Picauville























































































Picauville.mw-parser-output .entete.map{background-image:url("//upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/7/7a/Picto_infobox_map.png")}




















De haut en bas, de gauche à droite : Le château d'Amfreville ; L'église Notre-Dame de Cretteville ; Le sanctuaire Notre-Dame de la Salette à Vindefontaine; L'église Saint-Candide de Picauville ; Le monument de la 2de guerre mondiale à Gourbesville ; L'église Saint-Jean-Baptiste d'Houtteville.

Amfreville 50.jpg

Église de Cretteville.jpg

Église Saint-Candide de Picauville (2).jpg

Chapelle de Notre-Dame de la Salette de Vindefontaine - Statue dans le sanctuaire.JPG

Gourbesville - Monument 90e Division d'infanterie et 82e Division aéroportée.jpg

Église Saint-Jean-Baptiste d'Houtteville.JPG


Blason de Picauville
Héraldique

Administration

Pays

Drapeau de la France France

Région

Normandie

Département

Manche

Arrondissement

Cherbourg

Canton

Carentan
Bricquebec

Intercommunalité

Communauté de communes de la Baie du Cotentin

Maire
Mandat
Philippe Catherine
2016-2020

Code postal
50480, 50360 et 50250

Code commune
50400
Démographie

Gentilé
Picauvillais

Population
municipale
3 301 hab. (2016)
Densité 51 hab./km2
Géographie

Coordonnées

49° 22′ 47″ nord, 1° 25′ 03″ ouest

Altitude
Min. 1 m
Max. 41 m

Superficie
64,89 km2
Localisation


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Picauville

























































Picauville
commune déléguée
Administration

Pays

Drapeau de la France France
Maire délégué
Philippe Catherine

Code postal
50360

Code commune
50P20
Démographie

Population
1 942 hab. (2014)
Densité 102 hab./km2
Géographie

Altitude
Min. 2 m
Max. 30 m

Superficie
19,1 km2
Historique
Commune(s) d’intégration

Picauville


Picauville est une commune française, située dans le département de la Manche en région Normandie, peuplée de 3 301 habitants[Note 1].


Elle est devenue le 1er janvier 2016 une commune nouvelle à la suite de sa fusion avec ses voisines Amfreville, Cretteville, Gourbesville, Houtteville et Vindefontaine[1]. Un an plus tard, Les Moitiers-en-Bauptois rejoignent la commune nouvelle[2],[3].





Sommaire






  • 1 Géographie


  • 2 Toponymie


  • 3 Histoire


  • 4 Politique et administration


  • 5 Démographie


  • 6 Économie


  • 7 Culture locale et patrimoine


    • 7.1 Lieux et monuments


      • 7.1.1 Patrimoine religieux


      • 7.1.2 Patrimoine civil


      • 7.1.3 Patrimoine naturel




    • 7.2 Activité et manifestations


    • 7.3 Personnalités liées à la commune


    • 7.4 Héraldique




  • 8 Voir aussi


    • 8.1 Bibliographie


    • 8.2 Articles connexes


    • 8.3 Liens externes




  • 9 Notes et références


    • 9.1 Notes


    • 9.2 Références







Géographie |






















Communes limitrophes de Picauville, commune nouvelle[4]

Orglandes

Le Ham, Fresville

Neuville-au-Plain

Étienville
Picauville, commune nouvelle[4]
Sainte-Mère-Église, Beuzeville-la-Bastille, Liesville-sur-Douve

Varenguebec

Montsenelle

Appeville






















Communes limitrophes de Picauville, commune déléguée[4]

Étienville

Amfreville

Sainte-Mère-Église

Étienville
Picauville, commune déléguée[4]
Chef-du-Pont

Les Moitiers-en-Bauptois

Les Moitiers-en-Bauptois, Cretteville, Beuzeville-la-Bastille

Chef-du-Pont


Lors de la création de la commune nouvelle, la continuité territoriale avec Houtteville ne tient qu'à une bande de quelques dizaine de mètres en commun avec Cretteville



Toponymie |



Le nom de la localité est attesté sous les formes Picheauvilla vers 1170, Piquauvilla vers 1210, Piqueauville vers 1269, Piquelvilla vers 1280, Picquauvilla au XIIIe siècle[5].


Le gentilé est Picauvillais.



Histoire |


La commune de Picauville, dont la principale agglomération est Pont-l'Abbé, fusionne avec la paroisse de L'Isle-Marie (ou du Homme) en l'an III.


