Parthenay
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La citadelle de Parthenay. | |||||
Blason | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Deux-Sèvres | ||||
Arrondissement | Parthenay (sous-préfecture) | ||||
Canton | Parthenay (chef-lieu) | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Parthenay-Gâtine | ||||
Maire Mandat | Xavier Argenton 2014-2020 | ||||
Code postal | 79200 | ||||
Code commune | 79202 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Parthenaisiens | ||||
Population municipale | 10 381 hab. (2015 ) | ||||
Densité | 912 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 46° 38′ 55″ nord, 0° 14′ 52″ ouest | ||||
Altitude | Min. 114 m Max. 184 m | ||||
Superficie | 11,38 km2 | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : Deux-Sèvres
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Géolocalisation sur la carte : France
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Liens | |||||
Site web | ville-parthenay.fr | ||||
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Parthenay est une commune du centre-ouest de la France située dans le département des Deux-Sèvres, dont elle est l'une des deux sous-préfectures (avec Bressuire), en région Nouvelle-Aquitaine.
Ses habitants s'appellent les Parthenaisiens.
Sommaire
1 Géographie
1.1 Localisation et communes limitrophes
2 Histoire
2.1 Moyen Âge
2.2 Époque moderne
2.3 XIXe et XXe siècles
3 Héraldique
4 Politique et administration
4.1 Tendances politiques et résultats
4.2 Liste des maires
5 Démographie
6 Économie
7 Une ville de projets
7.1 Les projets environnementaux
7.1.1 Gestion différenciée
7.1.2 La réhabilitation du Quartier Saint-Paul
7.1.3 Requalification du quartier de la gare
7.2 Valorisation du patrimoine
7.2.1 Restauration de l’église Saint-Laurent
7.2.2 Le patrimoine médiéval
7.3 En centre-ville
7.3.1 Un développeur de centre-ville
7.4 Culture et sport
7.4.1 Un Nouveau stade
7.4.2 Le domaine culturel
8 Structures et équipements culturels et sportifs
8.1 Équipements culturels
8.1.1 La maison des cultures du pays
8.1.2 La chapelle des Cordeliers
8.1.3 Le Palais des congrès
8.1.4 L'archipel
8.1.5 Diff'Art
8.2 Équipements sportifs
8.2.1 Les salles
8.2.2 Les Stades
8.2.3 Autres équipements
9 Ville numérique
10 Médias
11 Tourisme
11.1 Lieux et monuments
11.1.1 Le Centre d’Interprétation de l’Architecture et du Patrimoine
12 Festivals
12.1 Festival des Jeux
13 Culture populaire
14 Jumelages
15 Culture locale et patrimoine
15.1 Lieux et monuments
15.2 Patrimoine culturel
15.3 Patrimoine naturel
15.4 Héraldique
15.5 Personnalités liées à la commune
15.5.1 Écrivains, érudits locaux et historiens
15.5.2 Faïenciers
15.5.3 Hommes politiques
15.5.4 Peintres et dessinateurs
15.5.5 Collectionneur
15.5.6 Autres personnalités
16 Voir aussi
16.1 Liens externes
16.2 Bibliographie
17 Sources
18 Notes et références
18.1 Notes
18.2 Références
Géographie |
Parthenay est située (par la route) de 30 à 40 minutes des villes de Thouars, Niort, Bressuire. Les grandes agglomérations les plus proches sont Poitiers, Nantes et La Rochelle.
Parthenay est considérée comme la capitale de la Gâtine poitevine, pays bocager, qui occupe le tiers central du département des Deux-Sèvres.
Le site de Parthenay se trouve dans une boucle du Thouet, la ville médiévale étant bâtie sur l’éperon qui offre un bon site défensif[1].
La citadelle, ouverte par la porte fortifiée Saint-Jacques et toujours enceinte de ses remparts, occupe un éperon rocheux qui domine cette rivière.
Il demeure également de nombreux vestiges de l'enceinte extérieure et l'une de ses portes (la porte Saint-Jacques) est toujours debout. En contrebas des remparts se trouve une prairie inondable, la Prée.
Plus en aval, une partie du cours d'eau a été aménagé pour abriter une base de loisirs.
La ville du Moyen Âge et des temps modernes comprenait la citadelle, le quartier de la Vau Saint-Jacques (ou basse ville), le plateau Saint-Laurent (actuelles rues piétonnes et commerçantes), ainsi que quelques faubourgs à chaque porte de ville (Saint-Paul, Saint-Jacques, Sépulcre, Marchioux, Bourg Belais) et enfin le bourg de Parthenay-le-Vieux, longtemps isolé du reste de l'agglomération.
L'urbanisation a repris fin XIXe siècle d'abord dans le quartier de la gare.
Après guerre, la construction de lotissements à l'ouest de la ville a permis de relier le bourg de Parthenay-le-Vieux.
Dans les années 1970, une zone d'aménagement concerté s'est développée de part et d'autre de la rocade est, ouverte à cette époque, avec implantation d'un hypermarché et du nouvel hôpital.
Ce n'est qu'en 2003 qu'a été ouverte la rocade ouest. La ville compte relativement peu de résidences collectives. La campagne est très proche. L'agglomération dispose de zones industrielles et commerciales, une ZI route de Bressuire (sur la commune de Châtillon-sur-Thouet qui touche Parthenay) et route de Poitiers. Un hypermarché est établi à proximité immédiate du centre-ville, à l'emplacement de l'ancienne caserne Allard, ce qui constitue une particularité de l'urbanisme local.
Localisation et communes limitrophes |
Histoire |
Moyen Âge |
Le nom de Partenay apparaît au début du XIe siècle et désigne alors peut-être l'actuel village de Parthenay-le-Vieux[réf. nécessaire]. Il n'y a pas trace d'importantes occupations humaines antérieures au Moyen Âge et il est probable que Parthenay soit née en même temps que son château, un peu avant 1012[2].
