Province de Hainaut
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Province de Hainaut (nl) Henegouwen (de) Hennegau.mw-parser-output .entete.map{background-image:url("//upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/7/7a/Picto_infobox_map.png")} | |
Héraldique | Drapeau |
Localisation de la province en Belgique | |
Administration | |
---|---|
Pays | Belgique |
Région | Région wallonne |
Communauté | Communauté française |
Chef-lieu | Mons |
Arrondissements | Ath Charleroi Mons Mouscron Soignies Thuin Tournai |
Gouverneur | Tommy Leclercq |
ISO 3166-2 | BE-WHT |
Code INS | 50000 |
Démographie | |
Population | 1 341 645 hab. (01/01/2018) |
Densité | 354 hab./km2 |
Géographie | |
Superficie | 378 600 ha = 3 786 km2 |
Localisation | |
Les 69 communes de la province | |
Liens | |
Site web | hainaut.be |
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La province de Hainaut, couramment appelée le Hainaut (en néerlandais Henegouwen), est une province de l'ouest de la Belgique située en région wallonne.
Sommaire
1 Histoire
2 Gouverneurs
3 Commandants militaires
4 Armoiries
5 Géographie
6 Arrondissements administratifs
7 Arrondissements judiciaires
8 Démographie
8.1 Population par arrondissement
8.2 Évolution démographique
9 Sécurité et secours
9.1 Police
9.2 Pompiers
9.3 Protection civile
10 Sport
11 Tourisme
12 Notes et références
13 Voir aussi
13.1 Articles connexes
13.2 Lien externe
Histoire |
L'origine de la province de Hainaut remonte à 1795, lors de la réunion des Pays-Bas autrichiens à la France révolutionnaire, le département de Jemmapes principalement fondé sur la réunion de la partie nord-est de l'ancien comté de Hainaut, du Tournaisis et d'une partie du comté de Namur (Charleroi), où sont concentrées la plus grande part des mines de charbon de Belgique. À Paris, le décret du 31 août 1795 (14 fructidor an III) de la Convention nationale française découpe les comtés, duchés et principautés de Belgique et des Pays-Bas en neuf départements français mais ne décide pas l'annexion de la Belgique par la France[1]. Le Comité de salut public approuve le décret[2]. Le 1er octobre 1795, Lazare Carnot et Merlin de Douai persuadent la Convention nationale française de voter le décret du 9 vendémiaire an IV annexant la Belgique et les Pays-Bas[3],[4].
Le département de Jemmapes doit son nom à la victoire des révolutionnaires contre les troupes impériales autrichiennes à la Bataille de Jemappes en 1792.
Après la chute du Premier Empire, par le traité de Paris du 30 mai 1814, la France conserve les cantons de Dour, Merbes-le-Château, Beaumont et Chimay[5]. Par une ordonnance du 18 août 1814[6], Louis XVIII réunit les cantons de Dour, Merbes-le-Château et Beaumont au département du Nord (le premier, à l'arrondissement de Douai[7] ; les deux autres, à l'arrondissement d'Avesnes[8]) et celui de Chimay au département des Ardennes (arrondissement de Rocroi[9]).
Ce département de Jemmapes fut dissous en 1814 et remplacé par la province de Hainaut à l'époque du Royaume uni des Pays-Bas. Le 16 mars 1815[10], Guillaume Ier des Pays-Bas accepte le trône du Royaume-Uni des Pays-Bas avec une constitution qui fusionne les neuf provinces du Pays-Bas aux huit provinces belges dont la Province de Hainaut[11]. Le 24 août 1815, le triumvirat (Driemanschap) du gouvernement provisoire de La Haye proclame la loi fondamentale créant les huit provinces belges du Royaume-Uni des Pays-Bas[12].
Après la Révolution belge de 1830, la Province de Hainaut devint belge.
