Montfort-l'Amaury
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L'hôtel de ville. | |||||
Blason | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Île-de-France | ||||
Département | Yvelines | ||||
Arrondissement | Rambouillet | ||||
Canton | Aubergenville | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Cœur d'Yvelines | ||||
Maire Mandat | Hervé Planchenault 2014-2020 | ||||
Code postal | 78490 | ||||
Code commune | 78420 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Montfortois | ||||
Population municipale | 2 943 hab. (2016 ) | ||||
Densité | 515 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 48° 46′ 38″ nord, 1° 48′ 33″ est | ||||
Altitude | Min. 98 m Max. 183 m | ||||
Superficie | 5,71 km2 | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : Île-de-France
Géolocalisation sur la carte : Yvelines
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
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Liens | |||||
Site web | ville-montfort-l-amaury.fr | ||||
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Montfort-l’Amaury est une commune française située dans le département des Yvelines, en région Île-de-France.
Sommaire
1 Géographie
1.1 Situation
1.2 Hydrographie
1.3 Transports et voies de communications
1.3.1 Réseau routier
1.3.2 Desserte ferroviaire
1.3.3 Bus
2 Toponymie
3 Histoire
4 Politique et administration
4.1 Liste des maires
4.2 Jumelages
4.3 Politique environnementale
5 Population et société
5.1 Démographie
5.1.1 Évolution démographique
5.1.2 Pyramide des âges
5.2 Enseignement
5.3 Sports
5.4 Manifestations culturelles et festivités
6 Économie
7 Culture locale et patrimoine
7.1 Lieux et monuments
7.2 Personnalités liées à la commune
7.3 Cinéma
7.4 Héraldique
8 Voir aussi
8.1 Bibliographie
8.2 Articles connexes
8.3 Liens externes
9 Notes et références
9.1 Notes
9.2 Références
Géographie
Situation
La commune de Montfort-l’Amaury, située à 45 km à l'ouest de Paris et 18 km au nord de Rambouillet, se situe au sud de la plaine qui porte son nom, dans une zone de coteaux au nord du massif forestier de Rambouillet.
Hydrographie
La commune est arrosée par le ruisseau des Gaudigny. De plus, il existe deux étangs (Ville et Plaine).
Transports et voies de communications
Réseau routier
Les voies de circulation qui relient Montfort-l'Amaury aux autres villes du département sont :
- au nord : la RD 76 vers la gare à Méré, la RN 12 et la direction de Thoiry ;
- à l’est : la RD 13 vers Maurepas, la RN 10 et au-delà Chevreuse ;
- au sud-est : la RD 155 vers Les Mesnuls ;
- au sud : la RD 138 vers Saint-Léger-en-Yvelines ;
- au sud-ouest : la RD 112 vers Gambais et au-delà Gressey ;
- à l’ouest : la RD 172 vers Grosrouvre ;
- au nord-ouest : la RD 155 vers Galluis.
Desserte ferroviaire
La gare ferroviaire la plus proche est la gare de Montfort-l'Amaury - Méré qui est situé à 4 km sur la commune de Méré.
Bus
La commune est desservie par les lignes 2, 9, 13, 17, 22, 35, 38, 45, 61 et Express 67 de l'établissement Transdev de Houdan, par les lignes 01, 15, 16, 39 et 49 de l'établissement Transdev de Rambouillet et par les lignes 5, M et Q de la société de transport Hourtoule.
Toponymie
La localité ne s'est jamais appelée Pinson, Pincionemonte[1], certains ont repris cette ancienne erreur [2] que, déjà en 1873, le grand historien A. de Dion avait déjà relevée : "quelques-uns ont pris Pinciomons pour Montfort et qui est Montpinçon, fief de la chatellenie de Gambais. “La Butte du Pinçon” ou “La Butte de Montpinçon” est située à Condé-sur-Vesgres, près de Gambais[3].
Attestée sous les formes Mons Fortis en 999 [réf. nécessaire], Montfortis[4], Moriacum, Montifors[4], Montfort-en-Iveline, Montfort-le-Brutus en 1793, puis Montfort-l'Amaury[2].