La première dynastie de seigneurs locaux est dite des « Parthenay L'archevêque » car elle s'enorgueillissait d'avoir un ancêtre archevêque de Bordeaux. Ces seigneurs, vassaux des comtes de Poitiers, deviennent au XIe siècle de puissants barons, contrôlant la Gâtine par la fondation de châteaux, d’églises et le contrôle des bourgs[2]. Ils s’allient aux comtes d’Anjou, l’ennemi de leur suzerain[2], ce qui leur permit de se révolter souvent contre leurs suzerains les comtes de Poitiers, puis contre les rois de France ou d’Angleterre.
Dans la seconde moitié du XIe siècle, les comtes-ducs de Poitiers concèdent des franchises aux bourgs qui entourent Parthenay : Saint-Pierre et Saint-Paul (abandon des droits seigneuriaux et du droit de service armé)[3].
C'est à Parthenay que se déroula la rencontre entre saint Bernard et le duc d'Aquitaine Guillaume X qui reconnaissait alors un antipape et finit par se convertir.
La cité devient un lieu de passage d'une route secondaire du pèlerinage de Saint-Jacques-de-Compostelle, qui rejoignait la via Turonensis plus au sud, après être passée par Niort. C'est pour cette raison que la porte fortifiée du nord est appelée porte Saint-Jacques, et bénéficie d’un traitement prestigieux. La principale artère de la ville au Moyen Âge était la rue de la Vau Saint-Jacques (on y trouve toujours un ensemble de maisons à pans de bois de la fin du Moyen Âge) qui menait à la porte de la citadelle, entrée de la deuxième enceinte fortifiée. Au bout de cet éperon rocheux dominant le Thouet se trouvait le château des seigneurs de Parthenay.
En 1202, le baron de Parthenay apporte son soutien à Jean sans Terre dans sa lutte contre le roi de France, Philippe Auguste[2]. Le roi d’Angleterre verse d’importantes aides à son allié pour qu’il renforce les fortifications de ses châteaux[2]. Mais cela n’empêche pas la prise de la ville en 1207 par Philippe Auguste[4],[2].
En 1214, l’armée anglaise se rassemble à Parthenay avant d’entrer en campagne contre le roi de France ; et après la défaite de Jean sans Terre à la bataille de Bouvines, c’est encore à Parthenay que la trêve est signée entre l’Anglais et le Français[5]. Les barons de Parthenay continuent de recevoir des subsides des rois d’Angleterre[5]. Et en 1242, le roi d’Angleterre fournit brièvement une garnison à son allié[5].
Près d’un siècle plus tard, les subventions du roi d’Angleterre reprennent au début de la guerre de Cent Ans, et les travaux effectués à ce moment permettent à la place forte de résister victorieusement pendant quatre mois au siège du dauphin (titre) Charles (1419)[1].
Le connétable de France, Arthur de Richemont, reçoit la seigneurie de Parthenay en 1427. La population de la ville est très rapidement hostile au nouveau gouverneur, qui fait renforcer les défenses du château côté ville[1]. Il adapte également les fortifications de la ville à l’artillerie par l’édification d’un boulevard d'artillerie[1].
Les fortifications de la ville sont démantelées par les bosons du roi de France en 1465[1].
Dunois est chargé de renforcer les fortifications de la ville en 1480, mais se range du côté des princes révoltés lors de la guerre folle[1] : le 30 mars 1486[réf. nécessaire], la ville est prise par l’armée royale et ses fortifications de la ville démantelées[1]. La comtesse de Dunois obtient cependant en 1492 de pouvoir les reconstruire en les modernisant avec des tours d’artillerie[6] : les travaux durent jusqu’en 1523[1].
Sous l'Ancien Régime, la petite ville compta de nombreuses paroisses : Sainte-Croix, Notre-Dame-de-la-Couldre (dans l'enceinte de la Citadelle), Saint-Laurent, Saint-Jean, Saint-Jacques, Saint-Paul, Saint-Pierre de Parthenay-le-Vieux (créée au début du XIIe siècle par les casadéens[7]), et le Sépulcre. Il faut aussi ajouter le couvent des Cordeliers, la Maison-Dieu et la Maladrerie. Des faubourgs s'édifièrent autour de ces établissements religieux.
Époque moderne |
Pendant les guerres de religion, la ville est assiégée et incendiée en 1562 et 1568[1].
Les ducs de La Meilleraye, cousins de Richelieu, furent seigneurs de Parthenay aux XVIIe et XVIIIe siècles. L'un d'entre eux refonda l'hôpital de Parthenay et résida dans son château de la Meilleraye (commune de Beaulieu-sous-Parthenay). Le château, abandonné, sert alors de carrière de pierres[1].
À la Révolution, Parthenay faillit être choisi comme chef-lieu du département des Deux-Sèvres mais ce privilège revint finalement à Niort. Bleus et blancs se disputèrent le contrôle de la ville qui prit cependant le parti des Républicains.
XIXe et XXe siècles |
L’économie locale est dominée dans les temps anciens par le textile, le travail du cuir (tanneries du faubourg Saint-Paul) et le commerce des bestiaux (marché important le mercredi). À la fin du XIXe siècle, la production de faïences est reconnue. Un pôle d’industries mécaniques s’établit par la suite dans la sous-préfecture.
Au XIXe siècle, des modifications urbanistiques importantes ont lieu : terrassements à l’emplacement de ce qui reste du château (mêmes si deux tours restent debout), démolitions de portes fortifiées et d’une partie des remparts, aménagement de la place principale dite du Drapeau. Construction d’un nouveau quartier autour de la gare, arrivée du chemin de fer un peu tardivement en 1882, mais qui va permettre le développement de l’industrie familiale (briqueterie Ayrault, pâtes Panzani, négoce de bétails, travail du bois, agro-alimentaire, acier…). Les livraisons et les expéditions par le rail sont importantes jusque dans les années 1970 la ville étant reliée à Nantes via Cholet et Bressuire, Angers via Saumur et Thouars, La Rochelle via Niort et enfin Poitiers.
