Racing 92






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Racing 92



Logo du Racing 92





















































Généralités
Surnoms
Racing
Ciel et Blanc
Racingmen

Noms précédents
Racing Club de France
US Métro
Métro Racing 92
Racing Métro 92
Fondation
20 avril 1882 (athlétisme)
1890 (rugby)
2001 (« Métro Racing 92 »)
Statut professionnel
SASP
Couleurs
ciel et blanc
Stade

Paris La Défense Arena
(32 000 places)
Siège
11 avenue Paul Langevin, 92350 Le Plessis-Robinson
Championnat actuel
Top 14
ERCC1
Propriétaire
Drapeau : Suisse Jacky Lorenzetti
Président
Drapeau : Suisse Jacky Lorenzetti
Entraîneur
Drapeau : France Laurent Labit
Drapeau : France Laurent Travers
Drapeau : Nouvelle-Zélande Chris Masoe
Site web
www.racing92.fr







Palmarès principal
National[1]

Championnat de France (6)
Coupe de l'Espérance (1)
Championnat de 2e division (2)

Maillots








Couleurs de l’équipe

Couleurs de l’équipe

Couleurs de l’équipe

Couleurs de l’équipe

Couleurs de l’équipe


Domicile





Couleurs de l’équipe

Couleurs de l’équipe

Couleurs de l’équipe

Couleurs de l’équipe

Couleurs de l’équipe


Extérieur



Actualités



Pour la saison en cours, voir :
Saison 2018-2019 du Racing 92
0

Dernière mise à jour : 3 juillet 2015.




Le Racing 92, anciennement Racing Métro 92 (jusqu'au 10 juin 2015), est un club de rugby à XV français issu de la volonté des clubs omnisports parisiens du Racing Club de France (créé en 1882) et de l'US Métro (créé en 1928) de fonder, en 2001, une nouvelle section professionnelle conjointe. Le palmarès du club comprend six titres de champion de France, un de Pro D2, une Coupe de l'Espérance et quinze titres de champions de France dans les catégories de jeunes, en intégrant le palmarès des deux clubs fondateurs.


Basé au Plessis-Robinson dans le département des Hauts-de-Seine, le club joue aujourd'hui à Paris La Défense Arena dans le quartier de La Défense à Nanterre après avoir évolué au stade olympique Yves-du-Manoir de Colombes depuis sa création. Il est depuis 2006 présidé par Jacky Lorenzetti, actuel actionnaire majoritaire du club après avoir racheté la majorité des parts de la SASP. L'équipe première évolue dans le Top 14 depuis 2009. Elle est championne de France en 2016.




Sommaire






  • 1 Histoire


    • 1.1 Les trois Brennus (1892, 1900, 1902)


    • 1.2 Champion de France 1959


    • 1.3 Champion de France 1990


    • 1.4 Déclin et rétrogradation


    • 1.5 Champion de France Pro D2 2009


    • 1.6 Montée en Top 14


    • 1.7 Champion de France 2016


    • 1.8 Vice-champion d'Europe 2016-2018




  • 2 Identité du club


    • 2.1 Logo


    • 2.2 Couleurs et esprit




  • 3 Palmarès


    • 3.1 Compétitions européennes


    • 3.2 Compétitions nationales


    • 3.3 Compétitions de jeunes


    • 3.4 Les finales du Racing


      • 3.4.1 En Coupe de l'Espérance


      • 3.4.2 En Championnat de France


      • 3.4.3 En Coupe d'Europe






  • 4 Personnalités du club


    • 4.1 Joueurs emblématiques


    • 4.2 Entraîneurs


    • 4.3 Présidents


    • 4.4 Encadrement technique 2018-2019


    • 4.5 Effectif 2018-2019




  • 5 Structures


    • 5.1 Stades


      • 5.1.1 Stade olympique Yves-du-Manoir


      • 5.1.2 Paris La Défense Arena


      • 5.1.3 Délocalisation au Stade de France






  • 6 Notes et références


  • 7 Annexes


    • 7.1 Articles connexes


    • 7.2 Liens externes







Histoire |




Le Racing-Paris version 1897.




Match Racing-Leicester à Colombes en 1923.



Les trois Brennus (1892, 1900, 1902) |


Le Racing Club, fondé en 1882, était à l’origine une association vouée à l’athlétisme. Devenu Racing club de France en 1885, il ajoute régulièrement de nouvelles sections (17 en 2006, pour 20 000 licenciés), dont celle de rugby à XV, créée en 1890. Le Racing devient alors un protagoniste majeur du rugby français. Le club remporte le premier championnat de France en un match unique, le 20 mars 1892, en battant le Stade français Paris rugby 4-3. L’année suivante, les stadistes prennent leur revanche (7-3). Le Racing termine deuxième de la compétition disputée sous forme de championnat en 1898 avant d’être sacré à deux reprises en 1900 et en 1902 face au Stade bordelais. Enfin, il s’incline en finale contre le Stade toulousain en 1912. Il remporte la Coupe de l'Espérance, qui fait office de championnat pendant la Première Guerre mondiale en 1918, puis participe à la première finale d’après-guerre, qu’il perd contre le Stadoceste tarbais.


Le Racing est le fondateur du Challenge Yves du Manoir, du nom d’un de ses ouvreurs, huit fois international, mort à 23 ans, et symbole de l’insouciance du jeu (voir Couleurs et esprit).



Champion de France 1959 |


Le club connaît à nouveau le succès dans les années 1950, avec deux finales perdues en 1950 contre Castres et 1957 contre Lourdes, et un titre en 1959, sous la houlette du Béarnais François Moncla, avec à ses côtés Michel Crauste qui devait partir pour Lourdes la saison suivante (où il remporte aussitôt le titre avec son nouveau club).



