Henry Bordeaux
Pour les articles homonymes, voir Bordeaux.
Naissance | 25 janvier 1870 Thonon-les-Bains |
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Décès | 29 mars 1963 (à 93 ans) Paris |
Nom de naissance | Henry Camille Bordeaux |
Nationalité | Français |
Activité | écrivain, essayiste, avocat, académicien |
Fratrie | Marthe Bordeaux (d) Louis Bordeaux (d) Albert Bordeaux Paul-Émile Bordeaux |
Enfant | Paule Henry-Bordeaux (d) |
Membre de | Académie française (1919) |
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Distinction | Ordre national de la Légion d'honneur |
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Henry Bordeaux, né le 25 janvier 1870 à Thonon-les-Bains et mort le 29 mars 1963 à Paris, est un avocat, romancier et essayiste français, originaire de Savoie.
Sommaire
1 Biographie
2 Carrière littéraire
3 Œuvres
4 Décorations
5 Notes et références
6 Liens externes
Biographie |
Henry Camille Bordeaux est issu d'une famille catholique et royaliste qu'il décrit notamment dans La Maison (1912) et dans Le Pays sans ombre (1935). Son enfance est notamment bercée par l'espoir qu'a sa tante Dine de l'accession au trône du comte de Chambord (« J'appartiens à une famille qui a toujours marché à l'avant-garde du parti monarchique et conservateur »).
Dans ses Mémoires, il revient sur ses origines familiales. Son père, Lucien Bordeaux était originaire de Saint-Girons (Ariège); plus généralement, la famille Bordeaux venait du Couserans. Lucien Bordeaux arriva, en novembre 1860, en Savoie, peu de temps après l'union avec la France. En 1862, il y ouvrit un cabinet d'avocat qui, sans interruption, par lui ou ses fils, devait demeurer ouvert soixante-trois ans.
En 1862 également, il épousa Mlle Fréchet dont la famille maternelle, famille de magistrats, cultivée et religieuse, était apparentée de loin à celle de Saint François de Sales. Les Bordeaux s'installèrent à Thonon où ils eurent neuf enfants, dont le premier ne survécut pas. Ils s'installèrent d'abord dans une maison qui appartint à Mlle de Charmoisy, la Philotée de L'introduction à la vie dévote, saint François de Sales et sainte Jeanne de Chantal y descendirent, puis dans «la Maison», bâtie par le père d'Henry Bordeaux, située sur l'actuel boulevard Carnot. Le couple possédait également une maison de vacances au hameau de Trossy, à une dizaine de kilomètres de Thonon.
Le couple Bordeaux eut, outre Henry, quatre fils et trois filles :
Albert, né le 8 mai 1865, ingénieur, qui « n'accepta que des missions et des explorations dans toutes les parties du monde » (Bosnie, Rhodésie, Transvaal, Sibérie, Mexique). Traducteur d'un roman de Stevenson, il publia également de nombreux ouvrages professionnels et traités géographiques.
Paul-Émile, né le 3 août 1866, qui fit une carrière militaire (Saint-Cyr, Madagascar, Crète, Grèce). Retraité en 1914, « quand la guerre éclate, il réclama aussitôt un commandement ». Il fut successivement colonel puis général et exerça en Alsace, dans les Vosges, en Artois, en Lorraine, à Verdun, aux Eparges. Il publia des traités et articles historiques sur ses missions en Orient et sur ses souvenirs de la Grande Guerre.- Marie, née le 18 août 1868, qui recopia les premiers vers de son frère Henry, fut visiteuse de prison bénévole à Montpellier et écrivit sur les prisonnières et les essais de réhabilitation.
- Valentine, née le 24 septembre 1871, à qui Henry Bordeaux consacre un chapitre de ses Mémoires. Elle entra, à vingt-trois ans, à la maison mère des Filles de la Charité à Paris, et partit, en 1903, dans une mission en Chine où elle mourut le 24 décembre 1917.
