Toulouse Football Club





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Ne doit pas être confondu avec le premier Toulouse Football Club, actif de 1937 à 1967.



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Toulouse FC



Logo du Toulouse FC





























































Généralités
Nom complet
Toulouse Football Club
Surnoms
Le Téfécé, Le Tef', les Violets
Noms précédents
US Toulouse (1970-1979)
Fondation
1970
Statut professionnel
1979-
Couleurs
Violet et blanc

Stade

Stadium de Toulouse
(33 150 places)
Siège
1 allée Gabriel Biénès, BP 54023
31028 Toulouse cedex 4
Championnat actuel
Ligue 1
Président
Drapeau : France Olivier Sadran
Entraîneur
Drapeau : France Alain Casanova
Joueur le plus capé
Drapeau : France Dominique Arribagé (335)
Meilleur buteur
Drapeau : France Robert Pintenat (83)
Site web
tfc.info







Palmarès principal
National[1]

Championnat de France de Ligue 2 (2)

Maillots








Couleurs de l’équipe

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Domicile





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Extérieur



Actualités



Pour la saison en cours, voir :
Saison 2018-2019 du Toulouse Football Club
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Localisation du Stadium de Toulouse par rapport à la ville de Toulouse.


Le Toulouse Football Club, abrégé en Toulouse FC, est un club de football français fondé en 1970 et basé à Toulouse.


Le club est présidé par Olivier Sadran depuis 2001 et l'équipe professionnelle est entraînée depuis le 22 juin 2018 par Alain Casanova. L'équipe première évolue au sein du championnat de France de Ligue 1 depuis sa remontée en 2003.


Contrairement à ce que prétend une campagne de communication lancée par le club en 2017 visant à célébrer les 80 ans du club, le Toulouse FC n'a pas été fondé en 1937. Il y a un amalgame fait avec le premier Toulouse FC, qui lui a bien été fondé en 1937 et a disparu en 1967. Les deux clubs n'ont pas de rapport, le Toulouse FC actuel ayant de surcroît été fondé en 1970 sous le nom d'Union sportive de Toulouse.


Ce dernier reçoit le soutien de la mairie, qui lui propose de jouer au Stadium municipal, et de la Fédération française de football, qui l'intègre parmi les clubs choisis pour accéder directement à la nouvelle Division 2 ouverte aux clubs amateurs pour la saison 1970-1971 lors de la réforme des championnats de 1970.


En 1979, l'US Toulouse prend le nom de Toulouse FC et adopte le statut professionnel. Il intègre la Division 1 en 1982 et termine dans la foulée à trois reprises dans les cinq premières place du championnat. Le Toulouse FC découvre la Coupe d'Europe en 1986-1987, où il élimine le SSC Naples. Les années 1990 sont plus difficiles, avec trois relégations sportives en D2 en 1994, 1999 et 2001, doublé d'un dépôt de bilan en 2001.


Reparti de National en 2001-2002, le club retrouve l'élite dès 2003. Il termine à la 3e place en 2007, qualificative pour le tour préliminaire de la Ligue des champions.




Sommaire






  • 1 Histoire


    • 1.1 De l'UST (1970) au TFC « moderne » (1979)


    • 1.2 Premiers pas en D1 (1982)


    • 1.3 Premières qualifications européennes


    • 1.4 Années 1990


    • 1.5 2001 : la renaissance




  • 2 Identité du club


    • 2.1 Logos




  • 3 Palmarès


  • 4 Personnalités du club


    • 4.1 Historique des présidents


    • 4.2 Historique des entraîneurs


    • 4.3 Joueurs emblématiques


    • 4.4 Effectif professionnel actuel




  • 5 Structures du club


    • 5.1 Structures sportives


      • 5.1.1 Stades


      • 5.1.2 Centre de formation






  • 6 Aspects juridiques et économiques


    • 6.1 Aspects juridiques


      • 6.1.1 Statut juridique et légal


      • 6.1.2 Organigramme




    • 6.2 Aspects économiques


      • 6.2.1 Éléments comptables


      • 6.2.2 Finances


      • 6.2.3 Transferts les plus coûteux






  • 7 Soutien et image


    • 7.1 Groupes de supporters


      • 7.1.1 Au Stadium


      • 7.1.2 À l'extérieur




    • 7.2 Supporters célèbres




  • 8 Autres équipes


    • 8.1 Équipe réserve et sections de jeunes


    • 8.2 Section féminine




  • 9 Notes et références


  • 10 Annexes


    • 10.1 Bibliographie


    • 10.2 Liens externes







Histoire |


Article détaillé : Toulouse Football Club (1937).

Après la fusion en 1967 du premier Toulouse Football Club, fondé en 1937, avec le Red Star 93, Toulouse reste orpheline d'un club de haut niveau pendant trois saisons. Le TFC, selon son célèbre surnom, arbore fièrement les couleurs blanches et violettes, le violet faisant référence à la violette de Toulouse et le blanc étant lui la couleur du lys symbole de la France.



De l'UST (1970) au TFC « moderne » (1979) |


Le 25 mai 1970, sous l'impulsion de Lilian Buzzichelli, président du « Buzzichelli Levage Sports », un club corporatif d'entreprise, et avec l'aide d'industriels de la région, l'Union Sportive Toulouse est fondée. Les couleurs adoptées sont le rouge et le jaune (pour « les sang et or »). La mairie met à la disposition du nouveau club l'enceinte du Stadium. Pour s'assurer une base solide, l'UST absorbe les Cadets de Gascogne et l'AS Mermoz-Bonnefoy. Richard Boucher, ancien pro de l'ancien TFC, employé de Buzzichelli Toulouse Levage, est intronisé directeur sportif. Just Fontaine rejoint le club en tant que découvreur de talents, José Farías est lui recruté au poste d'entraîneur-joueur. La Fédération invite l'UST à participer à la saison 1970-1971 du championnat National (D2).


Le club s'établit durablement en D2 et y mène une existence de milieu de tableau (3e du groupe B en 1974).


À l'été 1975, le président Lilian Buzzichelli vise la montée en D1. Il écarte le fidèle Richard Boucher (entraineur de l'équipe depuis 1973) et nomme Jacques Sucré au poste d'entraîneur et fait venir à l'UST un duo d'attaquants argentins, celui du FC Nantes, Angel Marcos devant alimenter en bons ballons le goleador Joachim Martinez, recruté de Nancy. Mais c'est un échec, l'UST termine 6e de son groupe. Malgré le changement d'entraîneur (retour de Richard Boucher aux affaires), se sera le même résultat la saison suivante, sonnant le glas de sa présidence.


En 1977, le président fondateur, las de ne pas trouver d'écoute à la mairie de Toulouse, quitte le club, bientôt suivi par tous ses amis, autres bailleurs de fonds du club. Sans aucun déficit mais les caisses vides. Le nouveau président Y. De Lagarcie se débat comme il peut. Dix joueurs majeurs quittent le club. Un seul joueur du cru conservé a plus de 22 ans, le défenseur remplaçant Christian Biard ! Le rugueux défenseur Hughes Buffat (passé par la D1 avec Monaco) et l'attaquant Bernard Garcia (ex Red Star) arrivent de l'AS Béziers. L'algérien de 25 ans, Bennani, un attaquant, s'engage pour une saison. Deux jeunes attaquants d'Avignon, le buteur de 21 ans Frédéric Kassoyan et l'ailier gauche de 22 ans Jean-Claude Louis signent aussi au club, ainsi que l'amateur congolais Joseph Loukaka (24 ans, attaquant polyvalent de Chartres). Et une pléiade de jeunes régionaux sont embauchés, tel les frères Francis (gardien de but, bombardé titulaire !) et Denis (défenseur ou milieu) Fernandez, arrivants d´Albi. Pour économiser encore et toujours, A. Marcos sera entraineur(débutant)-joueur. Les déplacements se font en train, seulement 12 joueurs (sic) sont emmenés à Laval (en coupe de France) par souci d'économie... Au soir de la 9e journée, c'est pratiquement plié, sans fond de jeu, avec des joueurs fatigués, l'US Toulouse est largué au classement, et se dirige vers la D3 la saison prochaine ! La suite est chaotique même s'il y a une légère amélioration, cela reste insuffisant. L'UST, 16e du groupe A, est relégué. Le malheur des uns faisant le bonheur des autres, le Red Star, 3e du groupe B, plie bagage et l'UST est repêché aux dépens de Poissy !




