Domme


























































































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Domme
La bastide de Domme dans la brume matinale.

Blason de Domme
Blason

Administration

Pays

Drapeau de la France France

Région

Nouvelle-Aquitaine

Département

Dordogne

Arrondissement

Sarlat-la-Canéda

Canton

Vallée Dordogne

Intercommunalité

Communauté de communes de Domme-Villefranche du Périgord

Maire
Mandat
Jean-Claude Cassagnole
2014-2020

Code postal
24250

Code commune
24152
Démographie

Gentilé
Dommois(es)

Population
municipale
923 hab. (2015 en diminution de 7,52 % par rapport à 2010)
Densité 37 hab./km2
Géographie

Coordonnées

44° 48′ 08″ nord, 1° 12′ 52″ est

Altitude
Min. 60 m
Max. 303 m

Superficie
24,91 km2
Localisation


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Liens

Site web

domme.fr


Domme est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine. Ancienne bastide médiévale, la commune était le chef-lieu du canton de Domme de 1790 à 2015.


Elle fait partie de l'association Les Plus Beaux Villages de France.




Sommaire






  • 1 Géographie


    • 1.1 Communes limitrophes




  • 2 Toponymie


  • 3 Histoire


  • 4 Politique et administration


    • 4.1 Rattachements administratifs et électoraux


    • 4.2 Intercommunalité


    • 4.3 Liste des maires




  • 5 Démographie


  • 6 Économie


    • 6.1 Emploi


    • 6.2 Établissements




  • 7 Site militaire d'écoutes électroniques


  • 8 Culture et patrimoine


    • 8.1 Lieux et monuments


    • 8.2 Personnalités liées à la commune


    • 8.3 Héraldique


    • 8.4 Médias


      • 8.4.1 Cinéma


      • 8.4.2 Littérature






  • 9 Galerie


  • 10 Voir aussi


    • 10.1 Bibliographie


    • 10.2 Articles connexes


    • 10.3 Liens externes




  • 11 Notes et références


    • 11.1 Notes


    • 11.2 Références







Géographie |




La Dordogne vue depuis l'esplanade de Domme.


Au sud-est du département de la Dordogne, en Périgord noir, la commune de Domme est, bordée au nord par la Dordogne qui y forme un important méandre, le « cingle de Montfort ».


Elle fait partie de l'association Les Plus Beaux Villages de France[1].


L'altitude minimale, 60 mètres, se trouve à l'ouest, là où la Dordogne quitte la commune pour servir de limite entre celles de Cénac-et-Saint-Julien et La Roque-Gageac. L'altitude maximale avec 302 ou 303 mètres[2] est localisée à l'ouest de l'aérodrome de Sarlat - Domme.


La bastide de Domme, perchée sur une falaise à 210 mètres d'altitude, domine la Dordogne de plus de cent mètres. Elle n'offre pas le plan rectangulaire caractéristique des bastides, mais affecte la forme d'un trapèze. Les fortifications qui l'enserrent ont été adaptées dans leur tracé aux nécessités du terrain. Elle est traversée par la route départementale (RD) 49 et se situe, en distances orthodromiques, dix kilomètres au sud de Sarlat et quinze kilomètres au nord-ouest de Gourdon.


Le territoire communal est également desservi par les RD 46E, 46E3 et 50. Il est longé sur une centaine de mètres au nord-ouest par la RD 46.


Le sentier de grande randonnée GR 64 traverse le territoire communal d'ouest en est, sur environ sept kilomètres. Une variante, le GR 64A, dessert le nord de la commune, en direction de Vitrac sur environ quatre kilomètres.




Vue panoramique de Domme



Communes limitrophes |


Domme est limitrophe de six autres communes.






















Communes limitrophes de Domme

Vitrac


Carsac-Aillac

La Roque-Gageac
Domme
Groléjac

Cénac-et-Saint-Julien


Nabirat



Toponymie |


En occitan, la commune porte le nom de Doma[3].


Ses habitants sont appelés les Dommois(es)[4].



Histoire |




Domme, la halle du XVIIIe siècle.


La bastide fut fondée en 1281[5] par Philippe le Hardi sur un plateau à l'ouest duquel existait déjà un château, alors dans les mains de la famille de Gourdon. Domme possède deux places où se pratiquait le commerce : la place de la Halle et la place de la Rode. La cité commerçante organisait des foires et obtint le privilège de battre sa propre monnaie.


