Sylvester Stallone





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Sylvester Stallone



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Sylvester Stallone en 2014.






























Nom de naissance
Michael Sylvester Gardenzio Stallone
Naissance
6 juillet 1946(72 ans)
New York, NY, États-Unis
Nationalité
Drapeau des États-Unis Américain
Profession
Acteur, producteur, réalisateur et scénariste
Films notables
Rocky (saga)
Rambo (saga)
Cop Land
Expendables (saga)
Cobra
Le Bras de fer
Cliffhanger : Traque au sommet
Demolition man
Tango & Cash
L'Expert
Creed (saga)
Site internet
www.sylvesterstallone.com



Sylvester Stallone est un acteur, réalisateur, scénariste et producteur américain né le 6 juillet 1946 à New York, dans le quartier de Hell's Kitchen.


Après avoir commencé dans des petits rôles au début des années 1970, il se révèle au grand public en 1976 dans Rocky où sa prestation lui vaut d'être nommé aux Oscars, aux Golden Globes et aux BAFTA du meilleur acteur et du meilleur scénario original. Ce succès considérable lance sa carrière, engendre une série de huit films rencontrant un important succès critique et commercial, dont le récit narre l'histoire d'un boxeur originaire de Philadelphie. Outre l'incarnation du rôle principal, il y assure régulièrement la réalisation et l'écriture. Son interprétation de Rocky Balboa s'étale sur plus de quarante ans et lui permet de remporter le Golden Globe du meilleur acteur dans un second rôle en 2016 ainsi qu'une troisième nomination aux Oscars dans la même catégorie.


En parallèle, il poursuit dans le registre sérieux et dramatique avec des films comme F.I.S.T. (1978), La Taverne de l'enfer (1978), Les Faucons de la nuit (1981) et travaille pour des réalisateurs réputés tels Norman Jewison et John Huston. En 1982, son incarnation d'un soldat traumatisé par la guerre du Viêt Nam dans Rambo lui permet d'obtenir le deuxième rôle le plus emblématique de sa carrière. Le succès du film entraine la production d'une série de trois suites centrées autour du personnage éponyme. À partir du milieu des années 1980, il s'oriente vers les productions à gros budget : les suites de Rambo, Tango et Cash, Cliffhanger, Demolition Man ou encore la série de films Expendables. Hormis quelques drames tels Cop Land, les suites de Rocky et plusieurs tentatives dans la comédie, les films d'action deviennent son principal genre d'interprétation.


Il possède depuis 1984 son étoile sur le Walk of Fame d'Hollywood Boulevard.





Sommaire






  • 1 Biographie


    • 1.1 Jeunesse


    • 1.2 Débuts


    • 1.3 La révélation Rocky (années 1970)


    • 1.4 Confirmation Rambo et cinéma d'action (années 1980)


    • 1.5 Diversification et échecs (années 1990)


    • 1.6 Traversée du désert puis come-back (années 2000)


    • 1.7 Retour comme acteur/producteur (années 2010)




  • 2 Engagements


  • 3 Vie privée


  • 4 Filmographie


    • 4.1 Acteur


      • 4.1.1 Cinéma


        • 4.1.1.1 Années 1960 et 1970


        • 4.1.1.2 Années 1980


        • 4.1.1.3 Années 1990


        • 4.1.1.4 Années 2000


        • 4.1.1.5 Années 2010


        • 4.1.1.6 Années 2020




      • 4.1.2 Télévision


      • 4.1.3 Doublage de jeu vidéo




    • 4.2 Réalisateur


    • 4.3 Scénariste


    • 4.4 Producteur


      • 4.4.1 Cinéma


      • 4.4.2 Télévision






  • 5 Box-office


  • 6 Distinctions


    • 6.1 Récompenses


    • 6.2 Nominations




  • 7 Voix francophones


  • 8 Notes


  • 9 Références


  • 10 Voir aussi


    • 10.1 Bibliographie


    • 10.2 Liens externes







Biographie |




Jeunesse |


Le père de Sylvester Stallone, Francesco dit "Frank", est né à Gioia del Colle, province de Bari, dans les Pouilles, en Italie, et est arrivé aux États-Unis lorsque ses parents ont émigré dans ce pays en 1932[1].


Sa mère, Jackie Stallone née Jacqueline Labofish, d'ascendance juive ukrainienne par son père (John Labofish), et française par sa mère (Jeanne Clérec)[2],[3],[4], est née aux États-Unis à Washington, D.C.


Suite à des complications survenues à sa naissance en 1946, Sylvester Stallone souffre d’une paralysie faciale du côté gauche (un nerf facial fut touché et abîmé par les forceps). Sa bouche est donc légèrement tordue et sa langue est à moitié paralysée, lui causant alors un défaut de prononciation[5],[6].


Durant une interview sur Canal+ (1992) présentée par Michel Denisot, Stallone dit être allé à l'école en Suisse pour apprendre le français[7].



Débuts |


Sylvester Stallone a étudié l'art dramatique à Miami. De retour à New York, il apparaît dans plusieurs pièces off-Broadway. Durant une période de chômage, il se retrouve brièvement sans domicile fixe et tourne un film érotique, The Party at Kitty and Stud's, pour lequel il touche, selon son propre témoignage, un salaire de 200 dollars. Il s'agit de sa première apparition au cinéma[8]. Le film ressort plusieurs années plus tard, après le triomphe de Rocky et pour profiter du succès naissant de l'acteur, sous le titre L'Étalon italien - surnom de Rocky Balboa ; le mot italien « stallone » signifiant par ailleurs « étalon » - accompagné d'une campagne publicitaire qui tente de le faire passer pour un film pornographique[9]. La majeure partie de ses autres rôles le cantonnent dans des apparitions brèves de loubard, comme dans Bananas où il chahute un pauvre Woody Allen. Il fait également quelques apparitions dans des séries télévisées comme Kojak, mais sa carrière tarde à prendre son envol. Au milieu des années 1970, il commence à obtenir des seconds rôles plus importants, comme dans Capone ou dans la série B La Course à la mort de l'an 2000 où il interprète le méchant principal.


C'est durant cette période que Stallone écrit le scénario de Rocky, l'histoire d'un boxeur minable qui se voit offrir la chance de sa vie le jour où le champion du monde de boxe lui propose de l'affronter sur le ring. Son histoire est inspirée d'un combat de boxe auquel il assista en tant que spectateur et qui mit aux prises Mohamed Ali avec un boxeur inconnu, Chuck Wepner. Contre toute attente, ce dernier résista et donna une réplique acharnée au grand champion.


Conscient que le rôle de Rocky Balboa, à l'image du combat contre Apollo Creed pour son personnage, peut faire basculer sa vie, Stallone refuse de vendre son scénario s'il n'obtient pas la garantie de jouer le rôle-titre. Les producteurs firent monter très haut les enchères pour acheter ce script, mais ils voulaient une star confirmée sur l'affiche : dans un premier temps, le rôle fut proposé à James Caan, Robert Redford, Burt Reynolds ou Ryan O'Neal. Les producteurs ne sont guère enthousiastes à l'idée de confier le rôle principal à Stallone, qui n'est alors qu'un acteur de second plan.