Gilles Brisson en 1978, à l'UST.


La municipalité s'implique financièrement (un peu) sous l'impulsion de M. Robert Gely, missionné par le maire Pierre Baudis attaqué politiquement et qui doit se "montrer". M. Jean-Jacques Astoux, un ancien de l'équipe de Lilian Buzzichelli accède à la présidence. Sa première décision est de limoger A. Marcos qu'il remplace, avec beaucoup de "tapage", par Just Fontaine, de retour du PSG et à qui il donne tous les pouvoirs sportifs. Avec l'ancien de "l'autre" TFC, Brunet, qui est nommé entraineur adjoint, mais sans argent, le recrutement se limite au gardien de but du FC Martigues Alain Palma, au solide défenseur d'Angoulême Francis Baly, au duo de milieux de terrain de Poissy (relégué en D3), Ahmed Rached (23 ans) et Yvon Robinson (24 ans, ancien du PSG) et à l'attaquant serbe de Dunkerque, Zoran Vekic (25 ans) auteur de 14 buts la saison précédente en D2. Pas vraiment des joueurs pour jouer les premiers rôles. De l'équipe précédente, le nouvel entraineur conserve le latéral gauche Hervé Desrousseaux, le stoppeur Hughes Buffat, l'ailier droit et désormais capitaine Bernard Garcia et le fantasque attaquant gauche Jean-Claude Louis. Avec les jeunes tel Gilles Brisson emmené du PSG et François Blaquart prêté par Bordeaux, et ceux du cru comme les frères Fernandez, l'ailier droit Jean Diaz (pisté par le FC Nantes), Francis Andrade, Daniel Lacroix, Serge Stéfani ou Marc Panuzetti, l'équipe oscille entre la 4e (au soir de la 6e journée) et la 16e place. En coulisse on ne peut pas s'en contenter. D'autres investisseurs sont contactés par la mairie, comme le groupe Malardeau realisation, un constructeur immobilier ayant pignon sur rue à Toulouse. Sur le terrain, renforcée en cours de saison avec le défenseur central Gérard Madronnet (ex Reims), l'équipe fini en trombe, inscrivant 12 buts lors des trois derniers matchs à domicile pour finalement terminer 10e.


Et ça bouge. Durant les étés 1979 et 1980 sont même organisés deux tournois internationaux au Stadium, voyant la victoire du Bayern de Munich, puis de l'AS Saint-Étienne.





Robert Pintenat en 1979 à l'US Toulouse (le futur TFC, premier capitaine et meneur de jeu).


C'est lors de l'été 1979 que l'UST adopte le nom de TFC[2], rapidement surnommé "Téfécé". Soutenu (grassement diront ses détracteurs) par la mairie, les finances du club sont bien meilleures, permettant au TFC d'adopter le statut professionnel. Le club recrute l'entraîneur bastiais Pierre Cahuzac (joueur de "l'ancien" TFC de 1952 à 1961) et de nouveaux joueurs confirmés de D1 (l'espoir du FC Tours Michel Le Blayo en étant l'exception) : Marc Weller de Bastia au poste de gardien de but, le libéro Daniel Sanlaville (ex Nîmes), les milieux de Bordeaux Raymond Camus et André Tota, le meneur de jeu du FC Rouen André Guttierez (ancien de Sochaux), l'ailier de Sochaux Léon Maier et le buteur de Nancy (et lui aussi passé par Sochaux), l'ancien international Robert Pintenat, nommé capitaine. De l'ancien UST, le gardien de but Alain Palma, le latéral droit Francis Baly, le jeune issu du PSG Gilles Brisson, les milieux Jean-Pierre Laverny, Jean Diaz et Daniel Lacroix et le jeune Jean-Luc Vinuesa au poste d'attaquant, seront régulièrement utilisés. Le Téfécé de Pierre Cahuzac aligne donc treize joueurs professionnels et cinq promotionnels au départ de cette saison 1979-80[3]. Avec son adjoint Guy Roussel (gardien de but de "l'ancien" TFC de 1955 à 1964, recordman de matchs pour ce club), par ailleurs entraîneur de l'équipe réserve, ils mettent en place un centre de formation digne de ce nom. Le démarrage est difficile. Bernard Garrigues, soutenu par la municipalité, accède à la présidence en octobre. Le Téfécé remonte la pente et termine 6e de son groupe.


Pour la saison suivante, Pierre Cahuzac change sa défense. Exit A. Palma, les frères Fernandez, Francis Baly, G. Madronnet (en cours de saison) et D. Sanlaville (ainsi que les décevants Guttierez et Tota). Marc Weller, ballotté la saison précédente, est confirmé titulaire dans les buts. Raymond Camus endosse le numéro 2. Joël Ahache, défenseur reconnu en D2, est recruté de Béziers. Et arrive aussi "la" recrue de cet été 1980, le libéro -ou latéral- international Belge Gilbert Van Binst, d'Anderlecht. L'effectif est complété avec le meneur de jeu du FC Gueugnon (champion de D2 en 1979) Gérard Albert, l'attaquant d'Ajaccio Guy Mauffroy, le gauché polonais de Valenciennes Attila Ladinszky (mais qui ne s'imposera pas, éclipsé par Vinuesa et Mauffroy) et par des jeunes, tel le gardien Jean-Michel Raymond et l'arrière polyvalent Denis Elie, venus de l'INF. Deuxième de son groupe, le TFC échoue en barrages face au Tours FC en 1981 (0-1, 2-2) malgré les 34 buts de R. Pintenat tout au long de la saison.


Sous l'impulsion d'un nouveau président, l'ambitieux Daniel Visentin, le Téfécé va intégrer la Division 1 l'année suivante. Le nouveau président "offre" l'ancien international hollandais Robert Rensenbrink, sortis de sa retraite aux USA, au public toulousain. Mais ce sera un échec et l'ancien grand buteur d'Anderlecht quittera le Sud Ouest après 12 matchs. Poussé par son adjoint Guy Roussel, Pierre Cahuzac s'intéresse aux jeunes. Il souhaite engager Bernard Casoni mais l'AS Cannes refuse, il embauche alors l'autre défenseur central cannois, Claude Deplanche et un joueur du Toulouse-Fontaines voisin, à l'époque totalement inconnu, Jean-Philippe Durand. Il lance des jeunes (Jean-Luc Sassus, Patrice Ségura, Claude Lowitz, l'explosif gardien venu de Thionville Stéphane d'Angelo...) et réussit sa mission grace, entre autres, aux passes du meneur Gérard Albert, au solide et expérimenté défenseur hongrois du FC Bruges alors âgé de 33 ans Laszlo Balint (capitaine de la sélection, échangé avec Gilbert Van Binst) et au capitaine buteur Robert Pintenat associé en attaque au marocain Abdelkrim Krimau, prêté par le LOSC.