Un lieu élevé a vocation de site défensif. Les féodaux ont bâti sur des monts. Il y avait au XIe siècle, sur une colline, une demeure fortifiée désignée Mons fortis en latin médiéval, c'est-à-dire Monfort, dont les possesseurs portaient souvent le nom d'Amaury : c'est en souvenir de l'un d'eux que l'endroit fut appelé par la suite : Montfort-l'Amaury [5]
Histoire
Montfort-l’Amaury a pris le nom d’Amaury Ier, le premier comte de Montfort.
C’est le roi Robert II (972-1031) qui fit construire le château fort en 996 sur « la butte de Montfort », appelée alors Montfortis.
Montfort-l’Amaury fut le fief de la famille des Montfort depuis le début du XIe siècle avec Guillaume de Hainaut. Son fils, Amaury Ier (1028-1053), fit construire les remparts dont on peut voir encore des vestiges.
En 1224, Amaury VI de Montfort cède ses droits sur l'Occitanie au roi de France; en échange, la seigneurie de Montfort-l’Amaury est érigée en comté.
Au cours de la guerre de Cent Ans (1337-1453), le château fort fut détruit par les Anglais.
Le comté de Montfort fut lié au duché de Bretagne à la suite du mariage de Yolande de Montfort avec Arthur II de Bretagne en 1292. Lors de la guerre de succession de Bretagne (1341-1364), les Monfort font valoir leurs droits à la couronne ducale et l'emportent finalement, avec l'aide anglaise, à la bataille d'Auray (1364). À partir de 1365 et pendant deux siècles, la ville devient une dépendance de la Bretagne grâce au mariage de la dernière descendante des comtes de Montfort avec Arthur, duc de Bretagne. Les Monforts, devenus ducs de Bretagne, ils n'en restent pas moins comtes de Montfort et le comté est une de leurs possessions. Le comté reviendra à la couronne de France en 1547 lors de la réunion définitive de la Bretagne à la France, conformément au traité de 1532. Anne de Bretagne, duchesse de Bretagne et comtesse de Montfort, fut une bienfaitrice pour la ville. Henri II, fils de François Ier et de Claude de France, elle-même fille de la duchesse Anne de Bretagne, reine de France par son mariage avec Charles VIII puis Louis XII, devient roi de France à la mort de son père François Ier, en même temps que duc de Bretagne et comte de Montfort.
Plus tard, en 1591, c’est à Montfort l’Amaury qu’Henri IV, roi de Navarre, négocia son abjuration avant d’être accepté en tant que roi.
Elle fut chef-lieu de district de 1790 à 1795.
Au cours de la Révolution française, la commune porte provisoirement le nom de "Montfort-le-Brutus".
La commune a indirectement transmis son nom à l'université De Montfort à Leicester en Angleterre, ainsi dénommée en hommage à Simon V de Montfort, 6e comte de Leicester au XIIIe siècle, issu de la maison de Montfort-l'Amaury.
Politique et administration
Liste des maires
Jumelages
Nickenich (Allemagne)[7].
Politique environnementale
Population et société
Démographie
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[8]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[9].
En 2016, la commune comptait 2 943 habitants[Note 1], en diminution de 5,88 % par rapport à 2011 (Yvelines : +1,29 %, France hors Mayotte : +2,44 %).
Pyramide des âges
La population de la commune est relativement âgée. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (29,3 %) est en effet supérieur au taux national (21,6 %) et au taux départemental (17,5 %).
À l'instar des répartitions nationale et départementale, la population féminine de la commune est supérieure à la population masculine. Le taux (54,7 %) est supérieur de plus de deux points au taux national (51,6 %).
La répartition de la population de la commune par tranches d'âge est, en 2007, la suivante :
- 45,3 % d’hommes (0 à 14 ans = 20,4 %, 15 à 29 ans = 17,4 %, 30 à 44 ans = 19,1 %, 45 à 59 ans = 21,1 %, plus de 60 ans = 22 %) ;
- 54,7 % de femmes (0 à 14 ans = 17,5 %, 15 à 29 ans = 11,9 %, 30 à 44 ans = 16,6 %, 45 à 59 ans = 18,7 %, plus de 60 ans = 35,5 %).