- Marthe, née le 25 septembre 1873, qui se voua aux œuvres sociales catholiques et aux bibliothèques populaires. Elle signa (sous le pseudonyme de Jeanne Danemarie) des livres sur les enfants, les jeunes filles ainsi que sur les mystiques (Catherine Emmerich, Thérèse Neumann, Elisabeth Seton, La possédée de Vauverdane).
- Jules, né le 25 août 1875, polytechnicien, il fit l'école de cavalerie de Saumur. Ingénieur, il travailla au Pérou, à Madagascar, en Indochine et publia, bien avant 1914, un Traité sur l'aéronautique.
- Louis, né le 28 novembre 1878, qui devint avocat et repris le cabinet paternel. En 1914, il fut nommé administrateur de l'hôpital militaire fondé par le comité de la croix-rouge de Thonon. Après la guerre, il fut élu au Conseil général de Haute-Savoie et publia des traités et des articles de législation.
Carrière littéraire |
« Ma vocation littéraire se confond avec mes années de collège. » À l'âge de 16 ans, après avoir obtenu son baccalauréat à Chambéry, Henry Bordeaux part pour Paris afin d'y suivre des études de droit et de littérature. Il y rencontre notamment Alphonse Daudet et son fils Léon, François Coppée, Verlaine, Léon Bloy.
Avocat à la suite de son père, Henry Bordeaux fut inscrit, après ses études de droit à Paris, au barreau de Thonon (1889), mais il ne tarda pas à se tourner vers l'écriture. Sa carrière d'écrivain s'étale de 1887 (premier poème publié Rebecca, récompensé par l'Académie de Savoie) à 1960, année de son dernier livre (Le Flambeau Renversé).
À la suite du ralliement officiel de l'Église à la République (1892) et de l'édification de la doctrine sociale de l'Église, Henry Bordeaux devient républicain. En 1893, à la demande du Comité de la droite républicaine de Savoie, il prend la direction du journal Le Réveil de Savoie destiné à défendre la candidature de MeFrançois Descostes au poste de député de Chambéry, sans succès[1].
Les idées politiques de Henry Bordeaux, qui s'affinent dans le temps et dans ses écrits, sont proches du catholicisme social de Frédéric le Play ou d'Albert de Mun, relais politiques du ralliement de l'Église à la République.
En 1894, alors qu'il travaille, à Paris, comme avocat-rédacteur à la Compagnie Paris-Lyon-Méditerranée, il publie son premier livre, Âmes modernes, qu'il adresse à tout hasard à ses écrivains préférés. « Quelques jours plus tard, le dernier jour d'octobre 1894, je déchiffrai une lettre de quatre pages qui était signée : Paul Bourget. Il y a longtemps, disait-il, que je n'ai éprouvé à la lecture d'un volume autant de plaisir qu'au vôtre. »
Après quelques œuvres de jeunesse d'esprit plus large (tel son premier roman L'Amour qui passe, aussi connu sous le titre La Fée de Port-Cros ou La Voie sans retour dans lequel on retrouve un parfum de Pierre Loti), Henry Bordeaux s'oriente vers des types de personnages (hommes ou femmes) dont les positions morales traditionnelles et chrétiennes trouvent leur expression dans un engagement concret dans la vie quotidienne ; engagement que lui-même résume dans la longue préface (1905) qu'il joindra à son roman La Peur de Vivre (1902).
Fiancé au moment de l’affaire Dreyfus, Henry Bordeaux relate dans le tome II de ses mémoires, La Garde de la maison[2], sa conversation avec son futur beau-père qui avait le 30 janvier 1899 sans détour abordé le sujet qui divisait la France entière. Tous deux étaient persuadés de la probité et de l’innocence du capitaine Dreyfus.
Il est cependant difficile de résumer une œuvre aussi abondante, comportant plus de deux cents ouvrages, abordant tous les genres : poésie, théâtre, romans, romans psychologiques, romans policiers, nouvelles, biographies, études littéraires, études critiques, études historiques, mémoires, récits de voyage. Il rédigea la plupart de ces ouvrages dans sa maison du Maupas à Cognin.
Il devient membre agrégé de l'Académie de Savoie le 5 mars 1903, puis effectif le 2 mars 1910[3].
