Yvonne Printemps
Naissance | 25 juillet 1894 Ermont |
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Décès | 19 janvier 1977 (à 82 ans) Neuilly-sur-Seine |
Nationalité | Française |
Activités | Chanteuse, danseuse, artiste lyrique, actrice |
Conjoint | Sacha Guitry (de 1919 à 1934) |
Tessiture | Soprano |
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Yvonne Wigniolle, dite Yvonne Printemps, née à Ermont le 25 juillet 1894 et morte à son domicile 8 bis rue Saint-James, Neuilly-sur-Seine, le 18 janvier 1977, est une soprano lyrique et une actrice dramatique française de l'entre-deux-guerres.
Sommaire
1 Enfance
2 Carrière professionnelle
2.1 Débuts au music-hall
2.2 Diva de l'opérette
3 Vie privée
3.1 Idylle avec Georges Guynemer
3.2 Mariage avec Sacha Guitry
3.3 En couple avec Pierre Fresnay
4 Postérité
5 Filmographie
6 Théâtre
7 Citations
8 Références
9 Voir aussi
9.1 Bibliographie
9.2 Liens externes
Enfance |
Yvonne Printemps est la fille de Léon-Alfred Wigniolle, né à Valenciennes, et de Palmyre Vignolle, née au Cateau-Cambrésis.
Son père est caissier et délaisse le foyer familial pour courir les jolies filles et « faire la noce ». Sa mère l'élève ainsi que ses deux frères, Léon et Lucien, et sa sœur, Lucienne, en faisant de la couture à domicile. Léon est l’aîné, suivi de Lucienne et Lucien et enfin de la petite Yvonne, née au hasard d'un retour de flamme de son père. Sa mère aime toujours son père qui ne sait rester en famille et n'a de cesse que de les quitter pour finir par partir tout à fait. Yvonne a quatre ans lorsqu'elle lui dit de s'en aller. La vie n'est pas facile pour Palmyre. Il manque souvent le nécessaire et quand les aînés s'en vont, Palmyre s'occupe d'Yvonne.
Yvonne aime sa mère tendrement. À Ermont, tout le monde connaît la petite Wigniolle et aime l'entendre chanter. Elle est libre et gaie !
Carrière professionnelle |
Débuts au music-hall |
Remarquée par P.-L. Flers, chansonnier et ancien directeur du Moulin Rouge, à l'âge de dix ans dans une pièce de théâtre amateur à Ermont, Yvonne commence à onze ans au music-hall des Folies Bergère sous le nom de « Mademoiselle Printemps » qu'il lui donne[1] (qualifiant sa mère au passage de « Madame Hiver »). À quatorze ans, la voici à la Cigale dans une revue au titre évocateur, Nue Cocotte, y campant un Petit Chaperon Rouge assez déluré.
À quinze ans, elle entre aux Folies Bergère pour quatre années. À dix-huit ans, elle fait partie de la distribution de Ah ! les beaux nichons avec Maurice Chevalier. Son intelligence, son charme, sa beauté et sa voix exceptionnelle la font remarquer d'André Messager, de Sacha Guitry et d'Albert Willemetz qui écrivent pour elle comédies musicales, pièces de théâtre et sept revues. En 1916, Sacha Guitry la fait débuter aux Bouffes-Parisiens dans sa comédie Jean de la Fontaine. Elle y interprète le rôle de sa maîtresse. Ne connaissant absolument pas la musique, elle chante « naturellement », se bornant à améliorer certains aspects de sa voix auprès de Mme Paravicini.
Diva de l'opérette |
Sa voix unique de « vrai rossignol » marqua son époque et l'opérette.
Archétype de la diva, son mauvais caractère, ses frasques, ses bijoux parmi les plus beaux de l'époque (dont beaucoup de cadeaux de Sacha Guitry), ses chapeaux, ses petits chiens et ses toilettes alimentèrent la chronique. « Je ne suis pas ce que l'on pense … » lui fera chanter Albert Willemetz dans Trois Valses.
Entourée d'un nombre incalculable d'amants, Yvonne Printemps vécut jusqu'à la fin avec Pierre Fresnay qui souffrait sans broncher des souffrances et des rebuffades qu'elle lui infligeait, lui qui n'était pas non plus un modèle de fidélité.