La révélation Rocky (années 1970) |




Sylvester Stallone en 1977.


C'est finalement en 1976 qu'il obtient gain de cause et que sort Rocky réalisé par John G. Avildsen. Le tournage est un exploit car il fut bouclé en à peine un mois et avec un budget dérisoire. À l'image de son personnage, Stallone se retrouve propulsé sur le devant de la scène, le film connaissant un succès inespéré et décrochant dix propositions pour les Oscars. Stallone devient la troisième personnalité nommée dans les catégories meilleur acteur et meilleur scénario original pour un même film après Charlie Chaplin et Orson Welles[10],[a]. En définitive, le film remporte 3 Oscars, dont le plus important, celui du meilleur film de l'année. L'histoire universelle de Rocky Balboa, celle des « petits » qui s'affirment et se réalisent à force de courage, mais aussi grâce au coup de pouce du destin - en somme une allégorie du rêve américain - fait naître un mythe du cinéma américain moderne et façonne aussi une dimension hors normes à son interprète.


Stallone retrouvera le personnage de Rocky Balboa à six reprises, en 1979, 1982, 1985, 1990, 2006 et 2015. Stallone a écrit tous les scénarios de la saga et a réalisé Rocky 2, Rocky 3, Rocky 4 et le sixième volet, intitulé Rocky Balboa.
La série des Rocky présente un parallèle troublant entre la carrière de l'acteur et du boxeur qui s'embourgeoisent tous deux au fil des ans : on quitte le petit « tocard » paumé de Philadelphie pour évoluer vers une superstar accaparée par son image (Rocky 3), voire un fer de lance du patriotisme américain en pleine relance de la guerre froide (Rocky 4 où il affronte un boxeur de l'Union soviétique). La série perd en fraîcheur ce qu'elle gagne en spectacle et aussi en recettes, puisque les épisodes successifs ne cessent d'améliorer les scores du box-office, allant jusqu'aux 300 millions de dollars récoltés dans le monde par le 4e épisode. Seul le 5e volet viendra perturber cette success story, en raison d'un retour aux sources et d'un scénario, axé sur le déclin du boxeur, qui heurtera les fans habitués au triomphe de leur idole.


A la fin des années 1970, Stallone s'essaie à la réalisation avec un autre drame sportif, La Taverne de l'enfer. Sorti en 1978, le film essuie de mauvaises critiques. Peu importe, l'acteur va rencontrer le second personnage iconique de sa carrière.



Confirmation Rambo et cinéma d'action (années 1980) |




Sylvester Stallone en juin 1988 durant la promotion de Rambo 3 en Suède.


En 1982, Stallone interprète dans Rambo l'autre rôle qui marquera sa carrière : celui d'un vétéran du Viêt Nam sans domicile fixe qui est pris en grippe par un shérif de province qui ne veut pas voir déambuler dans « sa » ville le symbole d'une Amérique qui a perdu. Stallone reprendra le rôle de John Rambo à trois autres reprises (1985, 1988 et 2008). Le personnage de Rambo, que Stallone considère comme son « côté obscur » (Rocky étant son « côté clair »), reprend quelques éléments de la vie de Stallone comme la saga Rocky.


Rambo est vraiment le rôle qui le consacre superstar mondiale du cinéma : son personnage de vétéran guerrier devient une icône et suscite une véritable « Rambomania ». Le personnage et ses exploits sont habilement exploités par le gouvernement Reagan, alors que la guerre froide connaît ses derniers soubresauts. Rambo, surtout avec le deuxième épisode de la trilogie (le premier étant plus ambigu), redonne de la fierté aux Américains qui pansent encore les plaies douloureuses du « bourbier » vietnamien : non seulement Stallone rompt avec un cinéma américain très virulent à l'égard de l'attitude des troupes de l'Oncle Sam pendant la guerre du Viêt Nam (Apocalypse Now, Voyage au bout de l'enfer, Platoon, Full Metal Jacket), mais en plus la trame du film Rambo 2 : La Mission – le héros repère et libère des soldats américains encore détenus dans les geôles vietnamiennes – véhicule l'idée selon laquelle ce nouveau héros américain venge à lui seul un pays déshonoré et gagne une guerre perdue par les bureaucrates.


C'est pour cela que Rambo, et par la même occasion Stallone, deviennent en quelque sorte l'image de l'Amérique fière et patriotique des années 1980 et provoquent de nombreuses réactions de rejet ou de moquerie, très vives en France avec les Nuls et surtout avec Les Guignols de l'info, où la marionnette de Stallone est choisie comme avatar pour représenter les pires travers de l'Amérique au travers du personnage de Monsieur Sylvestre.


En 1983, il surprend avec une seconde réalisation (hors de la saga Rocky), qu'il co-produit et co-écrit également, la comédie musicale Staying Alive, suite du succès mondial ayant révélé John Travolta, La Fièvre du samedi soir. Le film est un flop critique, mais fonctionne commercialement.


Stallone est la superstar des films d'action à cette époque, mais les rôles de Rocky et Rambo ont tellement marqué les esprits et sa carrière que ses autres films de la décennie n'ont pas vraiment marché, même s'il s'est essayé à plusieurs genres : le thriller policier avec Les Faucons de la nuit, le film de guerre avec À nous la victoire (1981), la comédie musicale avec Le Vainqueur (Rhinestone, 1984), la comédie policière avec Tango et Cash (1989) ou encore le film carcéral avec Haute Sécurité (1989), sans oublier le film d'action policier avec Cobra (1986) (le public et la critique ont cependant tendance à rattacher la plupart de ces films au terme générique « film d'action », ce qui explique en partie pourquoi Stallone a souvent été accusé de faire toujours le même type de film).



Diversification et échecs (années 1990) |




L'acteur au Festival de Cannes 1993, pour la présentation, hors-compétition, de Cliffhanger : Traque au sommet.


Dans les années 1990, Stallone laisse derrière lui les personnages de Rocky et de Rambo. Voulant s'arracher au carcan de ces deux personnages, il essaye (pour marcher sur les traces de son rival et ami Arnold Schwarzenegger mais sans succès) de percer dans la comédie, avec L'embrouille est dans le sac et Arrête ou ma mère va tirer ! Sa cote chute et Stallone traverse une première période de vaches maigres. C'est son ami, mais concurrent de toujours, Schwarzenegger, qui devient la star du box-office, mais à cette époque également émerge une nouvelle génération de héros d'actions (Steven Seagal, Jean-Claude Van Damme, Bruce Willis) qui renouvellent le genre et marchent sur ses plates-bandes.


