Liste des évêques puis archevêques de Tarentaise
La liste des évêques puis archevêques de Tarentaise ou parfois Moûtiers-Tarentaise présente la succession des prélats à la tête de l'évêché, puis de l'archevêché de Tarentaise, installés à Moûtiers, anciennement Darentasia, et possédant le pouvoir spirituel — et, par période, temporel — sur l'ensemble de la vallée de la Tarentaise.
Fondé au début du Ve siècle, l'évêché de Tarentaise, suffragant de Vienne, fut érigé en archevêché à la fin du VIIIe siècle. Il est supprimé en 1793 à la suite du rattachement du duché de Savoie à la France, avant d'être rétabli en 1825, comme simple évêché, suffragant de celui de Chambéry.
Sommaire
1 Évêques des périodes romaine et mérovingienne
2 Archevêques au haut Moyen Âge
3 Archevêques-Comtes
4 Archevêques
5 Archevêques de Chambéry et Genève
6 Évêques de Tarentaise
7 Archevêque de Chambéry, Évêque de Maurienne et Évêque de Tarentaise
8 Voir aussi
8.1 Bibliographie
8.2 Articles connexes
8.3 Liens externes
9 Notes et références
Évêques des périodes romaine et mérovingienne |
420 - 16 janvier 429, , saint Jacques d’Assyrie (également appelé Jacques de Tarentaise) est considéré comme le premier évêque de Tarentaise, résidant à Moûtiers. Il est honoré comme l'apôtre de la Savoie[1].
429 - 440, saint Marcellius, Marcel ou Marcellin[1],[2],[3].Édification de la 1re cathédrale.
Paschassius[1]
- 440 - 460, saint Thomas de Lérins[1],[3]. Moine de l'abbaye de Lérins
517 - 524, Sanctius, reconstruction de la cathédrale[1],[2].
Magnus[1]
Nigetius ou Migetius[1], Nizier ou Migier
- v. 580 - 585, saint Marcien ou Marcel[1]. Il est présent à plusieurs conciles convoqués par le roi de Bourgogne, Gontran[4].
585 (?), saint Heraclius ou Héraclée[1]
Saint Firmius ou Firmin ou Ternicus ou Turricus[1]
Prubinus ou Probin[1]
- v. 648 - 653, Baldemarus[1] ou Buldemar
Emiterius[1] ou Émiter
Widenard ou Videmar ou Vuidernardus[1]
- v. VIIe ou VIIIe siècle, Jean Ier[1]
- Leudegang, Leudrand ou Leodrand
Hubertus ou Hubert ou Artubert[1]
Bonimundus ou Rosimundus[1] ou Benimond, Bonimond ou Bonemond
Emmo ou Emino ou Erminon[1]
Archevêques au haut Moyen Âge |
775 - 800, saint Possessor[1]
Radabert, Dagobert[1]
Eodebert ou Radoabert[1]
824 - 840, Andreas, André[1]
840 - 858, Audax[1] ou Ador, Udax
858 - 885, Teutrand, Théodrad ou Téotranum[1]
Alluso, Laso, Aliso, Alluco[1] ou Aluson, Aluçon
Daniel[1]
900, Anizo Ier[1] ou Annuzon Ier, Annuzio, Aimon
Pandulphus ou Pandolphe[1]
Adalbertus[1]
990, Anizo II[1]
Archevêques-Comtes |
996 Aimon/Aymon (I), Amizo[1], Amizon. Il reçoit le comitatus, c'est-à-dire les droits comtaux, par une charte datée de 996, dite « Charte de Rodolphe III », roi de Bourgogne. L'archevêque devient également Prince du Saint-Empire[5],[6] ;- v. 1000, Cuno[1] ;
- v. 1006, Baldulphus[1]Baldophus, Baldophe ;
- v.1020, Luzo[1] ou Luzon ;
- v.1025 - V.1057, Aymon III, Emmon ou Emmo ou Aimo ou Amizo[1] ;
Ebbon[1] ;- v.1077, Annuzio II[1] ou Annuzon ;
- v.1080, Héraclius[1] ;
- v.1096 - 1099, Bozon, Boson[1] ;