La région accueille en mai et juin 1940 les recrues de la 2e division polonaise de chasseurs. L'état-major est situé à Parthenay et le camp de base est à Airvault. Cette unité (16 000 hommes environ) participa sous commandement opérationnel français aux combats de juin 1940 et finit internée en Suisse où elle s'était réfugiée.
De nos jours, l’activité ferroviaire de Parthenay est quasiment inexistante sans ligne voyageurs depuis le début des années 1980 et avec quelques rares trains de fret sur la seule ligne encore en état : Niort-Thouars que des passionnés tentent d’ailleurs de faire revivre dans une perspective de liaison nord-sud et d’autoroute ferroviaire, cette ligne étant un tronçon de l'ancienne ligne Paris / Bordeaux par le rail via Saumur et Saintes.
La ville accueillit l’École normale des instituteurs du département où enseigna notamment Ernest Pérochon, futur prix Goncourt, école qui fut transférée à Niort et remplacée par un collège dans les années 1970.
Depuis 1945, l’extension urbaine continue et la ville se dote d’équipements et d’infrastructures (Palais des Congrès, base de loisirs, piscines, déménagements du Champ de foire puis de l’hôpital, campus des métiers, rocade de contournement). Capitale du petit pays de Gâtine, la ville souffre de la crise industrielle et du vieillissement de la population de son pays rural. De nombreuses places commerciales sont à l'abandon. Le vieux centre souffre également du développement important de la ZAC des Loges en périphérie sur laquelle sont implantées autour d’un hypermarché une dizaine d'enseignes.
Elle se lance cependant dans l’innovation technologique et l’administration électronique, projets financés à l’origine par des programmes européens. Elle cherche aussi à préserver et valoriser son riche patrimoine historique et monumental.
Héraldique |
Blasonnement : Burelé d'argent et d'azur, à la bande de gueules brochant sur le tout Commentaires : Ces armes étaient celles des seigneurs de Parthenay. |
Politique et administration |
Tendances politiques et résultats |
Elections municipales
Si l’on se réfère à l’histoire politique récente de Parthenay, on peut distinguer deux périodes. De 1965 à 2001, Parthenay s’inscrit dans une mouvance de gauche. Les maires Armand Jubien (1965-1979) et Michel Hervé (1979-2001) portent l’étiquette politique PS.
En 2001, un changement de tendance politique s’opère. Xavier Argenton devient maire de Parthenay et s’inscrit davantage dans une mouvance de droite (Divers droite et Nouveau Centre).
Elections départementales et régionales
A une autre échelle, on observe également une tendance à l’alternance entre droite et gauche. En 2008, l’Union des Deux-Sèvres, regroupant l’Ump (aujourd’hui Les Républicains), l’udi et le Modem, avait perdu le département au profit du Ps et EELV. En 2015, la droite remporte la victoire aux départementales (l’union de la droite : 45.07 /union de la gauche 44.03). Les résultats dans le canton de Parthenay donnent Gilbert FAVREAU et Béatrice LARGEAU victorieux au second tour avec un peu plus de 55 % des suffrages (55 % des voix commune et 58 % voix canton). C’est cependant la liste d’union de la gauche qui toujours en 2015 l’emporte aux régionales avec à sa tête Alain rousset (42,50 % des suffrages).
Liste des maires |
Démographie |
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population
effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les
populations légales
des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur
une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous
les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par
sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un
recensement réel tous les cinq ans[14],[Note 1].
En 2015, la commune comptait 10 381 habitants[Note 2], en diminution de 0,93 % par rapport à 2010 (Deux-Sèvres : +1,4 %, France hors Mayotte : +2,44 %).
L'agglomération de Parthenay qui comprend les communes de Le Tallud, Pompaire et Châtillon-sur-Thouet compte 18 237 habitants en 2008[17].
Économie |
Sous l’Ancien Régime, la cité a abrité une production artisanale de draps, rue de la Vau-Saint-Jacques. Un ensemble de tanneries s'installe à Parthenay aux XVIIIe et XIXe siècles, notamment dans le quartier Saint-Paul, avant de disparaître au XXe siècle. La filature Blot-Bardet, sur le site de Pompairain en bordure du Thouet, est le principal établissement industriel du XIXe siècle. De nos jours, l'économie de Parthenay se structure autour de 3 filières ayant une importance locale : l’agroalimentaire (présence d'un important marché aux bestiaux, d'un centre régional d'abattage, de la société des engrais Aubrun, ...), la métallurgie-mécanique et le service à la personne.
Le Groupe FAYAT, leader des centrales d'enrobage, dispose à Parthenay d'une unité de fabrication de charpentes industrielles et de ponts-roulants avec A.D.C. AIR LIQUIDE, implanté à Parthenay au travers de AIR LIQUIDE WELDING est elle, spécialisée dans les automates de soudage et de découpage des métaux de haute technologie. Cette entreprise dispose notamment des agréments de l'industrie nucléaire.
De plus ces entreprises entraînent dans leur sillage une multitude de P.M.E. dynamiques : GUPSOS S.A., M.2.G. S.A. (élaboration d'usines plâtrières clés en main), AT Industrie, MSI.
La tradition marchande médiévale de Parthenay, issue de l'artisanat, des productions locales et de l'élevage, trouve sa transposition moderne avec l'implantation locale de plusieurs grossistes d'ampleur nationale et de centre d'éclatement. Le groupe ARC International irrigue le territoire français dans les arts de la table à partir de ses entrepôts de 40 000 m² environ.
Parthenay demeure ainsi un pôle de transformation et de commercialisation agro-alimentaire important. La SN FAVID est spécialisée dans la fabrication de viandes de volailles et de porc en est l'illustration. La transformation des sous-produits a aussi pris de l'importance que ce soit avec la Société ADAX, spécialisée dans le pet-food ou le groupe CHARAL pour le traitement des peaux de bovins.