Décédée à Neuilly-sur-Seine, en 1977, des suites d'une fracture du col du fémur, elle est enterrée aux côtés de Pierre Fresnay au cimetière ancien de Neuilly-sur-Seine.
Vie privée |
Idylle avec Georges Guynemer |
Pendant la première guerre mondiale, entre mars et avril 1916, Yvonne Printemps aurait visité Georges Guynemer, alors convalescent d'une blessure à l'hôpital militaire de l'hôtel Astoria, à Paris[2].
Après une soirée au théâtre, début 1917[3], elle tombe sous le charme de l'as des as, Georges Guynemer[4]. Leur idylle courte et intense, dont l'existence est parfois contestée et la durée, imprécise, aurait duré dix mois. Il est d'abord sous-lieutenant[5] ; elle est au début de sa gloire.
Leur amour se défait bien vite. Yvonne est activement courtisée, notamment par Sacha Guitry, dont elle est peut-être déjà la maîtresse en 1917. Guynemer se console en travaillant aux plans de son avion, mais également auprès de Jane Renouardt, autre comédienne et ancienne maîtresse de son ami Maurice Lartigue.
Guynemer et Yvonne Printemps resteront cependant liés jusqu'à la mort du capitaine-aviateur, le 11 septembre 1917.
Le souvenir de Guynemer chez Yvonne Printemps aurait causé une algarade entre Sacha Guitry et Jean Navarre, en 1918[6],[7].
Mariage avec Sacha Guitry |
Dès 1916, Sacha Guitry alors marié à Charlotte Lysès, courtise Yvonne Printemps, qu'il fait jouer pour la première fois dans l'une de ses pièces, « Il faut l'avoir ». Elle épouse Sacha Guitry le 10 avril 1919 à la mairie du 16e arrondissement, à Paris. Les témoins de la mariée sont Sarah Bernhardt et Georges Feydeau et ceux du marié : Tristan Bernard et Lucien Guitry. Brouillés depuis longtemps, le fils et le père se sont réconciliés, Lucien Guitry allant même jusqu'à accompagner les jeunes époux sur le quai de la gare pour la Côte d'Azur. La collaboration entre Yvonne et Sacha, très fructueuse artistiquement en France, en Angleterre et aux États-Unis, satisfaira leurs deux passions et durera douze ans. En 1926, de passage à Londres, Yvonne provoque l'admiration du public pour son interprétation de Mozart de Sacha Guitry et Reynaldo Hahn. En 1927, Sacha et Yvonne partent en tournée à New York, Toronto, et Montréal et Yvonne parlera plus tard de sa « merveilleuse aventure américaine ».
En 1931, Sacha Guitry la fait jouer dans Franz Hals auprès de Pierre Fresnay. Les deux comédiens tombent fortement amoureux et formeront dès lors un couple tumultueux, mais inséparable. Le coûteux et bruyant divorce d'avec Sacha Guitry fera les beaux jours des prétoires ainsi que des journaux à scandales.
En couple avec Pierre Fresnay |
En 1934, Yvonne Printemps et Pierre Fresnay, encore marié, qu'elle n'épousera jamais, entament en nouveau couple d'artistes une tournée en Angleterre et aux États-Unis avec Conversation Piece, de Noël Coward (dans lequel elle chante en anglais phonétiquement), qui restera à l'affiche douze semaines à Broadway et O Mistress Mine de Cole Porter. Ils jouent ensemble dans huit films dont : La Dame aux camélias de Fernand Rivers et Abel Gance, Trois Valses (musiques de Johann Strauss père et fils et d'Oscar Straus, livret de Léopold Marchand et Albert Willemetz d’après Knepler et Robinson) qui eut un succès considérable au théâtre et au cinéma en 1938, la Valse de Paris de Marcel Achard en 1949 et Le voyage en Amérique. Yvonne poursuit sa carrière de chanteuse jusqu'à la fin des années 1950 tout en prenant la direction du Théâtre de la Michodière où elle fera sa dernière apparition sur scène dans Hyménée avec un rôle d'infirme, rôle dramatique bien éloigné de ceux qui avaient fait sa gloire.
Postérité |
En 1994, La Poste a édité un timbre à son effigie.