1132 - 1140, bienheureux Pierre l'Ancien ou saint Pierre Ier[1], disciple de Bernard de Clairvaux et ancien abbé de la Ferté ;- v.1140/1141 - 1142, Isdrael, Isdrahel (usurpateur)[1] ;
1142 - 1174, Saint Pierre de Tarentaise[1] ou Pierre le Vénérable ou saint Pierre II de Tarentaise. Ne pas confondre avec Pierre de Tarentaise qui devient Pape sous le nom de Innocent V le bienheureux), canonisé en 1191 ;
1174/1178[7] - 1210/11/12[7], Aymon le chartreux[1] dit aussi Aymon Ier de Briançon[7] ou encore Aymon II[8]. Dans un acte du Régeste genevois, il est dit parent de Henri de Faucigny[7]. Il reçoit de Fédéric Barberousse en 1186 un privilège lui donnant toute autorité en matière d'acquisition foncière dans son diocèse[9] ;
1212/13 - 12 octobre 1222, Bernard de Chignin[1],[8], précédemment évêque de Saint-Jean de Maurienne[10] ;
1223, Jean II (Chartreux)[1],[8] ;
1224 - 1246, Herluin de Chignin[1],[8] ;
1246 (49 ?) - 1271, Rodolphe Ier Grossi du Châtelard[1],[8], ancien évêque d'Aoste transféré dans la métropole tarine. Rodolphe Grossi prend le nom de Grossi du Châtelard par la construction d'une maison forte en ce lieu du Châtelard en Valdigne dans la Vallée d'Aoste ;
juin 1271 - 22 juillet 1283, saint Pierre III Grossi du Châtelard[1],[8], neveu de Rodolphe Grossi du Châtelard ;
1283 - 1297, Aymon III de Bruisson[1],[8] ;
avril 1297 - 9 mai 1334, Bertrand Ier de Bertrand (Famille de Bertrand)[1],[8] ;
mai 1334 - mars 1341, Jacques II de Salins[1] ou Jacques de Verloz[8] ;
7 octobre 1341, Bertrand II de Novo Domno (Novodomno)[1],[8] ;- 1341 - 1343 : Bernard (abbé)[1],[8] ;
3 décembre 1343 - mars 1365, Jean III de Bertrand Jean de Brussol (Famille de Bertrand)[1],[8], fils de Jean de Bertrand, seigneur de Brussol. Ancien évêque de Lausanne (1341)[11] ;
1er mai 1365 - 1368, Jean IV de/du Betton[1],[8] ;
1368 - 30 novembre 1378, Jean V de Rotariis[1],[8] ;
1378 - 1380/81, Humbert II de Villette[1],[8]. Né à une date inconnue et mort en 1380 ou 1381, est un ecclésiastique issu de la famille de Chevron Villette[12]. Il est prieur de Tarentaise avant d'être élu le 21 décembre 1378 archevêque[12] ;- 1380/81 - 1385, Rodolphe II de Chissey (Chissé)[1],[8] ;
1386 - 1395, Édouard de Savoie-Achaïe ou de Savoie[1],[8]. Ancien évêque de Belley et futur prince-évêque de Sion ;
26 avril 1395 - 1396, Pierre IV de Collomb[1],[8]. Fils de Claude Colomb vivant à Baugé, en Bresse, vers 1350, seigneur de La Sale-Manziat. Avant son entrée dans les ordres, il est conseiller ordinaire d'Amédée de Savoie, en 1372. En 1391, il est prieur de l'église Saint-Pierre de Mâcon. Deux ans plus tard, il devient conseiller de Bonne de Bourbon, régente du comté de Savoie à la suite de la mort de son époux, le comte Amédée VI. Le 26 avril 1395, il est nommé archevêque de Tarentaise. Le nouveau prélat est considéré comme un agent du duc de Bourgogne[13] ;
1397 - 1404, administrateur Aymon Séchal ou Aymon IV[1],[8]. Patriarche de Jérusalem à partir de 1385, administrateur du diocèse de Lausanne à partir de 1394, puis celui de Belley la même année et en 1398 celui de Sion[14] ;- 1405 - 1418, Antoine de Challant[1],[15], cardinal de Sainte-Cécile ;