Champion de France 1990 |


Il faudra attendre près de 30 ans avant de revoir le maillot ciel et blanc en finale. En 1987, le club s’incline face à Toulon, avant de connaître, en 1990, sa cinquième consécration en battant le SU Agen, grâce à une génération exceptionnelle emmenée par Franck Mesnel, Jean-Baptiste Lafond, Philippe Guillard, Laurent Bénézech ou Éric Blanc.



Déclin et rétrogradation |


Le déclin s’amorce peu après car les changements des années 1990 dans le rugby ne se firent pas sans heurts au sein d’une institution aussi attachée à l’esprit amateur et qui rejeta longtemps le professionnalisme. L’équipe flirta avec la relégation, qui arrive une première fois en 1996, puis, après une remontée de deux saisons, une deuxième fois en 2000.


Propriétaire du club depuis 1999, l'entreprise Eden Park, fondée par des anciens du club (Franck Mesnel, Éric Blanc et Jean-Baptiste Lafond entre autres) tente de donner un nouveau souffle, en se rapprochant de l’US métro, le club sportif de la RATP. Les deux équipes seniors fusionnent en 2001, sous le nom de Métro Racing 92, dans le cadre d’une Société anonyme sportive professionnelle appelée Racing Club de France rugby. Ancien du club, Éric Blanc devient le président. L’équipe est rebaptisée Racing Métro 92 en 2005. Le Racing club de France et l’US Métro conservent leurs équipes de jeunes.


Seule la section professionnelle du Racing club de France et celle de l'US Métro se sont associées pour former le Métro Racing 92 puis le Racing Métro 92, une entité à but purement professionnel. Les sections amateurs continuent à évoluer indépendamment au sein de leur club respectif. Le Racing club de France a signé une convention le 21 novembre 2006 permettant au Racing Métro 92 d'utiliser l'intitulé « Racing » et les couleurs du Racing club de France à l'exclusion de tout autre prérogative. Ce droit a été accordé pour 21 ans, renouvelable une fois.


En décembre 2005, le club embauche l’ancien international Didier Camberabero, puis en juillet 2006 Philippe Benetton, qui entraînait Cahors, pour s’occuper des avants. En 2006, c’est aussi l'arrivée de Jacky Lorenzetti, patron et fondateur du géant de l'immobilier Foncia, qui reprend la majorité des parts. Avec lui, le club se fixe pour objectif la montée dans le Top 14 d'ici 2008 et la qualification pour la Coupe d'Europe d'ici 2011. Éric Blanc devient manager du club.


Le recrutement spectaculaire pour la saison 2007-2008 commence avec les signatures de l'ancien entraîneur du XV de France et d'Italie Pierre Berbizier et comme joueurs: David Auradou, Sireli Bobo, Michel Dieudé, Jean-Frédéric Dubois, Carlo Festuccia, David Gérard, Andrea Lo Cicero, Thomas Lombard, Jone Qovu, Simon Raiwalui, Laurent Sempéré, Franck Tournaire, Ludovic Valbon, Jonathan Wisniewski ou encore Agustín Pichot.



Champion de France Pro D2 2009 |


Après la désillusion de la finale 2008 perdue contre Mont-de-Marsan, le Racing entame une saison 2008-2009 prometteuse avec les arrivées de Jérôme Fillol (Stade français), Olivier Diomandé (Montpellier), François van der Merwe (Lions), Mehdi Merabet (Toulon), Patrice Collazo (Gloucester), Craig Smith (Édimbourg), Álvaro Galindo (Béziers) et Andrew Mehrtens (Toulon). Les arrivées de Dan Scarbrough ainsi que de Santiago Dellapè et d'Andrea Masi en cours de saison, viennent compléter ce recrutement en vue d'une montée en Top 14 que le club obtient en remportant le titre haut la main. Au terme de la saison 2008-2009, le club remonte en Top 14 grâce à une victoire à Bordeaux Bègles sur le score de 12-33 à deux journées de la fin.



Montée en Top 14 |


La première saison du Racing en Top 14 se fait avec ambition grâce à un recrutement de luxe. Ainsi les internationaux français Lionel Nallet et Sébastien Chabal rejoignent le groupe ainsi que le champion du monde sud-africain François Steyn. Malgré un début de saison difficile et une performance décevante en Amlin Cup le Racing trouve un rythme en milieu de saison pour finir sixième de la saison régulière, se qualifiant ainsi pour les barrages ainsi que pour la H-Cup.




Match du Racing Métro 92 face au Stade toulousain.


La saison 2010-2011 a pour objectif de continuer sur la lancée de la précédente et le Racing renforce son objectif dans ce but avec, notamment, les arrivées de l'international français Benjamin Fall ainsi que de l'ouvreur argentin Juan Martín Hernández. Le Racing termine deuxième de la saison régulière et sa qualifie donc ainsi directement pour les demi-finale du championnat de France et en H-Cup.



Homme en tenue de ville, de plein pied, tenant au-dessus une planche représentant le bouclier de Brennus.

Dimitri Szarzewski présente le Brennus au Plessis Robinson le 28 juin 2016.


La saison 2011-2012 est en deçà de la précédente[2]. Après un bon début de saison, le Racing connait des résultats irréguliers et oscille entre la cinquième et la septième place. La campagne européenne est un fiasco avec une victoire pour cinq défaites dont trois à domicile. Dès novembre, les mauvais résultats et une mésentente entre le manager général Pierre Berbizier et l'entraineur des trois-quarts Simon Mannix[3] conduisent le club à remplacer ce dernier par Gonzalo Quesada. Malgré le divorce croissant entre Pierre Berbizier et une partie des joueurs[2], le club parvient à obtenir une place en barrages où il est éliminé par le RC Toulon. À l'issue de la saison, le président Lorenzetti nomme Gonzalo Quesada comme entraineur en chef du groupe professionnel. Pierre Berbizier reste au club en qualité de "directeur du rugby".


