Bases aériennes de l'Armée de l'air française






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Primitivement sous la forme de « champs d'aviation »[1], les bases aériennes françaises existent depuis le début du XXe siècle (la section d'entraînement militaire de la future base aérienne 122 Chartres-Champhol est créée en 1909). Dénommées ainsi depuis 1933, en expansion jusqu'aux années 1950, elles connaissent depuis une politique drastique de réduction, en nombre comme en moyens[2],[3].


Le réseau national des bases aériennes soit abrite différents types d'avions et d'autres engins aériens (hélicoptères, drones, etc.) en métropole ou dans les territoires d'outre mer, et sont complétées par les porte-avions ou porte-hélicoptères, soit réunit des services spécialisés dans l'usage et dans la gestion de ces moyens.


Elles dérogent à certains aspects de la législation courante (droit de l'environnement, code de l'aviation civile, code de l'urbanisme…) en raison des activités particulières qu'elles accueillent, et répondent alors à leurs règlements intérieurs et aux autorités militaires et/ou maritimes. Les aérodromes militaires peuvent par exemple bénéficier d'adaptations des modalités d’élaboration des plans d’exposition au bruit[4].


Tout comme leur actualité, leur histoire illustre richement celle de la politique militaire et de l'armée française.




Sommaire






  • 1 Fonction et organisation des bases aériennes de l'Armée de l'air française


  • 2 Histoire des bases aériennes de l'Armée de l'air française


    • 2.1 Premiers terrains d'aviation militaire


    • 2.2 Premières bases aériennes


    • 2.3 Les bases aériennes de 1934 à 1945


    • 2.4 Les bases aériennes de 1945 à 1989


    • 2.5 Les bases aériennes depuis 1989




  • 3 Liste des bases aériennes de l'Armée de l'air française


    • 3.1 Bases actives


      • 3.1.1 Métropole


      • 3.1.2 Outre-mer


      • 3.1.3 Étranger




    • 3.2 Bases en cours de dissolution


    • 3.3 Bases dissoutes


      • 3.3.1 France métropolitaine


      • 3.3.2 Forces françaises en Allemagne (FFA)


      • 3.3.3 Algérie


      • 3.3.4 Burkina Faso


      • 3.3.5 Cameroun


      • 3.3.6 Centrafrique


      • 3.3.7 Chypre


      • 3.3.8 Congo


      • 3.3.9 Gabon


      • 3.3.10 Guinée


      • 3.3.11 Indochine


      • 3.3.12 Madagascar


      • 3.3.13 Mali


      • 3.3.14 Maroc


      • 3.3.15 Mauritanie


      • 3.3.16 Martinique


      • 3.3.17 Niger1J


      • 3.3.18 Polynésie française


      • 3.3.19 Sénégal


      • 3.3.20 Togo


      • 3.3.21 Tunisie






  • 4 Historique des codes mécanographiques des bases aériennes


  • 5 Voir aussi


    • 5.1 Articles connexes


    • 5.2 Liens externes


    • 5.3 Bibliographie




  • 6 Notes et références





Fonction et organisation des bases aériennes de l'Armée de l'air française |


La base aérienne est définie comme une formation administrative relevant de l'Armée de l'air, regroupant des unités relevant soit des commandements organiques et opérationnels, soit de l'administration centrale, ainsi que les moyens qui leur sont associés (Instruction 21/DEF/EMAA/MGAA fixant l'organisation des bases aériennes, du 24 août 2015[5], remplaçant l'organisation en place depuis le 12 mai 1998).


La base aérienne est rattachée à une base de défense. Elle dispose d'une organisation standardisée, comportant, depuis le 1er septembre 2015 :



  • le commandant de base aérienne, hiérarchiquement subordonné au major général de l'Armée de l'air. En présence d'une plateforme aéronautique, il est directeur d'aérodrome ;

  • le commandant en second, particulièrement chargé de la sécurité et de la protection de la base aérienne ;

  • le ou plusieurs commandant(s) d'escadre(s), le cas échéant, qui préparent et conduisent l'action des forces aériennes ;

  • le chef du groupement d'appui à l'activité ;

  • le chef du bureau d'appui au commandement ;

  • le chef du centre d'instruction et d'information de réserve de l'Armée de l'air ;

  • le conseiller de sécurité nucléaire ;

  • l'officier de réserve adjoint, conseiller en matière de réserves ;

  • le(s) commandant(s) d'éléments air rattachés, le cas échéant.



Histoire des bases aériennes de l'Armée de l'air française |


L'aviation nait en 1890, mais se développe par étapes. Le 9 octobre 1890 Clément Ader fait voler l'Éole. Le 17 décembre 1903, les frères Wright pilotent leur flyer. L'Armée s'intéresse à ces nouveaux moyens, certains militaires devinant leur potentiel militaire. Il faut trouver des terrains pour les essais. Puis, il convient de fixer des terrains d'aviation à vocation purement militaire, les camps d'aviation, qui deviendront les bases aériennes, en 1933.


La liste exhaustive des terrains, par départements, est présentée sur le document du Service Historique de l'Armée de l'Air[6].


L'histoire des installations immobilières de l'Armée de l'air ne se confond pas avec celle de l'Armée de l'air ni davantage encore, avec celle de ses unités, navigantes ou non.



Premiers terrains d'aviation militaire |


Aux temps de l'aviation militaire, naissante, celle-ci s'organise et éprouve ses premiers besoins d'infrastructures aériennes, notamment, de piste d'envol, d'équipement de navigation ou d'approche, de bâtiments techniques et des zones-vie nécessaires. La Première Guerre mondiale tranche définitivement la question de l'utilité de l'avion et en révèle pratiquement tous les usages. Les premières bases aériennes se développent et s'étoffent grâce, en premier lieu, au besoin d'écoles d'aviation -ou de pilotage- indispensables pour fournir des pilotes aux appareils produits à une cadence accélérée.


Le 12 octobre 1897, Clément Ader fait voler un avion au camp militaire de Satory, sur la commune de Versailles. Pourtant, tous ses vols sont, encore de nos jours, controversés.


Le 14 juillet 1908, l'officier Ferdinand Ferber organise la démonstration du vol d'un aéroplane, à Issy-les-Moulineaux.


Le 9 juin 1910, un raid aérien militaire part du camp militaire de Châlons-sur-Marne, pour le fort de Vincennes.


La loi du 29 mars 1912 organise l'aviation (l'aéronautique) militaire.



Premières bases aériennes |


Les premiers camps d'aviation présentent incontestablement une vocation de formation au pilotage.
Puis, les terrains opérationnels formeront le maillage géographique permettant le déploiement des forces aériennes.


