Georges Duby





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Georges Duby


GeorgesDuby1980.jpg

Georges Duby en 1980.






























Biographie
Naissance

7 octobre 1919Voir et modifier les données sur Wikidata
ParisVoir et modifier les données sur Wikidata
Décès

3 décembre 1996Voir et modifier les données sur Wikidata (à 77 ans)
Le TholonetVoir et modifier les données sur Wikidata
Nationalité

FrançaisVoir et modifier les données sur Wikidata
Formation

Université de Lyon (1896-1969)
Faculté des lettres de Paris (doctorat) (jusqu'en 1952)Voir et modifier les données sur Wikidata

Activité

HistorienVoir et modifier les données sur Wikidata
Conjoint

Andrée Duby (d)Voir et modifier les données sur Wikidata

























Autres informations
A travaillé pour

Université de Franche-Comté, université de Provence Aix-Marseille I, Collège de France (1970-1991)Voir et modifier les données sur Wikidata
Domaine

Histoire de la représentation mentale
Membre de

Medieval Academy of America
Académie hongroise des sciences
Académie des Lyncéens
Académie royale des belles-lettres de Barcelone
Académie des inscriptions et belles-lettres
Académie royale de langue et de littérature françaises de Belgique (1986-1996)
Académie française (1987)Voir et modifier les données sur Wikidata

Directeur de thèse

Charles-Edmond PerrinVoir et modifier les données sur Wikidata
Distinctions


Liste détaillée
Commandeur de la Légion d'honneur‎
Chevalier du Mérite agricole (d)
Commandeur des Arts et des Lettres‎
Commandeur des Palmes académiques
Grand officier de l'ordre national du Mérite (d)
Concours général
Grand prix Gobert (1977)Voir et modifier les données sur Wikidata





Georges Duby, né le 7 octobre 1919 à Paris et mort le 3 décembre 1996 au Tholonet, est un historien français. Spécialiste du Moyen Âge, il est professeur au Collège de France de 1970 à 1991.




Sommaire






  • 1 Biographie


    • 1.1 Famille et études


    • 1.2 Carrière universitaire


    • 1.3 Distinctions et hommages




  • 2 Apport à l'histoire du Moyen Âge


  • 3 Bibliographie sélective


  • 4 Notes et références


  • 5 Voir aussi


    • 5.1 Bibliographie


    • 5.2 Articles connexes


    • 5.3 Liens externes







Biographie |



Famille et études |


Georges Michel Claude André Duby est issu d'une famille d'artisans parisiens. Son père était teinturier et travaillait notamment pour le cinéma.


Il fait ses études secondaires à Mâcon[1] et est lauréat du Concours général de dessin. Il fait ensuite des études supérieures d'histoire et de géographie à la faculté de lettres de Lyon et est reçu 9e (sur 12) à l'agrégation d'histoire et géographie en 1942[2].



Carrière universitaire |


Il commence sa carrière dans l'enseignement secondaire, puis est nommé assistant à la Faculté de lettres de l'université de Lyon à la Libération, enseigne quelque temps à Besançon, puis obtient la chaire d'histoire du Moyen Âge à la Faculté de lettres d'Aix-en-Provence en 1951. Il se fixe alors dans cette région.


Le samedi 21 juin 1952, Georges Duby soutient à la Sorbonne sa thèse de doctorat ès lettres, réalisée sous la direction de Charles-Edmond Perrin et intitulée La Société aux XIe et XIIe siècles dans la région mâconnaise (thèse qui sera ensuite publiée en 1953) ; sa thèse complémentaire étudie Les pancartes de l'abbaye cistercienne de la Ferté-sur-Grosne, 1113-1178. Outre Perrin, le jury est composé de Robert Fawtier et Pierre Petot, respectivement professeur d'histoire médiévale à la Sorbonne et professeur d'histoire du droit à la Faculté de droit de Paris[3]. Dans sa thèse, Duby utilise la masse considérable des documents de l'abbaye de Cluny pour expliquer « à fond » un espace particulier, le Mâconnais, reprenant l'exemple des monographies régionales produites alors par l'école géographique française[4].


En 1970, il est élu à la chaire d'histoire des sociétés médiévales du Collège de France, qu'il occupe jusqu'en 1991.


Les archives (manuscrits et tapuscrits) qu'il a constituées au cours de sa carrière sont réunies dans le « fonds Duby » déposé pour l'essentiel par sa veuve Andrée Duby depuis 2003[5] à l'Institut mémoires de l'édition contemporaine[6]. Madame Andrée Duby est décédée le 19 août 2016 à l'âge de 96 ans.



Distinctions et hommages |


Les honneurs officiels récompensent son enseignement et ses nombreuses publications, dont le rayonnement dépasse très largement le cercle des spécialistes.