La saison 2012-2013 est contrastée. Après un début de championnat difficile, le club réussit une très bonne seconde partie de championnat, marquée par une série de 9 victoires consécutives. Il parvient à se qualifier pour la quatrième fois consécutive pour les phases finales mais est éliminé par le Stade toulousain en barrages[4]. Pierre Berbizier, entraineur emblématique de la remontée du Racing au plus haut niveau quitte le club à l'issue de la saison. L'entraineur Gonzalo Quesada est également remercié et remplacé par les entraineurs du Castres olympique, Laurent Travers et Laurent Labit.


Pour la saison 2013-2014, le club a annoncé 14 arrivées[5] dont le meilleur joueur du Tournoi des Six Nations 2012, le troisième ligne Dan Lydiate[6], le centre emblématique des Cardiff Blues Jamie Roberts et le demi d'ouverture du Leinster Jonathan Sexton.
Ces arrivées correspondent à une quinzaine de départs dont plusieurs joueurs présents depuis la Pro D2 : Sireli Bobo, Santiago Dellapè, Alvaro Galindo, Johnny Leo'o, Andrea Lo Cicero, Mika Tuugahala.


Le 10 juin 2015, le Racing Métro 92 se sépare juridiquement de l'US Métro après quatorze saisons d'union, et est renommé le Racing 92[7],[8].



Champion de France 2016 |


Le 24 juin 2016, 26 ans après sa précédente finale, au terme d'un match durant lequel l'équipe joue à quatorze pendant plus de 60 minutes, le Racing 92 s'impose face au RC Toulon sur le score de 21 à 29 à l'occasion de la finale du championnat de France jouée au Camp Nou de Barcelone devant 99 124 spectateurs (record mondial de spectateurs pour un match de rugby entre clubs[9]).



Vice-champion d'Europe 2016-2018 |


Le 13 mars 2017, le Racing 92 et le Stade français annoncent le projet de fusion des deux équipes professionnelles pour la saison 2017-2018[10]. Quelques jours plus tard, le 19 mars, l'annulation du projet est annoncée par Jacky Lorenzetti via un communiqué[11]. Le Racing 92 s'incline deux fois en finale de la Coupe d'Europe en 2016 et 2018. Les Racingmen échouent de peu en demi-finale du Top 14 en 2018 contre le Castres olympique à Lyon (19-14).



Identité du club |



|


Les logos affichent les couleurs ciel et blanc, ainsi que le slogan « depuis 1882 », année de la création du club.


Le 10 juin 2015, le logo est adapté au changement de nom du club[8].




Évolution du logo




Couleurs et esprit |




La mêlée des Racingmen en Top 14, en octobre 2009.


Dans la France de la fin du XIXe siècle, l’organisation du sport « à l’anglaise », par le biais de clubs, est avant tout affaire de riches, bourgeois et aristocrates. Le Racing n’échappe pas à la règle. Niché au cœur du Bois de Boulogne, sur le domaine de la Croix-Catelan, il est le symbole de l’exclusivité et il faut toujours être parrainé pour intégrer certaines sections. Le succès du rugby fut immédiat auprès des membres du club, issus des classes aisées, notamment aristocratiques (quatre nobles participent à la première finale côté Racing), pour qui le sport en général et le rugby en particulier portent en eux les vertus développés dans leurs associations sportives par les Britanniques, dont on admire l’insistance sur l'union du corps et de l’esprit (« Un esprit sain dans un corps sain »).


L’autre grande dimension de l’« esprit Racing » est son attachement aux valeurs les plus pures du sport, l’esprit de compétition, la noblesse de l’effort, le respect de l’adversaire et l’amateurisme[réf. nécessaire]. Soucieux de maintenir l’esprit du jeu, le Racing club de France s’investit dans cette voie à la fin des années 1920, alors que le rugby français souffre de la violence sur les terrains, de matchs fermés et d’un professionnalisme qui ne veut pas dire son nom. Champion de l’esprit amateur[réf. nécessaire], il lance le Challenge Yves du Manoir pour répondre à cet idéal. Yves du Manoir symbolisait le côté romantique du rugby, sa dimension ludique et libre, celle du jeu pour le jeu. Comme les participants étaient invités par le Racing, il n’y avait aucune pression relative à une éventuelle relégation. Afin de favoriser encore le jeu, les règles interdisaient de tenter les coups de pied placés. Paradoxalement, le Racing ne gagna jamais « son » challenge.


Plus récemment, cet esprit fut réveillé, sous une forme différente, dans les années 1980 grâce à la dernière grande génération sportive du Racing. Désireux de faire parler d’eux et de leur club, ces joueurs savaient que les résultats étaient essentiels, mais aussi que pour réussir cela à Paris, où les sportifs vivent dans l’anonymat le plus complet, il fallait attirer les feux des médias. Ce sont les lignes arrières, composées de personnalités fortes et originales, qui provoquèrent cette révolution, mélangeant sport, humour, provocation, camaraderie et autodérision. Dans le cadre du très célèbre « Show-Bizz », sorte de club dans le club, Éric Blanc, Jean-Baptiste Lafond, Philippe Guillard et Franck Mesnel décidèrent de bousculer le rugby français par une série d’actions spectaculaires. Ils jouèrent ainsi avec des bérets à Bayonne, en hommage à la tradition des attaquants d’antan du club basque, mais cela fut pris comme une provocation par une partie du public. Ils jouèrent aussi entièrement maquillés de noir, pour que l’un de leurs coéquipiers, noir, ne se sente plus en minorité. Ils portèrent des perruques, se teignirent les cheveux en jaune, jouèrent en pantalons blancs de pelotari ou avec des chaussettes roses etc. Ils enregistrèrent même un disque, Quand tu marques un essai[12].