Premiers pas en D1 (1982) |


Daniel Visentin vise haut. Le nouveau sponsor met plus d'argent et le club emprunte beaucoup (couvert par la municipalité). Le Téfécé s'endette dangereusement.
Le recrutement est mené par le président, n'écoutant qu'à peine son entraîneur. Christian Lopez, le libéro de l'ASSE (pourtant annoncé à l'AS Monaco) et Gérard Soler, l'attaquant des Girondins de Bordeaux (qui sera le premier à signer au Téfécé), deux internationaux du dernier mondial espagnol, signent au Téfécé avec un très bon salaire. Ils sont accompagnés du défenseur latéral Jean-Jacques Marx du RC Strasbourg échangé avec Guy Mauffroy, du virevoltant attaquant nîmois Jean-Marc Ferratge, du meneur de jeu de la Hongrie, Károly Csapó et du milieu de terrain récupérateur formé au FC Nantes, Georges Van Straelen (arrivant de Brest). Ces trois derniers furent réellement voulus par Cahuzac, qui voulait surtout un stoppeur (on a longtemps évoqué l'arrivée du messin Philippe Mahut qui signera à l'Association sportive de Saint-Étienne pour remplacer Lopez). Le départ est fabuleux (1er lors des 2e et 3e journées) mais ne dure pas. L'équipe chute jusqu'à la 18e place au soir de la 23e journée ! Christian Lopez doublonne avec Balint, J-J. Marx et C. Deplanche accumulent les bourdes, Károly Csapó a du mal à s'acclimater. Et comme la plupart de ses co-équipiers qui ont passé ces trois dernières saisons en D2, R. Pintenat n'est que l'ombre de ce qu'il a été. Seuls, le gardien Stéphane d'Angelo et Gérard Soler, qui pourtant ne marque pas et « s'embrouille » avec l'entraîneur, contestant le capitanat donné à Christian Lopez, surnagent dans ce naufrage collectif. Daniel Visentin hésite à virer son entraîneur qui change ses hommes. Pierre Cahuzac remet Raymond Camus et Michel Le Blayo en défense, titularise Jean-Pierre Laverny en n°6, donne les clefs du milieu de terrain à Jean-Philippe Durand et Gilles Brisson (ou Jean-Luc Vinuesa), positionne Patrice Ségura au centre de l'attaque. Et ça marche, le Téfécé remonte et se maintient honorablement (11e).


Après quatre saisons pleines, Pierre Cahuzac n'est pas reconduit par l'omniprésent président Visentin, mais, sait-on jamais, reste à la disposition du club. Le Suisse Daniel Jeandupeux arrive, libre depuis la fin de son contrat au FC Zürich. L'ambiance s'améliore, les joueurs eux-mêmes élisent leur capitaine ... qui sera soit Christian Lopez, soit Gérard Soler au gré des absences et blessures. Le président libère une bonne dizaine de joueurs, parmi lesquels le Hongrois Csapó et les artisans de la montée un an plus tôt (M. Weller, M. Le Blayo, L. Balint, J.-L. Vinuesa, L. Maier, R. Pintenat...) et impose le recrutement du gardien international Philippe Bergeroo (ex LOSC) pour concurrencer Stéphane d'Angelo, lequel, vexé de ce manque de confiance, sera plus ou moins écarté du groupe jusqu'à son départ en 1985. Arrivent aussi, cet été 1983, le latéral gauche lyonnais Jean-Francois Domergue, ancien de Bordeaux, repositionné défenseur central, le meneur de jeu Suisse du Servette de Genève Lucien Favre, l'ailier du FC Tours Guy Lacombe et le jeune avant-centre prometteur de St-Etienne, Laurent Roussey. Que des internationaux en devenir. Une saison conclue à la 5e place, prometteuse d'un avenir européen à court terme.


Quant à Pierre Cahuzac, il annonce sa retraite, mais en sera sorti en septembre 1984 par l'OM pour remplacer Roland Gransart.



Premières qualifications européennes |


Au cours des deux saisons suivantes, le Toulouse FC recrute plusieurs joueurs confirmés au plus haut niveau (dont le champion du monde argentin 1978 Alberto Tarantini, l'international de l'AS Monaco Didier Christophe, l'avant-centre du stade rennais Yannick Stopyra, puis le meilleur joueur d'Argentine 1984-85 Alberto Márcico ou encore le grand espoir de Montpellier Gérald Passi) pour asseoir sa place en Division 1 puis viser une place en Coupe d'Europe. Toujours sous l'impulsion de Daniel Jeandupeux puis celle de Jacques Santini (plus jeune entraineur de D1 à 33 ans), les résultats suivent et progressent : 11e en 1984-1985, et 4e en 1985-1986, place qualificative pour la Coupe UEFA. Dans cette compétition, le Toulouse Football Club élimine au premier tour le Naples de Diego Maradona (0-1, 1-0, t.a.b.), el Pibe de Oro manquant lui-même le tir au but décisif. Les héros de cette folle soirée sont : P. Bergeroo-P. Lestage, J.-L. Ruty, A. Tarantini, B. Tihy-P. Despeyroux, J.-P. Durand, G. Passi-A. Marcico, Y. Stopira, E. Bellus. Et J.-J. Marx entré en cours de match.
L'aventure européenne s'achève au tour suivant face au Spartak Moscou (3-1, 1-5) malgré un Gérald Passi au sommet de son art.


En 1986-1987, Toulouse réalise sa meilleure saison jusqu'alors, terminant 3e en Championnat et se qualifiant pour la Coupe UEFA. L'année suivante, le club midi-pyrénéen étoffe une fois de plus son effectif en recrutant Dominique Rocheteau alors en fin de carrière et malgré une 13e place en Division 1, Toulouse élimine les Grecs du Panionios au premier tour (5-1, 1-0) avant de s'incliner lors des seizièmes de finale (1-1, 0-1) face aux Allemands du Bayer Leverkusen, futurs vainqueurs de l'épreuve. C'est sous le maillot toulousain que Dominique Rocheteau effectuera son dernier match professionnel, le 31 mai 1989 contre la Matra Racing de Maxime Bossis, qui faisait également ses adieux ce jour-là au monde professionnel.



Années 1990 |


La fin des années 1980 voit le Toulouse Football Club connaître des difficultés financières. Les grands noms, hormis Márcico, quittent le club ainsi que Jacques Santini qui est remplacé par Pierre Mosca. D'abord relégué à la suite de la 19e place en 1990-1991, le TFC est repêché grâce à la rétrogradation financière des Girondins de Bordeaux. Victor Zvunka devient alors le nouvel entraîneur du club haut-garonnais. Le club doit alors recruter intelligemment et s'appuyer sur ses Pitchouns. Il réussit en partie avec le développement d'une filière de recrutement tchèque (Viliam Hyravy puis Vaclav Nemecek la saison suivante) et en s'appuyant sur son centre de formation (Fabien Barthez, Jean-François Hernandez, Michel Pavon, Anthony Bancarel).


En 1992, Alberto Márcico quitte le club. Après une saison ponctuée par seulement 3 victoires, le Toulouse FC descend en Division 2 en 1994.


C'est avec Alain Giresse que le club se reconstruit. D'abord directeur sportif avec Rolland Courbis comme entraineur, puis lui-même à la tête de l'équipe à la suite de la démission de Courbis, démotivé, en novembre 1995. Et le Téfécé retrouve la D1 en 1997-1998, parvenant alors à un difficile maintien. Alain Giresse ayant succombé aux sirènes parisiennes, Guy Lacombe lui succède. Mais le club termine dernier à la conclusion de la saison 1998-1999, malgré un record d'affluence contre l'Olympique de Marseille avec 36 680 spectateurs le 13 février 1999.