En 1974, il est élu membre ordinaire de l'Académie des inscriptions et belles-lettres[7]. Le 18 juin 1987, il est élu à l'Académie française, où il succède à Marcel Arland au 26e fauteuil[7]. Il est reçu sous la Coupole en 1988 par Alain Peyrefitte. La cérémonie est filmée intégralement par la télévision française et diffusée par la chaîne FR3.  Il fut également membre étranger de la British Academy, de la Royal Historical Society, de la Medieval Academy of America, de la Société américaine de philosophie, de l'Académie royale des sciences, des lettres et des beaux-arts de Belgique, de l’Accademia nazionale dei Lincei, de l'Académie royale espagnole, de l'Académie hongroise des sciences et de l'Academia Europaea[8].


En 1973, il est récompensé par le Prix des Ambassadeurs pour son livre Le dimanche de Bouvines. En 1977, il est aussi lauréat du Grand prix Gobert de l'Académie française pour son livre Le temps des cathédrales.


Georges Duby est récipiendaire des décorations suivantes[4] :




  • Commandeur de la Légion d'honneur Commandeur de la Légion d'honneur


  • Grand officier de l'ordre national du Mérite Grand officier de l'ordre national du Mérite


  • Commandeur de l'ordre des Palmes académiques Commandeur de l'ordre des Palmes académiques




  • Ordre des Arts et des Lettres Commandeur ribbon.svg Commandeur dans l’ordre des Arts et des Lettres


  • Ordre du Merite agricole Chevalier 1999 ribbon.svg Chevalier du Mérite agricole



Apport à l'histoire du Moyen Âge |


Georges Duby a su dès le début de sa carrière renouveler la perception du Moyen Âge en adoptant des points de vue originaux. Sa rencontre avec la géographie est importante dans sa formation d'historien. Elle est alors, à la fin des années 1940, selon ses mots, une discipline où l'on est « le plus attentif à ce qui se produisait de plus neuf parmi les sciences de l'homme ». Cette filiation (André Allix, Roger Dion) l'amène à étudier l'histoire médiévale, mais, plus encore, à prendre en compte les paysages et les sociétés rurales de cette époque.


Plus particulièrement spécialiste des Xe, XIe, XIIe, et XIIIe siècles en Europe occidentale, Duby contribue tout au long de ses ouvrages à renouveler les méthodes et les objets de la discipline historique. Auteur de vastes études (Guerriers et paysans en 1973, L'Europe au Moyen Âge en 1979), il pousse encore plus loin ses recherches sur la société médiévale en reprenant la célèbre trifonctionnalité de Georges Dumézil (Les Trois Ordres ou l'Imaginaire du féodalisme en 1978) tout en renouvelant l'archétype de l'événement historique dans un livre aujourd'hui célèbre par le paradoxe apparent qu'il affirme dans son titre : Le Dimanche de Bouvines, sur la Bataille de Bouvines, publié en 1973, est une célébration de l'événement, certes, mais surtout une analyse magistrale de son environnement et de ses conséquences.


Grand admirateur de Fernand Braudel[9], il appartient cependant à la troisième génération d'historiens de l'école des Annales, fondée en 1929 par Marc Bloch et par Lucien Febvre, notamment par ses apports à l'histoire des mentalités, constitutive de cette troisième génération.


Outre son intérêt non démenti pour la géographie relevé plus haut, Georges Duby s'illustre également par sa maîtrise de la langue française et par des apparitions à la télévision, dans le cadre d'émissions de vulgarisation inspirées par ses écrits, comme Le Temps des cathédrales (1976), ou dans le cadre de débats. Il a été président de la chaîne de télévision Arte France depuis sa création en 1986 jusqu'en 1989.


Georges Duby a beaucoup apporté au renouvellement de la compréhension de l'Histoire grâce au concept de représentation mentale. Avec d'autres penseurs, comme Marc Augé en anthropologie, il a reconnu et explicité la fonction de la représentation dans la constitution des ordres et des rapports sociaux, l'orientation des comportements collectifs et la transformation du monde social. À propos de l'imaginaire de la féodalité, Georges Duby parle de la représentation comme « membrure », « structure latente », « image simple » de l'organisation sociale assurant le passage vers différents systèmes symboliques.



Bibliographie sélective |


Note : une liste exhaustive des œuvres de Duby est disponible sur le site de l'Académie française[4],[10].


Ouvrages universitaires



  • La Société aux XIe et XIIe siècles dans la région mâconnaise, Paris, Éditions de l’École des Hautes Études en Sciences Sociales, 1953. Thèse de doctorat d'État.


  • L'Économie rurale et la vie des campagnes dans l'Occident médiéval, Paris, Aubier, 1962, 2 volumes.