Ainsi, la future base aérienne 122 Chartres-Champhol prend la forme d'un camp d'aviation, dès 1909. Très vite, elle deviendra l'une des plus importantes écoles de formation au pilotage militaire[7].


En 1909 également, la future base aérienne 119 Pau voit l'installation, sur son emprise, de Wilbur Wright et de son appareil[8]. Le ciel y est plus clément que sur le terrain initial, au Mans. L'école d'aviation militaire y sera active en 1912 et cette base aérienne fermera en 1972.


En mai 1910 est fondée la base aérienne d'Ambérieu-en-Bugey[9], qui deviendra, également, une école active de formation au pilotage élémentaire.


En 1911, tout juste avant le protectorat de 1912, des avions militaires français sont positionnés au Maroc (1911-1961).


Le 23 juillet 1912, le capitaine Georges Bellanger installe hommes et appareils fondant la future base aérienne 702 Avord. Passant le centenaire, encore opérationnelle, celle-ci détient sans doute le record de longévité des bases aériennes françaises.


Toujours en 1912, la future base aérienne 251 Étampes-Mondésir se met en place.


La base aérienne 102 Dijon-Longvic est installée en 1914[10].


En 1915, le camp de Parçay-Meslay s'organise près de Tours, et deviendra la base aérienne 705 Tours[11].


En 1916, des bases aériennes apparaissent en Tunisie (1916-1963).


En mai 1917, la future base aérienne 125 Istres-Le Tubé vient encore renforcer les écoles de pilotage ; en juillet 1917, la base aérienne de Marrakech est opérationnelle.


En 1920, le mandat donné à la France par la Société des Nations entraîne l'implantation, au « Levant » (Syrie et Liban) de terrains d'aviation (1923-1946).


Thiès est la première base aérienne française déployée en Afrique-Occidentale française (AOF), dans les années 1920.


En février 1929, la base aérienne d'Ivato marque l'implantation de l'Armée de l'air française à Madagascar[12] (1929-1961).


Celle de Bangui est la plus ancienne de l'Afrique-Équatoriale française (AEF) en 1930.


C'est en 1933 que le réseau des bases aériennes s'étend à Djibouti, puis à Noceto (1935). La première de ces implantations perdure après l'indépendance (1977).



Les bases aériennes de 1934 à 1945 |


Cette phase historique se caractérise par le déploiement autonome de l'Armée de l'air et de ses bases, en coexistence avec l'aviation civile, puis par la préparation de la Seconde Guerre mondiale.


Le 1er avril 1933 est promulgué le décret de création de l'Armée de l'air. Le maillage territorial devient une priorité. Le décret du 21 octobre 1933 organise l'infrastructure de l'Armée de l'air[13].


La loi du 2 juillet 1934 en fixe l'organisation et la répartition territoriale[14]. En 1935, neuf bases aériennes sont considérées comme les principales de cette nouvelle arme : celles de Chartres, de Metz, de Nancy, de Le Bourget, de Reims, de Pau, de Tours, de Châteauroux et de Lyon. En 1939, la France compte cinq bases en Indochine (départ en 1956).


En 1934, la France totalise 51 bases aériennes. En 1939, celles-ci sont au nombre de 77, parmi 226 terrains d'aviation, dont 41 sont effectivement ouvertes à l'activité aérienne. EN outre 220 terrains secondaires étaient prêts[1].


La Luftwaffe développe et renforce le réseau des bases aériennes du territoire français, durant l'Occupation.


En 1943, l'AEF dispose de son propre état-major, sur la base aérienne de Brazzaville[réf. nécessaire].



Les bases aériennes de 1945 à 1989 |


Cette période est marquée par l'orientation des moyens militaires, en général, vers la gestion de la tension entre le «bloc de l'ouest», dit libéral, et celui de l'est, dit communiste. Les infrastructures de l'Armée de l'air s'adaptent aux objectifs qui en découlent. La généralisation des avions à réaction, du moins pour ceux destinés à la chasse, nécessite des surfaces aéroportuaires plus vastes nécessitant d'importants moyens matériels pour la maintenance et la mise en œuvre d'appareils de plus en plus sophistiqués et, surtout, plus éloignées des centres-villes. L'accroissement des coûts d'achat et d'exploitation réduit considérablement le parc d'aéronefs.


L'arrêté ministériel du 7 décembre 1944 fixe les attributions et l'organisation de la direction des installations et travaux de l'air. En 1945, le dispositif d'Afrique-Occidentale française est recentré sur la base aérienne de Dakar, au Sénégal, avec celles d'Atar, de Bamako, de Gao et de Thiès, la plus ancienne.


Les décrets du 21 février 1951 réorganisent la gestion des installations immobilières de l'air, dans le contexte de la guerre froide. Les années 1950 marquent aussi la construction des bases aériennes de l'OTAN (voir la Liste des bases de l'OTAN en France). L'United States Air Force in Europe utilise sept terrains français, comme la base aérienne 105 Evreux-Fauville ou la base aérienne de Chaumont-Semoutiers, pour ne prendre que deux exemples[15]. Opérationnelles en 1952, ces bases seront rétrocédées aux autorités françaises en 1967.


Les ouvrages de la Ligne Maginot sont parfois utilisés pour inspirer de nouvelles bases aériennes, comme pour la base aérienne 901 Drachenbronn, par exemple, achevée en 1957 et dotée d'un centre de détection et de contrôle aérien.


D'autres bases outre-mer s'activent : la base aérienne d'Hao, ou encore, la base aérienne 191 Saint-Denis, en 1969.



Les bases aériennes depuis 1989 |




Vue aérienne de la base aérienne d'Évreux au début du XXIe siècle.


Le 9 novembre 1989, la chute du mur de Berlin ouvre un changement géostratégique. Les bases aériennes font l'objet de plusieurs adaptations, réduisant considérablement leur dispositif sur le territoire national, pour l'étoffer hors des frontières françaises, dans des zones de conflits armés actifs. Le repli du territoire national se matérialise par une politique constante de dissolution de bases aériennes. Depuis 2010, le rythme est proche de quatre dissolutions par année[16]. Entre 2008 et 2014, l’armée de l’air a fermé douze bases aériennes[17].


Durant la présence des forces françaises en Afghanistan, en septembre 2007, l'Armée de l'air s'installe à Kandahar, en Afghanistan. Elle est présente à l'aéroport de Kaboul. Elle dispose de moyens sur la base aérienne américaine de Bagram. L'Armée de l'air utilise des installations sur la base aérienne 104 Al Dhafra, aux Émirats arabes unis[18] qui est la première base aérienne française ouverte à l’étranger au XXIe siècle.