Ayant retenu la leçon de ses échecs, il décide alors de revenir au cinéma d'action, avec des fortunes diverses : il joue ainsi dans des films comme Cliffhanger : Traque au sommet, Demolition Man et L'Expert qui sont de vrais succès, alors que Judge Dredd, Assassins ou encore Daylight sont de nouvelles déceptions au box-office américain. Mais ses films continuent à remporter un certain succès à l'étranger comme le film Daylight qui a réalisé plus de 126 millions de $.


Ces dernières années, le rôle qui a le plus marqué la critique lui a été offert par James Mangold en 1997, avec Cop Land. Il y incarne le shérif Freddy Heflin, fatigué et bedonnant, d'une petite ville de policiers tenue par la mafia. Il prend 20 kilos pour ce rôle et étonne de nombreux observateurs. Stallone prouve en effet qu'il n'est pas un simple paquet de muscles, mais un véritable acteur. Salué par de nombreux amateurs, le film n'est pas suivi par le grand public qui semble avoir du mal à accepter Stallone dans un rôle d'homme « faible », ne mettant pas en valeur ses prouesses physiques. Cette expérience n'a donc pas de suite.



Traversée du désert puis come-back (années 2000) |




L'acteur à la Mostra de Venise 2009.


Après le simple succès d'estime de Cop Land, Sylvester Stallone, qui a franchi la barre des 50 ans, traverse, durant la première moitié des années 2000, une période peu fructueuse : Driven et Get Carter, nouveaux films d'action grand public tous deux sortis en 2001, sont de sévères échecs commerciaux. D-Tox (2002) ne connaît qu'une sortie tardive et limitée aux États-Unis.


En 2004, il présente sur NBC une émission de télé-réalité The Contender dans laquelle on voit le quotidien de boxeurs qui se battent pour devenir le meilleur d'entre eux. En France, l'émission fut diffusée par Canal+ et W9. Stallone n'a visiblement plus de projets et doit se contenter d'apparitions clin-d'œil dans des séries télévisées comme Las Vegas ou des films tels que Taxi 3 et Spy Kids 3. En 2005, il fit entrer Hulk Hogan au WWE Hall of Fame.


Après de longues années passées à essayer de convaincre les producteurs, Stallone revient sur le devant de la scène en 2006, avec le sixième volet de Rocky. Le projet semble fou, car pour beaucoup, Stallone est trop vieux pour incarner le rôle du boxeur et l'acteur n'échappe pas aux railleries. Néanmoins, il s'accroche à son projet, comprenant que le personnage lui colle à la peau et que le public apprécie de le voir dans ce rôle.


Rocky Balboa, axé sur la nostalgie et le retour aux valeurs du tout premier épisode permet finalement à Stallone de renouer avec le succès critique et les premières places du box office. Après le retour bien accueilli de Rocky, Stallone tente la résurrection de l'autre rôle de sa vie, John Rambo. Il s'agit là du quatrième film de cette saga et il le nomme - à l'image de son dernier Rocky - simplement par le nom du personnage : John Rambo. Le film présente une intrigue proche de celle de Rambo 2, mais revient également à la source du personnage découvert dans le premier opus, le film se situe entre la dénonciation du génocide du peuple karen par la junte birmane et la réflexion de John Rambo sur son passé de guerrier et fait preuve d'une violence totalement assumée.


Il continue à s'offrir des succès comme réalisateur/producteur avec le projet Expendables : Unité spéciale. Il raconte l'histoire d'une bande de mercenaires envoyés sur une île d'Amérique du Sud pour y déloger un dictateur, incarné par David Zayas. Le tournage de ce film d'action réunissant toutes les stars du cinéma d'action hollywoodien démarre au mois d'avril 2009 au Brésil. Stallone tient le rôle principal, avec à ses côtés Jason Statham, Jet Li, Charisma Carpenter, Dolph Lundgren qui fait son retour avec Stallone après avoir été remarqué dans Rocky IV, Randy Couture (Champion de MMA), Stone Cold Steve Austin, Eric Roberts, Mickey Rourke et une courte apparition d'Arnold Schwarzenegger et de Bruce Willis. Le film, sorti le 13 août 2010 aux États-Unis et le 18 août en France, est un immense succès international au box-office, malgré les critiques, et relance Sylvester Stallone dans le cinéma d'action à 64 ans.



Retour comme acteur/producteur (années 2010) |




L'acteur à l'avant-première parisienne de Expendables 2 : Unité spéciale, en août 2012.


En 2012, il reprend son rôle dans Expendables 2 : Unité spéciale mais la réalisation est confiée au faiseur Simon West. Le film tourné en grande partie en Bulgarie accueille quelques nouveaux acteurs tels que Chuck Norris, Scott Adkins et surtout Jean-Claude Van Damme qui incarne l'antagoniste principal. Pour cette suite, les personnages d'Arnold Schwarzenegger et Bruce Willis prennent plus d'importance. Le film sort le 22 août 2012 en France. Le troisième volet Expendables 3, avec comme nouveaux acteurs Harrison Ford, Antonio Banderas, Wesley Snipes ou encore Mel Gibson mais cette fois sans Bruce Willis, conclut la trilogie avec succès en août 2014.


Parallèlement, Stallone tient les premiers rôles de différents projets, situés dans un registre musclé, aux fortunes plus diverses : en 2012, dans le thriller d'action Du plomb dans la tête, il incarne un tueur à gages forcé à faire équipe avec un flic (Jason Momoa) pour retrouver l'assassin de leurs équipiers respectifs.


L'année suivante est placée sous le sceau des rencontres avec des monstres sacrés : il partage d'abord l'affiche du thriller d'action Évasion avec Arnold Schwarzenegger, également en plein come-back. Le film raconte l'histoire d'un concepteur de prisons les plus sûres en matière de sécurité qui sera lui-même arrêté et emprisonné. Puis le drame sportif Match Retour lui permet de donner la réplique pour la première fois à un autre vétéran d'Hollywood, Robert De Niro.


En 2014, il surprend en figurant au casting choral de la comédie dramatique indépendante Bad Luck, écrite et réalisée par John Herzfeld. Cette part sensible de son répertoire d'acteur, l'acteur va la mobiliser pour un projet inattendu, Creed : L'Héritage de Rocky Balboa, un spin-off de Rocky, centré sur le fils d'Apollo Creed, incarné par le jeune Michael B. Jordan. Écrit et réalisé par Ryan Coogler, le film permet à Stallone de jouer un Rocky Balboa retraité, désormais dans un rôle de mentor. Sa performance lui vaut le Golden Globe du meilleur acteur dans un second rôle et une nomination aux Oscars dans la catégorie du meilleur acteur dans un second rôle. Il avait déjà été nominé pour le même rôle en 1977 aux Golden Globes et aux Oscars.


En 2018, il est à l'affiche de deux suites : tout d'abord Évasion 2, où Schwarzenegger est remplacé par Dave Bautista - un flop critique et commercial en salles qui n'empêche pas la mise en chantier d'un troisième opus, mis en scène par son partenaire de Cobra, John Herzfeld. Enfin, il est une dernière fois Rocky Balboa pour Creed 2.