Le couple mythique que formèrent Sacha Guitry et Yvonne Printemps est le sujet de la comédie The Guitrys, écrite par Eric-Emmanuel Schmitt et créée au Théâtre Rive Gauche par Claire Keim et Martin Lamotte dans une mise en scène de Steve Suissa[8].
Filmographie |
1918 : Un roman d'amour et d'aventures de René Hervil et Louis Mercanton
1934 : La Dame aux camélias de Fernand Rivers et Abel Gance : Marguerite Gautier
1938 : Trois Valses de Ludwig Berger : Fanny, Yvette et Irène Grandpré
1938 : Adrienne Lecouvreur de Marcel L'Herbier : Adrienne Lecouvreur
1939 : Le Duel de Pierre Fresnay : Thérèse Jaillon
1943 : Je suis avec toi d'Henri Decoin : Elisabeth Laferrière et Irène Grégoire
1948 : Les Condamnés de Georges Lacombe : Hélène Séverac
1949 : La Valse de Paris de Marcel Achard : Hortense Schneider
1951 : Le Voyage en Amérique d'Henri Lavorel : Clotilde Fournier
Théâtre |
1908 : Nue Cocotte revue de Paul-Louis Flers et Eugène Héros
1909 : Revue de l'Alcazar de Paul-Louis Flers et Eugène Héros
1909 : Revue des Folies Bergère de Paul-Louis Flers et Eugène Héros
1910 : Revue des Folies Bergère de Paul-Louis Flers et Eugène Héros
1910 : Halley ! Halley ! Aux Ambass' de Paul-Louis Flers et Eugène Héros
1911 : Revue des Folies Bergère de Paul-Louis Flers et Eugène Héros
1911 : Ah ! les beaux nichons de Paul-Louis Flers
1912 : Enfin une revue d'Henry Moreau et Paul Ardot
1912 : Si j'étais roi opérette de Paul-Louis Flers
1912 : Revue de l'Olympia d'Hugues Delorme
1913 : Et patati et patata d'Hugues Delorme et Georges Nanteuil, Théâtre des Capucines
1913 : Les Contes de Perrault d'Arthur Bernède et Paul de Choudens, Théâtre de la Gaîté-Lyrique
1914 : La Revue des X, Théâtre de l'Olympia
1915 : La Revue 1915 de Rip et Louis Verneuil, Théâtre du Palais-Royal
1915 : La Nouvelle Revue 1915, Théâtre Antoine
1915 : Il faut l'avoir ! revue de Sacha Guitry et Albert Willemetz, Théâtre du Palais-Royal
1916 : Le Poilu de Maurice Hennequin et Pierre Veber, Théâtre du Palais-Royal
1916 : Tout avance revue d'Albert Willemetz, Théâtre du Gymnase
1916 : La Petite Dactylo de Maurice Hennequin et Georges Mitchell, Théâtre du Gymnase
1916 : Jean de La Fontaine de Sacha Guitry, Théâtre des Bouffes-Parisiens
1916 : L'Illusionniste de Sacha Guitry, Théâtre des Bouffes-Parisiens
1918 : Deburau de Sacha Guitry, Théâtre du Vaudeville
1918 : Nono de Sacha Guitry, Théâtre du Vaudeville, Théâtre des Célestins
1918 : La Revue de Paris de Sacha Guitry, Théâtre du Vaudeville
1919 : Le Mari, la Femme et l'Amant de Sacha Guitry, Théâtre du Vaudeville
1919 : Mon père avait raison de Sacha Guitry, Théâtre de la Porte-Saint-Martin
1920 : Béranger de Sacha Guitry, Théâtre de la Porte-Saint-Martin
1920 : Je t'aime de Sacha Guitry, Théâtre Édouard VII
1920 : Comment on écrit l'histoire de Sacha Guitry, Théâtre Sarah Bernhardt
1921 : La Prise de Berg-Op-Zoom de Sacha Guitry, Théâtre Sarah Bernhardt
1921 : Le Grand Duc de Sacha Guitry, Théâtre Édouard VII
1921 : Faisons un rêve de Sacha Guitry, Théâtre Édouard VII
1921 : Jacqueline de Sacha Guitry adapté d'Henri Duvernois, Théâtre Édouard VII
1922 : Une petite main qui se place de Sacha Guitry, Théâtre Édouard VII
1922 : Jean de La Fontaine de Sacha Guitry, Théâtre de l'Opéra de Paris
1923 : L'Amour masqué de Sacha Guitry et André Messager, Théâtre Édouard VII
1923 : L'Accroche-cœur de Sacha Guitry, Théâtre de l'Étoile