  • Hommes et structures du Moyen Âge, Paris, Mouton, 1973; rééd. en deux volumes : Seigneurs et Paysans et La Société chevaleresque, Paris, Flammarion, 1988.


  • Guerriers et Paysans, VIIe – XIIe siècles : premier essor de l'économie européenne, Paris, Gallimard, 1973.


  • Les Trois Ordres ou L'Imaginaire du féodalisme, Paris, Gallimard, 1978 (ISBN 2070286045).


  • Le Chevalier, la Femme et le Prêtre : le mariage dans la France féodale, Paris, Hachette, 1981 (ISBN 2012790712).


  • Guillaume le Maréchal ou Le meilleur chevalier du monde, Paris, Fayard, 1984 (ISBN 2070323447). Biographie de Guillaume le Maréchal, qui s'élève dans la hiérarchie féodale par ses dons jusqu'à devenir l'un des hommes les plus puissants du royaume d'Angleterre.


  • Mâle Moyen Âge : de l'amour et autres essais, Paris, Flammarion, 1988, réédition de 2010, (ISBN 9782081236325).


  • Dames du XIIe siècle, Paris, Gallimard, 1995-1996, 3 volumes.


  • Les Femmes et le pouvoir au XIIe siècle, conférence donnée au Collège de France le 17 février 1994, CD audio, Houilles, Le Livre qui parle, 2009.


Ouvrages grand public



  • Le Dimanche de Bouvines (27 juillet 1214), Gallimard « Trente journées qui ont fait la France », Paris, Gallimard, 1973 (ISBN 2070322955). Duby y montre qu'un historien des Annales peut aussi, à l'occasion, traiter d'un événement : la bataille de Bouvines.

  • Avec Andrée Duby, Les procès de Jeanne d'Arc, Paris, Gallimard, 1973.


  • L'An mil, Paris, Gallimard, 1980 (ISBN 2-07-032774-4).


  • L'Europe au Moyen Âge (art roman, art gothique), Paris, Arts et Métiers Graphiques, 1981.


Histoire de l'art



  • Adolescence de la chrétienté occidentale, L'Europe des cathédrales et Fondement d'un nouvel humanisme, Genève, Skira, 1966-1967, 3 volumes ; repris en un volume sous le titre Le Temps des cathédrales : l'art et la société (980–1420), Paris, Gallimard, 1976 (Grand Prix Gobert de l'Académie française 1977) (ISBN 207029286X).


  • Saint Bernard : l'art cistercien, Paris, Arts et Métiers Graphiques, 1976.


Participation à des ouvrages collectifs


  • (dir.) Atlas historique, Paris, Larousse, 1978. Nombreuses rééditions revues et augmentées.

  • Avec Robert Mandrou, Histoire de la civilisation française, Paris, A. Colin, 1958, 2 volumes.

  • (dir.) Histoire de la France, Des origines à nos jours, Paris, Larousse, 1970-1971, 3 volumes; rééd., Paris, Larousse, 2007, coll. "Bibliothèque historique", (ISBN 978-2035826367).

  • (codir. avec Armand Wallon) Histoire de la France rurale, Paris, Le Seuil, 1976, 4 volumes.

  • (dir.) Histoire de la France urbaine, Paris, Le Seuil, 1980-1985, 5 volumes

  • (codir. avec Philippe Ariès) Histoire de la vie privée, Paris, Le Seuil, 1985-1987, 5 volumes[11](ISBN 2-02-008987-4)

  • (codir. avec Michelle Perrot) Histoire des femmes en Occident, Paris, Plon, 1990-1992, 5 volumes.


Divers


  • Avec Guy Lardreau, Dialogues, Paris, Flammarion, 1980 (rééd. Les petits Platons, 2013 (ISBN 978-2082117036 et 2082117030)).


  • L'Histoire continue, Paris, Odile Jacob, 1991, (ISBN 2738110428).


  • Mes ego-histoires (livre édité à titre posthume par Patrick Boucheron et Jacques Dalarun), Paris, Gallimard, 2015[12].



Notes et références |




  1. Le Goff 1997, p. 199.


  2. André Chervel, « Les agrégés de l'enseignement secondaire. Répertoire 1809-1950 », sur Ressources numériques en histoire de l'éducation (consulté le 19 juin 2014).


  3. Revue historique, no 209, 1953, p. 209-212.


  4. a b et c« Georges DUBY », sur Académie française (consulté le 12 janvier 2016).


  5. Patrick Boucheron et Jacques Dalarun, Georges Duby, portrait de l'historien en ses archives, Gallimard, 2015, 480 p. (ISBN 978-2070149209, lire en ligne).