Hommes | Classe d’âge | Femmes |
---|---|---|
0,6 | 5,9 | |
7,9 | 16,0 | |
13,5 | 13,6 | |
21,1 | 18,7 | |
19,1 | 16,6 | |
17,4 | 11,9 | |
20,4 | 17,5 |
Hommes | Classe d’âge | Femmes |
---|---|---|
0,3 | 0,9 | |
4,3 | 6,6 | |
11,2 | 11,6 | |
20,3 | 20,7 | |
22,1 | 21,5 | |
19,9 | 18,9 | |
21,9 | 19,8 |
Enseignement
La commune possède[14] :
- une école maternelle publique (Jean-Constant)[Note 2] ;
- une école élémentaire publique ;
- un collège public (Maurice-Ravel) ;
- groupe scolaire privé Saint-Louis / Notre-Dame-du-Bel-Air.
Sports
- Le 7 mars 2010, la commune a accueilli le départ et l'arrivée du prologue de la course cyclisme Paris-Nice 2010.
- Le 7 mars 2011, la commune a accueilli le départ de la 2e étape de la course cyclisme Paris-Nice 2011.
Manifestations culturelles et festivités
Pardon breton : Le premier pardon breton eut lieu en 1899 et le dernier pardon eut lieu en 1977. En 1999, Montfort fêta le centenaire de ce pardon breton pour témoigner d’un passé qui a fortement marqué l’identité de la commune. En 2009, Montfort légitima le 110e anniversaire du pardon breton.
Économie
- Commune résidentielle ;
- Tourisme :
- Restauration.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
La commune compte six monuments historiques :
- Le château fort de Montfort : construit au XIIe siècle, détruit au cours de la guerre de Cent Ans, il n’en subsiste que les ruines du donjon, appelé tour Anne-de-Bretagne, qu'on fit construire ultérieurement pour Anne de Bretagne. Les ruines sont classées MH depuis 1862[15] ;
L'église Saint-Pierre : Église des XVe et XVIe siècles, d’une taille impressionnante et rare pour une petite cité, reconstruite par Anne de Bretagne en 1491, en lieu et place d’une église médiévale du XIe siècle bâtie par Amaury Ier de Montfort. André de Foix, seigneur de Montfort de 1524 à 1540, amplifiera les aménagements entrepris sous le dernier règne breton. L'église est particulièrement intéressante par ses nombreuses gargouilles extérieures, ses clefs de voûtes pendantes et sculptées dans les bas-côtés et surtout l'incomparable collection de vitraux Renaissance qui ornent les baies des bas-côtés et les fenêtres hautes du chœur. Quatre d'entre eux sont datés mais aucun n'est signé. Les archives locales ne donnent aucune indication sur les peintres et verriers à qui l'on doit ces chefs-d'œuvre. Classée Monument Historique, depuis 1840, grâce à sa collection de vitraux datant de la deuxième partie du XVIe siècle, on y admire un ensemble de 37 verrières unique en Ile-de-France. [16] ;
Le cimetière des XVe et XVIe siècles, entouré de galeries, semblables à celle d’un cloître, ayant servi de charniers pour l’inhumation des corps retirés de l’ancien cimetière à l’emplacement de l’église. Le cloître et la porte sont classés MH[17] ;
Le château de Groussay, du XIXe siècle, propriété privée classée MH[18] ;
La maison de Maurice Ravel, le Belvédère, est une demeure du XXe siècle qui se trouve au pied des ruines du donjon et qui surplombe le sud de la ville. Maurice Ravel y a vécu de 1921 à sa mort à Paris en 1937. Après la mort du compositeur, la maison a été très bien conservée par volonté du frère cadet et unique héritier du compositeur, Édouard Ravel (1878-1960). Ce dernier légua la maison à la Réunion des musées nationaux dans son deuxième testament authentique du 18 juillet 1958. De 1937 à 1970, la maison fut confiée à la garde successive de Mme Marie Reveleau (fidèle gouvernante du compositeur depuis 1921) jusqu'à sa mort en 1952, puis à Céleste Albaret et sa sœur Marie Gineste jusqu'en 1970. Accepté par l’État en 1963, le legs du musée se concrétisa en novembre 1971 par la signature d’un bail emphytéotique de 99 ans entre la Réunion des musées nationaux et la Ville de Montfort-l’Amaury, respectivement propriétaire et gestionnaire du musée. La maison-musée Maurice Ravel ouvrit ses portes, après des travaux, le 18 mai 1973. La maison est inscrite MH[19] ;
Un hôtel du XVIIe, inscrit MH[20].