Depuis 2014, la Base aérienne 101 Niamey connait une activité intense[19].



Liste des bases aériennes de l'Armée de l'air française |



Bases actives |


En 1934, la numérotation des bases de l'Armée de l'air suivait les règles suivantes, restées inchangées depuis :



  • Bases opérationnelles : no 101 à 199

  • Bases de support (parfois appelées « bases entrepôt ») : no 200 à 299

  • Formations écoles (stationnées sur une base école, en général) : no 300 à 399

  • Dénomination Base à des casernes abritant un régiment du génie de l'air : no 551, 552 et 503

  • Entrepôts de l'armée de l'air : no 601 à 699

  • Bases écoles : no 701 à 799 (certaines de ces bases peuvent recevoir des unités opérationnelles, comme la BA 702 Avord)

  • Unités diverses : no 800 à 899 (transmissions, hôpitaux (no 834 à 840), unités administratives)

  • Bases de défense (parfois appelées « bases radar » : EM, radar CDC, DMC, CMC, etc) : no 900 à 999.



Métropole |




Bases aériennes de l'Armée de l'air actives en métropole (en 2018)


La réduction de format de l'Armée de l'Air est constante depuis la fin de la Guerre froide. Celle-ci se traduit par l'enchaînement des fermetures de bases aériennes. En continuité, depuis le 1er janvier 2008, l'armée de l'air s'est engagée dans un processus de transformation appelé Air 2010, présenté comme destiné à améliorer ses capacités. En pratique, il conduit à réduire les coûts en réduisant le dimensionnement et la capacité de l'arme aérienne française. Ainsi, ce processus a conduit à la fermeture de nombreuses bases aériennes (tendance constante depuis le milieu des années 1950) et, en particulier, à la fermeture des régions aériennes Nord (RAN) et Sud (RAS) qui avaient été créées le 30 juin 2000 pour assurer le soutien des bases aériennes implantées en métropole.




  • Base aérienne 105 Evreux-Fauville « Commandant Henri Viot » (créée en 1952)


  • Base aérienne 106 Bordeaux-Mérignac « Capitaine Michel Croci » (créée le 19 novembre 1936)


  • Base aérienne 107 Villacoublay « Sous-lieutenant René Dorme » (créée le 1er août 1936)


  • Base aérienne 110 Creil « Lieutenant-colonel Guy de La Horie » : (créée en 1954) n’abrite plus de plateforme aérienne depuis le 1er octobre 2016.


  • Base aérienne 113 Saint-Dizier-Robinson « Commandant Antoine de Saint-Exupéry » (créée en 1951)


  • Base aérienne 115 Orange-Caritat « Capitaine Maurice de Seynes » (créée en juillet 1939)


  • Base aérienne 116 Luxeuil-Saint Sauveur « Lieutenant-colonel Tony Papin » (créée en avril 1916)


  • Base aérienne 118 Mont-de-Marsan « Colonel Constantin Rozanoff » (créée en 1914)


  • Base aérienne 120 Cazaux « Commandant Ferdinand Marzac » (créée en septembre 1915)


  • Base aérienne 123 Orléans-Bricy « Commandant Charles Paoli » (créée en 1927)


  • Base aérienne 125 Istres-Le Tubé « Sous-lieutenant Charles Monier » (créée en mai 1917)


  • Base aérienne 126 Solenzara « Capitaine Albert Preziosi » (créée en 1954)


  • Base aérienne 133 Nancy-Ochey « Commandant Henri Jeandet » (créée en septembre 1915)

  • Détachement air 204 Bordeaux-Beauséjour


  • Détachement air 273 Romorantin-Pruniers « Lieutenant-colonel Maurice Mailfert »


  • Détachement air 278 Ambérieu-en-Bugey « Colonel Albert Chambonnet » (créée en mai 1910)


  • Base aérienne 701 Salon-de-Provence / École de l'Air « Général Jean-Marc Pineau » (depuis 1935)


  • Base aérienne 702 Avord / École de l'Aviation de Transport « Capitaine Georges Madon » (créée en juillet 1912, initialement Base aérienne 127)


  • Base aérienne 705 Tours / École de l'Aviation de Chasse « Commandant Jean Tulasne » (novembre 1915, puis mars 1961)


  • Base aérienne 709 Cognac-Châteaubernard / École de Pilotage de l'Armée de l'Air « Commandant Ménard » (créée en 1938)


  • Base aérienne 721 Rochefort / École de Formation des Sous-Officiers de l'Armée de l'Air « Adjudant Gémot » (1931)


  • Base aérienne 722 Saintes-Thénac / École d'Enseignement Technique de l'Armée de l'Air « Capitaine Albert Raffin » (1945)


  • Base aérienne 749 Grenoble-Montbonnot / École des Pupilles de l'Air « Élève Jacques Lorenzi » (créée en 1941)


  • Détachement air 928 Brest-Loperhet, site de surveillance aérienne doté de trois radars, créé en 1968, ancien CDC 08.927, rattaché depuis 1976 à la Base aérienne 705 de Tours[20]


  • Base aérienne 942 Lyon-Mont Verdun « Capitaine Jean Robert » (1960)



Outre-mer |




  • Détachement air 181 La Réunion « Lieutenant Roland Garros » (La Réunion)


  • Base aérienne 186 Nouméa-La Tontouta « Lieutenant Paul Klein » (Nouvelle-Calédonie)


  • Détachement air 190 Tahiti-Faa'a « Sergent Julien Allain » (Polynésie française)


  • Base aérienne 367 Cayenne-Rochambeau « Capitaine Massé » (Guyane française)



Étranger |




  • Base aérienne 101 Niamey (Niger)


  • Base aérienne 104 Al Dhafra (Émirats arabes unis)


  • Base aérienne 172 Fort-Lamy (Tchad)


  • Base aérienne 188 Djibouti « Colonel Massart » (Djibouti)

  • Éléments air à Libreville (Gabon)


  • Bases aériennes projetées ou BAP. Ce sont des bases aériennes temporaires, souvent implantées sur l'emprise d'une base aérienne alliée. Par exemple, la Base aérienne Prince-Hassan en Jordanie abrite une BAP française établie en support de l'opération Chammal.


Article détaillé : Base aérienne projetée.


Bases en cours de dissolution |



  • Détachement air 279 Châteaudun « Lieutenant Marcel Beau » (base aérienne 120 créée en 1934, transformée en élément air rattaché ou EAR en 2014[21], fermeture prévue en 2021[22])


Bases dissoutes |



France métropolitaine |




  • Base aérienne 101 Toulouse-Francazal « Général Lionel de Marmier » (fermée le 1er septembre 2009[23].)