Le Bon Sauveur à Pont-l'Abbé, hameau à cheval sur les communes de Picauville et d'Étienville, fut un hospice pour pauvres créé en 1837 et dirigé par les Sœurs du Bon Sauveur ; au fil des ans s'y ajoutèrent un pensionnat, un institut de sourds et muets, un ouvroir pour jeunes filles et un orphelinat, tous de taille modeste. En 1853, l'établissement est autorisé à accueillir les aliénés. En 1903, l’asile du Bon Sauveur de Pont-l’Abbé-Picauville accueille les aliénés des deux sexes des arrondissements de Cherbourg et de Valognes et les aliénés masculins des arrondissements de Saint-Lô et de Valognes. Il reçoit aussi « une grande partie de ses pensionnaires du département de la Seine, qui chaque année déverse le trop plein de ses asiles dans les établissements de province ayant des places libres » ; l'asile accueille alors 360 hommes et 550 femmes ; parmi elles Liouba Bortniker, d'origine russe et première femme reçue à l'agrégation de mathématiques en 1885. Les archives de l'asile ont disparu lors des bombardements du 10 juin 1944[6].


Lors de la Seconde Guerre mondiale, Picauville abrite la 91e division division d'infanterie allemande, le général Wilhelm Falley occupant avec son état-major le château de Bernaville. Le village, situé à environ 10 km à l'ouest de Sainte-Mère-Église, est libéré le 10 juin 1944 par la 82e US Airborne Division du général américain Mac Kelvie.


Le général Wilhelm Falley est le premier général allemand à être tué lors de la bataille de Normandie. Dans la nuit du 5 au 6 juin, alors qu'il se rend en voiture à Rennes où était organisé un kriegspiel, il décide de rebrousser chemin après avoir vu un nombre anormal d'avions alliés survolant le Cotentin. Sur la route du retour, près de Picauville, son véhicule est mitraillé par des parachutistes américains.


Devant Pont-l’Abbé, le 358th US Infantry Regiment piétine devant une solide résistance des Allemands. La 90th US Infantry Division, qui manque d’expérience, subit des pertes. Le 12 juin, les Américains déclenchent un violent pilonnage de l’artillerie et de l’aviation sur Pont-l’Abbé[7], évacué par les Allemands dans la nuit du 12 au 13 juin 1944.




les communes déléguées


La commune est créée le 1er janvier 2016 par la fusion de six communes, sous le régime juridique des communes nouvelles instauré par la loi no 2010-1563 du 16 décembre 2010 de réforme des collectivités territoriales. L'arrêté est signé le 23 décembre 2015[8]


Le projet a été validé par les différents conseils municipaux le 27 octobre 2015[9]. Le périmètre initial était pressenti au début sur 9 communes avec Beuzeville-la-Bastille, Étienville, Les Moitiers-en-Bauptois ; seule la commune des Moitiers-en-Bauptois a participé à la rédaction de charte mais le conseil, contre l’avis du maire, a voté contre le projet en juillet 2015. Le maire a alors remis sa démission[10].


En 2016, la commune revient sur sa décision et rejoint la commune nouvelle[2] à compter du 1er janvier 2017.








































































Liste des communes au 1er janvier 2017
Nom
Code
Insee
Intercommunalité
Superficie
(km2)
Population
(dernière pop. légale)
Densité
(hab./km2)

Picauville
(siège)
50P20 CC de la Baie du Cotentin 19,1
1 928 (2015)
101



Amfreville 50005 CC de la Baie du Cotentin 10,10
286 (2015)
28
Cretteville 50153 CC de la Baie du Cotentin 6,83
215 (2015)
31
Gourbesville 50212 CC de la Baie du Cotentin 8,18
171 (2015)
21
Houtteville 50250 CC de la Baie du Cotentin 4,51
79 (2015)
18
Vindefontaine 50642 CC de la Baie du Cotentin 8,13
318 (2015)
39
Les Moitiers-en-Bauptois 50333 CC de la Baie du Cotentin 8,04
328 (2016)
41


Politique et administration |



































Liste des maires
Période
Identité
Étiquette
Qualité
1966
1995
Jean Vigier
 
 
1995
mars 2001
Monique Berger
 
 
mars 2001[11]
En cours
Philippe Catherine[12]
 
Chargé de mission

Les données manquantes sont à compléter.


Jusqu'aux prochaines élections municipales de 2020, le conseil municipal de la commune nouvelle est constitué de tous les conseillers municipaux issus des conseils des anciennes communes. Le maire de chacune d'entre elles devient maire délégué[1].