Ses limites ne furent définitivement établies qu'avec le rattachement de l'arrondissement de Mouscron lors de la fixation de la frontière linguistique en 1963. Les communes de Mouscron, Luingne, Herseaux et Dottignies, ainsi que le hameau du Risquons-Tout, qui dépendait de la commune de Rekkem, ont été transférés de l'arrondissement de Courtrai au nouvel arrondissement de Mouscron. Les anciennes communes de Houthem, Comines, Bas-Warneton, Ploegsteert (ainsi que le hameau Clef de Hollande de la commune de Neuve-Église) et Warneton furent transférées de l'arrondissement administratif d'Ypres.
Gouverneurs |
- 1815 - 1822 : Bonaventure de Bousies
- 1823 - 1825 : Hyacinthe van der Fosse
- 1826 - 1828 : Maximilien de Beeckman Libersart
- 1828 - 1830 : Ferdinand de Macar
- 1830 - 1834 : Ambroise De Puydt
- 1834 - 1841 : Jean-Baptiste Thorn (libéral)
- 1841 - 1845 : Charles Liedts (libéral)
- 1845 - 1847 : Édouard Mercier (libéral)
- 1847 - 1848 : Augustin Dumon-Dumortier (libéral)
- 1848 - 1849 : Adolphe de Vrière (libéral)
- 1849 - 1870 : Louis Troye (libéral)
- 1870 - 1878 : Joseph de Riquet de Caraman-Chimay (Parti catholique)
- 1878 : Auguste Wanderpepen
- 1878 - 1884 : Oswald de Kerchove de Denterghem (libéral)
- 1884 - 1885 : Auguste Vergote
- 1885 - 1889 : Joseph d'Ursel (Parti catholique)
- 1889 - 1893 : Charles d'Ursel (Parti catholique)
- 1893 - 1908 : Raoul du Sart de Bouland
- 1908 - 1937 : Maurice Damoiseaux
- 1937 - 1940 : Henri Van Mol
- 1944 - 1967 : Émile Cornez
- 1967 - 1983 : Émilien Vaes
- 1983 - 2004 : Michel Tromont (Parti réformateur libéral)
- 2004 - 2012 : Claude Durieux (Parti socialiste)
- 2013 : Guy Bracaval (ad interim)
- Depuis 2013 : Tommy Leclercq (Parti socialiste)
Commandants militaires |
- 1841 - 1843 : Général baron Édouard Duval de Beaulieu de Blaregnies
- 1843 - 1844 : Général D. Loix
- 1844 - 1846 : Général baron Pierre Emmanuel Félix Chazal
- 1846 - 1849 : Général Dominique Nypels
- 1849 - 1850 : Colonel C. Dens
- 1850 - 1851 : Général baron Léon Greinol
- 1851 - 1855 : Général E. Crossée
- 1855 - 1858 : Général L. Ducorron
- 1858 - 1860 : Général Jules-Gustave Ablaÿ
- 1860 - 1867 : Général H. Servaes
- 1867 - 1871 : Général C. Lahure
- 1871 - 1872 : Général Augustin Orban de Xivry
- 1872 - 1879 : Général L. de Moor
- 1879 - 1880 : Général F. Daufresne de La Chevalerie
- 1880 - 1882 : Général L. Daudenart
- 1882 - 1883 : Général O. Daywaille
- 1883 - 1888 : Général O. Le Maire
- 1888 - 1890 : Colonel L. Bougart
- 1890 - 1892 : Colonel C. Liagre
- 1892 - 1898 : Général L. Lemercier
- 1898 - 1902 : Général L. Boel
- 1902 - 1903 : Général L. Delee
- 1903 - 1907 : Général H. Courtin
- 1907 - 1909 : Général L. Partoes
- 1909 - 1913 : Général L. Canon
- 1913 - 1924 : Général G. Baix
- 1924 - 1930 : Général J. Piette
- 1930 - 1932 : Général E. Crouquet
- 1932 - 1934 : Général HG. Williame
- 1934 - 1936 : Général AF. Dehaene
- 1936 - 1938 : Général baron Raoul de Hennin de Boussu-Walcourt
- 1938 - 1940 : Colonel Breveté d'État-Major Joseph Leroy
- 1940 - 1944 : Général baron MG. Donnay de Casteau