Pour ces adieux au rôle qui l'a rendu célèbre, tenu durant huit longs-métrages, Stallone retrouve Ivan Drago, incarné par Dolph Lundgren dans Rocky 4[11]. D'abord annoncé comme réalisateur, Stallone cède finalement sa place au jeune cinéaste Steven Caple Jr.[12].


En 2019, il fera ses adieux à son autre personnage mythique, John Rambo. Ce Rambo 5, réalisé par Adrian Grunberg, est co-écrit par Stallone.



Engagements |


Il soutient le candidat républicain John McCain lors de l'élection présidentielle de 2008. Après la victoire de Donald Trump lors de celle de 2016, ce dernier lui propose la présidence du National Endowment for the Arts mais il décline l'offre[13].



Vie privée |



  • décembre 1974-février 1985 : il est marié avec Sasha Czack avec qui il aura deux fils, Sage Moonblood (1976-2012)[14] et Seargeoh (1979). Seargeoh est autiste[15].

  • décembre 1985-juillet 1987 : il est marié à l'actrice et mannequin Brigitte Nielsen, qui joue la partenaire de Drago, dans Rocky 4.

  • mai 1997 : il épouse l'ancien mannequin Jennifer Flavin (en). Ils ont trois filles ensemble : Sophia Rose (1996), Sistine Rose (1998) et Scarlet Rose (2002)[16].


Le 13 juillet 2012, Sage Stallone, alors âgé de 36 ans, est retrouvé mort dans sa maison d'Hollywood. La cause serait une défaillance cardiaque (athérosclérose coronaire). Lors de l'autopsie, aucune trace de drogue n'a été retrouvée dans son organisme excepté du Vicodin, un analgésique morphinique. Sage Stallone est inhumé au cimetière Westwood Memorial Park de Los Angeles.


En janvier 2013, le New York Post écrit que l'acteur aurait, dans son adolescence, abusé de sa demi-sœur Toni-Ann Filiti. Ayant menacé en 1987 de révéler cette histoire, elle aurait reçu de l'acteur 2 millions de dollars, une rente de 16 666 dollars par mois à vie et des frais de suivi psychiatrique de 50 000 dollars. Le fils de Toni-Ann Filiti affirme que sa mère lui aurait confirmé les faits sur son lit de mort. L'entourage de Sylvester Stallone prend la défense de ce dernier et soutient qu'il n'aurait versé de l'argent à sa sœur que par générosité. Selon leur mère Jacqueline Stallone, sa fille aurait tout inventé afin de faire chanter son fils pour de l'argent[17].


En février 2016, le journal The Baltimore Post-Examiner publie un article selon lequel Sylvester Stallone aurait en 1986, et en compagnie de son garde du corps, abusé sexuellement d'une adolescente de 16 ans. Le journal s'appuie sur un rapport de police datant de la même année, et sur les déclarations de la victime présumée[18]. En novembre de l'année suivante, dans le contexte de l'affaire Harvey Weinstein, le quotidien britannique Daily Mail reprend les informations du Baltimore Post-Examiner[19]. L'acteur réagit alors en niant catégoriquement, et en soulignant qu'il n'a jamais été interrogé par les autorités[20]. Brigitte Nielsen, épouse de Sylvester Stallone à l'époque, intervient pour contester ces accusations[21]. En décembre 2017, il est visé par une nouvelle plainte pour agression sexuelle, bien que la période prévue par la prescription soit écoulée. Pour l'avocat de l'acteur, « il est évident que cette femme a déposé cette plainte pour se faire de la publicité dans les médias »[22].



Filmographie |



Acteur |



Cinéma |



Années 1960 et 1970 |



  • 1969 : La Descente infernale (Downhill Racer) de Michael Ritchie : un homme dans le restaurant (non crédité)


  • 1970 : L'Étalon italien (The Party at Kitty and Stud's) de Morton Lewis : Stud

  • 1970 : Rebel (No Place to Hide) de Robert Allen Schnitzer : Jerry Savage

  • 1970 : The Sidelong Glances of a Pigeon Kicker de John Dexter : un invité à la fête (non crédité)

  • 1970 : Lune de miel aux orties (Lovers and Other Strangers) de Cy Howard : un invité au mariage (non crédité)


  • 1971 : Bananas de Woody Allen : L'agresseur du métro (non crédité)

  • 1971 : Klute d'Alan J. Pakula : Homme dansant dans un club (non crédité)


  • 1974 : Les Mains dans les poches (The Lords of Flatbush) de Martin Davidson et Stephen Verona : Stanley Rosiello


  • 1975 : Capone de Steve Carver : Frank Nitti

  • 1975 : La Course à la mort de l'an 2000 (Death Race 2000) de Paul Bartel : « Mitraillette » Joe Viterbo

  • 1975 : Le Prisonnier de la seconde avenue (The Prisoner of Second Avenue) de Melvin Frank : un jeune dans le parc

  • 1975 : Mandingo de Richard Fleischer : Un homme dans la foule (non crédité)

  • 1975 : Adieu ma jolie (Farewell, My Lovely) de Dick Richards : Jonnie


  • 1976 : Cannonball! de Paul Bartel : Mafieux (non crédité)

  • 1976 : Rocky de John G. Avildsen : Robert « Rocky » Balboa, Sr.


  • 1978 : FIST (F.I.S.T.) de Norman Jewison : Johnny D. Kovak

  • 1978 : La Taverne de l'enfer (Paradise Alley) de lui-même : Cosmo Carboni


  • 1979 : Rocky 2 (Rocky II) de lui-même : Robert « Rocky » Balboa, Sr.



Années 1980 |



  • 1981 : Les Faucons de la nuit (Nighthawks) de Bruce Malmuth : le sergent détective Deke DaSilva

  • 1981 : À nous la victoire (Escape to Victory) de John Huston : le capitaine Robert Hatch


  • 1982 : Rocky 3 (Rocky III) de lui-même : Robert « Rocky » Balboa, Sr.

  • 1982 : Rambo (First Blood) de Ted Kotcheff : John Rambo


  • 1983 : Staying Alive de lui-même : L'homme de la rue (caméo non-crédité)


  • 1984 : Le Vainqueur (Rhinestone) de Bob Clark : Nick Martinelli


  • 1985 : Rambo 2 : La Mission (Rambo: First Blood Part II) de George Cosmatos : John Rambo

  • 1985 : Rocky 4 (Rocky IV) de lui-même : Robert « Rocky » Balboa, Sr.