Néanmoins, leur marque de fabrique fut le célèbre nœud papillon rose. Désireux de frapper un grand coup lors de la finale du championnat 1987, ils décidèrent de jouer avec un nœud papillon rose autour du cou, symbole de l’élégance et de la dérision, avec une couleur en apparence pas du tout virile. Jean-Baptiste Lafond offrit un exemplaire du nœud papillon au président de la République, François Mitterrand, durant la présentation des équipes sur la pelouse du Parc des Princes. Ils firent sensation mais furent battus. Trois ans plus tard, ils récidivèrent. Poussant la provocation, ils se firent apporter du champagne sur la pelouse pendant la mi-temps, par Yvon Rousset, blessé, vêtu d’un blazer frappé des armes du « Show Bizz ». Cela ne les empêcha pas de gagner, et après prolongations encore, contre Agen. Ce nœud papillon donna naissance en 1988 à la marque Eden Park, lancée par les cinq compères, et dont Franck Mesnel est aujourd’hui le président du directoire. La marque compte de nombreuses boutiques en France et à l’étranger (plus de 200 points de vente, dont Cardiff ou encore Richmond upon Thames, où la marque s’est associée au club londonien des Harlequins) et est devenue fournisseur officiel de l’équipe de France, de l’équipe du pays de Galles et même des Lions britanniques.


Tout ceci fit du Racing le synonyme de l’excentricité au sein d’un milieu très conservateur, bien qu'un changement de politique à la suite de la prise en main du club par Jacky Lorenzetti, et fut fustigé par bien des professionnels comme une version parisienne et peu sérieuse de leur sport. Toutefois, rien n’aurait été toléré si les résultats n’avaient pas suivi. À noter également, que le Racing club de France a fourni 76 joueurs à l’équipe de France de rugby à XV, dont douze capitaines dont Michel Crauste, François Moncla, Jean-Pierre Rives, Jean-François Gourdon, Gérald Martinez, Robert Paparemborde, Franck Mesnel, Jean-Baptiste Lafond ou Xavier Blond, Laurent Cabannes, Sébastien Chabal, ou encore Lionel Nallet. Trois Racingmen ont participé au premier match officiel du XV de France contre la Nouvelle-Zélande en 1906.



Palmarès |


Le tableau suivant récapitule les performances du Racing Métro 92 dans les diverses compétitions françaises et de jeunes. Les Racingmen n'ont participé qu'à une seule rencontre en Coupe d'Europe, ce qui fait que le club ne possède aucun titre dans ces compétitions. Côté hexagonal, le Racing possède six titres de champions de France, et également un en Pro D2.



Compétitions européennes |



  • Coupe d'Europe
    • Finaliste (2) : 2016, 2018



Compétitions nationales |



  • Championnat de France de première division

    • Champion (6) : 1892, 1900, 1902, 1959, 1990, 2016

    • Vice-champion (7) : 1893, 1898[13], 1912, 1920, 1950, 1957, 1987

    • Classement à la fin de la phase régulière du Top 14 : 6e en 2009-2010, 2e en 2010-2011, 6e en 2011-2012, 6e en 2012-2013, 5e en 2013-2014, 5e en 2014-2015, 4e en 2015-2016 (titré à l'issue de la phase finale), 6e en 2016-2017, 2e en 2017-2018. Le Racing est le seul club à avoir participé à toutes les phases finales de Top 14 depuis 2009-2010, année de son retour dans l'élite.





L'équipe du Racing Club de France, victorieuse de la Coupe de l'Espérance le 28 avril 1918.




  • Coupe de l'Espérance
    • Vainqueur (1) : 1918



  • Championnat de France de deuxième division
    • Champion (2) : 1926, 2009



  • Challenge Yves du Manoir
    • Finaliste (1) : 1952


  • Championnat de France Groupe A2
    • Champion (1) : 1998



  • Trophée de Coubertin
    • Vainqueur (4) : 2011, 2015, 2016, 2017


  • Challenge Rutherford
    • Finaliste (1) : 1952




Compétitions de jeunes |


Espoirs

  • Vice champion de France espoirs niveau 2 2012-2013


  • Champion de France espoirs Élite 2015


  • Champion de France espoirs Play Off 2017


Coupe Frantz-Reichel

  • Vainqueurs (12) : 1954, 1958, 1959, 1961, 1962, 1963, 1964, 1970, 1975, 1978, 1984, 1987

Championnat de France Juniors Crabos

  • Champion (2) : 1994, 2014

Championnat de France Cadets

  • Champion (2) : 1986, 1992, 2015 (Gaudermen)


Les finales du Racing |



En Coupe de l'Espérance |


Le tableau suivant présente la finale jouée par le Racing club de France en Coupe de l'Espérance[14].






