Henry Bordeaux, élu membre de l'Académie française en 1919, fut témoin, et parfois acteur, de périodes importantes tant au niveau historique (Première Guerre mondiale, mouvements sociaux des années 1930, Seconde Guerre mondiale) qu'au niveau de l'évolution des mœurs : modification de la place occupée par les femmes dans le couple et dans la société, amélioration des conditions de vie des ouvriers. Ce souci de l'engagement concret dans son époque se retrouve dans toute son œuvre.
Cette œuvre a souvent pour cadre la Savoie : Chambéry (Les Roquevillard), la vallée de la Maurienne (La Maison morte, La Nouvelle Croisade des enfants, La Chartreuse du Reposoir), le Chablais (La Maison, Le Pays sans ombre)… Les romans d'Henry Bordeaux sont baignés des valeurs traditionnelles, dans la lignée de René Bazin et surtout de Paul Bourget, qu'il reconnut longtemps pour « maître » et dont il se différencia un peu sur le tard (lire « Paul Bourget intime », Revue des deux Mondes, 1952). Bien que les personnages de ses romans soient dépositaires et gardiens des valeurs traditionnelles en France, ils sont aussi parfois impliqués dans l'expansion de l'influence française dans le monde (religieux, industriels, militaires), à l'image des membres de sa propre famille (voir détail plus haut).
À la fin des années 1930 (les années du Front populaire), Henry Bordeaux, toujours inspiré par le catholicisme social, prend clairement position pour l'amélioration des conditions de vie des plus pauvres (logement, hygiène, santé, alimentation) dans ses romans Le Remorqueur, Crimes Involontaires - conditions de vie qu'il met en parallèle avec le luxe, les travers et les hypocrisies de la noblesse et de la grande bourgeoisie.
À la veille de la guerre, il entreprend un voyage en Allemagne qui lui permet de jeter un regard sur ce qu'est devenue l'Allemagne, en proie à l'idéologie nationale-socialiste. Il dressa lucidement le portrait de la nouvelle Allemagne, étonné de son redressement et réprouvant la mainmise du nouveau pouvoir sur les esprits[4].
La fin de la Seconde Guerre mondiale marque cependant une rupture dans la carrière de Henry Bordeaux qui avait pris position pour le maréchal Pétain, ami depuis la Première Guerre mondiale (Les murs sont bons, 1940) qu'il soutient activement et qu'il rencontre régulièrement au moins jusqu'en 1943.
En septembre 1945, Henry Bordeaux est inscrit sur une liste d'Épuration du Comité national des écrivains avant d'en être rayé en octobre 1945 grâce à l'intervention de Georges Duhamel (secrétaire perpétuel de l'Académie française) soucieux de protéger l'honneur de l'Institution, et de rétablir l'honneur d'Henry Bordeaux qui publie pendant la guerre, entre autres, un roman traitant d'Hitler « L'homme qui détient à lui seul le pouvoir de déchaîner le malheur d'une guerre inutile et insensée sur le monde, l'homme qui exerce ce pouvoir sans hésitation quand il est en présence de sa responsabilité, se classe lui-même parmi les monstres... »[5].
En 1950, il adhère à l'Association des amis de Robert Brasillach[6].
En octobre 1954, le général de Gaulle lui écrit une dédicace sur un exemplaire de son livre Mémoires de guerre : L'Appel, 1940-1942 en ces termes : « À M. Henry Bordeaux dont l'œuvre a tant nourri mon esprit et mon sentiment ». Sans doute aurait-il été surpris de lire dans le dernier tome des mémoires d'Henry Bordeaux combien celui-ci ne l'appréciait pas et l'accusait encore d'avoir été l'homme de la division[7]
En 1944, alors que Charles Maurras est emprisonné à Lyon, Henry Bordeaux, avocat de formation et uniquement soucieux qu'il soit accordé à ce dernier un procès équitable écrit à M. de Menthon, garde des Sceaux, en ces termes : « [...] Vous avez sans doute deviné qu'il s'agit de Charles Maurras à qui me lie une camaraderie née au Quartier Latin il y a plus de cinquante ans, camaraderie qui n'a jamais ébranlé en moi mes convictions religieuses et politiques et ne m'a jamais attiré vers l'Action Française, en sorte que ma démarche est une démarche d'amitié et ne contient aucune parcelle d'adhésion à ses doctrines. Quand je fus désigné par l'Académie française pour le recevoir sous la coupole, j'ai fait mes réserves jusque dans la sympathie que je lui réservais [...] »[8]. Il reprendra ces mots lors du procès de Charles Maurras en janvier 1945. Il fut un artisan (notamment par ses courriers, en partie cités dans ses mémoires) de la grâce présidentielle accordée à Charles Maurras, quelques mois avant sa mort, par le président Vincent Auriol pour raison médicale.