  • Base aérienne 102 Dijon-Longvic "Capitaine Georges Guynemer", fermée le 30 juin 2016[24]. Alphajets de l'Escadron d'entraînement 2/2 Cote d'Or transférés à Cazaux et commandement des Forces aériennes transféré à Bordeaux en 2015).


  • Base aérienne 103 Cambrai-Épinoy « Commandant René Mouchotte » (fermée le 28 juin 2012[25])


  • Base aérienne 103 Chateauroux (de 1912 jusqu'en 1939, puis de 1952 à 1967, comme base OTAN)


  • Base aérienne 104 Dugny-Le Bourget (durant 70 années, créée en 1914, dissoute en 1984)


  • Base aérienne 105 Romilly (BA 781 jusqu'en 1954, BA 914 en 1961)

  • Base aérienne 108 Marignane


  • Base aérienne 109 Tours (BA 131 jusqu'en 1936, devient BA 705 en 1961) (Note : la base aérienne de La Rochelle a porté également le numéro 109)


  • Base aérienne 111 Lyon-Bron (créée en 1910, dissoute en 1964), ancienne BA 105

  • Base aérienne 111 Mourmelon


  • Base aérienne 112 Reims-Champagne « Marin La Meslée » (durant 83 années, de 1928 à 2011)

  • Base aérienne 113 Lille-Wambrechies

  • Base aérienne 113 Rochefort


  • Base aérienne 114 Aix-Les-Milles « Général Andrier » (dissoute en 2003)

  • Base aérienne 114 Romorantin

  • Base aérienne 116 Saint-Cyr-l'Ecole


  • Base aérienne 117 Paris « Capitaine Georges Guynemer » (dissolution le 25 juin 2015, dans le cadre de la mutualisation du projet Balard)[26]

  • Base aérienne 118 Orly


  • Base aérienne 119 Pau (durant 63 années, de 1909 à 1972 ; maintien d'unités de l'armée de terre ; ex-base aérienne 136)


  • Base aérienne 119 Nanterre[27], avec l'établissement central de matériel aéronautique (ECMA, 1956-1964) et une école de mécaniciens d'aviation (EMGA, 1944-1950)[28]

  • Base aérienne 120 Chateaudun

  • Base aérienne 121 Nancy-Essey


  • Base aérienne 122 Chartres-Champhol « Lieutenant Albert Vasseur » (durant 87 années, créée en 1909, dissoute en 1996)


  • Base aérienne 124 Strasbourg-Entzheim (dissoute en 1994, elle partageait ses infrastructures avec l'aéroport de Strasbourg-Entzheim)

  • Base aérienne 126 Coulommiers-Voisin


  • Base aérienne 128 Metz-Frescaty « Lieutenant-colonel Jean Dagnaux » (dissoute le 21 juin 2012[25],[29])


  • Base aérienne 129 Saint Jean d'Angély-Fontenet (dissoute en 1963)

  • Base aérienne 129 Buc


  • Base aérienne 130 Salon (devient BA 701)


  • Base aérienne 131 Tours (devient BA 109 en 1936, puis BA 705 en 1961)


  • Base aérienne 131 Mourmelon (dissoute en 1965)


  • Base aérienne 131 Caen (devenue BA 245 puis BA 720)


  • Base aérienne 132 Colmar-Meyenheim « Commandant René Pépin » (dissoute le 1er juillet 2010, renommée quartier Colonel Dio, elle accueille aujourd'hui le Régiment de marche du Tchad)

  • Base aérienne 134 Versailles


  • Base aérienne 135 Cognac (devient BE 705, puis BA 709 en 1961)


  • Base aérienne 135 de Meaux-Esbly (deviendra Base aérienne 923)


  • Base aérienne 136 Toul-Rosières « Colonel Phelut » (base OTAN en 1952, dissoute en 1998) (la base aérienne de Pau a également porté un temps ce numéro 136)

  • Base aérienne 137 Melun-Villaroche

  • Base aérienne 138 Thionville

  • Base aérienne 139 Persan-Beaumont

  • Base aérienne 140 La Ferté-Gaucher

  • Base aérienne 141 Nangis

  • Base aérienne 142 Cambrai

  • Base aérienne 146 Rouen-Boos

  • Base aérienne 147 Le Havre

  • Base aérienne 151 Metz-Chambières

  • Base aérienne 152 Compiègne-Royallieu

  • Base aérienne 153 Toulouse-Pérignon

  • Base aérienne 154 Epinal

  • Base aérienne 155 Romans


  • Base aérienne 158 Roye-Amy[27]


  • Base aérienne 177 Auxerre (dissoute en 1970)

  • Base aérienne 188 Beauvais


  • Base aérienne 200 Apt-Saint-Christol (dissoute en 1999, renommée quartier Maréchal Koenig, elle accueille aujourd'hui le 2e régiment étranger de génie)


  • Base aérienne 203 Bordeaux-Cenon « Lieutenant-colonel Sarre »

  • Base aérienne 205 Dijon-Ville

  • Base aérienne 206 Bordeaux-Fauché


  • Base aérienne 217 Brétigny-sur-Orge « Colonel Brunet » (fermeture en été 2012[25])


  • Base aérienne 218 Persan-Beaumont (dissoute en 1967)


  • Base aérienne 245 Caen-Carpiquet (devenue Base aérienne 720)


  • Base aérienne 251 Étampes-Mondésir (durant 58 années, de 1909 à 1967) (base aérienne 110 à l'origine)

  • Base aérienne 256 Saint-Nazaire

  • Base aérienne 260 Orchamps

  • Base aérienne 261 Crepey

  • Base aérienne 263 Allemant

  • Base aérienne 265 Rocamadour

  • Base aérienne 269 Mortmarre

  • Base aérienne 270 Fontainebleau


  • Base aérienne 271 Rennes Saint Jacques « Colonel Brunet »


  • Base aérienne 272 Saint Cyr-L’Ecole « Colonel Charles Renard » (base aérienne 116 à l'origine)


  • Base aérienne 274 Limoges-Romanet « Commandant Leclere » (dissoute en 1997)

  • Base aérienne 275 Le Blanc


  • Base aérienne 276 Saint Astier (dissoute en 1969)


  • Base aérienne 277 Varennes-sur-Allier (créée en 1937, dissoute le 30 juin 2015)[30] devenue Détachement air 277 Varennes-sur-Allier « Capitaine Albert Rousseau »