Mais plus encore c'est la production des animaux de boucherie de qualité supérieure qui se développe avec l'atelier de découpe des viandes de la SAS Société des Viandes des Eleveurs de Parthenay et l'abattoir bovin de la SAS Société d'Abattage de la Bressandière - Parthenay.
Enfin les services à la personne, le pôle handicap de notre territoire c'est plus de 1 000 Equivalent Temps Plein. C'est une économie en plein développement avec des enjeux forts comme le maintien à domicile. La dernière réalisation en date est le centre Canopée de l'ADAPEI 79. La Communauté de Communes a ainsi choisi d’inscrire le développement économique dans ses priorités. Il convient de préciser que cette politique économique s’inscrit donc dans des logiques partenariales fortes avec le Pays de Gâtine, le Conseil Général des Deux-Sèvres, la Région Poitou-Charentes, l’Etat, l’Union Européenne mais aussi avec les autres bassins de vie du nord Deux-Sèvres au travers d’un réseau de ville dynamique et œuvrant pour le développement.
De plus on peut noter l'implantation de plusieurs entreprises de renom, qui ont choisi de s'implanter à Parthenay dans le passé : la briqueterie Ayrault (ou ERO) aujourd'hui disparue, la société de BTP Esmery (actuellement M'RY), l'ancienne ébénisterie Dargenton, etc. Enfin, il ne faut pas oublier que le premier établissement de M. Panzani se trouvait à Parthenay.
Une annexe de la Chambre de commerce et d'industrie des Deux-Sèvres est installée à Parthenay.
Une ville de projets |
Cette section ne cite pas suffisamment ses sources (août 2016). Pour l'améliorer, ajoutez des références vérifiables [comment faire ?] ou le modèle {{Référence nécessaire}} sur les passages nécessitant une source. |
Les projets environnementaux |
Gestion différenciée |
Comme de nombreuses villes (Nantes, Rennes, Angers, etc.), Parthenay s’est lancée dans la gestion différenciée.
Plusieurs actions sont menées :
- remise à l'état naturel de la zone humide de La Prée, avec replantation de 1 300 arbres et arbustes ;
- installation d'un rucher communal pédagogique au parc des Loges ;
- éco-pâturage : quatre chèvres qui entretiennent les coteaux aux abords de La Prée ;
- fauche tardive à La Base de Loisirs.
La réhabilitation du Quartier Saint-Paul |
De 2012 à 2015, le quartier Saint-Paul a connu une réhabilitation : démolition de 64 logements vétustes, construction de 59 logements neufs, réhabilitation de 18 logements. Les logements construits sont des logements BBC (bâtiment basse consommation). Des lieux de rencontres (terrain de boules, parc paysager, square avec jeux pour enfants …) ont été créés.
Requalification du quartier de la gare |
Un projet de requalification du quartier de la gare en pôle tertiaire est à l’étude.
Valorisation du patrimoine |
Restauration de l’église Saint-Laurent |
Monument emblématique de la ville ancienne, l'église Saint-Laurent est en cours de restauration[18]. Son clocher est le plus haut des deux sèvres (65m). Cette église pluriséculaire, classée monument historique, est l’un des plus anciens bâtiments de la ville. Une des premières références à ce monument de style roman est faite au XIe siècle. Elle connaît un premier agrandissement au XIIIe siècle, puis au XVe. Sa forme actuelle date du XIXe siècle. Les travaux prévus sont :
- Première tranche : la restauration de la flèche de l'église, qui passe par l’éradication des mousses et du lichen.
- Deuxième Tranche : restauration intérieure de l'église, notamment des parements, des arcs et des voûtes
- Troisième tranche : restauration intérieure du massif du clocher.
La durée prévisionnelle pour l'ensemble des travaux est de 36 mois, soit un achèvement des travaux fin 2019. Le coût estimé des travaux s'élève à 2 212 000€.
Le patrimoine médiéval |
Parthenay, capitale de la Gâtine, est une ville médiévale[19] qui s'est établie sur un éperon rocheux dominant une boucle du Thouet. Trois lignes de fortifications, particulièrement spectaculaires, structurent l'espace urbain. En franchissant les enceintes par la porte de l'Horloge et la porte Saint-Jacques, on découvre les tours en forme d'amandes percées d'archères et de canonnières. Le centre-ville se compose de ruelles irrégulières et de places-carrefours.
Un effort d'embellissement du quartier médiéval est mis en place depuis quelques années : plantation de rosiers grimpants sur les façades, mise en place d’un plan de circulation et de stationnement valorisant les piétons, etc.
En centre-ville |
Le tissu commercial du centre-ville se compose de plus de 35 commerces. Des animations sont proposées régulièrement par l'association Central parth' : braderie des commerçants, Journée nationale du commerce de proximité, animations de Noël. Créée en 2006, elle regroupe aujourd’hui plus de 30 commerces adhérents.
Un marché alimentaire et vestimentaire se déroule tous les mercredis depuis plus de 100 ans.
En 2013, quatre « salons urbains » modulables ont été implantés sur l'esplanade Georges Pompidou. Parthenay propose également un stationnement gratuit, signalé par des zones bleues.
Le dispositif Cœur de Ville[20] permet d'accompagner les commerçants dans leur installation et de mettre en place des projets d'animations. Il s'appuie sur :
Un développeur de centre-ville |
À la fois interlocuteur des acteurs du centre-ville et des porteurs de projets, le développeur de centre-ville fait le trait d'union entre la collectivité et les commerçants.
Un médiateur de centre-ville
Depuis 2015, un médiateur est chargé de créer du lien entre les acteurs du centre-ville de Parthenay (habitants, visiteurs, commerçants). Son rôle est de faciliter l'utilisation des services publics, de surveiller la qualité de l'environnement du centre- ville et de favoriser l'accès à l'information pour tous via les nouvelles formes de communication (Facebook, site internet...).
Culture et sport |
Un Nouveau stade |
Anciennement stade Daguerre, la réhabilitation du site prévoit la construction de terrains de football, de pistes d’athlétisme, et d’une salle de réception, et de diverses autres installations pour une surface totale de 38 000 m²[21].