On a considéré longtemps qu'en 1307 la cité devint, lors de l'arrestation des Templiers, un lieu où soixante-dix d'entre eux furent emprisonnés. Ils venaient, disait-on, des diocèses de Périgueux, Cahors, Rodez, Bourges, Limoges, Clermont, Angoulême et Poitiers; et ils auraient laissé comme témoignage de leur passage la centaine de graffitis que l'on retrouve à la porte des Tours. On a dit à ce sujet et sans preuve que les Templiers usaient d'un code géométrique : l'octogone pour le Graal, le triangle surmonté d'une croix pour le Golgotha, le carré pour le Temple. Les cercles, eux, auraient symbolisé l'enfermement. On a dit aussi que des gravures à la symbolique assez proche furent retrouvées à Loches, Gisors et Chinon, ce qui est purement imaginaire. Leur authenticité pour ces trois sites est contestée par les spécialistes. En réalité, l'identification des graffiti de Domme et leur prétendue justification historique furent basées sur de faux relevés, imaginés par un faussaire aujourd'hui bien identifié, et des méthodes d'interprétation des images et des documents très fantaisistes sans aucun fondement scientifique[6],[7].


Ultérieurement, durant la guerre de Cent Ans[8], la bastide devient un lieu convoité par les Anglais. La première prise de la cité par ces derniers date de 1347. À plusieurs reprises, elle change successivement de mains entre les deux camps rivaux jusqu'en 1437, date de son retour dans le domaine français.


De nouvelles tribulations attendent ce site durant les guerres de Religion. La bastide est prise en 1588 par Geoffroy de Vivans, capitaine protestant de la garnison de Castelnaud qui escalade, de nuit avec ses hommes, la falaise pour ouvrir les portes au corps principal de ses troupes. Toutefois, le succès des troupes catholiques fut tel qu'il dut céder la bastide dans laquelle il s'était retranché en 1592.


Le calme à peine revenu, la bastide dut faire face à une jacquerie des croquants en 1594 puis ultérieurement en 1637.


Domme connaîtra la prospérité au XVIIe siècle puis périclitera, ce qui a facilité sa conservation jusqu'à nos jours.



Politique et administration |



Rattachements administratifs et électoraux |


Dès 1790, la commune de Domme est le chef-lieu du canton de Domme qui dépend du district de Sarlat jusqu'en 1795, date de suppression des districts. En 1801, le canton dépend de l'arrondissement de Sarlat (devenu l'arrondissement de Sarlat-la-Canéda en 1965)[9].


Dans le cadre de la réforme de 2014 définie par le décret du 21 février 2014, ce canton disparaît aux élections départementales de mars 2015[10]. La commune est alors rattachée au canton de la Vallée Dordogne.



Intercommunalité |


Fin 2001, Domme intègre la communauté de communes du Canton de Domme. Celle-ci est dissoute au 31 décembre 2013 et remplacée au 1er janvier 2014 par la communauté de communes de Domme-Villefranche du Périgord.



Liste des maires |
























































Liste des maires successifs
Période
Identité
Étiquette
Qualité

Les données manquantes sont à compléter.
 
 
 
 
 
 
mars 1989
Jean Bouyssou

PS
Ancien instituteur
1989
mars 2001

Alain Bournazel

RPR
 
mars 2001
mars 2008
Daniel Delpech

PS
 
mars 2008
mars 2014
Jocelyne Lagrange

PS
Institutrice en retraite
mars 2014[11]
en cours
Jean-Claude Cassagnole

PS
 



Démographie |


Articles connexes : Histoire du recensement de la population en France et Démographie de la France.

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population
effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les
populations légales
des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur
une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous
les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est
réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par
interpolation ou extrapolation[12]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[13].



En 2015, la commune comptait 923 habitants[Note 1], en diminution de 7,52 % par rapport à 2010 (Dordogne : +0,31 %, France hors Mayotte : +2,44 %).





























Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 990 1 898 1 823 1 960 2 075 1 994 1 768 2 096 2 115



























1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
2 044 1 996 2 000 1 846 1 823 1 702 1 640 1 635 1 562



























1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 424 1 547 1 411 1 220 1 163 1 092 1 141 1 110 949



























1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2009 2014
855 876 891 910 1 030 987 1 008 989 933



























2015 - - - - - - - -
923 - - - - - - - -

De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[9] puis Insee à partir de 2006[14].)



Histogramme de l'évolution démographique





Économie |



Emploi |


En 2015[15], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent 372 personnes, soit 40,3 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (79) a augmenté par rapport à 2010 (63) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 21,3 %.



Établissements |


Au 31 décembre 2015, la commune compte 152 établissements[16], dont 104 au niveau des commerces, transports ou services, seize dans la construction, quinze relatifs au secteur administratif, à l'enseignement, à la santé ou à l'action sociale, dix dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche, et sept dans l'industrie[17].