Le club remonte immédiatement et lors de la saison 2000-2001, il met de gros moyens pour espérer se maintenir et franchir un pallier. Malgré la révélation Víctor Bonilla, le club termine 17e et redescend en D2. Le club se retrouve avec un déficit de 70 millions de francs et il est relégué en National par la direction nationale du contrôle de gestion[4]. Nous sommes en 2001 et le club est repris par l'homme d'affaires Olivier Sadran, se transforme de SAOS (Société anonyme à objet sportif) à SASP (Société anonyme sportive professionnelle). Il repart en National, sauvant toutefois son statut professionnel ainsi que son centre de formation.



2001 : la renaissance |




Les Toulousains fêtent la qualification en Ligue des champions pour la 1re fois de son histoire en 2007


Autour du capitaine Christophe Revault ou de joueurs comme Stéphane Lièvre et William Prunier restés au club, l'équipe a pour objectif de remonter en Ligue 2 et ceci le plus rapidement possible. Autour de Cédric Fauré, le club remonte de deux divisions en deux ans avec un effectif presque inchangé, retrouvant la Ligue 1 en 2003. Après deux saisons stables en Ligue 1 et un nouveau recrutement, le TFC vise la pérennité dans le haut du tableau à court terme et une qualification pour l'Europe à moyen terme. Lors de la saison 2005-2006, le club est éliminé de toutes les coupes nationales et termine 16e de Ligue 1.


Élie Baup s'engage au poste d'entraîneur pour trois ans en mai 2006 en remplacement d'Erick Mombaerts, et le président Olivier Sadran revoit les ambitions du club à la baisse, fixant l'objectif 2006-2007 « entre la huitième et la douzième place » de Ligue 1. Après un excellent début de championnat suivi d'une nette baisse de régime à l'automne, Toulouse réalise une deuxième partie de saison fracassante : Lyon et Marseille tombent au Stadium, et l'équipe effectue la meilleure phase retour à égalité avec l'OM. Après l'interruption du match Nantes-Toulouse à la suite de l'envahissement du terrain par les supporters nantais, le 19 mai lors de l'avant-dernière journée, une décision de justice[5] attribue au TFC une victoire sur tapis vert et permet au club d'aborder la dernière journée avec une petite chance de viser la troisième place, qualificative pour la Ligue des champions. Au Stadium, le TFC bat son rival direct, Bordeaux (3-1), grâce à un triplé du Suédois Johan Elmander. Le RC Lens, autre prétendant, est lui aussi sèchement battu (3-0) à Troyes et seul le Stade rennais peut encore barrer la route aux Violets en cas de victoire à Lille. Les Bretons mènent 1-0 jusqu'à la 93e minute et l'égalisation de Nicolas Fauvergue, qui envoie le TFC en Ligue des Champions[6].


Le Toulouse Football Club retrouve alors l'Europe et, pour le premier match de Ligue des Champions de son histoire, affronte le grand Liverpool FC en août 2007. Après un match aller perdu au Stadium (0-1), le TFC sombre quinze jours plus tard à Anfield (4-0) dans un match à sens unique. Reversé en Coupe de l'UEFA, le TFC élimine très difficilement le FK CSKA Sofia (0-0 au Stadium, puis 1-1 à Sofia avec un but inespéré à la 96e minute du match retour) et se retrouve dans un groupe de qualification composé du Bayer Leverkusen, du FC Zurich, du Sparta Prague et du Spartak Moscou. Avec une série de trois défaites amères, et malgré une victoire pour l'honneur contre le Spartak Moscou (2-1, la première victoire en Coupe d'Europe depuis plus de vingt ans), le TFC est éliminé.


Cette saison 2007-2008 aura été très difficile pour le club toulousain qui, en plus d'être rapidement éliminé de toutes les coupes (nationales ou européennes), lutta pour son maintien en Ligue 1 jusqu'à la dernière journée, grâce à une victoire contre Valenciennes (2-1) et un match nul de Lens contre Bordeaux (2-2). Cette bataille contre la relégation entraîna le limogeage d'Élie Baup.


Lors de la saison 2008-2009, le TFC souhaite se relancer à partir des bases posées en 2006-2007, avec comme nouvel entraîneur Alain Casanova ainsi qu'une équipe complètement renouvelée à la suite de nombreux départs (Douchez, Elmander, Emana entre autres). L'excellente forme de son gardien Cédric Carrasso et l'éclosion du futur meilleur buteur du championnat, André-Pierre Gignac, permet au TFC de réaliser un beau parcours en coupe de France (élimination contre Guingamp en demi-finales) et de terminer à la quatrième place du classement, qualificative pour l'Europa League 2009-2010. Le club franchit les barrages contre Trabzonspor (victoire 1-3 en Turquie, défaite 0-1 au Stadium) et se retrouve dans le groupe de qualification avec le Partizan Belgrade, le Chakhtar Donetsk et le FC Bruges. Le bilan est frustrant, car le TFC bat le club serbe par deux fois (2-3 puis 1-0), mais sombre face à l'épouvantail ukrainien (4-0 puis 0-2). Les rencontres avec le club belge (dont le niveau est proche) sont alors décisives pour déterminer le deuxième qualifié de la poule, mais Bruges arrache le nul à la dernière seconde au Stadium (2-2) avant de battre le TFC à la dernière minute du match retour (1-0). Toulouse est éliminé, mais retiendra surtout une campagne européenne endeuillée par le décès d'un supporter, Brice Taton, battu à mort par des hooligans serbes[7] à Belgrade le 17 septembre 2009 et décédé douze jours plus tard.


La fin de la saison 2009-2010 est sans relief, malgré une demi-finale de coupe de la Ligue (défaite contre Marseille au Stadium, 1-2 après prolongations) et le club termine à la 14e place. Depuis, le club enchaîne les performances contrastées, capable de battre les ténors du championnat comme de faire preuve de médiocrité face à des adversaires plus modestes. Toutefois, force est de constater que l'objectif de pérenniser le club dans la première moitié de tableau en Ligue 1 se concrétise, celui-ci décrochant la 8e place en 2010-2011 ainsi qu'en 2011-2012, la 10e place en 2012-2013, puis la 9e place en 2013-2014. La saison 2012-2013 marque aussi le développement du programme Ambassadeur du Toulouse Football Club[8] au sein des grandes écoles et universités partenaires de la ville de Toulouse.


La saison 2014-2015 verra en revanche le club finir 17e, dernier rang permettant le maintien du TFC. L'entraîneur Alain Casanova sera remplacé en cours de saison par le directeur de la cellule de recrutement du club, Dominique Arribagé.


La saison 2015-2016 verra le club de la "ville rose" accomplir une performance jamais réalisée jusque-là dans l'histoire du football français. Avant-dernier du classement et comptant 10 points de retard au terme de la 28e journée, le TFC emmené par son nouvel entraineur Pascal Dupraz parviendra à refaire son retard, et à se sauver in extrémis par une victoire 3-2 à l'extérieur contre le SCO Angers[9],[10].


Après bon début de saison 2016-2017, le TFC enchaîne les contre-performances pour finalement terminer 13e de l'exercice. La saison 2017-2018 continuant sur la même ligne négative, l'entraineur Pascal Dupraz décide, en commun accord avec le président, de quitter ses fonctions, et est remplacé par son adjoint, Mickaël Debève, le 22 janvier 2018. Ce dernier parvient de justesse à qualifier le club pour les barrages de L1/L2, le TFC terminant 18e. Grâce à un score cumulé de 4 à 0 (0-3 au match aller à Montpellier, sur terrain neutre[11], suite à une sanction de la LFP, et 1-0 à Toulouse au match retour[12]) face à l'AC Ajaccio, le TFC valide son maintien en Ligue 1 pour une nouvelle saison. Néanmoins, les mauvais résultats font qu'Olivier Sadran décide d'écarter Mickaël Debève de ses fonctions d'entraîneurs.