Les travaux de construction sont lancés et dureront 15 mois pour une livraison en septembre 2017. Le coût des travaux est estimé à 6,8 millions d'euros.
Le domaine culturel |
Une librairie indépendante a ouvert ses portes le 25 mai 2013[22], avec le soutien de la Ville de Parthenay.
En lien avec les associations culturelles, la collectivité élabore actuellement un document d'orientation culturelle[23]. La culture occupe une place de premier plan à Parthenay : un fort tissu associatif qui organise de nombreux événements tout au long de l’année. Les événements et acteurs culturels participent à construire l’identité territoriale.
Structures et équipements culturels et sportifs |
La ville dispose d’un musée, de la maison des cultures du pays, d’un palais des congrès accueillant des concerts, d’une chapelle dit des cordeliers, accueillant des expositions.
Équipements culturels |
La maison des cultures du pays |
Située au pied de la Porte Saint-Jacques (symbole de la ville) du quartier médiéval, la Maison des Cultures de Pays accueille l'association l'UPCP-Métive (centre de musiques et danses traditionnelles en Poitou-Charentes et Vendée) et le Musée d'art et d'histoire. Cet équipement culturel est aussi un espace dédié aux spectacles vivants pour la création et la diffusion avec deux salles mises à disposition des associations culturelles et des compagnies.
La chapelle des Cordeliers |
Cette chapelle gothique du XIIIe siècle est depuis 2001 une salle d’exposition dédiée à la promotion et à la diffusion des arts plastiques. La majeure partie des esthétiques est représentée en s'appuyant sur des artistes locaux, régionaux ou nationaux. Les expositions ont lieu de fin mars à fin octobre.
Le Palais des congrès |
Équipement aux multiples fonctions et missions, le Palais des Congrès fait partie des nombreux lieux de diffusion de spectacle vivant de Parthenay. Bâtiment phare de la ville de par son imposante architecture des années 70, le Palais des congrès est situé en plein centre-ville. Ses espaces permettent d’accueillir de nombreuses manifestations telles que des spectacles, des colloques, des séminaires, des cérémonies officielles, assemblées générales. Au-delà de la programmation et de l’accueil d’événements, le Palais des congrès est un lieu de renseignements, de soutien et de conseils pour les acteurs culturels dans la mise en œuvre de leurs projets. La direction de l’action culturelle est à votre écoute pour l’élaboration de vos éventuelles démarches.Très fréquenté, le Palais des Congrès est aussi un espace d’accueil général, d’informations et d’orientations sur la ville et sur la communauté de communes.
L'archipel |
Équipement municipal en gestion associative par Aléa Citta, association et compagnie de danse contemporaine. Ce bâtiment se compose :
- d'un studio de danse pour la pratique amateur et professionnelle.
- d'une salle de chant (ancien tribunal révolutionnaire).
- de bureaux administratifs pour les associations culturelles et d'une salle de réunion.
Diff'Art |
Équipement municipal mis à disposition principalement de l'association Trastaroots et des associations locales. Cette salle est destinée en particulier à la diffusion et à la promotion des musiques actuelles. Elle se compose
- d'une salle de concert de 455 places
- un studio de répétition pour les groupes amateurs et les élèves de la Rock School.
La salle de spectacle est aussi un lieu de résidence pour les groupes professionnels ou en voie de professionnalisation. Etant donné la fréquentation accrue de la salle et du nombre croissant d'élèves de la Rock School, des studios de répétition supplémentaires ont été construits afin de répondre à la demande des usagers.
Équipements sportifs |
Une quarantaine d'activités sportives, encadrées par une soixantaine d'associations constituent le tissu sportif de Parthenay.
Les salles |
-Salle Des Grippeaux
-Salle Mendes-France
-Salle École Normal
-Salle D'escrime
-Salle Tennis-Squash
-Salle Paul Coutant
- Salle Gym-Petit
Les Stades |
- Stade de L'Enjeu (Anciennement Jean Daguerre)
- Stade Eugène Brisset
- Stade Des Grippeaux
-Stade Marc Mulac
- Stade Des Loges
Autres équipements |
-Boulodrome de Bellevue
-Terrain de Moto-Cross
-Skate Park
-Espace Loisirs Détente
Ville numérique |
La municipalité de Parthenay s’est lancée très tôt dans l’aventure des NTIC (nouvelles technologies de l'information et de la communication) (Ville numérique). Initié par le maire Michel Hervé, le projet « Ville numérisée » avait pour objectif l’appropriation par les citoyens des NTIC et le développement de services publics en ligne.
Dès 1996, la ville est sélectionnée pour participer aux programmes pilotes européens « Mind » et « Metasa » (en 1998, le projet « Imagine » prendra le relais). Le district de Parthenay devient son propre fournisseur d’accès : les acteurs locaux voient leurs premiers sites internet hébergés gratuitement. La ville crée un site internet : l’« intownet ». Un serveur de messagerie expérimental est installé pour les citoyens : le BBS (Bulletin Board System). Chaque citoyen dispose d’une adresse de messagerie hébergée par la collectivité.
Pour faciliter l’apprentissage de ces nouvelles technologies, un premier « espace numérisé » (ordinateurs accessibles gratuitement) avec des ateliers de formation est créé. D'autres espaces ouvriront ensuite sur le territoire du district. Une opération « 1000 micros » (achat groupé par la ville de 1000 ordinateurs afin d’en abaisser le coût d’achat pour les citoyens et acteurs locaux) est lancée en 1997. Les établissements scolaires sont progressivement équipés. Des partenariats sont noués avec des industriels, notamment Microsoft.
La ville organise ou participe à de nombreuses manifestations d’études ou de promotion des NTIC (Declic, Netday, rencontres Démocratie et réseaux multimédia, Devnet, etc.). Des chercheurs en sciences sociales se sont intéressés à l’expérience parthenaisienne. La démarche de la municipalité de l’époque était en effet très liée au concept de « démocratie participative ». Les premiers services interactifs (formulaire de demande d’état-civil par exemple) sont alors proposés aux citoyens.