Sous la Coupole, Henry Bordeaux prend position[9] pour certains des immortels frappés d'indignité nationale, dans la lignée de l'Académie française qui a soutenu tous ses membres.
Après la guerre, les idées et les valeurs traditionnelles défendues dans ses romans deviennent de plus en plus anachroniques. Dans La lumière au bout du chemin (1948), il revient sur son passé en nous faisant rencontrer, comme en un parcours initiatique, « les personnages réels qui (de 1900 à 1915) ont agi sur les cerveaux et les cœurs ou sur la marche des événements » : Bergson, Jean Jaurès, Déroulède, Mistral, Barrès, Maurras, Péguy, Psichari.
Il collabore occasionnellement au Courrier français.
Son « œuvre accomplie », Henry Bordeaux, à partir de 1951, commence la rédaction de ses Mémoires. En 1959, il raconte ses souvenirs d'académicien (Quarante ans chez les quarante). À la fin de sa vie – il a plus de 90 ans – il s'étonnait de constater que le monde se détournait des chemins qu'il avait tracés. Son œuvre est à la fois l'une des plus riches, et certainement aussi l'une des plus lues de la première moitié du XXe siècle ; plusieurs de ses romans se vendirent à plus de 500 000 exemplaires, et certains ouvrages furent traduits en de nombreuses langues, y compris en japonais. L’édition américaine du livre Le Chevalier de l’air. Vie héroïque de Guynemer a été préfacée par le Président Théodore Roosevelt (voir vignette). Il participa pendant de longues années à la Revue des deux Mondes. Pendant près de soixante ans, Henry Bordeaux, aujourd'hui oublié, fut l'un des romanciers français les plus populaires.
Il vit pendant vingt-cinq ans au 8 chaussée de la Muette (16e arrondissement de Paris), où il meurt. Une plaque lui rend hommage.
Henry Bordeaux est inhumé avec son épouse née Odile Gabet (1878-1954) au cimetière de Cognin (près de Chambéry) dont le collège[10] porte son nom. Il est notamment le père de Paule Henry-Bordeaux.