Le statut du TFC est notamment valorisé grâce à sa formation, ayant permis l'éclosion de joueurs comme Moussa Sissoko, Etienne Capoue, Franck Tabanou ou Wissam Ben Yedder. Il est également un tremplin vers le très haut niveau (et source de gros transfert) pour d'autres joueurs comme Jérémy Mathieu cédé au FC Valence, Aymen Abdennour (cédé à l'AS Monaco) ou encore Serge Aurier (cédé au PSG).



Identité du club |



Logos |


De 1995 à 2018, le club affichait sur son logo, l'abréviation du club TFC. À chaque changement de président, l'habitude veut que le logo change également.




Cliquez sur une vignette pour l’agrandir.




Palmarès |


Le tableau suivant récapitule les performances du Toulouse FC dans les diverses compétitions françaises et européennes depuis sa fondation en 1970. Il n'inclut donc pas les trophées de l'ancien Toulouse FC, vainqueur notamment de la Coupe de France en 1957.










Palmarès du Toulouse Football Club

Compétitions nationales et jeunes



  • Championnat de France de Ligue 2 (2)            

    • Champion : 1982 et 2003

    • Vice-champion : 1981 et 1997




  • Championnat de France de Ligue 1
    • Troisième : 1987 et 2007



  • Coupe Gambardella (1)
    • Vainqueur : 2005[13]




Coupe de la Ligue

Demi-finaliste : 2010, 2016




Personnalités du club |



Historique des présidents |


Le tableau suivant récapitule les différents présidents du Toulouse Football Club depuis sa création en 1970, sous le nom d'US Toulouse.






Présidents du Toulouse Football Club




















































Rang
Nom
Période
1
Drapeau : France Lilian Buzzichelli
1970-1977
2
Drapeau : France Yves De Lagarcie
1977-1978
3
Drapeau : France Jean-Jacques Astoux
1978–1979
4
Drapeau : France Bernard Garrigues
1979–1981
5
Drapeau : France Daniel Visentin
1981–1985
6
Drapeau : France Marcel Delsol
1985–1992
7
Drapeau : France André Labatut
1992–1999
8
Drapeau : France Jacques Rubio
1999–2001
9
Drapeau : France Olivier Sadran
2001-



Historique des entraîneurs |


Les tableaux suivants récapitulent les différents entraîneurs du Toulouse Football Club depuis sa création en 1970, sous le nom d'US Toulouse.










Entraîneurs du Toulouse Football Club

























































Rang
Nom
Période
1
Drapeau : Argentine José Farías
1970-1972
2
Drapeau : France Pierre Dorsini[14]
1972-1973
3
Drapeau : France Richard Boucher
1973–1974
4
Drapeau : France Paul Orsati
1974–oct. 1974
5
Drapeau : France Richard Boucher
1974–1975
6
Drapeau : France Jacques Sucré
1975–sept. 1975
7
Drapeau : France Émile Daniel
1975–1976
8
Drapeau : France Richard Boucher
1976–1977
9
Drapeau : Argentine Ángel Marcos
1977-1978
10
Drapeau : France Just Fontaine
1978-1979


























































Rang
Nom
Période
11
Drapeau : France Pierre Cahuzac
1979-1983
12
Drapeau : Suisse Daniel Jeandupeux
1983–1985
13
Drapeau : France Jacques Santini
1985–1989
14
Drapeau : France Pierre Mosca
1989–1991
15
Drapeau : France Victor Zvunka
1991–1992
16
Drapeau : France Serge Delmas
1992–1993
17
Drapeau : France Jean-Luc Ruty
1993–1994
18
Drapeau : France Rolland Courbis
1994-1995
19
Drapeau : France Alain Giresse
1995-1998
20
Drapeau : France Guy Lacombe
1998-1999





















































Rang
Nom
Période
21
Drapeau : France Alain Giresse
1999–2000
22
Drapeau : France Robert Nouzaret
2000–2001
23
Drapeau : France Erick Mombaerts
2001–2006
24
Drapeau : France Élie Baup
2006–2008
25
Drapeau : France Alain Casanova
2008-2015
26
Drapeau : France Dominique Arribagé
2015-fév. 2016
27
Drapeau : France Pascal Dupraz
mars 2016-jan 2018
28
Drapeau : France Mickaël Debève
jan 2018-mai 2018
29
Drapeau : France Alain Casanova
juin 2018-



Joueurs emblématiques |


Articles détaillés : Liste des joueurs du Toulouse Football Club et Liste des buteurs du Toulouse Football Club.


Effectif professionnel actuel |


Le tableau ci-dessous recense l'effectif professionnel actuel du Toulouse Football Club pour la saison 2018-2019.




















Effectif du Toulouse Football Club de la saison 2018-2019 au 31 août 2018
Joueurs


Encadrement technique















































































































































































































































































































No 

P.
Nat.[15]
Nom
Date de naissance
Sélection[16]
Club précédent
Contrat
1

G

Drapeau de l'Uruguay

Goicoechea, MauroMauro Goicoechea
27/03/1988 (30 ans)
Uruguay -20 ans FC Arouca 2015-2019
16

G

Drapeau de la France

Vidal, MarcMarc Vidal
03/06/1991 (27 ans)
France -20 ans Formé au club 2009-2019
30

G

Drapeau de la France

Reynet, BaptisteBaptiste Reynet
28/10/1990 (28 ans)
France espoirs Dijon FCO 2018-2022
2

D

Drapeau de la France

Amian Adou, KelvinKelvin Amian Adou
08/02/1998 (20 ans)
France espoirs Formé au club 2016-2021
3

D

Drapeau du Japon

Shōji, GenGen Shōji
11/12/1992 (26 ans)
Japon Kashima Antlers 2019-2023
5

D

Drapeau de la France

Moreira, StevenSteven Moreira
13/08/1994 (24 ans)
France espoirs FC Lorient 2018-2021
6

D

Drapeau de la France

Jullien, ChristopherChristopher Jullien
22/03/1993 (25 ans)
France -20 ans Dijon FCO 2016-2021
12

D

Drapeau de la Guinée

Sylla, IssiagaIssiaga Sylla
01/01/1994 (25 ans)
Guinée Formé au club 2012-2020
18

D

Drapeau du Cap-Vert

Fortes, StevenSteven Fortes
17/04/1992 (26 ans)
Cap-Vert Le Havre AC 2017-2021
20

D

Drapeau du Burkina Faso

Yago, SteeveSteeve Yago
16/12/1992 (26 ans)
Formé au club 2012-2019
29

D

Drapeau de la Suisse

Moubandje, FrançoisFrançois Moubandje
21/06/1990 (28 ans)
Suisse Servette FC 2013-2019
33

D

Drapeau de la France

Todibo, Jean-ClairJean-Clair Todibo
30/12/1999 (19 ans)
France -20 ans Formé au club 2018-2019
-

D

Drapeau de la France

Goncalves, MathieuMathieu Goncalves
08/06/2001 (17 ans)
France -17 ans Formé au club 2018-2021
4

M

Drapeau de la France

Cahuzac, YannickYannick Cahuzac
18/01/1985 (34 ans)
Corse SC Bastia 2017-2019
14

M

Drapeau du Togo

Dossevi, MatthieuMatthieu Dossevi
12/02/1988 (30 ans)
Togo Standard de Liège 2018-2020
15

M

Drapeau de Trinité-et-Tobago

Bostock, JohnJohn Bostock
15/01/1992 (27 ans)
Trinité-et-Tobago Bursaspor 2018-2021
17

M

Drapeau de la Côte d'Ivoire

Sangaré, IbrahimIbrahim Sangaré
02/12/1997 (21 ans)
Côte d'Ivoire espoirs Denguelé Sports 2016-2021
21