  • Base aérienne 279 Châteaudun « Lieutenant Marcel Beau » (durant 80 années, créée en 1934, dissoute en juillet 2014)

  • Base aérienne 280 Paris Ville

  • Base aérienne 285 Montmorency

  • Base aérienne 290 Ris-Orangis

  • Base aérienne 291 Chamalières

  • Base aérienne 292 Toulouse L'Hers


  • Base aérienne 551 Toul-Thouvenot (dissoute en 1998)


  • Base aérienne 552 Compiègne « Général Hirschauer »


  • Base aérienne 706 Cazaux (devient BA 120)


  • Base aérienne 720 Caen-Carpiquet (créée en 1926, anciennement BE 720 et BA 120 - actuel aéroport de Caen - Carpiquet)


  • Base aérienne 723 Auxerre (dissoute en 1964, voir base aérienne 177 Auxerre)


  • Base aérienne 725 Chambéry-Le Bourget-du-Lac « Lieutenant-colonel Sarre » (dissoute en 1985)


  • Base aérienne 726 Nîmes « Lieutenant-colonel Colin » (dissoute en 1996)


  • Base aérienne 727 Toulouse Balma « Lieutenant-colonel Azama » (anciennement BE 209)

  • Base école 740 Nantes


  • Base aérienne 742 Maison des Ailes Echouboulains (dissoute en 1995)


  • Base aérienne 745 Aulnat « Commandant Fayolle » (dissoute en 1985)


  • Base aérienne 781 Romilly (BA 105 à partir de 1954, puis BA 914 à partir de 1961)


  • Base aérienne 901 Drachenbronn « Commandant Jean-Dieudonné de Laubier » : effectifs réduits de 191 personnes en 2015 puis disparue en 2017, étant automatisée et devenant un Élément Air Rattaché. La maintenance échoit à la base de Nancy. Le C.D.C (Centre de Détection et de Contrôle) 05.542 de Lyon Mont-Verdun et le C.D.C 07.927 de Cinq-Mars-la-Pile se répartissent les missions de surveillance)[31]


  • Base aérienne 902 Contrexéville « Capitaine Littolf » (dissoute en 1999)


  • Base aérienne 914 Romilly (BA 781 jusqu'en 1954, BA 105 jusqu'en 1961, dissoute en 1995).


  • Base aérienne 920 Orly (base aérienne 118 à l'origine)


  • Base aérienne 921 Taverny « Frères Mahé » (fermeture en 2011[25])


  • Base aérienne 922 Doullens « Capitaine Doumer » (dissoute en 2006)


  • Base aérienne 923 Meaux (dissoute en 1949)


  • Base aérienne 925 Rethel (dissoute en 1962)

  • Base aérienne 927 Cinq-Mars-la-Pile


  • Base aérienne 943 Roquebrune-Cap-Martin (dissoute en 2012)


  • Base aérienne 944 Narbonne (subsiste un détachement Air)


  • Base aérienne Pujaut[32] à Pujaut, près d'Avignon.




  • Base aérienne de Chambley-Bussières (1940, puis base OTAN de 1952 à 1967)


  • Base aérienne de Laon-Couvron (1930, puis base OTAN de 1952 à 1967) (Base aérienne 148 Laon-Chambry, auparavant).


Certaines bases aériennes de l'United States Air Forces in Europe n'ont pas figuré parmi les bases aériennes de l'Armée de l'air française. Citons notamment :




  • Base aérienne d'Étain-Rouvres qui accueille aujourd'hui le 3e régiment d'hélicoptères de combat


  • Base aérienne de Phalsbourg-Bourscheid qui accueille aujourd'hui le 1er régiment d'hélicoptères de combat).



Forces françaises en Allemagne (FFA) |




  • Base aérienne 136 Friedrichshafen (dissoute en 1954)


  • Base aérienne 136 Bremgarten (dissoute en 1968)


  • Base aerienne 137 Coblence-Niedermendig de 1945 à 1957


  • Base aérienne 139 Lahr (dissoute en 1967)


  • Base aérienne 165 Berlin Tegel (dissoute en 1994)


  • Base aérienne 178 Achern (dissoute en 1994)


  • Base aérienne 243 Stetten (BA 520 à partir de 1964)

  • Base aérienne 253 Fribourg

  • Base aérienne 257 Friedrichshafen


  • Base aérienne 520 Stetten (BA 243 jusqu'en 1964)

  • Base aérienne 521 Friedrichshafen-Lowental

  • Base aérienne 903 Friedrichshafen



Algérie |



  • Base aérienne 140 Blida


  • Base aérienne 141 Oran la Sénia « Commandant Tulasne »

  • Base aérienne 142 Boufarik

  • Base aérienne 143 Batna


  • Base aérienne 144 Sétif Ain Arnat ou Base Alat 101


  • Base aérienne 145 Colomb-Béchar (dissoute en mars 1967)

  • Base aérienne 146 La Réghaïa

  • Base aérienne 148 Hussein Dey

  • Base aérienne 149 Maison Blanche

  • Base aérienne 167 Reggane


  • Base aérienne 180 Bousfer (rétrocédée le 1er janvier 1971, suivant les accords d'Évian de 1962)

  • Base aérienne 210 Alger Ville


  • Base aérienne 211 Telergma (rétrocédée à l'Algérie après l'indépendance)

  • Base aérienne 212 Biskra

  • Base aérienne 213 Bône

  • Base aérienne 214 Oued Zenata

  • Base aérienne 215 Ouargla


  • Base aérienne 216 Oued Hamimin Constantine ex DTO 30/540

  • Base aérienne Djelfa

  • Base aérienne Laghouat

  • Base aérienne Méchéria

  • Base aérienne Orléansville


  • Base aérienne Paul Cazelle (Ain Oussera)

  • DAM Oasis 1 et 2 In Ecker



Burkina Faso |


  • Base aérienne secondaire Bobo Dioulasso


Cameroun |


  • Base aérienne 174 Douala


Centrafrique |



  • Base aérienne 171 Bangui

  • Base aérienne Fort Archaimbault



Chypre |




  • Base aérienne 791 Akrotiri (1956-1957)


  • Base aérienne 792 Tymbou (1956-1957)



Congo |




  • Base aérienne 170 Brazzaville Maya Maya « Capitaine Gaulard »

  • Base aérienne 173 Pointe Noire



Gabon |


  • Base aérienne 175 Libreville


Guinée |


  • Base aérienne secondaire Labé


Indochine |




  • Base aérienne de transit 190 Bach Mai (banlieue de Hanoi) « La Baume » (dissoute le 1er septembre 1954)

  • Base aérienne 191 Tan-Son-Nhut (Cochinchine)