Site militaire d'écoutes électroniques |


Domme abrite, sur son territoire, une des plus importantes bases de Frenchelon, destiné au renseignement électronique stratégique, non reconnu officiellement par les pouvoirs français mais géré par l'armée et les services secrets[18].



Culture et patrimoine |



Lieux et monuments |




Une des entrées de Domme : la porte des Tours.




Coucher de soleil sur Domme.



  • Le château de Caudon de la première moitié du XIXe siècle, inscrit depuis 1998 au titre des monuments historiques (MH)[19] et dont le parc est classé parmi les jardins remarquables[20].

  • Les restes du château du Roy, ancien château fort.

  • La chapelle monolithe de Caudon, inscrite en 1948 au titre des monuments historiques[21].

  • Le couvent des Augustins de Domme.

  • La porte des Tours.

  • La place de la Halle.

  • La grotte de Domme située sous la Halle, qui servit de refuge aux habitants de Domme pendant la guerre de Cent Ans et les guerres de religion.

  • Le belvédère de la "Barre" (falaise) de Domme d'où l'on surplombe la vallée de la Dordogne.

  • Le musée d'art et traditions populaires Paul Reclus, installé dans une bâtisse de la place de la Halle, et qui expose une collection d'objets anciens caractéristiques, témoins de la vie des habitants aux XIXe et XXe siècles[22].

  • Le site COMINT d'écoute électronique de la DGSE se trouve à Domme.



Personnalités liées à la commune |




  • Jacques de Maleville (1741-1824), né et mort à Domme, jurisconsulte et homme politique ;


  • Timoléon Taillefer (1802-1868) est un homme politique né à Domme.


  • Auguste Lepère (1849-1918), graveur, illustrateur et peintre, est mort à Domme ;


  • Christiaan Cornelissen (1864-1942), journaliste, économiste, syndicaliste et anarchiste néerlandais, mort à Domme ;


  • Jean Tilho (1875-1956), né à Domme et mort à Paris, général, explorateur du Tchad,du Tibesti et de l'Ennedi ;


  • Lucien de Maleville (1881-1964), peintre impressionniste, inhumé à Domme ;


  • François Augiéras (1925-1971), homme de lettres français, décédé à Périgueux en 1971, est inhumé à Domme ;


  • Philippe Petit (1954-), est un musicien-guitariste de jazz ayant habité à Domme dans son enfance.



Héraldique |







Armes de Domme


Les armes de Domme se blasonnent ainsi : « D'azur au château ouvert et ajouré du champ, donjonné de trois tours, la tour du milieu plus haute que les autres,le tout d'argent maçonné de sable, accosté de six fleurs de lys d'or mises en pal, soutenu par trois tonneaux de même posés de front et accolés 1 et 2. »






Médias |



Cinéma |


Domme a été le cadre de la plupart des scènes en extérieur du téléfilm Ange de feu réalisé par Philippe Setbon et diffusé la première fois en 2006.


Le village, notamment l'église et les remparts, a également servi de lieu de tournage pour Le Tatoué de Denys de La Patellière avec Jean Gabin et Louis de Funès en 1968.



Littérature |


Paul Christopher, écrivain américain, fait voyager son héros Peter Holliday à Domme, au tome II "La Croix" de la tétralogie "Légende des Templiers"[23].



Galerie |




Voir aussi |



Bibliographie |



  • Gustave Charrier, « Domme. Origine de la ville - Privilèges accordés aux habitants - Domme prise cinq fois par les Anglais - Domme prise par les Huguenots », dans Bulletin de la Société historique et archéologique du Périgord, 1902, tome 29, p. 299-332, 471-497 (lire en ligne)

  • Abbé Chanteloube, « Le pays Dommois au XVIIIe siècle », dans Bulletin de la Société historique et archéologique du Périgord, 1912, tome 39, p. 289-307, 393-431, 485-514 (lire en ligne)

  • Géraud Lavergne, « Domme », dans Congrès archéologique de France 90e session. Périgueux. 1927, p. 250-260, Société française d'archéologie, Paris, 1928 (lire en ligne)

  • J. Maubourguet, « Documents sur Domme », dans Bulletin de la Société historique et archéologique du Périgord, 1929, tome 56, p. 53-56 (lire en ligne)

  • J. Maubourguet, « Domme au début du XVIe siècle », dans Bulletin de la Société historique et archéologique du Périgord, 1932, tome 59, p. 182-183 (lire en ligne)