- 1944 - 1945 : Général AL. Desclée
- 1945 - 1946 : Colonel HP. Lecomte
- 1946 - 1947 : Général Léon Bievez
- 1947 - 1950 : Colonel PM. Houyoux
- 1950 - 1953 : Colonel Breveté d'État-Major G. J. Xhaët
- 1953 - 1954 : Colonel JJL. Gonze
- 1954 - 1956 : Colonel ER. Quintin
- 1956 - 1958 : Colonel EJ. Collet
- 1958 - 1963 : Colonel P. Racot
- 1963 - 1964 : Colonel baron Thierry de La Kethulle de Ryhove
- 1964 - 1965 : Colonel Breveté d'État-Major J. Linard de Guertechin
- 1965 - 1966 : Colonel chevalier J. d'Oreye de Lantremange
- 1966 - 1969 : Colonel M. Minette
- 1969 - 1970 : Colonel Breveté d'État-Major P. Legrand
- 1970 - 1972 : Colonel Breveté d'État-Major G. Schtickzelle
- 1972 - 1973 : Colonel R. Leemans
- 1973 - 1978 : Colonel Breveté d'État-Major baron C. de Viron
- 1978 - 1979 : Colonel Ir F. Salle
- 1979 - 1980 : Colonel F. Leblanc
- 1980 - 1982 : Colonel Breveté d'État-Major chevalier E. de Neve de Roden
- 1982 - 1986 : Colonel G. Bauters
- 1986 - 1990 : Colonel J. Jacquet
- 1990 - 1991 : Colonel Breveté d'État-Major J. Dassy Ir. Aide de camp du Roi
- 1991 - 1994 : Colonel Breveté d'État-Major B. Neirynck Ir.
- 1994 - 1997 : Colonel Breveté d'État-Major P. Dubar
- 1997 - 2000 : Colonel Breveté d'État-Major P. Vergauwen
- 2000 - 2008 : Général F. Massaux Ir.
- 2008 - 2011 : Pha Colonel Philippe Misson
- 2011 - 2016 : Colonel d'aviation administrateur militaire Pierre Bancu
- 2016 - : Lieutenant-colonel d'aviation administrateur militaire Guy Dobbelaere
Armoiries |
Blasonnement : Écartelé aux 1. et 4. d'or au lion de sable armé et lampassé de gueules, aux 2. et 3. d'or au lion de gueules armé et lampassé d'azur. Sous les princes de la maison de Bourgogne, le Hainaut porta des armes semblables à celles de la Flandre, puis, peut-être pour éviter toutes confusions, reprit, sous Philippe le Beau, la combinaison écartelée Flandre-Hollande[13]. |
Au XIIe siècle, lors de l'apparition des armoiries, les comtes de Hainaut adoptèrent : d'or à trois chevrons de sable. Ces armoiries sont actuellement reprises par plusieurs communes et villages de l'ancien comté (notamment Bersillies, Cousolre, Maisières, Quaregnon ou Soignies).
Géographie |
La province a pour chef-lieu Mons. Sa superficie est de 3 786 km2 pour 1 335 360 habitants, 647 637 hommes et 687 723 femmes[14] (Hennuyers ou Hainuyers), ce qui fait d'elle la province la plus peuplée de la Région wallonne. Sa densité de population est de 352,72 habitants au km². Outre Mons, ses principales villes sont Charleroi, La Louvière, Mouscron et Tournai. Le Hainaut compte 69 communes réparties dans sept arrondissements administratifs.
Le Hainaut est constitué de différentes sous-régions, dont le Tournaisis, la Thudinie, la Botte du Hainaut, le Borinage, le Centre et le Pays de Charleroi, etc. Ces trois dernières sont connues pour leur passé charbonnier.
L'altitude de la province est comprise entre 10 mètres (Celles) et 365 mètres (L'Escaillère).
Arrondissements administratifs |
La province est divisée en sept arrondissements : Ath, Charleroi, Mons, Mouscron, Soignies, Thuin et Tournai.