Les remparts des XIe et XIIe siècles dont il ne reste que quelques vestiges et la porte Bardoul.
La prison du XIIIe siècle[21].
De nombreuses maisons à colombages dans les petites rues de la ville.
On y découvre aussi les maisons de Jean Anouilh, Henri de Régnier, Germaine Beaumont, ou encore celle dans laquelle Victor Hugo séjourna à plusieurs reprises. Il composa d’ailleurs sa célèbre "Ode aux ruines" en souvenir de la ville.
- Sept jardins ont fait l’objet d’un pré-inventaire dont ceux du Belvédère et du château de Groussay.
Personnalités liées à la commune
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Simon IV de Montfort, seigneur de Montfort de 1188 à 1218, chef de la croisade contre les Albigeois en 1209.
Anne de Bretagne (1477-1514), qui séjourna cinq ans à Montfort-L'Amaury ; on lui doit le donjon et l'église Saint-Pierre[22].
André de Foix (1490-1547), dit Lesparre, seigneur de Montfort de 1524 à 1540.
Pierre Dupuis (1610-1682), peintre, né à Montfort.- Catherine de Baillon (Montfort 1645-Rivière-Ouelle1688, née dans le hameau des Layes, fille d'Alphonse de Baillon, sieur de La Mascotterie, et de Louise de Marle. Elle part en 1669 pour la Nouvelle France avec 149 autres filles du roi et se marie la même année avec Jacques Minville dit Deschesnes. Elle est l'ancêtre de tous les Québécois[23].
François Petau de Maulette (1742-1805), député de la noblesse et commandant de la garde nationale de la commune, y est décédé et enterré.
Louis Groult des Rivières (1743-1832), général-comte, y est décédé.
Jean-Antoine Roucher (1745-1794), poète.
Marie Armande Jeanne Gacon-Dufour (1753-1835) dit avoir été élevée au couvent de Montfort-l'Amaury[24].
Mathieu Jean Félicité, duc de Montmorency-Laval (1766-1826), député puis ministre.
Olivier de Saint-Georges de Vérac (1768-1858), militaire et homme politique français des XVIIIe et XIXe siècles.
Pierre-Luc-Charles Ciceri (1782-1868), peintre décorateur de théâtre.
Édouard Magnien (1795- ap.1864), littérateur français, y est né.
Victor Hugo (1802-1885), écrivain.
Adolphe de Dion[25] (1823-1909), archéologue du château.
Septime Le Pippre (1833-1871), petit-fils du précédent, peintre, aquarelliste et militaire, y est né.
Georges Bizet (1838-1875), compositeur.
Gustave Kahn (1859-1936), poète symboliste, a résidé Palais nomade, rue Saint Pierre.
Marcel Habert (1862-1937), député, secrétaire de la Ligue des patriotes.
Léon Durocher[26], chansonnier et créateur du pardon breton montfortois en 1899.
Maurice Ravel (1875-1937), compositeur, a vécu au Belvédère, 5 rue Saint-Laurent (actuelle rue Maurice-Ravel), de 1921 à 1937.
Emilio Terry (1890-1969), architecte et décorateur qui travailla plus de 15 ans pour Charles de Beistegui au château de Groussay.