Démographie |






























           Évolution de la population de la commune déléguée de Picauville  [modifier]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 793 1 810 2 124 2 182 2 137 2 201 2 176 2 284 2 332



























1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
2 266 2 515 2 507 2 555 2 661 2 687 2 580 2 535 2 503



























1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
2 450 2 219 2 092 1 899 2 030 2 054 2 098 1 953 1 963



























1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2015
1 983 2 668 2 699 2 587 2 207 1 986 1 995 1 911 1 928

De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[13] puis Insee à partir de 2006[14].)



Histogramme de l'évolution démographique de la commune déléguée de Picauville




L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis sa création.


En 2016, la commune comptait 3 301 habitants[Note 2].















Évolution de la population de la commune nouvelle  [ modifier ]
2015 2016
3 334 3 301

(Sources : Insee à partir de 2015[15].)





Économie |




Culture locale et patrimoine |



Lieux et monuments |



Patrimoine religieux |




  • Église Saint-Candide (XIIIe siècle), (monument historique), comprend une nef très vaste et sobre. Derrière une colonne, on peut voir un bénitier orné de personnages priants.

  • Prieuré (XVIe siècle), la chapelle, située entre deux corps de bâtiments a été malheureusement détruite, c'est un bel ensemble médiéval et de la Renaissance.

  • Église Saint-Martin d'Amfreville avec sa nef (XIIIe), son chœur (XIIIe - XVIe) et son clocher-tour (XIIIe remanié XVIIe). Elle abrite de nombreuses œuvres classées à titre d'objets aux Monuments historiques[16].

  • Église Saint-Ferréol de Cauquigny (XIIe siècle, restaurée).

  • Église Notre-Dame des Moitiers-en-Bauptois.

  • Oratoire Saint-Martin (1962).

  • Église Notre-Dame de Cretteville (13e/15e/17e) : gothique flamboyant

  • Oratoire Notre-Dame des Marais

  • Église Saint-Ermeland de Gourbesville

  • Église Saint-Jean-Baptiste d'Houtteville XIIe siècle, abritant une statue de sainte Marie-Madeleine du XVe siècle classée à titre d'objet aux Monuments historiques[17].

  • Église paroissiale Saint-Martin de Vindefontaine, avec une statue en calcaire polychrome de la Vierge à l'Enfant classée à titre d'objet aux Monuments historiques depuis le 14 décembre 1914[18].

  • Notre-Dame de la Salette : sanctuaire fondé 1864 par l'abbé Godefroy, curé de la paroisse, pour célébrer l'apparition de la Vierge à deux jeunes bergers, Mélanie et Maximin, le 19 septembre 1846 au village de la Salette, à Corps-en-Isère.

  • Chapelle du Bon-Sauveur de Picauville/Étienville,  Inscrit MH (2006)[19], due à René Levavasseur.



Patrimoine civil |




  • Château de l'Isle-Marie (appelée jadis Holm, îlot en norrois), inscrit au titre des monuments historiques. Il a servi de cadre au roman de Jules Barbey d'Aurevilly, Ce qui ne meurt pas, Barbey d'Aurevilly y a d'ailleurs séjourné. Cette très ancienne forteresse a occupé une situation stratégique primordiale durant des siècles.

  • Château de Bernaville, château entouré d'un beau parc.

  • Manoir de La Haule (XVIe siècle).

  • Manoir le Foirage, curieuse demeure à l'allure de château inachevé.

  • Manoir de Vains (puissant manoir avec ses belles portes de chêne anciennes et sa grosse tour).


  • Presbytère (XVIIe siècle) construit en plusieurs étapes, comprenant un corbeau sur le bâtiment de gauche ainsi qu'un petit escalier. Au milieu de la cour, il reste un vieux pressoir qui abrite des parterres de fleurs. Au centre de celui-ci se tient une statue d'ange en terre cuite, qui a perdu ses ailes. À l'entrée gauche, Jésus sur sa croix.


  • Château d'Amfreville (XIVe siècle), inscrit au titre des Monuments historiques[20] depuis le 30 mars 1965.

  • La Moinerie, maison classée aux Monuments historiques. La chapelle a été rasée, il y a fort longtemps. Le pigeonnier est une énorme tour blanche ; la porte double d'entrée de la tour ne s'ouvre plus que sur un sentier. L'habitation actuelle a dû être reconstruite de fond en comble après avoir été partiellement incendiée en 1944.