  6. Fonds Duby à l'IMEC.


  7. a et b« Georges Duby », sur aibl.fr


  8. Sylvain Rakotoarison, « Georges Duby, le Moyen-Âge en Europe et son histoire sociale », sur agoravox.fr, 3 décembre 2016


  9. Georges Duby, L'Histoire continue, Odile Jacob, coll. « Poches Odile Jacob », 1991, p. 143.


  10. On trouvera dans Histoire et société : mélanges offerts à Georges Duby, textes réunis par les médiévistes de l'Université de Provence (Aix-en-Provence, Publications de l'Université de Provence, 1992) la référence des articles publiés par ce savant dans diverses revues et publications.


  11. I : De l'Empire romain à l'an mil, (ISBN 2-02-008986-6) ; II : De l'Europe féodale à la Renaissance, (ISBN 2-02-008992-0) ; III : De la Renaissance aux Lumières, (ISBN 2-02-009293-X) ; IV : De la Révolution à la Grande Guerre, (ISBN 2-02-009455-X) ; V : De la Première Guerre mondiale à nos jours, (ISBN 2-02-009679-X).


  12. Etienne Anheim, « Histoire d’un livre. Moi, Georges Duby, historien », sur lemonde.fr, 9 juillet 2015



Voir aussi |


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Bibliographie |




  • Maurice Agulhon, « Duby Georges (1919-1996) », sur Encyclopædia Universalis.


  • Patrick Boucheron, « La lettre et la voix : aperçus sur le destin littéraire des cours de Georges Duby au Collège de France, à travers le témoignage des manuscrits conservés à l'IMEC », Le Moyen Âge, De Boeck, t. CXV,‎ 2009, p. 487-528 (lire en ligne).


  • Patrick Boucheron (dir.) et Jacques Dalarun (dir.), Georges Duby, portrait de l'historien en ses archives : colloque de la Fondation des Treilles, Paris, Gallimard, 2015, 472 p. (ISBN 978-2-07-014920-9, présentation en ligne).


  • François Bougard, « Genèse et réception du Mâconnais de Georges Duby », Bulletin du Centre d'études médiévales d'Auxerre, no hors-série no 1 « Georges Duby »,‎ 2008(lire en ligne).


  • Laurent Feller, « Georges Duby et les Études d'histoire rurale », Bulletin du Centre d'études médiévales d'Auxerre, no hors-série no 1 « Georges Duby »,‎ 2008(lire en ligne).


  • Jean-Claude Helas, « Le vocabulaire de Georges Duby dans L’économie rurale et la vie des campagnes dans l’Occident médiéval », dans Benoît Cursente et Mireille Mousnier (dir.), Les Territoires du médiéviste, Presses universitaires de Rennes, 2005(ISBN 9782753532212, lire en ligne), p. 45-70.


  • Jacques Le Goff, « Georges Duby (1919-1996) », Cahiers de civilisation médiévale, no 158,‎ 1997 (40e année), p. 199-209 (lire en ligne).


  • Florian Mazel, « Pouvoir aristocratique et Église aux Xe-XIe siècles : retour sur la « révolution féodale » dans l'œuvre de Georges Duby », Bulletin du Centre d'études médiévales d'Auxerre, no hors-série no 1 « Georges Duby »,‎ 2008(lire en ligne).


  • (en) Leah Shopkow, « Georges Duby (1919-1996) », dans Philip Daileader et Philip Whalen (dir.), French Historians, 1900-2000 : New Historical Writing in Twentieth-Century France, Chichester / Malden (Massachusetts), Wiley-Blackwell, 2010, XXX-610 p. (ISBN 978-1-4051-9867-7, présentation en ligne), p. 180-201.



Articles connexes |



  • Représentation sociale

  • Représentation


  • Lycée international Georges-Duby de Luynes (commune d’Aix-en-Provence, Bouches-du-Rhône, Provence-Alpes-Côte d'Azur ; académie d’Aix-Marseille).



Liens externes |




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  • (fr) Georges Duby, historien esthète du Moyen Âge dans le magazine Label France (mars 1997)


  • (fr) André Masson et Georges Duby


  • (fr) Benoît Marpeau, « L'historien, l'éditeur et l'œuvre : un itinéraire de Georges Duby », Les Cahiers du CRHQ, no 3, 2012, 27 p., [lire en ligne] sur le site HAL-SHS (Hyper Article en Ligne - Sciences de l'Homme et de la Société).


  • (fr) Georges Duby : une histoire rajeunie sur le site consacré à Philippe Ariès.


  • Georges duby : les leçons d'un concile dans le magazine L'Histoire 01/09/1995


  • À la mémoire de Georges Duby par Pierre Bonnassie, Annales du Midi (1997)




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