- 1418 - 1432, Jean V de Bertrand[1],[15], ancien évêque de Genève (Famille de Bertrand), ancien évêque de Genève (1408-1418)[16] ;
- 1433 - 1438, Laurent Marc de Condolmeris[1] ou Marco de Gondimeriis[15] ;
- 1438 - 1454, cardinal Jean VI de l’Arces (d'Arcy)[1],[15] ;
- 1454 - 1456/58, Pierre de Savoie[1],[15], 7e enfant du duc Louis Ier de Savoie et d'Anne de Lusignan ; par ailleurs évêque de Genève. Thomas de Sur, archevêque de Tarse, administre le diocèse du fait du jeune âge de Pierre[17] ;
- 1456/58 - 1459, Jean-Louis de Savoie[1],[15], 13e enfant du duc Louis Ier de Savoie et d'Anne de Lusignan ; par ailleurs évêque de Genève. Thomas de Sur, archevêque de Tarse, poursuit son administration du diocèse en compagnie de l'évêque Hébron[17] ;
- 1460 - 1472, Thomas de Sur[1],[15] ;
- 1472 - 1479, cardinal Christophe de La Rovère[1],[15] ;
- 1479 - 1482, cardinal Dominique de La Rovère[1],[15], frère du précédent ;
- 1483, Urbain I de Chevron Villette[1],[15] († 1483), fils de Rodolphe de Villette, seigneur de Chevron ;
- 1484 - 1492, Jean de Compey (Compeys)[1],[15] (1462 -† 1492) ;
- 1492 - 1497, Corin de Plosasque (Piosasque)[1],[15], fils du comte de Plosasque. Il fut conseiller de Blanche de Montferrat, épouse du duc Charles Ier de Savoie, puis précepteur du futur duc Charles III. Nommé en 1492, il n'arrive dans la ville métropolitaine qu'en 1496[18] ;
- 1497 - 1516, Claude de Châteauvieux[1],[15],[19]. Il appartient à la famille de Chateauvieux en Bresse. Protonotaire apostolique, prieur de Coligny ;
- 28 avril 1516 - 1559, Jean-Philippe de Groslée (1504-1559) (Aussi appelé Jacques-Philippe)[20],[21],[22].
- 1560 - 1573, Jérôme de Valpergue (Valpergua)[23]. Issu d'une famille noble piémontaise, le duc Charles III le nomme abbé d'Abondance[24].
- 1573 - 1598, Joseph de Parpaille (†1598) (Parpaglia)[25]. Issu d'une famille noble piémontaise de Moncalieri, il est mort de la peste en 1598.
- 1598 - 1607, Jean-François Berliet[26]. Il fut conseiller, puis premier président de la Chambre des comptes de Savoie avant de devenir archevêque, à la suite de la mort de son épouse. Seigneur de Chiloup et de La Roche, il a été fait baron du Bourget en 1589 par achat du titre. Il est l'ambassadeur du duc Charles-Emmanuel Ier de Savoie auprès de Henri IV après la signature du traité de Paris, en 1600[27]. Durant son épiscopat, le duché est occupé par les troupes françaises, menées par Lesdiguières, qui démantèlent Conflans et brûlent les archives[28].
- 1608 - 1627, Anastase Germonio.
- 1632 - 1658, Benoît-Théophile de Chevron Villette.
- 1659 - 1703, François-Amédée Milliet de Challes et d’Arvillars.
Siège vacant de 1703-1727
- 1727 - 1744, François-Amédée Milliet d’Arvillars
- 1749 - 1770, Claude-Humbert de Rolland, dernier Archevêque-Comte
Archevêques |
- 1772 - 1783, Gaspard-Augustin Laurent de Sainte-Agnès
- 1785 - 1793, Joseph de Montfalcon du Cengle
Siège vacant de 1793 à 1803 André-Marie de Maistre (1757-1818) est nommé vicaire capitulaire de Tarentaise.Il est le fils du comte François-Xavier Maistre[29].