  • Détachement de gardiennage de Vientiane 60/191 - Laos


  • Détachement de gardiennage de Phnom Penh 61/191 - Cambodge


  • Base aérienne tactique 192 (Biên Hòa) - Cochinchine


  • Base aérienne 193 Tourane (Annam) (dissoute en 1955)

  • Base aérienne 194 Nhatrang (Annam)


  • Base aérienne tactique 195 An Khe, puis Cat Bi (Tonkin) (dissoute en 1955)

  • Base aérienne 196 Seno (Laos)


  • Base aérienne 197 Gialam (Hanoi) (dissoute en 1954)

  • Base aérienne 198 Doson


  • Base aérienne tactique 199 Cap-Saint-Jacques (Cochinchine) (dissoute en 1956)



Madagascar |




  • Base aérienne 181 Ivato (transférée à Saint Denis Gillot - La Réunion)

  • Base aérienne 182 Diego Suarez

  • Base aérienne d'Andrakaka

  • Base aérienne de Majunga

  • Base aérienne de Tamatave

  • Base aérienne de Tananarive



Mali |



  • Base aérienne 162 Bamako

  • Base aérienne 163 Gao

  • Base aérienne secondaire Tessalit



Maroc |




  • Base aérienne 150 Rabat-Ville « Colonel Faye »


  • Base aérienne 151 Rabat-Salé « Commandant Guedj » (dissoute en 1961)

  • Base aérienne 152 Agadir


  • Base aérienne 153 Oujda (dissoute en 1959)


  • Base aérienne 154 Médiouna (dissoute en 1960)


  • Base aérienne 155 Casablanca (dissoute en 1960)


  • Base aérienne 200 Nouasseur (dissoute en 1959)


  • Base aérienne 201 Sidi-Slimane (dissoute en 1959)

  • Base aérienne 202 Ben Guerir


  • Base aérienne 204 Boulhaut (dissoute en 1959)


  • Base école 707 Marrakech (dissoute au second semestre 1961)


  • Base école 708 Meknès « Commandant Mezergues » (dissoute en 1961)


  • Base école 724 Fès « Capitaine Petit-Jean » (dissoute en 1961)

  • Base aérienne Jema-Jahim


  • Base aérienne Ksar-El-Souk no 11/708 (rattachée à la BA 708 Meknès)

  • Base aérienne Kasba-Tadla

  • Base aérienne Ouarzazate



Mauritanie |



  • Base aérienne 164 Atar

  • Base aérienne secondaire Fort-Trinquet



Martinique |



  • Base aérienne 365 Lamentin (fermeture effectuée le 18 juillet 2012[33])


Niger1J |



  • Base aérienne 101 Niamey

  • Base aérienne 201 Agadez



Polynésie française |



  • Base aérienne 185 Hao

  • Base aérienne 195 Mururoa


  • Base aérienne 190 Tahiti-Faa'a (Tahiti) « Sergent Julien-Allain » (Fermée depuis juillet 2012)



Sénégal |



  • Base aérienne 160 Dakar-Ouakam

  • Base aérienne 161 Thiès



Togo |



  • Détachement air 460 Lomé 2004-2007


Tunisie |




  • Base aérienne 156 Bizerte Sidi Ahmed « Lieutenant Garros » (dissoute en 1963)

  • Base aérienne 157 Tunis-El-Aouina

  • Base aérienne 158 Gabès

  • Base aérienne 958 Bizerte El Kébir



Historique des codes mécanographiques des bases aériennes |


Les codes mécanographiques[34].






































































































































































































































































































































































































































































































































































































































































































































































































































































































































































































































































































































































































































































































































































































































































































































































































































































































































