épisode : Le Banquet dans le bois, musée du Prado, Madrid


    • Quatrième épisode : Le Banquet dans le bois, palais Pucci, Florence



  • 1485, La Naissance de Vénus, tempera faible sur toile, 172,5 × 278,5 cm, musée des Offices, Florence

  • 1487, La Vierge à la grenade

  • 1489, L'Annonciation du Cestello

  • 1493, L'Annonciation de l'église San Barnaba de Florence

  • après 1490, Lamentation sur le Christ mort, détrempe sur bois, 140 × 207 cm, Alte Pinakothek, Munich

  • 1490, Saint Jérôme

  • 1490, Vierge à l'Enfant avec saint Jean Baptiste, c. 1490, tempera, huile et or sur bois, diam. 88.6 cm[9], Clark Art Institute

  • 1490-1500, Croce sagomata e dipinta (Crucifix chantourné et peint[10]), musée civique de Prato

  • 1495, Portrait de Dante

  • 1495, L'Abandonnée

  • 1495, La Calomnie d'Apelle

  • 1501, La Nativité mystique

  • L'Automne, Musée Condé, Chantilly




Fresques |





Le Châtiment de Coré, fresque murale de la Chapelle Sixtine (avant restauration).





Le Châtiment de Coré, détail (scène de gauche).



Chapelle Sixtine |


Botticelli est appelé à Rome en 1481 par le pape Sixte IV pour exécuter trois fresques : le Châtiment de Coré, de Datan et Abiram (ou Punition des Rebelles), Les Épreuves de Moïse et La Tentation de Jésus.



  • Le Châtiment de Coré, de Datan et Abiram, ou Soulèvement contre la loi de Moïse ou encore La Punition des Rebelles, dernière fresque peinte par Botticelli à Rome : La fresque comprend trois scènes où Moïse apparaît représenté en vieillard à longue barbe blanche revêtu d’un manteau vert-olive recouvrant une tunique jaune :

    • à droite, les juifs se révoltent contre Moïse et menacent de le lapider, mais Josué se place devant lui pour le protéger ; les deux personnages représentés derrière Moïse sont le cardinal Alexandre Farnèse, futur pape Paul III, et Giulio Pomponio Leto.

    • au centre, les fils d’Aaron, et des Lévites qui ont pratiqué un encensement interdit s’effondrent, face au grand-prêtre Aaron, portant la tiare et une tunique bleues.

    • à gauche, les meneurs subissent la punition divine : la terre s'entrouvre sous leurs pieds ; au-dessus, les deux fils innocents de Coré sont épargnés et portés par un nuage ; en arrière-plan, l’homme en noir est un autoportrait de Botticelli.




Autres fresques |



  • Villa Tornabuoni Lemmi di Careggi : La fresque Vénus et les Grâces offrant des présents à une jeune fille ; celle-ci serait Matteo di Andrea Albizzi, qui a épousé Niccolo Tornabuoni en 1484. La seconde fresque, également sauvée sur les trois, représente Lorenzo reçu par le cortège des Arts Libéraux (conservées aujourd'hui au musée du Louvre).




Frontispice des Vies de Vasari.



Enluminure |


Article détaillé : Divine Comédie illustrée par Botticelli.

Illustration (par 92 dessins de 47 cm × 32 cm) d'un manuscrit de la Divine Comédie de Dante[11] commandé par Lorenzo di Pierfrancesco de Médicis, un des cousins de Laurent de Médicis (pointe de métal sur parchemin, repris à l'encre et mis partiellement en couleurs). Une partie de ces illustrations a appartenu à la reine Christine de Suède et se trouve actuellement au Vatican, l'autre partie est parvenue au Cabinet Royal des Dessins et Estampes de Berlin.



Notes et références |



  • (it) Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia en italien intitulé « Sandro Botticelli » (voir la liste des auteurs).




  1. Barbara Deimling (directeur de la Syracuse University à Florence), Sandro Botticelli, 1444/45-1510, Taschen, 2000, (ISBN 3 8228 5992 3)


  2. L'année commençant à Florence dans cette période en mars.


  3. a et bGiorgio Vasari, Vies des peintres, t. I.


  4. Aubert, Grégory, Balandier : Encyclopaedia universalis: Volume 20, 1975 - books.google.fr, p. 1534,


  5. page descriptive de la Fondation Berger


  6. Inventaire de Vasari vu en 1550.


  7. Conservées aux Offices.


  8. Ivan Cloulas, Laurent le Magnifique, Fayard, 1982, p. 353-354.


  9. « Virgin and Child with Saint John the Baptist », sur clarkart.edu (consulté le 2 octobre 2017)


  10. Fichier image


  11. La Divine Comédie de Dante illustrée par Botticelli, Éditions Diane de Selliers, 1996 (ISBN 2903656177)




Annexes |



Bibliographie |




  • Les Fleurons de l'art, catalogue complet des peintures par peintre, Bordas (collection dirigée sous la direction de Pietro Marani), 1990


  • Cristina Acidini Luchinat, Botticelli poète du détail, Flammarion, 2010 (ISBN 978-2081241428)


  • Daniel Arasse, Pierluigi De Vecchi, Sandro Botticelli. De Laurent le Magnifique à Savonarole, Skira, 2003 (ISBN 9788884915672)


  • Giulio Carlo Argan, Botticelli (1957), collection Le Goût de notre temps, Éditions d'art Albert Skira.


  • Horst Bredekamp, Sandro Botticelli. La Primavera. Florenz als Garten der Venus. Fischer, Frankfurt am Main 1990; Neuausgabe: Wagenbach, Berlin 2009, ISBN 978-3-8031-2446-3


  • Marcel Brion, Botticelli, Crès, 1932


  • André Chastel, Botticelli, Silvana, Milan, 1957.


  • Sophie Chauveau, Le Rêve Botticelli, Édition SW-Télémaque, 2005 ; Édition poche Folio Gallimard, 2007


  • (en) Peter Dreyer, « Botticelli's Series of Engravings 'of 1481' », Print Quarterly, vol. 1, no 2, 1984

  • Collectif (trad. de l'italien par Odile Menegaux), Botticelli, Flammarion, coll. « Les classiques de l'art », 2005, 189 p. (ISBN 2080114336)

  • Christian Jamet, Botticelli, le sacré et le profane, Éditions Hersher, 1996


  • Giorgio Vasari le cite et écrit sa biographie dans Le Vite : p. 491-496 - édition 1568


  • Frank Zöllner, Botticelli. Toskanischer Frühling. Prestel, München 2005, ISBN 3-7913-3273-2.



Articles connexes |



  • Liste d'œuvres de Sandro Botticelli

  • Thème de l'Annonciation chez Botticelli



Liens externes |


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  • 197 tableaux de Sandro Botticelli

  • Dossier Botticelli sur le site Le Monde des Arts


  • Découverte d'un Portement de la Croix attribution à Botticelli après restauration de la pinacothèque de Paris




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