  • Dolmen renversé du Champ de la Pierre

  • Ferme de La Cour de Cretteville : restes du château (16e/17e), écusson de l'ordre de Malte

  • Le Manoir de La Cour de Gourbesville (XVIe-XXe siècles). Il a été reconstruit après la Seconde Guerre mondiale. Le vieux corps de bâtiment date d'environ 1 000 ans.

  • La Cour des Moitiers (XVIe - XVIIe).

  • La Dorglanderie (XVIIe - XXe).

  • La Juganvillerie (fin XVe - XVIIIe).



Patrimoine naturel |



  • Hameau Port Beurey et Montessy (les marais y sont pittoresques).

  • Hameau Port Filiolet et lieu-dit les Ais, les marais y blanchissent en hiver (se remplissent intégralement d'eau).

  • Rue de Prusse (route traversant le marais entre Chef-du-Pont et Picauville et inondée deux à trois fois par an lorsque les marais blanchissent).

  • Caponnet (village pittoresque avec nombre de maisons en pierre et en terre).

  • Rives du Merderet.

  • Rives de la Douve



Activité et manifestations |


L'Étoile sportive de Plain qui regroupe les communes de Sainte-Mère-Église, Chef-du-Pont et Picauville, fait évoluer une équipe de football en Ligue de Normandie et trois autres dans les différentes divisions de district ainsi qu'une équipe féminine à 11[réf. nécessaire].





Personnalités liées à la commune |



  • Pierre Guéroult (1890-1962), écrivain d'expression normande.


  • Wilhelm Falley (1897-1944), général allemand commandant la 91e division d'infanterie stationnée dans le secteur. Il fut tué par des parachutistes américains dans la nuit du 5 au 6 juin 1944.



Héraldique |







Armes de Picauville


Les armes de la commune de Picauville se blasonnent ainsi :
D'or à la couronne d'épines de sable accostée et soutenue de trois maillets de sinople, au chef de gueules chargé d'un léopard d'or[21].






Voir aussi |



Bibliographie |



  • Dr Viel, « Établissement du Bon-Sauveur de Pont-l'Abbé-Picauville », Cherbourg et le Cotentin, Le Maout, 1905


Articles connexes |



  • Liste des communes de la Manche

  • Liste des communes nouvelles créées en 2016

  • Liste des communes nouvelles créées en 2017



Liens externes |


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Sur les autres projets Wikimedia :




  • Résumé statistique de Picauville sur le site de l'Insee


Notes et références |



Notes |




  1. Population municipale 2016, légale en 2019.


  2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2019, millésimée 2016, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2018, date de référence statistique : 1er janvier 2016.



Références |



  • Altitudes, coordonnées, superficie : répertoire géographique des communes 2014 (site de l'IGN, téléchargement du 1er mars 2015)



  1. a et b« Recueil des actes administratifs de la préfecture de la Manche », 23 décembre 2015


  2. a et b« Journal officiel de la République française » (consulté le 25 juillet 2016).


  3. « Recueil des Actes Administratifs de la Manche de Juillet 2016 » (consulté le 18 août 2016).


  4. a et b« Géoportail (IGN), couche « Limites administratives » activée »


  5. Ernest Nègre - 1996 - Toponymie générale de la France - Volume 2 - Page 1311 - (ISBN 2600001336).


  6. http://smf4.emath.fr/Publications/Gazette/2011/129/smf_gazette_129_51-68.pdf


  7. http://www.normandie44lamemoire.com/fichesvilles/pontlabbe.htm


  8. Arrêté portant création de la commune nouvelle de PICAUVILLE


  9. Conseil de Picauville. Les élus disent oui à la commune nouvelle


  10. Démission du maire des Moitiers-en-Bauptois


  11. « Philippe Catherine, maire sortant, candidat », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le 2 avril 2015)


  12. Réélection 2014 : « Picauville (50360) - Municipales 2014 », sur elections.ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le 19 juin 2014)


  13. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.


  14. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années
    20062007
    2008
    2009
    2010
    20112012201320142015



    .



  15. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2015 et 2016.


  16. « Œuvres mobilières à Amfreville », base Palissy, ministère français de la Culture.


  17. « Statue : Sainte Marie-Madeleine », notice no PM50000547, base Palissy, ministère français de la Culture


  18. « Statue : Vierge à l'Enfant », notice no PM50001301, base Palissy, ministère français de la Culture


  19. Notice no PA50000043, base Mérimée, ministère français de la Culture.


  20. « Château d'Amfreville », notice no PA00110319, base Mérimée, ministère français de la Culture.


  21. « Picauville Manche », sur GASO, la banque du blason (consulté en 2avril 2015)






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