Les nouveaux projets, plus modestes, initiés en partenariat avec l’État (en l’occurrence l’Agence pour le développement de l’administration électronique puis la Direction générale de la modernisation de l’État), concernent le développement de l’administration électronique et des téléprocédures (projets Carte de vie quotidienne, Hélios, Actes-Contrôle de légalité électronique, Adeline, etc.).
Héritage de cette dizaine d'années d’immersion dans les NTIC, la ville dispose d’un important portail internet et a reçu la première en 2001, et sans interruption depuis, le label « Ville Internet @@@@@ », soit la récompense maximale reconnue en France en termes de densité de services en ligne[24],[25].
Dans le cadre des orientations 2007-2010, des réunions publiques sont organisées autour d’un titre : « Imaginons ensemble la ville web de demain ».
Médias |
Deux rédactions de presse écrite régionale : le Courrier de l'Ouest et La Nouvelle République du Centre-Ouest.
Une radio locale : Radio Gatine 88.6.
Tourisme |
Lieux et monuments |
Le pays de Parthenay est classé pays d'art et d'histoire.
Parthenay possède encore des restes de son vieux château. Sont encore visibles : la tour de la Poudrière, la tour d'Harcourt, la bastille de Richemont et le boulevard d’artillerie.
Il reste encore de nombreux vestiges de l'enceinte médiévale (parties nord et ouest[1]). L’enceinte, construite en granit, était double au Moyen Âge à l’ouest et à l’est de la ville (on a même parlé de « Carcassonne de l'Ouest »)[26]. Les dimensions de l’enceinte varient considérablement selon les secteurs : 0,80 m à l’ouest, entre 2,2 et 3 mètres au nord et à l’est, et jusqu’à 6 mètres pour le boulevard d'artillerie, au nord-est[27]. L’ensemble était flanqué de trente tours semi-circulaires. L’une d’elles, rue Niquet, a une forme d’amande[28].
La ville possédait quatre portes : Souvaing au sud, du Marchioux au sud-est, du Bourg-Belais à l’est et, élément le plus remarquable et symbole de la cité, le pont fortifié « porte Saint-Jacques », au nord[29]. Celle-ci est construite au XIIe siècle avec l’enceinte originale. Elle est renforcée dans la première moitié du XIVe siècle, au début de la guerre de Cent Ans[30]. Son apparence est bouleversée par l’ajout, au début du XVIe siècle, des deux tours en amande[31]. À la même époque, la salle intérieure est refaite[32], les armoiries des financeurs de la réfection sont sculptées sur la porte[29]. Cette campagne de construction est justifiée par la volonté des financeurs d’afficher leur puissance[33]. Enfin, le couronnement et l’ouverture sont refaits au XIXe siècle[29]. Les portes Marchioux et du Bourg-Belais étaient plus simples et défendues par une bastille[30]. Il existait en outre 17 poternes[29]. Une autre porte dite « de la Citadelle », est elle aussi défendue par un châtelet[30] ; elle porte l'Horloge de la ville.
Le quartier de la Citadelle possédait son enceinte particulière et renfermait les bâtiments essentiels de la ville : halles et églises principales, à proximité du château[34].
On compte à Parthenay de nombreuses églises paroissiales : Sainte-Croix, Saint-Laurent (encore en activité), Saint-Jacques, Saint-Paul, Saint-Pierre de Parthenay-le-Vieux, Notre-Dame-de-la-Couldre (transformées, désaffectées), Saint-Sépulcre, Saint-Jean (disparues). On peut citer aussi les chapelles du Rosaire et de l'ancien couvent des Cordeliers, ainsi que sur la commune voisine de Châtillon-sur-Thouet l'église Sainte-Catherine de la Maison-Dieu.
L'église Notre-Dame-de-la-Couldre possède un portail roman particulièrement remarquable.
La rue de la Vau Saint-Jacques présente encore un ensemble de maisons à pans de bois, de style médiéval. Plusieurs animations de l'Association de sauvegarde du quartier de la Vau Saint-Jacques mettent en valeur ce patrimoine : « De caves en jardins » (lors des Journées du Patrimoine), le marché médiéval, etc.
Parthenay dispose également de la Maison des Cultures de Pays, près de la porte Saint-Jacques. On y trouve l'association UPCP (« Union pour la culture populaire en Poitou-Charentes-Vendée »)-Métive qui promeut les chants, musiques et danses traditionnelles de la région (organisation du festival « De bouche à oreille »). Elle s'occupe aussi de recueillir toute la tradition orale des pays de l'Ouest grâce au CERDO (Centre d'études, de recherches et de documentation sur l'oralité), dans une perspective de conservation du patrimoine ethnologique. La Maison des Cultures de Pays abrite aussi le musée municipal Georges-Turpin (collection de faïences « de Parthenay », maquettes de la ville, etc.).
Panzani, a été créée à l'origine dans un entrepôt face à la gare de Parthenay par Jean Panzani (1911-2003) et sa femme.
Le Centre d’Interprétation de l’Architecture et du Patrimoine |
Le CIAP est un espace destiné à la sensibilisation, l'information et la formation des publics à l'histoire de la constitution du territoire urbain et paysager, et aux enjeux de l'évolution architecturale, urbaine et paysagère. Le CIAP est une bonne façon de découvrir le Pays d’art et d’histoire. Situé dans la Maison du patrimoine, une ancienne minoterie industrielle installée au bord du Thouet, au pied du château des seigneurs de Parthenay, il permet de découvrir au travers d’une exposition permanente l’histoire du territoire, et d’explorer ses richesses patrimoniales et architecturales.
Un espace pédagogique permet aux enfants de se familiariser avec le patrimoine en manipulant des maquettes de voûte et des jeux ludiques. Des expositions temporaires sont régulièrement proposées et abordent des thématiques variées, comme le chemin de fer ou le pèlerinage de Compostelle.