Archevêques de Chambéry et Genève |
Le concordat de 1802 rassemble, avec le titre de Chambéry et Genève, l'ensemble des deux départements savoyards, mettant fin à l’archidiocèse de Moûtiers-Tarentaise. De 1803 à 1825, l’évêché de Moûtiers est réuni à celui de Chambéry.
- 1802 - 1805, René des Monstiers de Mérinville
- 1805 - 1823, Irénée-Yves de Solle
Évêques de Tarentaise |
- 1826 - 1828, Antoine Martinet
- 1828 - 1836, Antoine Rochaix
- 1838 - 1867, Jean-François Turinaz
- 1867 - 1873, François Gros
- 1873 - 1882, Charles-François Turinaz
- 1882 - 1887, Jean-Pierre Pagis
- 1888 - 1900, Pierre-Emmanuel Bouvier
- 1901 - 1907, Lucien Lacroix
- 1907 - 1918, Jean-Basptiste Biolley
- 1919 - 1938, Louis Termier
- 1938 - 1944, Léon-Albert Terrier
- 1944 - 1961, Auguste Jauffres
- 1961 - 1966, André Bontems
Archevêque de Chambéry, Évêque de Maurienne et Évêque de Tarentaise |
Le 26 avril 1966, un décret du Saint-Siège unit les diocèses de Chambéry, Moûtiers et Saint-Jean-de-Maurienne. Ce décret indique que les diocèses de Moûtiers-Tarentaise et de Saint-Jean-de-Maurienne sont réunis aeque principaliter à l'archidiocèse de Chambéry de telle sorte qu'il y ait un seul et même évêque à la tête des trois diocèses et qu'il soit en même temps Archevêque de Chambéry, évêque de Maurienne et évêque de Tarentaise.
- 26 avril 1966 - 1985, André Bontems
- 1985 - 2000, Claude Feidt
- 2000 - 2008, Laurent Ulrich
- 2009-présent, Philippe Ballot
Voir aussi |
Bibliographie |
Réjane Brondy, Bernard Demotz, Jean-Pierre Leguay, Histoire de Savoie - La Savoie de l'an mil à la Réforme, XIe-début XVIe siècle, Ouest France Université, 1984, 626 p. (ISBN 2-85882-536-X). .
Marius Hudry, Histoire des communes savoyardes : Albertville et son arrondissement (vol. 4), Roanne, Éditions Horvath, 1982, 444 p. (ISBN 978-2-7171-0263-5, lire en ligne). notamment Article [PDF] « Moûtiers »
Jacques Lovie, Histoire des diocèses de France : Chambéry, Tarentaise, Maurienne, vol. 11, Paris, Éditions Beauchesne, 1979, 299 p. (ISSN 0336-0539). .- Jacqueline Roubert, « La seigneurie des Archevêques Comtes de Tarentaise du Xe au XVIe siècle », Mémoires de l'Académie des sciences, belles-lettres et arts de Savoie, impr. Chatelain (Chambéry), no 6, tome 5, 1961, p. 235 (lire en ligne)
- Annuaire historique 1848 (année 1849), p. 137-142
Louis de Mas Latrie,Trésor de chronologie, d'histoire et de géographie pour l'étude et l'emploi des documents du moyen-âge (TC), V. Palmé, 1889, Paris, p. 1495-1496 (lire en ligne)
Articles connexes |
- Diocèse de Tarentaise
- Vallée de la Tarentaise
- Cathédrale Saint-Pierre de Moûtiers
- Archidiocèse de Chambéry, Maurienne et Tarentaise
- Liste des évêques, puis archevêques de Chambéry
Liens externes |
- Dossiers sur le site des Archives départementales de la Savoie et de la Haute-Savoie - Sabaudia.org
Michèle et Edmond Brocard, « Le patrimoine baroque religieux en Savoie et Haute-Savoie » (consulté le 20 février 2016), p. II-3. Les décideurs, section évêques de Saint-Jean-de-Maurienne et évêques de tarentaise- J. Luquet, E. Vasseur, « La charte de Rodolphe : le plus ancien document des archives de la Savoie », sur savoie-archives.fr (consulté le 20 février 2016)
- « La charte de Rodolphe III, roi de Bourgogne », sur savoie-archives.fr (consulté le 20 février 2016)
Notes et références |
Lovie 1979, p. 278.