Arrondissements judiciaires |
Depuis le 1er avril 2014, la Province de Hainaut ne compte qu'un arrondissement judiciaire[15], celui de Mons. Avant cette date, elle en comptait trois, ceux de Charleroi, de Mons et de Tournai ayant été fusionnés en un seul arrondissement judiciaire.
Démographie |
Population par arrondissement |
Population de droit au premier juillet de chaque année (source : INS[16]) :
Arrondissement | 01-07-2003 | 01-07-2004 | 01-07-2005 | 01-07-2006 | 01-01-2010 | 01-01-2015 | 01-01-2018 |
---|---|---|---|---|---|---|---|
Ath | 80 188 | 80 376 | 80 702 | 81 351 | 83 752 | 86 167 | 86 762 |
Charleroi | 420 414 | 420 863 | 421 586 | 422 121 | 425 110 | 429 854 | 429 998 |
Mons | 248 431 | 248 776 | 248 828 | 249 323 | 251 901 | 257 804 | 258 520 |
Mouscron | 69 658 | 69 822 | 70 111 | 70 619 | 72 380 | 75 200 | 77 156 |
Soignies | 175 949 | 176 872 | 177 812 | 179 441 | 183 169 | 188 389 | 190 044 |
Thuin | 146 127 | 146 343 | 146 621 | 147 205 | 149 082 | 151 115 | 151 863 |
Tournai | 140 960 | 141 081 | 141 512 | 141 790 | 144 486 | 146 831 | 146 804 |
Province de Hainaut | 1 281 727 | 1 284 133 | 1 287 172 | 1 291 850 | 1 309 880 | 1 335 360 | 1 340 147 |
Évolution démographique |
Nombre d'habitants × 1000
- Source : INS - Remarque : 1806 - 1970 = recensements ; à partir de 1980 = population au 1er janvier
Sécurité et secours |
Police |
Pour les services de police, la province est divisée en 23 zones de police.
|
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Pompiers |
En ce qui concerne les pompiers, la province est divisée en trois zones de secours :
Hainaut Centre ;
Hainaut Est ;
Wallonie picarde.
Protection civile |
La province de Hainaut abrite une des six casernes de la protection civile belge sur son territoire : à Ghlin.
Sport |
Football
| Basket-ball
Handball
Rugby à XV
Waterpolo
| Volley-ball
Rugby à XV
Basket-ball
|
Tourisme |
Sept maisons du tourisme couvrent le territoire de la province de Hainaut.
- La maison du tourisme de Picardie (belge)[17] : Comines-Warneton, Estaimpuis et Mouscron.
- La maison du tourisme du Tournaisis[17]: Antoing, Ath, Belœil, Brugelette, Brunehaut, Celles, Chièvres, Ellezelles, Enghien, Flobecq, Frasnes-lez-Anvaing, Lessines, Leuze-en-Hainaut, Mont-de-l'Enclus, Pecq, Péruwelz, Rumes, Silly et Tournai.
- La maison du tourisme de la région de Mons[18] : Boussu, Colfontaine, Dour, Frameries, Hensies, Honnelles, Jurbise, Lens, Mons, Quaregnon, Quévy, Quiévrain et Saint-Ghislain.
- La maison du tourisme du Parc des Canaux et Châteaux[19] : Braine-le-Comte, Chapelle-lez-Herlaimont, Écaussinnes, Estinnes, La Louvière, Le Rœulx, Manage, Morlanwelz, Seneffe et Soignies.
- La maison du tourisme du Pays de Charleroi[20] : Aiseau-Presles, Charleroi, Châtelet, Courcelles, Farciennes, Fleurus, Fontaine-l'Évêque, Gerpinnes, Les Bons Villers et Pont-à-Celles.
- La maison du tourisme du Val de Sambre et Thudinie[21] : Anderlues, Binche, Erquelinnes, Ham-sur-Heure-Nalinnes, Lobbes, Merbes-le-Château et Thuin.
- La maison du tourisme de la Botte du Hainaut[22] : Beaumont, Chimay, Froidchapelle, Momignies et Sivry-Rance.
Le beffroi de Mons.