1924 : La Revue de Printemps de Sacha Guitry et Albert Willemetz, Théâtre de l'Étoile
1924 : Une étoile nouvelle de Sacha Guitry, Théâtre Édouard VII
1925 : On ne joue pas pour s'amuser de Sacha Guitry, Théâtre Édouard VII
1925 : Mozart de Sacha Guitry, musique Reynaldo Hahn, Théâtre Édouard VII
1926 : Était-ce un rêve ? de Sacha Guitry, Théâtre Sarah Bernhardt
1927 : Désiré de Sacha Guitry, Théâtre Édouard VII
1928 : Mariette ou Comment on écrit l'histoire de Sacha Guitry, Théâtre Édouard VII
1929 : Histoires de France de Sacha Guitry, Théâtre Pigalle
1930 : ... Et vive le théâtre de Sacha Guitry et Albert Willemetz, Théâtre de la Madeleine
1930 : Un soir quand on est seul de Sacha Guitry, Théâtre de la Madeleine
1930 : Le Veilleur de nuit de Sacha Guitry, Théâtre de la Madeleine
1930 : La Jalousie de Sacha Guitry, Théâtre de la Madeleine
1931 : Nono de Sacha Guitry, Théâtre de la Madeleine
1931 : Frans Hals ou L'Admiration et Sa dernière volonté ou L'Optique du théâtre de Sacha Guitry, Théâtre de la Madeleine
1931 : La Revue coloniale de Sacha Guitry et Albert Willemetz, Théâtre de la Madeleine
1931 : La S.A.D.M.P. de Sacha Guitry, musique Louis Beydts, Théâtre de la Madeleine
1931 : Chagrin d'amour de Sacha Guitry, Théâtre de la Madeleine
1931 : Monsieur Prudhomme a-t-il vécu ? de Sacha Guitry, Théâtre de la Madeleine
1932 : Françoise de Sacha Guitry, Théâtre de la Madeleine
1932 : Le Voyage de Tchong-Li de Sacha Guitry, Théâtre de la Madeleine
1932 : Mozart de Sacha Guitry, musique Reynaldo Hahn, Théâtre de la Madeleine
1933 : Le Bonheur d'Henry Bernstein, mise en scène de l'auteur, Théâtre du Gymnase
1934 : Conversation Piece de Noel Coward, Londres, New York
1935 : Margot d'Édouard Bourdet, mise en scène Pierre Fresnay, musique Georges Auric et Francis Poulenc, Théâtre Marigny
1936 : O Mistress Mine de Ben Travers, Londres
1937 : Trois Valses de Léopold Marchand et Albert Willemetz, mise en scène Pierre Fresnay, Théâtre des Bouffes-Parisiens
1939 : Trois Valses de Léopold Marchand et Albert Willemetz, mise en scène Pierre Fresnay, Théâtre de la Michodière
1940 : Léocadia de Jean Anouilh, Théâtre de la Michodière
1941 : Comédie en trois actes d'Henri-Georges Clouzot, Théâtre de la Michodière
1942 : Comédie en trois actes d'Henri-Georges Clouzot, Théâtre de l'Athénée
1942 : Père d'Édouard Bourdet, Théâtre de la Michodière
1944 : Père d'Édouard Bourdet, Théâtre de la Michodière
1945 : Vient de paraître d'Édouard Bourdet, Théâtre de la Michodière
1946 : Auprès de ma blonde de Marcel Achard, mise en scène Pierre Fresnay, Théâtre de la Michodière
1948 : Auprès de ma blonde de Marcel Achard, mise en scène Pierre Fresnay, Théâtre des Célestins
1948 : Du côté de chez Proust de Curzio Malaparte, mise en scène Pierre Fresnay, Théâtre de la Michodière
1951 : Le Moulin de la galette de Marcel Achard, mise en scène Pierre Fresnay, Théâtre de la Michodière
1952 : Hyménée d'Édouard Bourdet, Théâtre de la Michodière
1954 : Voici le jour de Jean Lasserre, avec Pierre Fresnay, Théâtre de la Michodière
1956 : Le Voyage à Turin d'André Lang, Théâtre de la Michodière
1958 : Père d'Édouard Bourdet, mise en scène Pierre Fresnay, Théâtre de la Michodière
2012 : Éric-Emmanuel Schmitt a écrit une pièce en hommage à Sacha Guitry, The Guitrys, une comédie créée en 2012 au théâtre Rive Gauche avec Claire Keim (Yvonne Printemps) et Martin Lamotte (Sacha Guitry).