Chronologie de Sabaudia.org
Jean Prieur, Hyacinthe Vulliez, Saints et saintes de Savoie, La Fontaine de Siloé, 1999, 191 p. (ISBN 978-2-8420-6465-5, lire en ligne), p. 19.
Jean Prieur, Hyacinthe Vulliez, Saints et saintes de Savoie, La Fontaine de Siloé, 1999, 191 p. (ISBN 978-2-8420-6465-5, lire en ligne), p. 24.
Histoire de Savoie 1984, p. 21.
J. Luquet, E. Vasseur, « La charte de Rodolphe : le plus ancien document des archives de la Savoie, « Précepte de Rodolphe III, roi de Bourgogne, accordant le pouvoir comtal à l'archevêque de Tarentaise Amizon » », Conseil général de la Savoie - Archives départementales, 2010(consulté le 24 août 2011).
Régeste genevois, REG 0/0/1/408, acte sans date, p. 112 ([hhttps://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6587541f/f160.item lire en ligne]).
Histoire de Savoie 1984, p. 253.
D'après Gallia Christiana, XII, Instrum., p. 387.
Lovie 1979, p. 43.
Claire Martinet, « Bertrand, Jean » dans le Dictionnaire historique de la Suisse en ligne, version du 24 septembre 2002.
Mémoires, Académie de Savoie 1961, p. 113.
Bruno Galland, Les papes d'Avignon et la Maison de Savoie : 1309-1409, Rome, École française de Rome, 1998(ISBN 978-2-7283-0539-1, lire en ligne), p. 388.
Ansgar Wildermann / LA, « Séchal, Aymon » dans le Dictionnaire historique de la Suisse en ligne, version du 17 juin 2011.
Histoire de Savoie 1984, p. 382.
Martine Piguet, « Bertrand, Jean de » dans le Dictionnaire historique de la Suisse en ligne, version du 15 février 2001.
Henri Naef, Les Origines de la Reforme a Geneve, Volume 2, Librairie Droz, 1968(ISBN 2-60005-065-5), p. 27.
Lovie 1979, p. 58.
(en) « Archbishop Claude de Château-Vieux † », sur www.catholic-hierarchy.org, David M. Cheney (consulté le 22 août 2012).
(en) « Archbishop Jean-Philippe de Groslée † », sur www.catholic-hierarchy.org, David M. Cheney (consulté le 22 août 2012).
Thalia Brero, Les baptêmes princiers : le cérémonial dans les cours de Savoie et de Bourgogne (XVe-XVIe s.) - Volume 36 de Cahiers lausannois d'histoire médiévale, Université de Lausanne, Section d'Histoire, Faculté des Lettres, 2005.
Jean-Paul Bergeri, Histoire de Moûtiers. Capitale de la Tarentaise, La Fontaine de Siloé, coll. « Les Savoisiennes » (ISBN 978-2-84206-341-2), p. 202, notice.
(en) « Archbishop Jérôme de Valperga † », sur www.catholic-hierarchy.org, David M. Cheney (consulté le 22 août 2012).
(frr) Henri Baud, Jean-Yves Mariotte, Histoire des communes savoyardes : Le Chablais, Éditions Horvath, 1980, 422 p. (ISBN 978-2-7171-0099-0), p. 187.
(en) « Archbishop Joseph Parpaglia † », sur www.catholic-hierarchy.org, David M. Cheney (consulté le 22 août 2012).
(en) « Archbishop Jean-François Berliet † », sur www.catholic-hierarchy.org, David M. Cheney (consulté le 22 août 2012).
Gabriel Pérouse, Les environs de Chambéry : Guide historique et archéologique, La Fontaine de Siloé, coll. « Le Champ régional », 1993(ISBN 978-2-9086-9747-6), p. 332.
Lovie 1979, p. 88.
Jean-Marie Mayeur, Christian Sorrel, Yves-Marie Hilaire, La Savoie, t. 8, Paris, Éditions Beauchesne, coll. « Dictionnaire du monde religieux dans la France contemporaine », 1996, 2003, 441 p. (ISBN 978-2-7010-1330-5), p. 277.
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