L'église Saint-Christophe de Charleroi.
La Grand-Place, le beffroi et la cathédrale Notre-Dame de Tournai.
Le château de Chimay.
Binche, l'enceinte médiévale.
Enghien.
Église Saint-Julien d'Ath.
L'hôtel de ville de Fontaine-l'Évêque.
La collégiale Saint-Vincent de Soignies.
Le parc Pairi Daiza.
Notes et références |
« La Belgique et les départements sous la Révolution française », sur www.axl.cefan.ulaval.ca
http://les.guillotines.free.fr/chronologie%201795.htm
Isidore Plaisant, Pasinomie, ou Collection complète des lois, décrets, arrêtés et règlements généraux qui peuvent être invoqués en Belgique de 1788 à 1832, tome 7, Bruxelles, 1835
« La Belgique sera territoire français », sur les.guillotines.free.fr
Traité de paix signé à Paris, le 30 mai 1814, article 3 : « Du côté de la Belgique, […] l'ancienne frontière, ainsi qu'elle existait le 1er janvier 1792, sera rétablie, […] avec les rectifications suivantes : […] 1° Dans le département de Jemmapes, les cantons de Dour, Merbes-le-Château, Beaumont et Chimay, resteront à la France ; la ligne de démarcation passera, là où elle touche le canton de Dour, entre ce canton et ceux de Boussu et Pâturage, ainsi que, plus loin, entre celui de Merbes-le-Château et ceux de Binch et de Thuin ; […] ».
Ordonnance du 18 août 1814, qui réunit aux départements du Nord et des Ardennes divers cantons conservés à la France par le traité de paix conclu entre sa majesté et ses alliés, publié au Bulletin des lois du 6 septembre 1814.
Ordonnance du 18 août 1814, article 1er : « Le canton de Dour est réuni au département du Nord et à l'arrondissement de Douai ».
Ordonnance du 18 août 1814, article 2 : « Les cantons de Merbes-le-Château et de Beaumont sont réunis au département du Nord et à l'arrondissement d'Avesnes ».
Ordonnance du 18 août 1814, article 3 : « Les cantons de Chimay, de Valcour, de Florenne, de Beauraing et de Gédinne, seront réunis au département des Ardennes et à l'arrondissement de Rocroy ».
Koninklijk besluit van 16 maart 1815, nr 1, Staatsblad, 1815, 27
Henri Pirenne, Histoire de Belgique, t. 3, Bruxelles, la Renaissance du Livre, 1950 (rééd.), p. 416.
http://mjp.univ-perp.fr/constit/pb1815.htm
Extrait de « Armorial des Provinces et des Communes de Belgique » de Max Servais, édité par le Crédit Communal (1955).
http://www.ibz.rrn.fgov.be/fileadmin/user_upload/fr/pop/statistiques/stat-1-1_f.pdf
Loi du 1er décembre 2013 portant réforme des arrondissements judiciaires et modifiant le Code judiciaire en vue de renforcer la mobilité des membres de l'ordre judiciaire (Moniteur belge du 10 décembre 2013)
« Language selection - Statbel », sur www.statbel.fgov.be
« Accueil - VisitWapi », sur VisitWapi
« visitMons - Portail Touristique Officiel de la Région de Mons », sur visitMons - Portail Touristique Officiel de la Région de Mons
http://www.parcdescanauxetchateaux.be/
« Pays de Charleroi », sur www.paysdecharleroi.be
« vacances et réservation aux Lacs de l'Eau d'Heure - Le Pays des Lacs - Plateforme de réservation en ligne qui rassemble toutes les offres touristiques du Pays des Lacs - Réservez directement vos hébergements et vos activités en toute sécurité. », sur www.visitthudinie.be
« Kryptowährungen brauchen Regeln », sur www.botteduhainaut.eu
Voir aussi |
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Articles connexes |
- Comté de Hainaut
- Département de Jemmapes
- Liste du patrimoine immobilier classé de la province de Hainaut
Lien externe |
- Site officiel
- Portail du Hainaut
- Portail de la Wallonie