  • 1986 : Cobra de George Cosmatos : le lieutenant Marion « Cobra » Cobretti


  • 1987 : Le Bras de fer (Over the Top) de Menahem Golan : Lincoln Hawk


  • 1988 : Rambo 3 (Rambo III) de Peter MacDonald : John Rambo


  • 1989 : Haute Sécurité (Lock Up) de John Flynn : Frank Leone

  • 1989 : Tango et Cash (Tango & Cash) d'Andrei Konchalovsky : Lieutenant Raymond « Ray » Tango



Années 1990 |



  • 1990 : Rocky 5 (Rocky V) de John G. Avildsen et lui-même : Robert « Rocky » Balboa, Sr.


  • 1991 : L'embrouille est dans le sac (Oscar) de John Landis : Angelo « Snaps » Provolone


  • 1992 : Arrête ou ma mère va tirer ! (Stop! Or My Mom Will Shoot) de Roger Spottiswoode : le sergent Joe Bomowski


  • 1993 : Cliffhanger : Traque au sommet (Cliffhanger) de Renny Harlin : Gabe Walker

  • 1993 : Demolition Man de Marco Brambilla : Sergent John Spartan


  • 1994 : L'Expert (The Specialist) de Luis Llosa : Ray Quick


  • 1995 : Judge Dredd de Danny Cannon : Juge Joseph Dredd

  • 1995 : Assassins de Richard Donner : Robert Rath


  • 1996 : Daylight de Rob Cohen : Chef Kit Latura, EMS


  • 1997 : Cop Land de James Mangold : Le shérif Freddy Heflin

  • 1997 : The Good Life d'Alan Mehrez : Johnny Dio (jamais sorti)


  • 1998 : An Alan Smithee Film (An Alan Smithee Film: Burn Hollywood Burn) d'Arthur Hiller : Lui-même

  • 1998 : Fourmiz (Antz) d'Eric Darnell et Tim Johnson : Weaver (voix)



Années 2000 |



  • 2000 : Get Carter de Stephen T. Kay : Jack Carter


  • 2001 : Driven de Renny Harlin : Joe Tanto


  • 2002 : Compte à rebours mortel (D-Tox) de Jim Gillespie : L'agent du FBI Jake Malloy

  • 2002 : Mafia Love (Avenging Angelo) de Martyn Burke : Frankie Delano


  • 2003 : Taxi 3 de Gérard Krawczyk : L'espion (participation non-crédité)

  • 2003 : Les Maîtres du jeu (Shade) de Damian Nieman : Dean Stevens

  • 2003 : Spy Kids 3 : Mission 3D (Spy Kids 3-D: Game Over) de Robert Rodriguez : Toy Master


  • 2006 : Rocky Balboa de lui-même : Robert « Rocky » Balboa, Sr.


  • 2008 : John Rambo (Rambo) de lui-même : John Rambo


  • 2009 : Kambakkht Ishq de Sabbir Khan : Lui-même (caméo)



Années 2010 |



  • 2010 : Expendables : Unité spéciale (The Expendables) de lui-même : Barney Ross


  • 2011 : Zookeeper de Frank Coraci : Joe, le lion (voix)


  • 2012 : Expendables 2 : Unité spéciale (The Expendables 2) de Simon West : Barney Ross


  • 2013 : Du plomb dans la tête (Bullet to the Head) de Walter Hill : James Bonomo

  • 2013 : Évasion (Escape Plan) de Mikael Håfström : Ray Breslin

  • 2013 : Match Retour (Grudge Match) de Peter Segal : Henry « Razor » Sharp


  • 2014 : Expendables 3 (The Expendables 3) de Patrick Hughes : Barney Ross

  • 2014 : Bad Luck (Reach Me) de John Herzfeld : Gerald Cavallo


  • 2015 : Creed : L'Héritage de Rocky Balboa (Creed) de Ryan Coogler : Robert « Rocky » Balboa, Sr.


  • 2016 : Ratchet et Clank (Ratchet & Clank) de Kevin Munroe : Victor Von Ion (voix)


  • 2017 : Les Gardiens de la Galaxie Vol. 2 (Guardians of the Galaxy Vol. 2) de James Gunn : Stakar Ogord

  • 2017 : Animal Crackers de Scott Christian Sava et Tony Bancroft : Bullet-Man (voix)


  • 2018 : Évasion 2 (Escape Plan 2: Hades) de Steven C. Miller : Ray Breslin

  • 2018 : Creed 2 (Creed II) de Steven Caple Jr. : Rocky Balboa

  • 2018 : Backtrace de Brian A. Miller : Sykes



Prochainement 




  • 2019 : Evasion 3 (Escape Plan 3: Devil's Station) : Ray Breslin

  • 2019 : Rambo 5 d'Adrian Grunberg : John Rambo



Années 2020 |


  • 2020 : Expendables 4 : Barney Ross (tournage au courant 2019)

  • 2020 : Scarpa : Gregory Scarpa

  • 2021 : Hunter (projet) : Nathaniel Hunter

  • 2021 : Samaritan (projet)

  • 2022 : Ex-baghdad (projet)



Télévision |




  • 1975 : Police Story saison 3, épisode 2, The Cutting Edge : Caddo

  • 1975 : Kojak saison 3, épisode 3 Une ombre au tableau (My Brother, My Enemy) : le détective Rick Daly


  • 1979 : Le Muppet Show (The Muppet Show) saison 3, épisode 20, Sylvester Stallone : lui-même


  • 1991 : Dream On saison 2, épisodes 1 et 2, La Deuxième Plus Grande Histoire jamais contée (The Second Greatest Story Ever Told) : lui-même


  • 2002 : Liberty's Kids: Est. 1776 (Liberty's Kids) saison 1, épisode 5, Midnight Ride : Paul Revere (voix)


  • 2005 : Las Vegas saison 2, épisodes 12 et 18, Course contre la montre et Le réparateur (When You Got to Go, You Got to Go) et (To Protect and Serve Manicotti) : Frank

  • 2005 : The Contender saison 1 : Lui-même


  • 2017 : Ultimate Beastmaster saison 1, 3 épisodes : lui-même

  • 2017 : This Is Us saison 2, épisode 3, Déjà-Vu : lui-même



Doublage de jeu vidéo |




  • 2014 : Rambo: The Video Game : John Rambo


Réalisateur |




  • 1978 : La Taverne de l'enfer (Paradise Alley)


  • 1979 : Rocky 2 (Rocky II)


  • 1982 : Rocky 3 (Rocky III)


  • 1983 : Staying Alive


  • 1985 : Rocky 4 (Rocky IV)


  • 1990 : Rocky 5 (Rocky V) (non crédité)


  • 2006 : Rocky Balboa


  • 2008 : John Rambo (Rambo)


  • 2010 : Expendables : Unité spéciale (The Expendables)



Scénariste |




  • 1974 : Les Mains dans les poches (The Lords of Flatbush) de Martin Davidsen et Stephen Verona (dialogues additionnels)