Germaine Beaumont (1890-1983), journaliste et romancière y est décédée.
Marcel Herrand (1897-1953), acteur, y est décédé.
Jacques de Lacretelle (1888-1985) a été nommé conseiller municipal de Montfort en 1945.
Robert Merle (1908-2004), écrivain, y a situé à une partie de l'action de sa fresque historique Fortune de France (ainsi qu'à Grosrouvre, où il a fini ses jours en son domaine de La Malmaison).
Jean Anouilh (1910-1987), écrivain.
Georges Marchal (1920-1997), acteur, y est inhumé.
Charles Aznavour (1924-2018), chanteur, y est inhumé.
Fred Mella (né en 1924), chanteur, soliste des Compagnons de la chanson.
Dany Robin (1927-1995), comédienne, repose dans le cimetière non loin de son ex-mari Georges Marchal.
Céleste Albaret, ancienne gouvernante de Marcel Proust, est chargée, de 1954 à 1970, de la garde du Belvédère, la maison de Maurice Ravel. Elle est enterrée à Montfort L'Amaury, ainsi que son mari Odilon Albaret et sa sœur Marie.
Estella Blain (1930-1982), actrice, y possédait une maison.
Claude Berri (1934-2009), producteur de cinéma.
Jean-Pierre Rassam (1941-1995), producteur de cinéma, y est décédé et inhumé.
Johnny Hallyday (1943-2017), chanteur.
Gérard Lenorman (né en 1945), chanteur.
Chantal Thomass (née en 1947), créatrice de mode.
Philippe Starck (né en 1949), designer.
Didier Barbelivien (né en 1954), auteur compositeur.
Thierry Gilardi (1958-2008), journaliste et commentateur sportif, y a vécu et y est inhumé.
Marc Dubois, aviateur, commandant de bord du vol Rio-Paris abîmé en mer en 2009, y est inhumé.
Florent Pagny (né en 1961), chanteur.
Guillaume Canet (né en 1973) a fait ses classes de primaire, collège et lycée dans l'établissement scolaire Saint-Louis/Notre-Dame-du-Bel-Air où il est revenu le 22 avril 2005 accompagné de Thierry Gilardi pour participer à une journée de solidarité au profit de l'association ELA.
Cinéma
C'est à Monfort-l'Amaury qu'ont été tournés les extérieurs :
- du film Le Corbeau d'Henri-Georges Clouzot, en 1943 ;
- de Poil de carotte de Paul Mesnier en 1951 ;
- de Elena et les Hommes de Jean Renoir en 1955-1956 (Vue aérienne de Montfort-l'Amaury figurant la petite ville où se passe une partie de l'action).
- de Léon Morin, prêtre (film) de Jean-Pierre Melville en 1961[27].
Héraldique
Les armes de la commune de Montfort-l'Amaury se blasonnent ainsi : de gueules au lion à la queue fourchée d’argent, au chef d'hermine. Ce blason est dérivé du blason affiché par les comtes de Montfort.
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Voir aussi
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Bibliographie
Victor R. Belot, Coutumes et folklores en Yvelines, Préface de Paul-Louis Tenaillon, président du Conseil général des Yvelines de 1977 à 1994, membre émérite de l'Académie des sciences morales, des lettres et des arts de Versailles, Librairie Guénégaud, 1977 (FRBNF 34588328).- Laurence de Finance et Marie-Huguette Hadrot, Montfort-l'Amaury : Les verrières de l'église paroissiale Saint-Pierre, Association pour le Développement du Patrimoine d'Île-de-France, 1994(ISBN 2-905913-14-2)
- André Rhein, La seigneurie de Montfort en Iveline, depuis son origine jusqu'à son union au duché de Bretagne (Xe-XIVe siècle) Imprimerie Aubert, Versailles 1910, 360 p. (publication de la Société archéologique de Rambouillet).
- Michel Foucault, Le canton de Montfort l'Amaury à travers les cartes postales, Edts H. de Froberville, 1990, (ISBN 2-907659-04-9), 330 p.