M

Drapeau de la Suède

Durmaz, JimmyJimmy Durmaz
22/03/1989 (29 ans)
Suède Olympiakos 2016-2019
22

M

Drapeau de l'Espagne

flèche vers la droite García, ManuManu García
02/01/1998 (21 ans)
Espagne -19 ans Manchester City 2018-2019
23

M

Drapeau de la France

Bodiger, YannYann Bodiger
09/02/1995 (23 ans)
France espoirs Formé au club 2015-2020
26

M

Drapeau de la France

Sidibé, KalidouKalidou Sidibé
28/01/1999 (19 ans)
Formé au club 2018-2021
7

A

Drapeau de la Côte d'Ivoire

Gradel, Max-AlainMax-Alain Gradel Capitaine
30/11/1987 (31 ans)
Côte d'Ivoire AFC Bournemouth 2018-2021
8

A

Drapeau de la France

Jean, CorentinCorentin Jean
15/07/1995 (23 ans)
France espoirs AS Monaco 2017-2021
9

A

Drapeau de la France

Sanogo, YayaYaya Sanogo
27/01/1993 (25 ans)
France espoirs Arsenal FC 2017-2020
10

A

Drapeau de la Belgique

Leya Iseka, AaronAaron Leya Iseka
15/11/1997 (21 ans)
Belgique espoirs RSC Anderlecht 2018-2022
28

A

Drapeau de la France

El Mokeddem, HakimHakim El Mokeddem
15/02/1999 (19 ans)
France -19 ans Formé au club 2017-2020
31

A

Drapeau de la France

Osei Yaw, DerickDerick Osei Yaw
10/09/1998 (20 ans)
France -20 ans Formé au club 2018-2019
32

A

Drapeau de la France

Taoui, AdilAdil Taoui
10/08/2001 (17 ans)
France -16 ans Formé au club 2018-2021
35

A

Drapeau du Cameroun

Zobo, StéphaneStéphane Zobo
02/08/2000 (18 ans)
Cameroun -17 ans Yaoundé Azur Star 2018-2022




Entraîneur(s)


  • Drapeau : France Alain Casanova

Entraîneur(s) adjoint(s)



  • Drapeau : France Denis Valour


  • Drapeau : Portugal Jonathan Alves


  • Drapeau : France Issou Dao


Préparateur(s) physique(s)


  • Drapeau : France Baptiste Hamid

Entraîneur(s) des gardiens


  • Drapeau : Espagne Pascual Josep Trabal




Légende



  • P. : Poste


  • Nat. : Nationalité


  • Capitaine : Capitaine


  • Joueur en prêt entrant : Joueur prêté par un autre club


  • G : Gardien de but


  • D : Défenseur


  • M : Milieu de terrain


  • A : Attaquant







Consultez la documentation du modèle














Joueurs prêtés
































































P. Nat. Nom Date de naissance Sélection Club en prêt Contrat

13

D

Drapeau de la France

Michelin, ClémentClément Michelin
11/05/1997 (21 ans)
France -20 ans AC Ajaccio 2016-2020
25

M

Drapeau de la France

Pi, JessyJessy Pi
24/09/1993 (25 ans)
Stade brestois 29 2016-2020
10

A

Drapeau de la France

Delort, AndyAndy Delort
09/10/1991 (27 ans)
France -20 ans Montpellier HSC 2017-2021
26

M

Drapeau de la France

Boisgard, QuentinQuentin Boisgard
17/03/1997 (21 ans)
Pau FC 2017-2020
27

M

Drapeau de la France

Blin, AlexisAlexis Blin
16/09/1996 (22 ans)
France espoirs Amiens SC 2015-2020




Structures du club |



Structures sportives |



Stades |


Articles détaillés : Stadium (Toulouse) et Stade Ernest-Wallon.



Le Stadium de Toulouse.


Le Stadium est depuis 1970 (date de création du club) le stade où évolue le Toulouse Football Club. Inauguré en 1937, pour accueillir la Coupe du monde de football 1938 organisée en France, il connaît plusieurs liftings en 1949 puis à l'occasion de la Coupe du monde 1998. Le Stadium devient ainsi le sixième stade de France en termes de places disponibles, derrière le Stade de la Beaujoire, avec une capacité de 35 472 spectateurs.


Néanmoins, ne faisant pas partie des stades français évalués par l'UEFA au rang de stades quatre ou cinq étoiles, le Stadium est alors l'objet d'une rénovation en vue du Championnat d'Europe de football 2016. L'objectif visé n'est pas une augmentation du nombre de sièges (rabaissé à terme à 33 000) mais une amélioration du confort et de la visibilité. Les travaux sont financés par la ville de Toulouse, le Stadium lui appartenant alors.


En raison des dégâts subis lors de l'explosion de l'usine AZF de Toulouse, le Toulouse FC a disputé une grande partie de la saison 2001-2002 au stade Ernest-Wallon, où évolue le Stade toulousain.



Centre de formation |


Le Toulouse Football Club possède son propre centre de formation, dont sortent chaque année de jeunes joueurs. Une formation complète y est proposée, dès l'âge de 13 ans, par le biais des différentes équipes de jeunes.


À leur sortie, les meilleurs sont lancés dans le bain de la Ligue 1 en entrant dans l'effectif professionnel du club. La réussite de la plupart d'entre eux a permis au centre de formation de recevoir une distinction de la part des instances françaises de football, et au club de jouir d'une certaine notoriété, mettant en avant des valeurs humaines dans la formation des pépites de demain. Le TFC s'affirme comme un tremplin vers le football de très haut niveau.


Moussa Sissoko, Nicolas Seube, Mehdi Nafti, Fabien Barthez, Fabrice Jau, Lamine Diatta, Nicolas Dieuze, Fabien Audard, Anthony Bancarel, Étienne Capoue, Daniel Congré, Franck Tabanou, Dominique Arribagé, Laurent Batlles, Michel Pavon, Vincent Candela, Issa Diop, Alban Lafont, ou encore Yann Bodiger ont été formés au Toulouse Football Club.



Aspects juridiques et économiques |



Aspects juridiques |



Statut juridique et légal |


Le Toulouse Football Club se compose d'une association, titulaire du numéro d'affiliation de la FFF, et d'une société. L'Association TFC gère le centre de formation, la section amateur. La Société TFC a le statut de société anonyme sportive professionnelle (SASP) depuis 2001. Avant cette date, le club était une société anonyme à objet sportif (SAOS).


L'actionnaire principal du club est Olivier Sadran, qui a racheté les parts du club en juillet 2001, date de sa prise de fonction en tant que président du club.



Organigramme |


Olivier Sadran, directeur de la société Newrest, est le président du Toulouse Football Club. Jean-François Soucasse, est directeur général du club.
Vincent Galy est responsable de la branche commerciale du TFC, France Chanterelle est responsable financier, tandis que l'organisation et la sécurité sont assurées par Régis Lecomte. Plusieurs anciens joueurs figurent dans l'organigramme du club : Fabrice Garrigues et Rémy Loret sont responsables du centre de formation. Jean-Christophe Debu s'occupant de la réserve. Alain Casanova est l'entraîneur, Jonathan Alves, Issou Dao et Denis Valour sont les entraîneurs adjoints, Pascual Josep Trabal est l'entraîneur des gardiens.