Citations |
- Yvonne Printemps : « Les femmes préfèrent être belles, plutôt qu'intelligentes parce que, chez les hommes, il y a plus d'idiots que d'aveugles ».
- Yvonne Printemps : « On vous pardonne d'avoir l'air riche mais pas d'avoir l'air heureux ».
- Portrait d'Yvonne Printemps par Colette, dans La Jumelle noire (1938) : « Son sourire, aussi lumineux que la lune par froid clair et comme elle en forme de croissant, sourire célèbre aux coins relevés, gaieté que parfois dément la confidence mélancolique de deux yeux pers — le sourire de la meilleure actrice d'opérette de ce temps. »
Références |
http://lecotedechezmoi.blogspot.com/2016/11/rossignol-de-mes-amours-yvonne.html
https://books.google.fr/books?id=a7lXDwAAQBAJ&pg=PT56&lpg=PT56&dq=Guynemer+Yvonne+Printemps+Astoria&source=bl&ots=MyeW5emZnb&sig=q-gTTUF7bsD_2xcMDrL5Lq_v-zg&hl=fr&sa=X&ved=2ahUKEwjKkomp4sveAhUKgHMKHULPDJoQ6AEwD3oECAcQAQ#v=onepage&q=Guynemer%20Yvonne%20Printemps%20Astoria&f=false
https://books.google.fr/books?id=yc0tjK0aYksC&pg=PA198&lpg=PA198&dq=rencontre+Yvonne+Printemps+et+Georges+Guynemer&source=bl&ots=S4w5g6zCAo&sig=2tp2pn2wH3_jiVfnyjUa752xc4w&hl=fr&sa=X&ved=2ahUKEwjshc7s2cveAhULNhoKHY0bBeU4ChDoATAJegQIBBAB#v=onepage&q=rencontre%20Yvonne%20Printemps%20et%20Georges%20Guynemer&f=false
https://www.lesoir.be/art/m/yvonne-printemps-un-rossignol-infernal_t-19890914-Z01ZCG.html
http://regis.iglesias.over-blog.com/article-mamie-et-guynemer-48578861.html
https://books.google.fr/books?id=CLj8CQAAQBAJ&pg=PT71&lpg=PT71&dq=rencontre+Yvonne+Printemps+et+Georges+Guynemer&source=bl&ots=bDyd4jJlDI&sig=ApEvMziRCMH2r-hQHFqauzpMP10&hl=fr&sa=X&ved=2ahUKEwjshc7s2cveAhULNhoKHY0bBeU4ChDoATAMegQIABAB#v=onepage&q=rencontre%20Yvonne%20Printemps%20et%20Georges%20Guynemer&f=false
http://www.navarre-jean.com/Relations.htm
http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb43676979k
Voir aussi |
Bibliographie |
- Denise Bourdet, Yvonne Pintemps et Pierre Fresnay, dans: Pris sur le vif, Paris, Plon, 1957.
Yvonne Printemps de Karine Ciupa, Éditions Robert Laffont, 1989.
Sacha Guitry une vie d'artiste, sous la direction de Noëlle Giret et Noël Herpe, Gallimard, La Cinémathèque française, Bibliothèque nationale de France, 2007- Gianni Lucini, Luci, lucciole e canzoni sotto il cielo di Parigi - Storie di chanteuses nella Francia del primo Novecento), Novara, Segni e Parole, 2014, 160 p. (ISBN 978-88-908494-4-2)
The Guitrys, Eric-Emmanuel Schmitt, éditions Albin Michel, 2013 (ISBN 978-2-226-25199-2)
Liens externes |
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- « Timbre à l'effigie d'Yvonne Printemps »(Archive • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?)
(ru) Radioemission, Chaliapine et Yvonne Printemps” de cycle du M.Malkoff, L’histoire sonore de l’operette” (nr 5)
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