Date de la finale
Vainqueur
Score
Finaliste
Lieu de la finale
Spectateurs
28 avril 1918

Racing club de France

22 – 9

FC Grenoble

Stade du Matin, Colombes
3 000


En Championnat de France |


Le tableau suivant liste les finales jouées par le Racing club de France dans le Championnat de France.














































































































Date de la finale
Vainqueur
Score
Finaliste
Lieu de la finale
Spectateurs
20 mars 1892

Racing Club de France

4 – 3

Stade français

Bagatelle, Paris
2 000
19 mai 1893

Stade français

7 – 3
Racing Club de France

Bécon-les-Bruyères
1 200
22 avril 1900

Racing Club de France

37 – 3

Stade bordelais

Levallois-Perret
1 500
23 mars 1902

Racing Club de France

6 – 0
Stade bordelais

Parc des Princes, Paris
1 000
31 mars 1912

Stade toulousain

8 – 6
Racing Club de France

Stade des Ponts Jumeaux, Toulouse
15 000
25 avril 1920

Stadoceste tarbais

8 – 3
Racing Club de France

Stade Sainte-Germaine, Le Bouscat
20 000
16 avril 1950

Castres olympique

11 – 8
Racing Club de France

Stade des Ponts Jumeaux, Toulouse
25 000
26 mai 1957

FC Lourdes

16 – 13
Racing Club de France

Stade de Gerland, Lyon
30 000
24 mai 1959

Racing Club de France

8 – 3

Stade montois

Parc Lescure, Bordeaux
31 098
22 mai 1987

RC Toulon

15 – 12
Racing Club de France

Parc des Princes, Paris
48 000
26 mai 1990

Racing Club de France

22 – 12 (a.p.)

SU Agen

Parc des Princes, Paris
45 069
24 juin 2016

Racing 92

29 - 21

RC Toulon

Camp Nou, Barcelone
99 124


En Coupe d'Europe |






























Date de la finale
Vainqueur
Score
Finaliste
Lieu de la finale
Spectateurs
14 mai 2016

Saracens

21 – 9
Racing 92

Parc Olympique lyonnais, Lyon
58 017
12 mai 2018

Leinster
15 - 12
Racing 92

San Mamés, Bilbao
52 282


Personnalités du club |



Joueurs emblématiques |


1882-1913 : les origines et les premiers titres[15]





  • Drapeau : France Vladimir Aïtoff


  • Drapeau : France Georges André


  • Drapeau : Pérou Carlos de Candamo


  • Drapeau : France Pierre Gaudermen


  • Drapeau : France Gaston Lane


  • Drapeau : États-UnisDrapeau : France Allan Muhr


  • Drapeau : France Alexandre Pharamond


  • Drapeau : France Frantz Reichel


  • Drapeau : France Cyril Rutherford



1919-1959[15]





  • Drapeau : France François Borde


  • Drapeau : France Adolphe Bousquet


  • Drapeau : France René Crabos


  • Drapeau : France Michel Crauste


  • Drapeau : France Francis Desclaux


  • Drapeau : France Adolphe Jauréguy


  • Drapeau : France Yves du Manoir


  • Drapeau : France Arnaud Marquesuzaa


  • Drapeau : France François Moncla


  • Drapeau : France Michel Vannier



1960-1986[15]





  • Drapeau : France Philippe Destribats


  • Drapeau : France Gérald Martinez


  • Drapeau : France Robert Paparemborde


  • Drapeau : France Jean-Pierre Rives


  • Drapeau : France Michel Taffary



1987-2001 : du show-bizz à la fusion avec l'US-Métro[15]





  • Drapeau : France Geoffrey Abadie


  • Drapeau : France Laurent Benezech


  • Drapeau : France Éric Blanc


  • Drapeau : France Mathieu Blin


  • Drapeau : France Xavier Blond


  • Drapeau : France Laurent Cabannes


  • Drapeau : France Denis Charvet


  • Drapeau : France Christophe Deslandes


  • Drapeau : France Jean-Pierre Genet


  • Drapeau : France Philippe Guillard


  • Drapeau : France Jean-Baptiste Lafond


  • Drapeau : France Franck Mesnel


  • Drapeau : France Patrick Serrière


  • Drapeau : France Michel Tachdjian



2002 - Aujourd'hui : l’avènement du Racing Métro 92





  • Drapeau : Fidji Sireli Bobo


  • Drapeau : France Sébastien Chabal


  • Drapeau : France Henry Chavancy


  • Drapeau : Afrique du Sud Jacques Cronjé


  • Drapeau : Argentine Juan Martín Hernández


  • Drapeau : Argentine Juan Imhoff


  • Drapeau : Italie Andrea Lo Cicero


  • Drapeau : Italie Carlo Festuccia


  • Drapeau : Nouvelle-Zélande Andrew Mehrtens


  • Drapeau : France Lionel Nallet


  • Drapeau : France Maxime Machenaud


  • Drapeau : France Dimitri Szarzewski


  • Drapeau : France Jonathan Wisniewski[16]


  • Drapeau : Nouvelle-Zélande Dan Carter


  • Drapeau : France Yannick Nyanga


  • Drapeau : France Virimi Vakatawa




Entraîneurs |
























































































































Saison
Entraîneur(s)
Adjoint(s)

Drapeau : France Robert Paparemborde

1987-1988
Drapeau : France Christophe Mombet

1989-1992
Drapeau : France Christian Lanta

1992-?
Drapeau : Roumanie Valeriu Irimescu

1995-1996
Drapeau : Australie Bob Dwyer

Drapeau : France Jean-Louis Ribot (avants)
Drapeau : France Eric Blanc (arrières)
1996-1998
Drapeau : France Christophe Mombet

Drapeau : France Daniel Bouthier
1998-2000
Drapeau : France Didier Nourault

Drapeau : France Yves Ajac
2001-2002
Drapeau : France Vincent Moscato

Drapeau : France Pierre Trémouille (arrières)
2002-2003
Drapeau : France Alain Gaillard (consultant)

Drapeau : France Philippe Canto (avants)
Drapeau : France Benoît Meriller (arrières)
2003-Janvier 2004
Drapeau : France Christophe Mombet (consultant)

Drapeau : France Philippe Canto (avants)
Drapeau : France Benoît Meriller (arrières) (jusqu'au 4 octobre 2003)
Janvier 2004-2005
Drapeau : France Pierre Arthapignet

Drapeau : France Philippe Canto (avants)
2004-2005
Drapeau : France Frédéric Barthe