Aspects économiques |



Éléments comptables |


Chaque saison, le Toulouse FC publie son budget prévisionnel de fonctionnement après validation auprès de la DNCG, l'instance qui assure le contrôle administratif, juridique et financier des associations et sociétés sportives de football afin d'en garantir la pérennité. Le budget prévisionnel d'un club s'établit en amont de l'exercice à venir et correspond à une estimation de l'ensemble des recettes et des dépenses prévues par l'entité. Le tableau ci-dessous résume les différents budgets prévisionnels du club toulousain saison après saison.






















































Historique du budget prévisionnel du Toulouse FC
Saison
2008-2009
2009-2010
2010-2011
2011-2012
2012-2013
2013-2014
2014-2015
2015-2016
2016-2017
Budget
32 M€
50 M€[17]
40 M€[18]
40 M€[19]
36 M€[20]
32 M€[21]
32 M€[22]
30 M€[23]
35 M€[24]
Saison
2017-2018
2018-2019







Budget
34 M€[25]
35 M€[26]








Légende : M€ = millions d'euros.


Finances |


























































































































































































Tableau des différentes sources de revenus du Toulouse Football Club depuis la saison 2002-2003 en millions d'euros

Saison

Championnat

Sponsoring

Compétitions

Droits de diffusion TV

Total des revenus

Réf.

Compétitions nationales

Coupes d'Europe

Total compétitions

2002-2003

Ligue 2
2,465
1,291
-
1,291
4,223
9,999
[27]

2003-2004

Ligue 1
4,118
3,338
-
3,338
9,075
19,885
[28]

2004-2005

Ligue 1
2,008
7,736
-
7,736
11,212
32,359
[29]

2005-2006

Ligue 1
6,099
3,446
-
3,446
16,578
29,850
[30]

2006-2007

Ligue 1
6,763
4,769
-
4, 769
29,502
44,627
[31]

2007-2008

Ligue 1
8,393
3,997
1,877
5,874
19,011
37,298
[32]

2008-2009

Ligue 1
8,027


4,868
29,010
45,531
[33]

2009-2010

Ligue 1
8,269


3,730
22,657
39,451
[34]

2010-2011

Ligue 1
7,417


2,278
25,319
38,674
[35]

2011-2012

Ligue 1
6;269


2,484
27,427
40,621
[36]

2012-2013

Ligue 1
5,656


2,498
24,561
36;223
[37]

2013-2014

Ligue 1
5,847


2,355
22,678
34,784
[38]

2014-2015

Ligue 1
5,736


2,198
19,466
31,259
[39]

2015-2016

Ligue 1
5,733


2,888
18,359
29,687
[40]

2016-2017

Ligue 1
5,442

-
3,744
23,687
37,482
[41]


Transferts les plus coûteux |


Les deux tableaux ci-dessous synthétisent les plus grosses ventes et achats de joueurs dans l'histoire du club toulousain.







































Acquisitions[42]
Rang
Joueur
Montant
Provenance
Date
1er
Drapeau : France Andy Delort
Drapeau : France Emmanuel Rivière
M€

Drapeau : Mexique Tigres UANL
Drapeau : France AS Saint-Etienne
27 janvier 2017
12 juillet 2011
3e
Drapeau : Suède Johan Elmander
Drapeau : France Jérémy Mathieu
M€

Drapeau : Danemark Bröndby IF
Drapeau : France FC Sochaux-Montbéliard
7 juillet 2006
1er juin 2005
5e
Drapeau : France André-Pierre Gignac
4,5 M€

Drapeau : France FC Lorient
1er juillet 2007

















































Cessions[43]
Rang
Joueur
Montant
Destination
Date
1er
Drapeau : France Issa Diop
25 M€

Drapeau : Angleterre West Ham United FC
19 juin 2018
2e
Drapeau : France André-Pierre Gignac
16 M€

Drapeau : France Olympique de Marseille
20 août 2010
3e
Drapeau : Tunisie Aymen Abdennour
13 M€

Drapeau : France AS Monaco FC

1er juillet 2014
4e
Drapeau : Suède Johan Elmander
12,6 M€

Drapeau : Angleterre Bolton Wanderers
27 juin 2008
5e
Drapeau : Danemark Martin Braithwaite
11,3 M€

Drapeau : Angleterre Middlesbrough
13 juillet 2017



Soutien et image |



Groupes de supporters |



Au Stadium |


Huit groupes de supporters se partagent les tribunes du Stadium.


Le virage Est (appelé aujourd'hui Virage Brice Taton[44] à la suite du décès tragique de ce supporter, fin septembre 2009) est la tribune la plus animée du Stadium. Y sont rassemblés les Indians Tolosa 1993[45], qui comptent aujourd'hui plus de 300 membres (possédant une section Tarn[46]) ainsi que le Viola Club créé en 1993 (la frange active étant la BFS - Boire Fumer Supporter - élue en 2012 "groupe de supporters au nom le plus improbable" par So Foot[47]).


En face, dans le virage Ouest, sont installés les Ouest Dragons, un groupe qui comprend plus de 70 membres (disposant de sections dans le Tarn-et-Garonne, à Carcassonne, à Castelnaudary et à Colomiers), les West Eagles créés en 2015, ainsi que les Tolosa Fans qui font partie de l'ancien groupe des Sharks 31 (regroupant des supporters venant de l'Ariège, l'Aude, la Haute-Garonne, du Gers, des Pyrénées-Atlantiques, des Hautes-Pyrénées et des Pyrénées-Orientales).


Dans la tribune Honneur Sud sont situés des groupes moins dynamiques vocalement et gestuellement, mais possédant un caractère fédérateur et chaleureux autour du club, à l'image par exemple des peñas espagnoles. Les Visca Tolosa[48] forment le groupe de supporters toulousains le plus récent (créé en juin 2007) et comptent près de 200 membres venant de l'ensemble de la région Midi-Pyrénées. Quant au Fan Club TFC, il est le seul et unique club de supportrices du TFC (femmes, jeunes femmes et jeunes filles) et compte 180 membres. Enfin, l'association des Supporters des Violets, doyenne des groupes (créée en 1983), rassemble beaucoup de supporters à travers la Haute-Garonne. Elle regroupe en fait environ 27 sections qui sont des antennes visant à regrouper les supporters par région française. Elles organisent des déplacements aussi bien au Stadium qu'à l'extérieur et participent ainsi à l'expansion de la « vague violette », c’est-à-dire à l'augmentation du nombre de supporters du TFC au-delà des frontières régionales. Les Supporters des Violets seraient environ 5 000 à ce jour.



À l'extérieur |


Au-delà des supporters effectuant les déplacements depuis Toulouse, le TFC peut également compter sur le soutien de groupes de supporters expatriés, suivant de loin les performances de leur équipe.


Les Occifans[49] constituent un rassemblement de supporters toulousains expatriés en Île-de-France, et sont surtout présents lors des déplacements de l'équipe au Parc des Princes, ainsi que d'autres stades de la moitié Nord de la France (comme Lille, Lens, Caen ou Reims en Ligue 1, mais aussi Auxerre, Valenciennes ou Le Mans dans le passé ou lors de matches de coupes). De plus, le groupe des Jokers Chypriotes[50] (créé en 2011) tente de fédérer autour du TFC les amateurs de football qui suivent, depuis Chypre, le championnat de France. Ils sont aujourd'hui une vingtaine et envisagent un déplacement annuel au Stadium pour certains d'entre eux.



Supporters célèbres |


Le Toulouse Football Club compte quelques supporters célèbres parmi lesquels, entre autres, la skieuse Anne-Sophie Barthet[51], les journalistes sportifs Christian Jeanpierre[52] et Jean Rességuié[53], les rappeurs Bigflo et Oli[54] ainsi que le cuisinier Michel Sarran[55].



Autres équipes |



Équipe réserve et sections de jeunes |





Moussa Sissoko est passé par toutes les sections de jeunes du Toulouse Football Club.


En 2010-2011, l'équipe réserve du Toulouse Football Club évolue en Championnat de France Amateurs 2 et est entraînée par Denis Zanko. Elle a remporté le Championnat de France des réserves professionnelles en 1983 et fut vainqueur du Championnat DH Midi-Pyrénées en 1958, 1980 et 2000.