Œuvres |
- Romans
Le Pays natal, 1900
La Peur de vivre, 1902
La Petite Mademoiselle, 1905 (paru sous forme de roman-feuilleton dans L'Éclair de Montpellier du 4 juillet 1907 au 6 août 1907)
Les Roquevillard,1906
Les Yeux qui s’ouvrent, 1908
La Croisée des chemins, 1909
La Robe de laine, 1910
La Neige sur les pas, 1911
Amants de Genève, 1912
La Neige sur les pas, Plon, 1912
La Nouvelle Croisade des enfants, 1913
La Maison, Plon (1913 ; publié sous forme de roman-feuilleton dans Le Journal du Loiret du 6 mars 1921 au 22 juillet 1921)
Les Derniers Jours du fort de Vaux, Plon, 1916
La Jeunesse nouvelle : Deux héros de vingt ans, 1915
La Résurrection de la chair, 1920
Le Fantôme de la rue Michel-Ange, 1922
Yamilé sous les cèdres, 1923 (adapté au cinéma en 1939 par Charles d'Espinay)
La Chartreuse du Reposoir, 1924
Le Cœur et le Sang, 1925
Paysages romanesques des Alpes, 1925
Le Barrage, Plon, 1927
Rap et Vega, Plon, 1927
Le Calvaire de Cimiez[11], 1928
Valombré, 1928
L'illustration, 1928
« Adèle Kamm », Voici l'heure des âmes, Flammarion, 1931
L'Écran brisé, Nelson, 1931
Le lac noir 1931
Les Amours de Xavier de Maistre à Aoste, Dardel, Chambéry, 1931
La Revenante, 1932
Les Yeux qui s'ouvrent, Nelson, 1933
L'Intruse, 1936
L'Affaire de la rue Lepic, Plon, 1938
Le Gouffre, Plon, 1938
Henry de Bournazel, Plon, 1939
La Sonate au clair de lune, Plon 1940
Images du Maréchal Pétain, Sequana, 1941
La Marche à l'abîme, Plon, 1948
La Vie d'Henri de Savoie, Plon, 1950
Le Fil de la vierge, Plon, 1951
Le Flambeau renversé, Plon, 1961
- Poésies
La Course à la vie, Imprimerie savoisienne, Chambéry, 1893
- Études critiques
Édouard Rod, Paris, Perrin, 1895
La Vie et l'Art, Paris, Perrin, 1895-97
- Études historiques
Le Collège Stanislas, Histoire, Paris, Gallimard, 221 p.
Le Chevalier de l’air : Vie héroïque de Guynemer, Plon 1918
- Biographie
- Max Doumic (1863-1914)
- Mémoires et souvenirs
Un coin de France pendant la guerre : Le Plessis-de-Roye (2 août 1914 - 1er avril 1918)
La Chanson de Vaux-Douaumont, 1916
- I - Les derniers jours du fort de Vaux
- II - Les captifs délivrés
- I - Les derniers jours du fort de Vaux
Le Sphinx sans visage : Notes d'un voyage en Égypte, F. Detaille, Marseille, 1939
Le Pays sans ombre, Plon, 1935 [souvenirs d'enfance]
Histoire d’une vie, 13 volumes, publiés de 1951-1973, soit :
- Deuxième volume : "La garde de la maison", couvrant la période 1897-1909 (publié en 1955)
- Troisième volume : "La douceur de vivre menacée", couvrant la période 1909-1914 (publié en 1956)
- Quatrième volume : "La guerre incertaine, de la Marne à Verdun", couvrant la période 1914-1916 (publié en 1957)
Aventures en montagne, Editions Victor Attinger, 1946
Décorations |
- Grand-officier de la Légion d'honneur (24 juin 1960)
- Croix de guerre 1914-1918 avec deux citations
- Commandeur de l'ordre de Saints-Maurice-et-Lazare
Notes et références |
« Henry Bordeaux, Romancier savoyard (1870-1963) », Mémoires et Documents, vol. 92, Société savoisienne d'histoire et d'archéologie, 1990, p.64.
'« La Garde de la maison », Histoire d'une vie, tome II, 1973, p. 119-120.
« Etat des Membres de l'Académie des Sciences, Belles-Lettres et Arts de Savoie depuis sa fondation (1820) jusqu'à 1909 », sur le site de l'Académie des sciences, belles-lettres et arts de Savoie et « Académie des sciences, belles-lettres et arts de Savoie », sur le site du Comité des travaux historiques et scientifiques - cths.fr.
« Ce que j'ai vu en Allemagne », Revue des Deux-Mondes, 15 juillet 1939, p. 317, et Étapes allemandes, 1940, regroupant divers articles sur l'Allemagne écrit de 1919 à 1939 et interdit par la censure allemande.
Étapes allemandes, op. cit..
Jean-Yves Camus et René Monzat, Les Droites nationales et radicales en France : répertoire critique, Lyon, Presses universitaires de Lyon, 1992, 526 p. (ISBN 2-7297-0416-7), p. 397.
Histoire d’une vie, op. cit.
Lumière au bout de la nuit, Histoire d'une vie Tome XII, 1970
[1]
[2].
« Henry Bordeaux », sur collectionnelson (consulté le 23 février 2017)
Liens externes |
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