- M.-J. L'Hermitte, Histoire de Montfort-l'Amaury, Res Universis, Monographies des villes et villages de France, Paris 1990, (ISBN 2-87760-307-5) (réédition de l'ouvrage paru en 1825 sous le titre Précis sur la ville de Montfort-l'Amaury et l'histoire chronologique des seigneurs de cette ville depuis la construction de son château jusqu'à la Révolution de France - 996-1792).
- Marie-Huguette Hadrot, Montfort-l'Amaury de l'an mil à nos jours, Somogy - éditions d'art, Paris, 2002, (ISBN 2-85056-563-6), 191 p.
- Yves Milon, Maurice Ravel à Montfort-l'Amaury, préface de Manuel Rosenthal, photographies de Thomas Renaut, Paris, ASA éditions, ca 1997, 112 p.
Articles connexes
- Communauté de communes Cœur d'Yvelines
- Plaine de Montfort-l'Amaury
- Forêt de Rambouillet
- Liste des comtes de Montfort-l'Amaury
Liens externes
- Site de la mairie
Notes et références
Notes
Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2019, millésimée 2016, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2018, date de référence statistique : 1er janvier 2016.
Nom donné à l'école en souvenir d'un bienfaiteur de la commune. délibération conseil municipal 1970. Accord Inspection académique 1970.
Références
Dans une charte de Pépin le Bref
Victor R. Belot, Coutumes et folklores en Yvelines, Préface de Paul-Louis Tenaillon, président du Conseil général des Yvelines de 1977 à 1994, membre émérite de l'Académie des sciences morales, des lettres et des arts de Versailles, Librairie Guénégaud, 1977 (FRBNF 34588328), Page 240
DION (A. Cte de) Comté de Madrie. Société Archéologique de Rambouillet (1873) t.1, p. 8.
Hippolyte Cocheris, Anciens noms des communes de Seine-et-Oise, 1874, ouvrage mis en ligne par le Corpus Etampois.
– Marianne Mulon –Noms de lieux d’Île-de-France, Bonneton, Paris, 1997 (ISBN 2862532207)
Résultats des élections municipales de mars 2008 sur le site officiel de la préfecture des Yvelines.
voir Nickenich sur la WP germanophone.
L'organisation du recensement, sur insee.fr.
Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015 et 2016.
« Évolution et structure de la population à Montfort-l'Amaury en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le 10 mai 2011).
« Résultats du recensement de la population des Yvelines en 2007 » [archive du 17 septembre 2011], sur le site de l'Insee (consulté le 10 mai 2011).
« Site officiel de l'inspection académique des Yvelines »(Archive • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?).
Notice no PA00087549, base Mérimée, ministère français de la Culture.
Notice no PA00087551, base Mérimée, ministère français de la Culture.
Notice no PA00087550, base Mérimée, ministère français de la Culture.
Notice no PA00087795, base Mérimée, ministère français de la Culture.
Notice no PA00132998, base Mérimée, ministère français de la Culture.
Notice no PA00087552, base Mérimée, ministère français de la Culture.
Montfort l'Amaury - Tourisme.
André Rhein, La seigneurie de Montfort en Iveline, depuis son origine jusqu'à son union au duché de Bretagne (Xe-XIVe siècle) Imprimerie Aubert, Versailles 1910, 360 p. (publication de la Société archéologique de Rambouillet).
Catherine de Baillon, enquête sur une fille du roi, Raymond Ouinet, Nicole Mauger, Lille, Éditions du Septentrion, 2001.
Marie Armande Jeanne Gacon-Dufour, Recueil pratique d'économie rurale et domestique, 1804(lire en ligne), p. 2
Dion, Adolphe de, Montfort-l'Amaury : monuments et souvenirs, Paris, le Livre d'histoire, 2003, 124 p. (lire en ligne)
Léon Durocher, site web de la commune.
https://www.google.com/maps/d/viewer?mid=1IA3W1dy4js6bItwbPZOSymbA3sI&hl=en_US&ll=48.77806747446304%2C1.8089819499999749&z=17
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