Drapeau : France Marc Dubourdeau

2005-Avril 2006

Drapeau : France Marc Dubourdeau (arrières) (jusqu'en décembre 2005)
puis Drapeau : France Didier Camberabero (arrières) (à partir de janvier 2006)
Avril 2006-2007

Drapeau : France Didier Camberabero

2006-2007

Drapeau : France Philippe Benetton

Drapeau : France Didier Camberabero (arrières) (jusqu'en février 2007)

2007-novembre 2011

Drapeau : France Pierre Berbizier

Drapeau : France Philippe Berbizier (avants)
Drapeau : Nouvelle-Zélande Simon Mannix (arrières)
Novembre 2011-février 2012
Drapeau : France Philippe Berbizier (avants)
Drapeau : Argentine Gonzalo Quesada (arrières)
Février 2012-Juillet 2012
Drapeau : France Didier Retière (consultant auprès des avants)
Drapeau : Argentine Gonzalo Quesada (arrières)
2012-2013
Drapeau : Argentine Gonzalo Quesada

Drapeau : Fidji Simon Raiwalui (avants)
Drapeau : Argentine Patricio Noriega (avants, mission spécifique : mêlée)
2013-2014
Drapeau : France Laurent Travers
Drapeau : France Laurent Labit

Drapeau : Irlande Ronan O'Gara (mission spécifique : skills, jeu au pied)
2014-2017
Drapeau : Irlande Ronan O'Gara (défense, skills, jeu au pied)
Drapeau : Argentine Patricio Noriega (mêlée, à partir d'octobre 2016)
2017-31 décembre 2017
Drapeau : Argentine Patricio Noriega (mêlée)
Drapeau : Irlande Ronan O'Gara (défense)
Drapeau : Nouvelle-Zélande Chris Masoe (skills)

1er janvier 2018-

Drapeau : Argentine Patricio Noriega (mêlée)
Drapeau : Nouvelle-Zélande Chris Masoe (défense)
Drapeau : Nouvelle-Zélande Casey Laulala (skills)


Présidents |

















































Saison
Nom
Naissance
Nationalité sportive
Secteur

1997-1999
Gérald Martinez 30-03-1955 Drapeau de la France France

2002-2006
Jean-Patrick Lesobre 09-07-1953 Drapeau de la France France Amateurs
Depuis 2006
Éric Blanc 20-09-1959 Drapeau de la France France Amateur

2000-2006
Éric Blanc 20-09-1959 Drapeau de la France France Professionnel
Depuis 2006
Jacky Lorenzetti 13-01-1948 Drapeau de la France France Professionnel


Encadrement technique 2018-2019 |














































































Nom
Poste
Naissance
Nationalité sportive
Sélections
(pts marqués)
Dernier club
Arrivée au club
Laurent Travers Entraîneur 21/10/1968 Drapeau de la France France -
Drapeau : France Castres olympique
2013
Laurent Labit Entraîneur 08/05/1968 Drapeau de la France France -
Drapeau : France Castres olympique
2013
Chris Masoe Responsable des compétences techniques individuelles 15/05/1979 Drapeau de la Nouvelle-Zélande Nouvelle-Zélande
20 (15)


Drapeau : France Racing 92 (joueur)
2017
Patricio Noriega Responsable mêlée 22/10/1971 Drapeau de l'Australie Australie
24 (0)


Drapeau : France Racing Club de Narbonne Méditerranée
2016
Gilbert Gascou Préparateur physique 30/07/1963 Drapeau de la France France -
Drapeau : France Castres olympique
2013
Anthony Marhuenda Analyste vidéo 20/11/1985 Drapeau de la France France -
Drapeau : France Castres olympique
2013
Maxime Marhuenda Analyste Vidéo - Drapeau de la France France -
Drapeau : France Castres olympique
2013


Effectif 2018-2019 |


Le tableau suivant récapitule l'effectif professionnel du Racing 92 pour la saison 2018/2019. Le nombre de sélections et de points marqués est à jour au 22/06/2018.























































































































































































































































































































































































Nom
Poste
Naissance
Nationalité sportive
Sélections
(pts marqués)
Dernier club
Arrivée au club
Ole Avei Talonneur 13/06/1983 Drapeau : Samoa Samoa 24 (0)
Drapeau : France Union Bordeaux Bègles
2018
Camille Chat Talonneur 18/12/1995 Drapeau de la France France 13 (0) Formé au club 2013