Le Toulouse Football Club comprend nombre de formations de jeunes, des débutants aux juniors. Ces derniers ont atteint la finale de la Coupe Gambardella en 1972[13] puis remportent la compétition en 2005[13] face à l'Olympique lyonnais (6-2).


Aucun autre titre national n'a été remporté par les sections de jeunes, si ce n'est chez les benjamins qui ont remporté la Coupe nationale U13, en 2006.



Section féminine |


Article détaillé : Toulouse Football Club (féminines).

La section féminine du Toulouse Football Club a brillé au début des années 2000 remportant successivement quatre Championnat de France et un Challenge de France féminin, équivalent féminin de la Coupe de France, en 2002. La meilleure performance en Coupe d'Europe reste une demi-finale perdue face au FFC Francfort en 2002, futur vainqueur de l'épreuve. Jusqu'en 2010-2011, la section féminine évoluait en première division sur le Stadium annexe. À l'issue d'une saison terne, les Toulousaines sont reléguées en Division 2.



Notes et références |




  1. Seuls les principaux titres en compétitions officielles sont indiqués ici.


  2. France Football, no 1737 du 24 juillet 1979, p. 38


  3. ibid


  4. TFC-OM : à chacun son enfer


  5. Affaire Nantes-Toulouse : « la loi, c'est la loi », rappelle Frédéric Thiriez


  6. Toulouse en Ligue des Champions


  7. http://www.google.com/hostednews/afp/article/ALeqM5i-eRcEl6BaErXjvfxcXQRLr87w4Q Dépêche AFP, mort d'un supporter du TFC à Belgrade


  8. Balle, « Balle, Jean Toulouse ! », sur Balle, Jean Toulouse : Les plans étudiants Toulousains (consulté le 18 novembre 2016)


  9. « TFC : un maintien complètement fou ! », sur ladepeche.fr, 15 mai 2016(consulté le 15 mai 2016).


  10. Journal "La Depeche du Midi" du dimanche 15/05/2016 / Titre en une "le miracle"/ page 15 "TFC un maintien complètement fou"


  11. « Ajaccio - Toulouse : 0-3. Ajaccio coule à La Mosson », Le Télégramme,‎ 24 mai 2018(lire en ligne, consulté le 31 mai 2018)


  12. Y.S., « Toulouse se maintient en L1, Ajaccio reste en L2 », L'Équipe,‎ 27 mai 2018(lire en ligne, consulté le 31 mai 2018)


  13. a b et c(en) Erik Garin, « Palmarès de la Coupe Gambardella », sur www.rsssf.com, 21 février 2007(consulté le 11 novembre 2008)


  14. LaDepeche.fr, 2 décembre 2003, Pierre Dorsini ne veut pas raccrocher ses crampons


  15. Seule la nationalité sportive est indiquée. Un joueur peut avoir plusieurs nationalités mais n'a le droit de jouer que pour une seule sélection nationale.


  16. Seule la sélection la plus importante est indiquée.


  17. « Budgets des clubs de Ligue 1 saison 2009-2010 », sur www.sportune.fr, 3 août 2010(consulté le 3 août 2018)


  18. « Budgets des clubs », France Football, no 3356,‎ 3 août 2010


  19. « Budgets des clubs de Ligue 1 saison 2011-2012 », sur www.sportune.fr, 3 août 2011(consulté le 3 août 2011)


  20. « Budgets des clubs de Ligue 1 saison 2011-2012 », sur www.sportune.fr, 31 juillet 2012(consulté le 11 novembre 2017)


  21. « Budgets des clubs », France Football, no 3506,‎ 3 août 2013


  22. « ASSE, OM, PSG... Tous les budgets de la Ligue 1 en 2014-2015 », Sportune,‎ 9 août 2014(lire en ligne, consulté le 2 février 2017)


  23. « Les budgets de la Ligue 1 en 2015-2016 », Sportune,‎ 7 août 2015(lire en ligne, consulté le 2 février 2017)


  24. « Les budgets de la Ligue 1 en 2016-2017 », Sportune,‎ 11 août 2016(lire en ligne, consulté le 10 novembre 2017)


  25. « Les budgets de la Ligue 1 en 2017-2018 », Sportune,‎ 3 août 2016(lire en ligne, consulté le 10 novembre 2017)


  26. « Les budgets de la Ligue 1 en 2018-2019 », Sportune,‎ 7 août 2018(lire en ligne, consulté le 11 août 18)


  27. [PDF] « Compte de résultat des clubs professionnels 2002-2003 », sur www.lfp.fr, DNCG (consulté le 19 février 2011)


  28. [PDF] « Compte de résultat des clubs professionnels 2003-2004 », sur www.lfp.fr, DNCG (consulté le 19 février 2011)


  29. [PDF] « Compte de résultat des clubs professionnels 2004-2005 », sur www.lfp.fr, DNCG (consulté le 19 février 2011)


  30. [PDF] « Compte de résultat des clubs professionnels 2005-2006 », sur www.lfp.fr, DNCG (consulté le 19 février 2011)


  31. [PDF] « Compte de résultat des clubs professionnels 2006-2007 », sur www.lfp.fr, DNCG (consulté le 19 février 2011)


  32. [PDF] « Compte de résultat des clubs professionnels 2007-2008 », sur www.lfp.fr, DNCG (consulté le 19 février 2011)


  33. [PDF] « Compte de résultat des clubs professionnels 2008-2009 », sur www.lfp.fr, DNCG, décembre 2010(consulté le 19 février 2011)


  34. « Compte de résultat des clubs professionnels 2009-2010 », sur www.lfp.fr


  35. « Compte de résultat des clubs professionnels 2010-2011 », sur www.lfp.fr


  36. « Compte de résultat des clubs professionnels 2011-2012 », sur www.lfp.fr


  37. « Compte de résultat des clubs professionnels 2012-2013 », sur www.lfp.fr


  38. « Compte de résultat des clubs professionnels 2013-2014 », sur www.lfp.fr


  39. « Compte de résultat des clubs professionnels 2014-2015 », sur www.lfp.fr


  40. « Compte de résultat des clubs professionnels 2015-2016 », sur www.lfp.fr


  41. « Compte de résultat des clubs professionnels 2016-2017 », sur www.lfp.fr


  42. « Arrivées record », sur transfermarkt.fr (consulté le 23 juin 2018)


  43. « Départs record », sur transfermarkt.fr (consulté le 23 juin 2018)


  44. Ce soir, ce sera le Virage Brice Taton


  45. Site Officiel des Indians Tolosa 1993


  46. Section Tarn (Indians Tolosa 93)


  47. « Top 10 : ces groupes de supporters au nom improbable » (consulté le 3 novembre 2015)


  48. Site officiel des Visca Tolosa


  49. Site officiel des Occifans


  50. Des supporters du TFC jusqu'à Chypre


  51. Anne-Sophie Barthet : "C'est très généreux de la part du TFC"


  52. Christian Jeanpierre à fond pour le TFC


  53. Jean Rességuié : "Je suis bluffé !"


  54. Bigflo et Oli derrière le TFC


  55. Opération #TousauStadium : comme Michel Sarran, soutenez vous aussi le TFC !



Annexes |



Bibliographie |




  • Toulouse Football Club, de 1937 à nos jours, de Jean-Louis Berho et Didier Pitorre, avec la collaboration de Jean-Paul Cazeneuve et Jérôme Leclerc (Éditions Universelles)


  • La Grande Histoire du TFC, de Nicolas Bernard (Éditions Universelles)


  • TouFoulCan, la Bande-dessinée qui supporte le Toulouse Football Club.



Liens externes |


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