BA n°
Lieu de stationnement
Nom de tradition
Dépt.
101 Toulouse-Francazal Général Lionel de Marmier 31
102 Dijon-Longvic Capitaine Georges Guynemer 21
103 Chateauroux 36
103 Cambrai-Épinoy Commandant René Mouchotte 59
104 Le Bourget 93
104 Al Dhafra Émirats arabes unis
105 Fayence 83
105 Gaillac 81
105 Lyon 69
105 Romilly 10
105 Evreux-Fauville Commandant Viot 27
106 Bordeaux-Mérignac Capitaine Michel Croci 33
107 Vélizy-Villacoublay Sous-lieutenant René Dorme 78
108 Marignane 13
109 La Rochelle 17
109 Tours 37
110 Étampes 91
110 Creil Lieutenant-colonel Guy de La Horie 60
111 Amiens 80
111 Valence 26
111 Mourmelon 52
111 Metz-Frescaty 57
111 Lyon-Bron 69
112 Reims-Champagne Commandant Edmond Marin la Meslée 51
113 Rochefort 17
113 Saint-Dizier-Robinson Commandant Antoine de Saint-Exupéry 52
114 Romorantin 41
114 Aix-Les-Milles Général Andrier 13
115 Orange-Caritat Capitaine de Seyne 84
116 Saint-Cyr 78
116 Aulnat 63
116 Luxeuil-Saint Sauveur Lieutenant-colonel Tony Papin 70
117 Paris Capitaine Guynemer 75
118 Orly 91
118 Ablon 91
118 Mont-de-Marsan Colonel Constantin Rozanoff 40
119 Pau 64
120 Caen 14
120 Caen-Carpiquet 14
120 Cazaux Commandant Marzac 33
121 Nancy-Essey 54
122 Chartres-Champhol Lieutenant Vasseur 28
123 Orléans-Bricy Commandant Paoli 45
124 Saint-Jean d'Angely 17
124 Cazaux 33
124 Paris-Ville 75
124 Strasbourg-Entzheim Lieutenant Vasseur 67
125 Istres-Le tubé Sous-lieutenant Monier 13
126 Montpellier 34
126 Ajaccio 2A
126 Ventiseri-Solenzara Capitaine Preziosi 2B
127 Avord 18
127 Chambéry 73
128 Metz-Frescaty Lieutenant-colonel Jean Dagnaux 57
129 Saint-Jean d'Angely 17
130 Salon-de-Provence 13
131 Caen 14
131 Mourmelon 52
132 Rennes 35
132 Colmar-Meyenheim Commandant René Pépin 68
133 Romilly 10
133 Nancy-Ochey Commandant Henri Jeandet 54
134 Versailles 78
135 Cognac 16
136 Pau 64
136 Friedrichshafen RFA
136 Bremgarten RFA
136 Toul-Rosières Colonel Phelut 54
137 Coblence RFA
138 Thionville 57
138 Metz 57
138 Mourmelon 52
138 Fribourg RFA
139 Rayak Liban
139 Lahr RFA
140 Blida Algérie
141 Oran la Sénia Commandant Tulasne Algérie
142 Boufarik Algérie
143 Toulouse-Blagnac 31
143 Batna Algérie
144 Sétif Algérie
145 Colomb-Béchar Algérie
146 La Réghaïa Algérie
148 Montpellier 34
148 Hussein Dey Algérie
149 Alger Maison Blanche Algérie
150 Rabat-Ville Colonel Faye Maroc
151 Metz-Chambières Commandant Guedj 57
151 Rabat-Salé Commandant Guedj Maroc
152 Compiègne 60
152 Agadir Maroc
153 Toulouse-Pérignon 31
153 Oujda Maroc
154 Epinal 88
154 Médiouna
155 Romans 01
155 Montluçon 03
155 Casablanca Maroc
156 Bizerte Sidi Ahmed Lieutenant Garros
157 Tunis-El-Aouina Tunisie
160 Dakar-Ouakam Sénégal
161 Thiès Sénégal
162 Bamako Mali
163 Gao Mali
164 Atar Mauritanie
165 Berlin-Tegel Berlin-Ouest
167 Reggane Algérie
168 Bouaké
169 In Ecker Algérie
170 Brazzaville Capitaine Gaulard Congo
171 Bangui
172 Fort-Lamy Tchad
173 Pointe Noire Congo
174 Douala
175 Vichy 03
175 Libreville
177 Albi 81
177 Auxerre 89
178 Bremgarten RFA
178 Fribourg RFA
178 Achern RFA
180 Bou Sfer Algérie
181 Ivato Lieutenant Roland Garros Madagascar
181 Saint-Denis Lieutenant Roland Garros La Réunion
182 Diego Suarez Madagascar
185 Hao Polynésie française
186 la Tontouta Lieutenant Paul Klein Nouvelle-Calédonie
188 Djibouti Colonel Massart Djibouti
189 Kien Anh
190 Bach Mai
190 Tahiti-Faa'a Sergent Julien-Allain Polynésie française
191 Tan-Son-Nhut
192 Bien Hoa
193 Tourane
194 Nhatrang
195 Haiphong - Cat Bi
195 Mururoa Polynésie française
196 Seno
197 Hanoi Gialam
198 Doson
199 Nhatrang
199 Ville Cap-Saint-Jacques
200 Nouasseur
200 Apt-Saint-Christol 84
201 Blida Algérie
201 Sidi-Slimane Algérie
202 Oran Algérie
202 Ben Guerir Maroc
203 Alger Algérie
203 Bordeaux-Cenon Lieutenant-colonel Sarre 33
204 Tunis Tunisie
204 Boulhaut
204 Bordeaux-Beauséjour (DA) 33
205 Bizerte Tunisie
205 Vitré 35
205 Dijon-Ville 21
206 Meknès Maroc
206 Bordeaux-Fauché 33
209 Toulouse Balma (BE) 31
210 Alger Ville Algérie
211 Bach Mai
211 Telergma
212 Biskra
212 Bien Hoa
213 Dakar Sénégal
213 Bône Algérie
214 Bangui
214 Zenata
215 Ivato Madagascar
215 Ouargla Algérie
216 Djibouti Djibouti
216 Constantine Algérie
216 Ouad Hamimin
217 Agen 47
217 Brétigny-sur-Orge Colonel Brunet 91
218 Persan-Beaumont 60
240 Nimes 30
243 Stetten RFA
246 La Rochelle 17
251 Étampes-Mondésir 91
252 Lodève 34
253 Fribourg RFA
256 Saint-Nazaire 44
257 Friedrichshafen RFA
258 Crépy-en-Laonnois
259 Jonzac 16
260 Orchamps 39
261 Crépey 54
263 Allemant 02
264 Nogent-l'Abbesse 51
265 Rocamadour 46
266 Lamanon 13
267 Compiègne-Royallieu 60
269 Mortmarre
270 Fontainebleau 77
271 Rennes Saint Jacques 35
272 Saint Cyr-L’École Colonel Renard 78
273 Romorantin-Pruniers (DA) Lieutenant-colonel Mailfert 41
274 Limoges-Romanet Commandant Leclere 87
275 Le Blanc 36
276 Saint Astier 24
277 Varennes-sur-Allier (DA) Capitaine Rousseau 03
278 Ambérieu-en-Bugey Colonel Chambonnet 01
279 Châteaudun Lieutenant Beau 28
280 Paris Ville 75
282 Cinq-Mars-la-Pile 37
285 Montmorency 95
288 Aulnat 63
290 Ris-Orangis 91
291 Chamalières 63
292 Toulouse L'Hers 31
302 Alger - Maison Blanche Algérie
304 Alger Ville Algérie
306 Meknès Maroc
308 Bizerte - Sidi Ahmed Tunisie
309 Dakar Sénégal
310 Bamako Mali
312 Casablanca Maroc
312 Tunis Tunisie
313 Bizerte - Sidi Ahmed Tunisie
322 Thiès Sénégal
323 Thiès Sénégal
323 Bamako Mali
325 Rayak Liban
325 Djibouti Djibouti
325 In Ecker Algérie
330 Bangui
330 Biscarosse 40
362 Kenitra
365 Lamentin Martinique
367 Cayenne-Rochambeau Capitaine Massé Guyane
375 Pointe-à-Pitre Guadeloupe
375 Fort-de-France Martinique
376 La Tontouta (DA) Nelle-Calédonie
520 Stetten RFA
521 Friedrichshaffen-Lowental RFA
521 Algérie Algérie
551 Toul-Thouvenot 54
552 Compiègne Général Hirschauer 60
700 Baden - Oos RFA
701 Salon-de-Provence Général Pineau 13
702 Avord Capitaine Madon 18
703 Pau 64
705 Cognac (BE) 16
705 Tours-Saint Symphorien Commandant Tulasne 37
706 Cazaux 33
707 Marrakech Maroc
708 Meknès Commandant Mezergues Maroc
709 Cognac-Châteaubernard Commandant Ménard 16
720 Caen-Carpiquet 14
721 Rochefort-Saint Agnant Adjudant Gémot 17
722 Saintes-Thénac Capitaine Albert Raffin 17
723 Auxerre 89
724 Fès Capitaine Petit-Jean Maroc
725 Chambéry-Le Bourget-du-Lac Lieutenant-colonel Sarre 73
726 Nîmes Lieutenant-colonel Colin 30
727 Toulouse Balma Lieutenant-colonel Azama 31
740 Chambéry 73
740 Nantes (BE) 44
741 Grenoble 38
742 Echouboulains Maison des Ailes 77
745 Aulnat Commandant Fayolle 63
749 Grenoble-Montbonnot Élève Jacques Lorenzi 38
781 Romilly 10
781 Akrotiri Chypre
792 Tymbou Chypre
901 Drachenbronn Commandant de Laubier 67
902 Contrexéville Capitaine Littolf 88
903 Friedrichshaffen RFA
904 Hornisgride RFA
904 Achern RFA
914 Romilly 10
921 Taverny Frères Mahé 95
922 Doullens Capitaine Doumer 80
923 Meaux 77
923 Bizerte - Kébir Tunisie
925 Rethel 08
941 Giens 83
942 Lyon-Mont Verdun Capitaine Robert 69
943 Nice Capitaine Auber 06
944 Narbonne 11
958 Bizerte El Kébir Tunisie