  • 1976 : Rocky de John G. Avildsen


  • 1978 : FIST (F.I.S.T.) de Norman Jewison

  • 1978 : La Taverne de l'enfer (Paradise Alley) de lui-même


  • 1979 : Rocky 2 (Rocky II) de lui-même


  • 1982 : Rocky 3 (Rocky III) de lui-même

  • 1982 : Rambo (First Blood) de Ted Kotcheff


  • 1983 : Staying Alive de lui-même


  • 1984 : Le Vainqueur (Rhinestone) de Bob Clark


  • 1985 : Rambo 2 : La Mission (Rambo: First Blood Part II) de George Cosmatos

  • 1985 : Rocky 4 (Rocky IV) de lui-même


  • 1986 : Cobra de George Cosmatos


  • 1987 : Le Bras de fer (Over the Top) de Menahem Golan


  • 1988 : Rambo 3 (Rambo III) de Peter MacDonald


  • 1990 : Rocky 5 (Rocky V) de John G. Avildsen et lui-même


  • 1993 : Cliffhanger : Traque au sommet (Cliffhanger) de Renny Harlin


  • 2001 : Driven de Renny Harlin


  • 2006 : Rocky Balboa de lui-même


  • 2008 : John Rambo (Rambo) de lui-même


  • 2010 : Expendables : Unité spéciale (The Expendables) de lui-même


  • 2012 : Expendables 2 : Unité spéciale (The Expendables 2) de Simon West


  • 2013 : Homefront de Gary Fleder


  • 2014 : Expendables 3 (The Expendables 3) de Patrick Hughes


  • 2018 : Creed 2 (Creed II) de Steven Caple Jr.


  • 2019 : Rambo 5 d'Adrian Grunberg



Producteur |



Cinéma |




  • 1983 : Staying Alive de lui-même


  • 2001 : Driven de Renny Harlin


  • 2013 : Homefront de Gary Fleder


  • 2015 : Creed : L'Héritage de Rocky Balboa (Creed) de Ryan Coogler


  • 2018 : Évasion 2 : Le Labyrinthe d'Hadès (Escape Plan 2 : Hades) de Steven C. Miller


  • 2018 : Creed 2 (Creed II) de Steven Caple Jr.



Télévision |




  • 1985 : Heart of a Champion: The Ray Mancini Story de Richard Michaels (téléfilm)


  • 2016 : Strong (série télévisée)



Box-office |






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Films
Budget
Recettes mondiales

La Taverne de l'Enfer (1978)
8 000 000 $
7 185 518 $

Rocky 2 : La Revanche (1979)
7 000 000 $
200 100 000 $

Rocky 3 : L'Œil du Tigre (1982)
25 000 000 $
270 000 000 $

Staying Alive (1983)
22 000 000 $
64 800 000 $

Rocky 4 (1985)
28 000 000 $
300 400 000 $

Rocky Balboa (2006)
24 000 000 $
155 700 000 $

John Rambo (2008)
50 000 000 $
113 200 000 $

Expendables : Unité Spéciale (2010)
82 000 000 $
274 500 000 $
Total
246 000 000 $
1 385 885 518 $


Distinctions |




L'acteur à la Mostra de Venise 2009, où il reçoit un prix spécial récompensant l'ensemble de sa carrière.






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Récompenses |





















































































































































































































































Année
Cérémonie
Catégorie
Film

1977

David di Donatello Awards
David di Donatello Award du meilleur acteur étranger

Rocky

Kansas City Film Critics Circle Awards
KCFCC Award du meilleur acteur

1979

ShoWest Convention
Star de l'année


1982

Jupiter Awards
Jupiter Award du meilleur acteur international

Rambo et Rocky 3

1983

Walk of Fame
Étoile - Star du Walk of Fame - 29 juin 1983, 6712 Hollywood Boulevard


1984

ShoWest Convention
Star des stars


1985

Golden Apple Awards
Sour Apple


1986

Hasty Pudding Theatricals
Homme de l'année


People's Choice Awards
Acteur favori

Rambo 2 et Rocky 4

1990

Grand Prix International du Spectacle
Acteur international le plus populaire


1992

César

César d'Honneur


1996

Golden Apple Awards
Star masculine de l'année


1997

Golden Apple Awards
Star masculine de l'année


Festival International du Film de Stockholm
Meilleur acteur

Cop Land

1998

Palm Springs International Film Festival
Desert Palm Achievement Award


2002

Video Dealers Software Association
Action Star of the Millennium Award


2004

Golden Camera
Meilleur acteur international


2005

World Stunt Awards
Taurus d'Honneur


2006

Boxing Writers Association of America
Boxing Lifetime Cinematic Achievement pour le personnage de Rocky Balboa

Rocky, Rocky 2, Rocky 3, Rocky 4, Rocky 5 et Rocky Balboa

2008

Festival du Film de Zürich
Golden Icon Award


2009

Mostra de Venise
Prix Vive le Cinéaste


2010

IGN Award
IGN's Action Heroes Hall of Fame


The Hollywood Reporter
Ket Art Visionary Award


Hollywood Film Festival
Lifetime Achievement Award


2011

Hollywood Union Publicists
Lifetime Achievement Award


2012

CinemaCon
ComicCon Award Career Achievement


2013

CineRockom International Film Festival
Lifetime Achievement Diamond Award du meilleur acteur dans un blockbuster historique

Rocky 4





2015

National Board of Review Awards
NBR Award du meilleur acteur dans un second rôle

Creed
Top 10 Films (en tant que producteur)

Boston Online Film Critics Association Awards
BOFC Award du meilleur acteur dans un second rôle

Southeastern Film Critics Association Awards
SEFCA Award du meilleur acteur dans un second rôle

Austin Film Critics Association Awards
AFCA Award du meilleur acteur dans un second rôle

Phoenix Film Critics Society Awards
PFCS Award du meilleur acteur dans un second rôle

Las Vegas Film Critics Society Awards
LVFCS Award du meilleur acteur dans un second rôle

St. Louis Film Critics Association Awards
SLFCA Award du meilleur acteur dans un second rôle

Utah Film Critics Association Awards
UFCA Award du meilleur acteur dans un second rôle

Black Film Critics Circle Awards
BFCC Award du meilleur acteur dans un second rôle

Georgia Film Critics Association Awards
GFCA Award du meilleur acteur dans un second rôle

2016

Golden Globes Awards

Golden Globe du Meilleur acteur dans un second rôle

Denver Film Critics Society Awards
DFCS Award du meilleur acteur dans un second rôle

Critics' Choice Movie Awards
Critics' Choice Movie Award du meilleur acteur dans un second rôle

Golden Schmoes Awards
Golden Schmoes Award du meilleur acteur dans un second rôle
Golden Schmoes Award de la plus grande surprise de l'année (en tant que producteur)

Awards Circuit Community Awards
ACCA Award du meilleur acteur dans un second rôle

Gold Derby Awards
Golden Derby Award du meilleur acteur dans un second rôle

Festival international du film de Santa Barbara
Montecito Award - Grande, importante contribution au cinéma