Dimitri Szarzewski (cap.)
Talonneur 26/01/1983 Drapeau de la France France 83 (35)
Drapeau : France Stade français
2012
Teddy Baubigny Talonneur 02/09/1998 Drapeau de la France France - Formé au club 2010
Eddy Ben Arous Pilier 25/08/1990 Drapeau de la France France 20 (0)
Drapeau : France US Tours
2008
Georges-Henri Colombe Pilier 09/04/1998 Drapeau de la France France - Formé au club 2008
Cedate Gomes Sa Pilier 07/08/1993 Drapeau de la France France 6 (5) Formé au club 2011
Vasil Kakovin Pilier 01/12/1989 Drapeau de la Géorgie Géorgie 25 (5)
Drapeau : France Stade toulousain
2017
Hassane Kolingar Pilier 06/03/1998 Drapeau de la France France - Formé au club 2013
Census Johnston Pilier 06/05/1981 Drapeau des Samoa Samoa 59 (20)
Drapeau : France Stade toulousain
2017
Ben Tameifuna Pilier 30/08/1991 Drapeau des Tonga Tonga 5 (0)
Drapeau : Nouvelle-Zélande Chiefs
2015
Dominic Bird Deuxième ligne 09/04/1991 Drapeau de la Nouvelle-Zélande Nouvelle-Zélande 2 (0)
Drapeau : Nouvelle-Zélande Chiefs
2018
Leone Nakarawa Deuxième ligne 02/04/1988 Drapeau des Fidji Fidji 49 (60)
Drapeau : Écosse Glasgow Warriors
2016
Donnacha Ryan Deuxième ligne 11/12/1983 Drapeau : Irlande Irlande 47 (0)
Drapeau : Irlande Munster
2017
Boris Palu Deuxième ligne 04/02/1996 Drapeau de la France France - Formé au club 2002
Edwin Maka Deuxième/troisième ligne 25/02/1993 Drapeau des Tonga Tonga -
Drapeau : France Stade toulousain
2017
Baptiste Chouzenoux Troisième ligne 07/08/1993 Drapeau de la France France -
Drapeau : France Aviron bayonnais
2017
Antonie Claassen Troisième ligne 20/09/1984 Drapeau de la France France 6 (0)
Drapeau : France Castres olympique
2014
Wenceslas Lauret Troisième ligne 28/03/1989 Drapeau de la France France 17 (0)
Drapeau : France Biarritz olympique
2013
Bernard Le Roux Troisième ligne 04/06/1989 Drapeau de la France France 32 (0) Formé au club 2009
Fabien Sanconnie Troisième ligne 21/02/1995 Drapeau de la France France 4 (0)
Drapeau : France CA Brive
2018
Xavier Chauveau Demi de mêlée 14/10/1992 Drapeau de la France France - Formé au club 2013
Antoine Gibert Demi de mêlée 31/12/1997 Drapeau de la France France - Formé au club 2011
Teddy Iribaren Demi de mêlée 25/09/1990 Drapeau de la France France -
Drapeau : France CA Brive
2017
Maxime Machenaud Demi de mêlée 30/12/1988 Drapeau de la France France 36 (149)
Drapeau : France SU Agen
2012
Raphaël Lagarde Demi d'ouverture 30/10/1990 Drapeau de la France France -
Drapeau : France Aviron bayonnais
2018
Patrick Lambie Demi d'ouverture 17/10/1990 Drapeau d'Afrique du Sud Afrique du Sud 56 (153)
Drapeau : Afrique du SudSharks
2017
Finn Russell Demi d'ouverture 23/09/1992 Drapeau de l'Écosse Écosse 37 (114)
Drapeau : Écosse Glasgow Warriors
2018
Ben Volavola Demi d'ouverture 13/01/1991 Drapeau des Fidji Fidji 24 (140)
Drapeau : France Union Bordeaux Bègles
2018
Simon Bienvenu Centre 07/03/1996 Drapeau de la France France - Formé au club -
Henry Chavancy Centre 22/05/1988 Drapeau de la France France 4 (5) Formé au club 2007
Olivier Klemenczak Centre 01/06/1996 Drapeau de la France France -
Drapeau : France US Dax
2018
Léonard Paris Centre 20/03/1996 Drapeau de la France France - Formé au club -
Virimi Vakatawa Centre 01/05/1992 Drapeau de la France France 17 (30)
Drapeau : France France VII
2017
Juan Imhoff Ailier 11/05/1988 Drapeau de l'Argentine Argentine 35 (105)
Drapeau : Argentine Pampas XV
2011
Joe Rokocoko Ailier 6/06/1983 Drapeau de la Nouvelle-Zélande Nouvelle-Zélande 68 (230)
Drapeau : France Aviron bayonnais
2015
Teddy Thomas Ailier 18/09/1993 Drapeau de la France France 5 (20)
Drapeau : France Biarritz olympique
2014
Louis Dupichot Ailier/Arrière 23/09/1995 Drapeau de la France France - Formé au club 2008
Simon Zebo Ailier/Arrière 16/03/1990 Drapeau : Irlande Irlande 35 (45)
Drapeau : Irlande Munster
2018
Brice Dulin Arrière 13/04/1990 Drapeau de la France France 29 (28)
Drapeau : France Castres olympique
2014


Structures |



Stades |



Stade olympique Yves-du-Manoir |


Article détaillé : Stade olympique Yves-du-Manoir.

Le Racing Métro 92 joue dans le Stade olympique Yves-du-Manoir depuis le début de son histoire. Sa capacité variera selon les périodes pour finir actuellement à 14 000 spectateurs[17]. Devant l'incapacité de rénover en profondeur le stade pour le futur, Jacky Lorenzetti décide de quitter le vétuste stade de Colombes pour l'U Arena, à Nanterre.



Paris La Défense Arena |


Article détaillé : Paris La Défense Arena.

Ouvert en octobre 2017, l'U Arena, renommée Paris La Défense Arena en 2018, devient le stade permanent du Racing 92 lors de la saison 2017-2018. Le club évolue dans une salle modulable pouvant accueillir jusqu'à 32 000 spectateurs en configuration rugby. Sa construction est financée principalement par la holding du président du Racing 92 Jacky Lorenzetti, Ovalto Investissement.



Délocalisation au Stade de France |


En 2011, avant la construction de son stade ultramoderne sur le site de La Défense à Nanterre, le Racing Métro 92 applique une politique de délocalisation de certains matchs du TOP 14 ou de coupe d'Europe afin d'augmenter la capacité d'accueil et de promouvoir son nom.


Le principal lieu de délocalisation est le Stade de France. Le club y joua pour la première fois le 26 mars 2011 à l'occasion de la 22e journée de Top 14 qui les opposait au Stade toulousain. Le Racing joua devant 76 353 spectateurs. Un trophée nommé Trophée de Coubertin fut mis en jeu grâce à l'initiative de Jacky Lorenzetti et Jean-René Bouscatel, respectivement présidents du Racing Metro 92 et du Stade toulousain[18].