Voir aussi |


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Articles connexes |



  • Armée de l'air

  • Histoire de l'armée de l'air française

  • Histoire de l'aviation

  • Liste des bases de l'OTAN en France

  • Brigade aérienne des forces de sécurité et d'intervention



Liens externes |



  • (fr) Les bases aériennes sur le site du Ministère de la Défense


Bibliographie |



  • Mickaël Aubout, Les bases de la puissance aérienne 1909-2012, La documentation française, 20 août 2015, 452 p. (ISBN 978-2110100221)


  • (fr) Maurice Flory (1955), Les bases militaires à l'étranger, Annuaire français de droit international, vol 1, p. 3-30



Notes et références |





  1. a et bhttp://temis.documentation.developpement-durable.gouv.fr/docs/Temis/0069/Temis-0069268/PM_9_7.pdf


  2. Rapport parlementaire Réorganisation de la Défense Septembre 2013http://www.assemblee-nationale.fr/14/rap-info/i1353.asp


  3. Orientations bases aériennes http://www.assemblee-nationale.fr/14/budget/plf2013/a0256-tvi.asp


  4. Arrêté du 18 avril 2013 fixe la liste des aérodromes militaires pour lesquelles les modalités d’élaboration des plans d’exposition au bruit aux aérodromes prévues à l'article R147-1-1…


  5. http://circulaire.legifrance.gouv.fr/pdf/2015/08/cir_39982.pdf


  6. SHAA liste des bases page 286 de : http://www.servicehistorique.sga.defense.gouv.fr/contenu/functions/dc/attached/FRSHD_PUB_00000267_dc/FRSHD_PUB_00000267_dc_att-FRSHD_PUB_00000267.pdf


  7. Service Historique Infrastructure de l'Air http://www.servicehistorique.sga.defense.gouv.fr/Bases-aeriennes-terrains-d.html


  8. Histoire BA Pau http://www.anatc-tnb.fr/actu/PauLescar.pdf


  9. BA d'Ambérieu http://www.museemilitairelyon.com/spip.php?article141


  10. « Retour sur…. Il y a 100 ans, la base aérienne de Dijon accueillait le héros Georges Guynemer », France 3 Bourgogne-Franche-Comté,‎ 2016(lire en ligne, consulté le 21 novembre 2018)


  11. Histoire de la BA 705 http://www.parcay-meslay.fr/sites/parcay-meslay/files/u120/histoire_de_la_ba_705.pdf


  12. « L’histoire des Bases aériennes de l'armée de l'air française » [PDF], sur http://www.anatc-tnb.fr


  13. Service Historique DIA http://www.servicehistorique.sga.defense.gouv.fr/contenu/functions/dc/attached/FRSHD_PUB_00000267_dc/FRSHD_PUB_00000267_dc_att-FRSHD_PUB_00000267.pdf


  14. Historique de l'Armée de l'air http://www.aviation-francaise.com/DICTIONNAIREpage-organismes-etatiques.htm


  15. Bases aériennes de l'OTAN en France http://www.france-air-otan.net/STRUCTURE/Pages_web/Accueil-Fr.html


  16. Site du Ministère de la Défense Les bases aériennes ont une Histoire https://www.defense.gouv.fr/air/dossiers/histoire-des-bases-aeriennes/les-bases-aeriennes-ont-une-histoire2


  17. « Commission de la défense nationale et des forces armées Mardi 14 octobre 2014 Séance de 18 heures 30 Compte rendu n° 12 », sur Assemblée nationales, 14 octobre 2014(consulté le 11 février 2015).


  18. Armée de l'air à l'étranger https://www.defense.gouv.fr/air/missions/missions-permanentes/missions-permanentes-hors-metropole/forces-de-presence/forces-de-presence.


  19. base aérienne de Niamey http://www.rfi.fr/afrique/20140924-niger-base-militaire-francaise-niamey-barkhane-pivot-logistique-drones/


  20. https://brest.maville.com/actu/actudet_-le-radar-de-bretagne-nous-ouvre-ses-portes-_6-1065073_actu.Htm


  21. https://www.defense.gouv.fr/air/actus-air/la-base-aerienne-279-devient-un-ear/


  22. https://www.larep.fr/orleans/economie/emploi/2018/07/20/la-base-aerienne-de-chateaudun-sera-fermee-en-2021_12929893.html


  23. (fr) « Dissolution de la base aérienne de Toulouse », sur defense.gouv.fr, Ministère de la Défense, 2 septembre 2009(consulté le 4 septembre 2009)


  24. https://www.defense.gouv.fr/actualites/la-reforme/la-base-aerienne-de-dijon-ferme-ses-portes


  25. a b c et dhttp://www.premier-ministre.gouv.fr/IMG/pdf/24_07_Modernisation_de_la_Defense_nouveau_dispostifif_territorial.pdf


  26. « La dernière base aérienne de Paris dissoute », Direct Matin, 24 juin 2015(consulté le 25 juin 2015)


  27. a et bhttps://clausuchronia.wordpress.com/tag/ba-119-nanterre/


  28. http://wordpress.arpete.com/un-peu-dhistoire-celle-des-mecano-de-laa/


  29. Jean-Laurent Nijean, « Cérémonie de dissolution de la base aérienne de Metz », sur Armée de l'air, 21 juin 2012(consulté le 26 juin 2012)


  30. http://www.francebleu.fr/infos/base-aerienne/varennes-sur-allier-la-base-aerienne-277-ferme-ses-portes-2470007


  31. https://www.defense.gouv.fr/air/actus-air/ceremonie-de-dissolution-de-la-base-aerienne-901-de-drachenbronn


  32. http://www.anciens-aerodromes.com/?p=6172


  33. Adieu au 41e BIMa…, 4 juillet 212


  34. [1].





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