Nominations |










































































































































































Année
Cérémonie
Catégorie
Film

1977

Oscars du cinéma

Oscar du meilleur scénario

Rocky

Oscar du meilleur acteur

Golden Globes

Golden Globe du meilleur scénario

Golden Globe du meilleur acteur

Writers Guild of America

WGA Award du meilleur drame adapté directement pour le cinéma

People's Choice Awards
Acteur favori

1978

British Academy Film Awards

BAFTA du meilleur scénario

BAFTA du meilleur acteur

People's Choice Awards
Acteur favori

F.I.S.T et La Taverne de l'enfer

1980

People's Choice Awards
Acteur favori

Rocky 2

2015

Satellite Awards
Satellite Award du meilleur acteur dans un second rôle

Creed

New York Film Critics Online Awards
NYFCO Award du meilleur acteur dans un second rôle

Washington D.C. Area Film Critics Association Awards
WAFCA Award du meilleur acteur dans un second rôle

Boston Society of Film Critics Awards
BSFC Award du meilleur acteur dans un second rôle

San Francisco Film Critics Circle Awards
SFFCC Award du meilleur acteur dans un second rôle

Houston Film Critics Society Awards
HFCS Award du meilleur acteur dans un second rôle

Indiana Film Journalists Association Awards
IFJA Award du meilleur acteur dans un second rôle

Online Film Critics Society Awards
OFCS Award du meilleur acteur dans un second rôle

Chicago Film Critics Association Awards
CFCA Award du meilleur acteur dans un second rôle

Florida Film Critics Circle Awards
FFCC Award du meilleur acteur dans un second rôle

Alliance of Women Film Journalists Awards
AWFJ Award du meilleur acteur dans un second rôle

North Carolina Film Critics Association
NCFC Award du meilleur acteur dans un second rôle

Indiewire Critics' Poll

2e position pour l'ICP Award du meilleur acteur dans un second rôle

Village Voice Film Poll

2e position pour l'VVFP Award du meilleur acteur dans un second rôle

2016

Central Ohio Film Critics Association Awards
COFCA Award du meilleur acteur dans un second rôle

National Society of Film Critics Awards
NSFC Award du meilleur acteur dans un second rôle

Seattle Film Critics Association Awards
SFCA Award du meilleur acteur dans un second rôle

NAACP Image Awards
Image Award du meilleur film (en tant que producteur)

Black Reel Awards
BR Award du meilleur film (en tant que producteur)

Vancouver Film Critics Circle Awards
VFCC Award du meilleur acteur dans un second rôle

Oscars du cinéma

Oscar du meilleur acteur dans un second rôle

Iowa Film Critics Association Awards

2e position pour l'IFCA Award du meilleur acteur dans un second rôle

MTV Movie Awards
MTV Award du meilleur film (en tant que producteur)

AARP Movies for Grownups Awards
AARP Award du meilleur acteur dans un second rôle

All Def Movie Awards
All Def Movie Award - Most Helpful White Person

Online Film & Television Association
OFTA Award du meilleur acteur dans un second rôle

BET Awards
BET Award du meilleur film (en tant que producteur)

NAACP Image Awards
NAACP Image Award du meilleur film (en tant que producteur)

Teen Choice Awards
Teen Choice Award du meilleur film (en tant que producteur)

2017

Jupiter Awards
Jupiter

Award du meilleur acteur international



    • Razzie Award

Sylvester Stallone a, à partir des années 1980, été régulièrement pris pour cible par les Razzie Awards. Il est devenu avec le temps l'une de leurs cibles favorites, et a reçu 10 Razzie Awards et 30 propositions, ce qui constitue un record pour cette manifestation parodique. Les Razzies l'ont proclamé en 1990 pire acteur des années 1980 et en 2000 pire acteur du siècle[23]. En 2016 par contre il reçoit le Razzie Award de la rédemption, qui célèbre le retour en grâce d'un lauréat des Razzies.



  • 1985 : Lauréat du Razzie Award du pire acteur pour Le Vainqueur

  • 1985 : Razzie Award du pire scénario pour Le Vainqueur partagé avec Phil Alden Robinson

  • 1985 : nommé pour le Razzie Award du pire scénario pour Rocky 4 (Rocky IV)

  • 1985 : lauréat du Razzie Award du pire réalisateur pour Rocky 4 (Rocky IV)

  • 1986 : lauréat du Razzie Award du pire scénario pour Rambo 2 : La Mission partagé avec James Cameron et Kevin Jarre

  • 1986 : lauréat du Razzie Award du pire acteur pour Rambo 2 : La Mission

  • 1986 : nommé pour le Razzie Award du pire acteur pour Cobra

  • 1986 : nommé pour le Razzie Award du pire scénario pour Cobra

  • 1987 : nommé pour le Razzie Award du pire acteur pour Le Bras de fer

  • 1988 : nommé pour le Razzie Award du pire scénario pour Rambo 3 partagé avec Sheldon Lettich

  • 1988 : Razzie Award du pire acteur pour Rambo 3

  • 1989 : nommé pour le Razzie Award du pire acteur pour Haute Sécurité

  • 1989 : nommé pour le Razzie Award du pire acteur pour Tango et Cash

  • 1990 : lauréat du Razzie Award du pire de la décennie pour Cobra (1986), Haute Sécurité (1989), Le bras de fer (1987), Rambo 2 : La Mission (1985), Rambo 3 (1988), Rocky 4 (Rocky IV, 1985), Le Vainqueur (Rhinestone, 1984) et Tango et Cash (1989).

  • 1991 : nommé pour le Razzie Award du pire acteur pour Rocky 5

  • 1991 : nommé pour le Razzie Award le pire scénario pour Rocky 5 (Rocky V)

  • 1991 : nommé pour le Razzie Award du pire acteur pour L'embrouille est dans le sac

  • 1992 : Razzie Award du pire acteur pour Arrête, ou ma mère va tirer !

  • 1994 : nommé pour le Razzie Award du pire scénario pour Cliffhanger : Traque au sommet (1993) partagé avec Michael France

  • 1995 : nommé pour le Razzie Award du pire acteur pour L'Expert

  • 1995 : nommé pour le Razzie Award du pire couple partagé avec Sharon Stone pour L'Expert

  • 1995 : nommé pour le Razzie Award du pire acteur pour Assassins

  • 1995 : nommé pour le Razzie Award du pire acteur pour Judge Dredd

  • 1996 : nommé pour le Razzie Award du pire acteur pour Daylight


  • 1999 : nommé pour le Razzie Award du pire acteur dans un second rôle pour An Alan Smithee Film (1997)

  • 2000 : lauréat du Razzie Award du pire acteur du siècle pour 99,5% de ses films

  • 2001 : nommé pour le Razzie Award du pire acteur pour Get Carter

  • 2002 : nommé pour le Razzie Award du pire acteur pour Driven (2001)

  • 2002 : nommé pour le Razzie Award du pire duo à l'écran pour Driven (2001) partagé avec Burt Reynolds

  • 2002 : nommé pour le Razzie Award le pire scénario pour Driven (2001) partagé avec Jan Skrentny et Neal Tabachnick

  • 2004 : nommé pour le Razzie Award du pire acteur dans différents rôles pour Spy Kids 3 : Mission 3D (2003)

  • 2011 : nommé pour le Razzie Award du pire réalisateur pour Expendables : Unité spéciale

  • 2014 : nommé pour le Razzie Award du pire acteur pour Du plomb dans la tête, Évasion et Match retour

  • 2016 : lauréat du Prix de la rédemption pour son passage de grand champion des Razzies à nominé à l'Oscar du meilleur acteur dans un second rôle pour Creed : L'Héritage de Rocky Balboa



Voix francophones |


Articles connexes : Alain Dorval et Pierre Chagnon (acteur).