Festivals |
Se déroulent à Parthenay des festivals :
- Festival « De bouche à oreille » organisé par Métive (nouvelles musiques traditionnelles)[35].
Festival des Jeux (aussi appelé FLIP pour Festival Ludique International de Parthenay).- Festival « Ah? dans la rue » organisé par l'association Ah? (théâtre et théâtre de rue)[36].
Autre événement populaire : les « Fêtes de Pentecôte » avec la « Cavalcade » et la « Foire-exposition ».
La ville possède quelques équipements culturels : la médiathèque, l'École d'arts plastiques (avec un espace culture multimédia), l’école de musique Georges-Migot, le Palais des congrès (avec une salle de théâtre), la maison du Patrimoine (salle d'exposition du patrimoine ; archives municipales), l'espace public numérisé Armand-Jubien (ordinateurs en accès libre, centre de formation informatique des citoyens), le logis Férolle, et la salle Diff’art : lieu municipal de 450 places consacré aux musiques actuelles et géré actuellement par l'association Trastaroots. Inaugurée en 1988, elle a su s'imposer dans le paysage culturel régional, de nombreux artistes de renommée nationale et/ou internationale s'y sont produits.
Festival des Jeux |
En ce qui concerne aussi les animations culturelles, Parthenay accueille le FLIP (Festival ludique international de Parthenay), appelé également plus simplement le Festival des Jeux. Ce festival dure douze jours en plein air en été, d'un mercredi au dimanche, une semaine et demie plus tard, et deux jours en week-end en espace couvert à la fin novembre.
Le FLIP est un des plus grands festivals de jeux dans le monde et le plus important en France. Depuis 1986, ce festival est devenu l’un des plus grands festivals de jeux en extérieur d'Europe. Sa longévité, sa fréquentation, et sa durée, en font un événement majeur plébiscité par les communautés de joueurs et un public familial toujours plus nombreux. Le FLIP, c’est un grand rassemblement où se mêlent créateurs, éditeurs, associations de jeux, artistes, animateurs qui cherchent ensemble à faire découvrir le jeu sous toutes ses formes. Des jeux de simulation aux jeux de société, des jeux sportifs aux jeux traditionnels, des jeux multimédia aux jeux médiévaux, ce festival fait également la part belle aux concours et expositions.
Culture populaire |
La Belle Fille de Parthenay est une chanson populaire de l'Ouest de la France[37], datant au moins du XVIe siècle[38]
Jumelages |
Manakara (Madagascar) depuis 1962
Weinstadt (Allemagne) depuis 1980
Arnedo (Espagne) depuis 1991
Abrantes (Portugal) depuis 1993
Tsévié (Togo) depuis 1990
Tipperary (Irlande) depuis 1994
Edmundston (Canada) depuis le 31 juillet 1993
Culture locale et patrimoine |
Lieux et monuments |
Patrimoine culturel |
Patrimoine naturel |
Héraldique |
Blasonnement : Burelé d'argent et d'azur, à la bande de gueules brochant sur le tout Commentaires : Ces armes étaient celles des seigneurs de Parthenay. |
Personnalités liées à la commune |
Modèle:Liste à revoir complétement: il faut au moins indiquer les dates de naissance et de décès (s'il y a lieu) ainsi qu'une brève description de la personnalité citée
- Arthur III, duc de Bretagne
Michel de Parthenay (mort en 1491), seigneur de Parthenay, chambellan du duc de Bretagne.
Jean de Parthenay (mort en 1488, à la bataille de Saint-Aubin du Cormier).
Aimery Picaud, moine du XIIe siècle, auteur du Guide du Pèlerin, ouvrage de référence du pèlerinage de Saint-Jacques-de-Compostelle.
Louis Hyacinthe Le Feron (1765-1799), général des armées de la République, né dans la commune, décédé à Fenestrelle (Italie).
Écrivains, érudits locaux et historiens |
Ernest Pérochon,- Georges-Julia Picard,
- Bélisaire Ledain,
- Maurice Poignat,
- Gabriel Dazelle
Faïenciers |
- Prosper Jouneau,
- Henri Amirault,
- Edouard Knoepflin,
- Clémentine Petrault-Emonneau.
Hommes politiques |
- Louis Aguillon,
- Michel Hervé.
Peintres et dessinateurs |
- Maurice Benezech,
- Maurice Caillon,
- Raoul Salaun,
- Ernest Pidoux,
- Kate Swingler,
Collectionneur |
- Georges Turpin.
Autres personnalités |
Hilaire Ochier (1879-1960), avocat puis avoué à Parthenay, propriétaire de la commanderie de Saint-Rémy à Verruyes qu'il fait restaurer puis classer à l'Inventaire Supplémentaire des Monuments Historiques en 1927. Il s'intéresse au vieux Parthenay et fait ensuite classer la rue de la Vau-Saint-Jacques. Archéologue distingué, il a écrit de nombreux articles sur certains monuments du Poitou. Président à partir de 1942 de la Société historique et archéologique : Les amis des Antiquités de Parthenay. Officier des Palmes académiques.
Georges Migot (1891-1976), compositeur et peintre.
André Ombredane (1898-1958), médecin et psychologue français.
André Patou (1910-2006), Amiral, Compagnon de la Libération[39]
- Giovanni Ubaldo Panzani, dit Jean Panzani (1911-2003) Fonde en 1946 l'entreprise de pâtes alimentaires Panzani[40]
Michel Hervé (né en 1945), député.
Sophie Le Saint (née en 1968), journaliste
Jérôme Rouger (né en 1970), auteur, comédien et metteur en scène.
Tanxxx (née en 1976), auteure de bande-dessinées.
Arnaud Tiercelin (né en 1981), auteur de littérature de jeunesse.
Marie Baraton (née en 1989), chanteuse française.