Le tableau suivant liste les matchs délocalisés par le Racing Métro 92 depuis 2011.






















































































































































Compétition
Date
Domicile
Score
Visiteur
Lieu
Spectateurs

22e journée de Top 14 2010-2011
26 mars 2011
Racing Métro 92
(Bo) 43 – 21 Victoire

Stade toulousain

Stade de France, Saint-Denis
71 704

16e journée de Top 14 2011-2012
28 janvier 2012 Racing Métro 92
(Bd) 13 – 19 Défaite

Stade Toulousain
Stade de France, Saint-Denis
44 330

25e journée de Top 14 2011-2012
5 mai 2012
Racing Métro 92

19 – 13 (Bd) Victoire

Stade français
Stade de France, Saint-Denis
41 701

1re journée de H-Cup 2012-2013
13 octobre 2012
Racing Métro 92

22 - 17 (Bd) Victoire

Munster Rugby
Stade de France, Saint-Denis
21 102

12e journée de Top 14 2012-2013
1er décembre 2012
Racing Métro 92

23 – 15 Victoire
Stade français
Stade de France, Saint-Denis
44 622

5e journée de H-Cup 2012-2013
12 janvier 2013 Racing Métro 92
28 - 37 Défaite

Saracens

Stade de la Beaujoire, Nantes
35 085

23e journée de Top 14 2012-2013
30 mars 2013 Racing Métro 92
(Bd) 26 – 27 Défaite

Stade Toulousain
Stade de France, Saint-Denis
48 171

1re journée de Top 14 2013-2014
17 août 2013
Racing Métro 92

19 – 14 (Bd) Victoire

CA Brive

Stade Marcel-Deflandre, La Rochelle
6 676

10e journée de Top 14 2013-2014
26 octobre 2013
Racing Métro 92

16 – 12 (Bd) Victoire
Stade français
Stade de France, Saint-Denis
25 673

3e journée de H-Cup 2013-2014
7 décembre 2013 Racing Métro 92
8 - 32 (Bo) Défaite

Harlequins
Stade de la Beaujoire, Nantes
29 395

17e journée de Top 14 2013-2014
25 janvier 2014
Racing Métro 92

25 – 5 Victoire
Stade Toulousain
Stade de France, Saint-Denis
35 342

4e journée de European Rugby Champions Cup 2014-2015
13 décembre 2014
Racing Métro 92

18 - 14 (Bd) Victoire

Ospreys

MMArena, Le Mans
16 258

19e journée de Top 14 2014-2015
7 mars 2015
Racing Métro 92

34 – 29 (Bd) Victoire

FC Grenoble Rugby

Stade Océane, Le Havre
13 476

19e journée de Top 14 2015-2016[19]
26 mars 2016 Racing 92
(Bd) 20 - 21 Défaite

RC Toulon

Stade Pierre-Mauroy, Villeneuve-d'Ascq
40 500

22e journée de Top 14 2016-2017[20]
25 mars 2017 Racing 92

27 – 24 (Bd) Victoire

ASM Clermont Auvergne

Stade Pierre-Mauroy, Villeneuve-d'Ascq
31 432


Notes et références |





  1. Seuls les principaux titres en compétitions officielles sont indiqués ici.


  2. a et bTop 14 2012 Bilan : Racing, l'essentiel est là, Rugbyrama, 26 juin 2012. Consulté le 14 juin 2013.


  3. Racing : Simon Mannix limogé, Rugbyrama, 27 novembre 2011. Consulté le 14 juin 2013.


  4. Top 14 2013, Bilan: Racing, saison paradoxale, Rugbyrama. Publié le 13 juin 2013.


  5. Racing Métro : O'Gara et 14 joueurs en renfort, sur Rugby365.fr. Publié le 18 mai 2013.


  6. Lydiate meilleur joueur du Tournoi des Six Nations, Rugbyrama. Consulté le 15 juin 2013.


  7. « Le Racing perd son Métro », sur www.sport.fr, 2 juin 2015(consulté le 10 juin 2015)


  8. a et b« Le Racing Metro 92 devient Racing 92 », sur www.racing92.fr, Racing 92, 10 juin 2015(consulté le 10 juin 2015).


  9. « 99 124 spectateurs au Camp Nou pour la finale », sur sport24.lefigaro.fr, 24 juin 2016.


  10. « Le Racing 92 et le Stade français vont fusionner ! », sur www.rugbyrama.fr, Rugbyrama, 13 mars 2017(consulté le 13 mars 2017)


  11. Thibault Perrin, « Top 14 - La fusion entre le Racing 92 et le Stade Français n'aura pas lieu », sur www.lerugbynistere.fr, Le Rugbynistère, 19 mars 2017(consulté le 19 mars 2017).


  12. La chanson sur le site Bide et Musique


  13. En 1898, le Racing termine 2e du championnat qui se joue en poule sans qu'une finale soit disputée.


  14. Pendant la Première Guerre mondiale, le championnat n'est pas disputé et l'Union des sociétés françaises de sports athlétiques créée une compétition de remplacement, la Coupe de l'Espérance, disputée essentiellement par de jeunes joueurs qui n'ont pas été appelés sous les drapeaux.


  15. a b c et dHall of Fame publié sur le site officiel du Racing-Métro 92, consulté le 4 juillet 2013


  16. Il dispute 146 matchs et inscrit 1276 points avec le Racing Métro 92.


  17. « Stade Yves du Manoir », sur www.racing92.fr, Racing 92 (consulté le 15 août 2016).


  18. Le Racing brille face à Toulouse au Stade de France, publié sur l'Express le 26 mars 2011.


  19. Racing 92 - Toulon au stade Pierre-Mauroy (Lille)


  20. [1]




Annexes |


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Articles connexes |



  • Racing Club de France

  • Union sportive métropolitaine des transports



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