  • Intendant général Chayrou, « Dissentiments entre Domme et Cénac dans la deuxième moitié du XVIIIe siècle », dans Bulletin de la Société historique et archéologique du Périgord, 1941, tome 68, Modèle:P.- (lire en ligne)

  • Anne Bécheau, Cénac et Domme. Histoire et chroniques d'un terroir, Domme, Association Le Capiol, 2009

  • André Goineau-Bérard, Templiers et Hospitaliers en Périgord, Périgueux, éd. Pilote 24, 2002

  • Germaine Rougier et Louis Delluc, La Longue Espérance, Dome, Cité des quatre portes, Courtabœuf, éd. Didro, 2003, (ISBN 978-2-910726-57-7)



Articles connexes |



  • Dordogne (département)

  • Périgord noir (région naturelle)

  • Liste des communes de la Dordogne

  • Liste des châteaux et demeures de la Dordogne

  • Sentiers de grande randonnée GR 64 et GR 64A

  • Aérodrome de Sarlat - Domme



Liens externes |


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Sur les autres projets Wikimedia :





  • Site officiel

  • Office de tourisme de Domme

  • Périgord Noir

  • Société archéologique du Midi, Pierre Garrigou Grandchamp, Inventaire des édifices domestiques romans et gothiques des XIIe, XIIIe et XIVe siècles dans le Périgord, août 2000

  • Archives du Périgord : Précis historique et chronologique sur la ville de DOMME au diocèse de Sarlat, offert en pur don, à la Bibliothèque du Roi, par M. le comte de Clermont-Toucheboeuf


  • Notices d'autoritéVoir et modifier les données sur Wikidata : Fichier d’autorité international virtuel • Bibliothèque nationale de France (données)



Notes et références |



Notes |





  1. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2018, millésimée 2015, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2017, date de référence statistique : 1er janvier 2015.




Références |




  1. Domme sur le site des Plus Beaux Villages de France, consulté le 24 octobre 2014.


  2. Deux données contradictoires selon le Géoportail : 302 mètres sur la carte et 303 pour la boîte « Communes ».


  3. Le nom occitan des communes du Périgord sur le site du Conseil général de la Dordogne, consulté le 24 février 2014.


  4. Domme (24250) sur le site habitants.fr, consulté le 24 octobre 2014.


  5. Pierre Garrigou Grandchamp, L'architecture domestique des bastides périgourdines aux XIIIe et XIVe siècles, p. 47-71, dans Congrès archéologique de France. 156e session. Monuments en Périgord. 1999 - Société Française d'Archéologie - Paris - 1999


  6. Actes du XIXe colloque de Cadouin, 2012, Hervé Poidevin, La légende templière dommoise, une superstition pseudo-scientifique, p. 43-53


  7. Une curieuse mise au secret sur le site Les Pierres du songe d'Hervé Poidevin


  8. Société Historique et Archéologique du Périgord : Domme


  9. a et bDes villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.


  10. Légifrance, « Décret no 2014-218 du 21 février 2014 portant délimitation des cantons dans le département de la Dordogne », sur http://www.legifrance.gouv.fr/ (consulté le 11 juin 2015).


  11. À Domme, la maire devient adjointe, Sud Ouest édition Dordogne du 8 avril 2014, p. 12.


  12. L'organisation du recensement, sur le site de l'Insee.


  13. Calendrier départemental des recensements, sur le site de l'Insee


  14. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014 et 2015.


  15. Dossier complet - Commune de Domme (24152) - Activités, emploi et chômage - tableaux EMP T2 et EMP T4 sur le site de l'Insee, consulté le 26 septembre 2018.


  16. « Établissement - Définition », sur Insee (consulté le 26 septembre 2018).


  17. Dossier complet - Commune de Domme (24152) - Établissements actifs par secteur d'activité - tableau CEN T1 sur le site de l'Insee, consulté le 26 septembre 2018.


  18. « Frenchelon: la carte des stations espion du renseignement français », sur BUG BROTHER (consulté le 20 janvier 2016)


  19. « Château de Caudon », notice no PA24000021, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 11 octobre 2012.


  20. Jardins remarquables en Dordogne sur Drac Aquitaine, consultée le 11 octobre 2012.


  21. « Chapelle monolithe de Caudon », notice no PA00082512, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 11 octobre 2012.


  22. Musée Paul reclus - Musée d'art et traditions populaires sur le site Culture.fr, consulté le 27 septembre 2012.


  23. "La Croix", chapitre 4, Éditions le cherche midi, 2014, (ISBN 978-2-7491-3086-6).




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