Voir aussi |
Liens externes |
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- Communauté de communes
- Histoire de Parthenay
- Parthenay sur le site de l’INSEE
- Parthenay sur le site de l'Institut géographique national
Parthenay-le-Vieux sur le site du Réseau Européen des Sites Casadéens
Bibliographie |
Bélisaire Ledain, Histoire de la ville de Parthenay, de ses anciens seigneurs et de la Gâtine du Poitou : depuis les temps les plus reculés jusqu'à la révolution, Paris, Auguste Durand, 1858, 403 p. (lire en ligne).
Sources |
- Georges Bernage, « Parthenay, cité médiévale 1012-1427 », dans Moyen Âge, n° 28, mai-juin 2002, p. 24-43.
- Georges Bernage, « La cité de Parthenay (1427-1491) », dans Moyen Âge, n° 29, juillet-août 2002, p. 12-26.
- Site de la ville de Parthenay
Notes et références |
Notes |
Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau
des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999,
que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les
communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc.
pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée
par l’Insee pour l'ensemble des communes.
Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2018, millésimée 2015, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2017, date de référence statistique : 1er janvier 2015.
Références |
Maria Cavaillès, Marie-Pierre Baudry, « L’enceinte urbaine de Parthenay », in Gilles Blieck, Philippe Contamine, Nicolas Faucherre... [et al.], Les enceintes urbaines, XIIIe-XVe siècles. Paris, édition du CTHS, 1999. (ISBN 2-7355-0378-X), p. 18
Cavaillès, Baudry, op. cit., p. 16
Robert Favreau (historien), « Naissance des communes en Poitou, Aunis, Saintonge et Angoumois », in Robert Favreau, Régis Rech et Yves-Jean Riou (directeurs), Bonnes villes du Poitou et des pays charentais (XIIe-XVIIIe siècles) : Actes du colloque tenu à Saint-Jean-d’Angély les 24-25 septembre 1999, publiés par la Société des antiquaires de l'Ouest in Mémoires de la Société des antiquaires de l'Ouest et des Musées de Poitiers, 5e série, tome VIII (2002), à Poitiers. (ISBN 2-9519441-0-1), p 152
Robert Favreau, in Jean Combes (dir.), Histoire du Poitou et des Pays charentais : Deux-Sèvres, Vienne, Charente, Charente-Maritime, Clermont-Ferrand, éditions Gérard Tisserand, 2001, 334 p. (ISBN 2-84494-084-6, lire en ligne), p. 176
Cavaillès, Baudry, op. cit., p. 17
Cavaillès, Baudry, op. cit., p. 31
Élisabeth Carpentier et Georges Pon, « Le récit de la fondation de l’abbaye de Montierneuf de Poitiers par Guillaume VIII : la chronique clunisienne du moine Martin », in Cahiers de civilisation médiévale, Xe-XIIe siècles, Centre d'études supérieures de civilisation médiévale, no 51, 2008, janvier-mars, p. 38
« Clovis, Henri, Dominique Macouin (1888 - 1966) », sur Sycomore, base de données des députés de l'Assemblée nationale
Florent Latrive, « Les cobayes débranchent Parthenay : Le maire qui avait lancé la «ville numérisée» a été battu aux municipales », Libération, 5 avril 2001(lire en ligne).
C. R., « Entretien avec Michel Hervé, entrepreneur, pionnier de la démocratie participative et du numérique », Le petit économiste, 24 juillet 2009(lire en ligne).
Jean Roquecave, « La nouvelle municipalité de Parthenay fixe un cap économique à la « ville numérisée » », Les Échos, 9 août 2001(lire en ligne).
« Biographie de Xavier Argenton », sur http://www.cc-parthenay-gatine.fr (consulté le 19 avril 2016).
Élodie Gerard, « Parthenay : Xavier Argenton réélu dans un fauteuil : Le maire sortant UDI Xavier Argenton conserve son fauteuil avec 58,1% des voix, devant la candidate socialiste Françoise Bély. », France 3 Poitou-Charentes, 31 mars 2014(lire en ligne).
L'organisation du recensement, sur le site de l'Insee
Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014 et 2015.
Unité urbaine de Parthenay sur le site de l'Insee, consulté le 16 avril 2012.
« Eglise Saint-Laurent : les travaux démarrent » (consulté le 15 septembre 2016)
« Pays d'art et d'histoire Accueil », sur ville-parthenay.fr (consulté le 15 septembre 2016)
« Le commerce Un centre-ville partagé et accessible », sur ville-parthenay.fr (consulté le 15 septembre 2016)
« Nouveau stade : les travaux de construction sont lancés » (consulté le 15 septembre 2016)
« Parthenay. La librairie L'Antidote ouvre ses portes aujourd'hui » (consulté le 15 septembre 2016)
« " Une politique culturelle c'est avant tout une politique " » (consulté le 15 septembre 2016)
http://www.zdnet.fr/actualites/internet/0,39020774,2097213,00.htm
Palmarès 2010 des Villes Internet sur le site officiel de l'association. Consulté le 17/12/2009.
Cavaillès, Baudry, op. cit., p. 19-20
Cavaillès, Baudry, op. cit., p. 20
Cavaillès, Baudry, op. cit., p. 21
Cavaillès, Baudry, op. cit., p. 22
Cavaillès, Baudry, op. cit., p. 24
Cavaillès, Baudry, op. cit., p. 22-23
Cavaillès, Baudry, op. cit., p. 23
Cavaillès, Baudry, op. cit., p. 26
Cavaillès, Baudry, op. cit., p. 19
deboucheaoreille.org
ahsaisonetfestival.com
Henri Davenson, Le Livre des chansons ou Introduction à la chanson populaire française, Club des Libraires de France, 1957
Claude Ribouillault, Chansons populaires de Poitou-Charentes Vendée, Geste éditions, 2006(ISBN 2-84561-218-4)
Fiche biographique sur le site de l'Ordre de la Libération[1]
http://www.poitou-charentes.culture.gouv.fr/sri/pi79/Pages/page_activites.html
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