En version française, Alain Dorval[24],[25] est la voix régulière de Sylvester Stallone depuis Rocky en 1976. Il double l'acteur notamment dans les sagas Rocky, Rambo et Expendables. A noter que le doublage de Rebel (1970) a été effectué en 1980.


Durant une période, Richard Darbois l'a doublé à huit reprises[24],[25]. Il a doublé l'acteur notamment dans Tango et Cash, Demolition Man, Copland et Driven.
Michel Vigné le double dans le film Haute Sécurité et la série Dream On[25]. Il le double aussi dans Gremlins 2 : La Nouvelle Génération lorsque qu'un extrait de Rambo 2 : La Mission est diffusé.


À titre exceptionnel, il a aussi été doublé par Laurent Hilling dans L'Étalon italien, Jean-Pierre Leroux dans Capone[26], Bernard Murat dans La Course à la mort de l'an 2000[25], Olivier Destrez dans la série Kojak[26], Gérard Dessalles dans la série The Muppet Show[26], Patrick Floersheim dans la version VHS de Le Vainqueur[26] et Thierry Mercier dans la série This Is Us.


En version québécoise, Pierre Chagnon est la voix de Sylvester Stallone dans presque tous ses films[27]. Il le double notamment dans Cliffhanger : Traque au sommet, Judge Dredd, Rocky Balboa et la saga Expendables.


À titre exceptionnel, il a aussi été doublé par Dominique Briand dans Tango et Cash[27].


Versions françaises



  • Alain Dorval dans Rocky, Rambo, Expendables, Cliffhanger : Traque au sommet, Judge Dredd[24],[25]etc.


  • Richard Darbois dans Tango et Cash, Demolition Man, Copland, Driven[24],[25]etc.


  • Michel Vigné dans Haute Sécurité, Drem On[25]etc.



Versions québécoises

Note : La liste indique les titres québécois.



  • Pierre Chagnon dans La Falaise de la mort, Juge Dredd, Rocky Balboa et la saga Les Sacrifiés[27]etc.


Notes |





  1. Stallone reste à ce jour le dernier à avoir été dans cette situation.




Références |





  1. (en) « Frank Stallone, polo player and father of actor Sylvester Stallone, dies at 91 », sur Washington Post (consulté le 28 mars 2013)


  2. (fr) Sylvester Stallone, 13emerue


  3. VIDEO. Sylvester Stallone : un maire révèle les origines bretonnes de l'acteur


  4. (en) Will Stewart, « Rambo-ski – Hollywood star Sylvester Stallone's Russian secret », Daily Mail, London,‎ 11 avril 2009(lire en ligne)


  5. « Sylvester Stallone », sur Première (consulté le 19 octobre 2017)


  6. « Le combat perdu de Stallone. Notre enquête », sur Paris Match, 22 juillet 2012(consulté le 19 octobre 2017)


  7. Canal+ le journal du mercredi cinema 1992, (FLV) [Production de télévision] (1992) Italie : CANAL+. Consulté le 22 février 2018. La scène se produit à 43 min 30 s. “Interview de Sylverster Stallone par Michel Denisot”


  8. (en) Interview de Sylvester Stallone, Playboy, septembre 1978


  9. The 'Italian Stallion' Hoax: Stallone Never Did Hardcore, AVN, 6 février 2008


  10. « Le show de Sylvester Stallone et Mohamed Ali aux Oscars 1977 », sur Première.fr, 23 février 2017(consulté le 9 décembre 2018).


  11. « Creed 2 : Sylvester Stallone derrière la caméra pour le retour d’Ivan Drago », sur Allociné, 10 octobre 2017(consulté le 10 octobre 2017).


  12. (en) Justin Kroll, « Steven Caple Jr. to Direct ‘Creed 2’ Starring Michael B. Jordan and Sylvester Stallone (EXCLUSIVE) », Variety, 11 décembre 2017(consulté le 19 mars 2018)


  13. Stéphane Lauer, « Sylvester Stallone s’éloigne du casting de Donald Trump », lemonde.fr, 20 décembre 2016.


  14. Hélène Pagesy, "Sage Stallone : une carrière trop vite interrompue", Lefigaro.fr, 16 juillet 2012


  15. http://www.stallone.biz/10-categorie-150213.html


  16. https://akas.imdb.com/name/nm0000230/bio


  17. « Sylvester Stallone aurait abusé de sa demi-sœur », gala.fr, 24 janvier 2013.


  18. Sylvester Stallone accused 30 years ago of allegedly having group sex with teen, police say, The Baltimore Post-Examiner, 16 février 2016


  19. « Agression sexuelle : le nom de Sylvester Stallone figurerait dans un rapport de police », LCI,‎ 17 novembre 2017(lire en ligne)


  20. Sylvester Stallone Denies Sexually Assaulting 16-Year-Old in 1980s, Time, 17 novembre 2017


  21. Anne-Yasmine Machet, « Sylvester Stallone accusé d’agression sexuelle : son ex-femme Brigitte Nielsen le défend », gala.fr, 21 novembre 2017.


  22. Noémie Sato, « Sylvester Stallone visé par une nouvelle plainte pour agression sexuelle », 20minutes.fr, 25 décembre 2017.


  23. All-Time Razzie Champions, Razzies.com, 26 février 2005


  24. a b c et d« Comédiens ayant doublé Sylvester Stallone en France » sur Doublagissimo


  25. a b c d e f et g« Comédiens ayant doublé Sylvester Stallone en France » sur AlloDoublage


  26. a b c et d« Comédiens ayant doublé Sylvester Stallone en France » sur RS Doublage.


  27. a b et c« Comédiens ayant doublé Sylvester Stallone au Québec » sur Doublage.qc.ca, consulté le 17 octobre 2014.




Voir aussi |


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Bibliographie |


David Da Silva, Sylvester Stallone, héros de la classe ouvrière, LettMotif, La Madeleine, 2016.


Mohamed Mamou, Sylvester Stallone : Une revanche sur la vie, Ed. Broché, Paris, 1995.



Liens externes |




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