Angola





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République d'Angola


República de Angola (pt)


Repubilika ya Ngola (kg)











Drapeau
Drapeau de l'Angola.


Blason
Armoiries de l'Angola.




Description de l'image Angola (orthographic projection).svg.














Devise nationale
Virtus Unita Fortior.
L'union fait la force.

Hymne national
Angola Avante

























Administration
Forme de l'État
République présidentielle
Président de la République
João Lourenco
Vice-président de la République
Bornito de Sousa
Langues officielles
Portugais
Capitale
Luanda

8° 50′ 18″ S, 13° 14′ 04″ E























Géographie
Plus grande ville
Luanda
Superficie totale
1 246 700 km2
(classé 23e)
Superficie en eau
négligeable
Fuseau horaire
UTC + 1













Histoire
Indépendance
du Portugal[1]
date
11 novembre 1975[2]

















Démographie
Gentilé
Angolais

Population totale (est. juillet 2017[3])

29 310 273 hab.
(classé 50e)
Densité
24 hab./km2













Économie

IDH (2015)

0,533 (moyen  ; 150)
Monnaie
Kwanza (AOA​)

















Divers
Code ISO 3166-1
AGO, AO​
Domaine Internet
.ao
Indicatif téléphonique
+244





Carte de l'Angola


L’Angola, en forme longue la république d'Angola, en portugais República de Angola, en kikongo Repubilika ya Ngola, est un pays du sud-ouest de l'Afrique, limitrophe de la république démocratique du Congo, de la république du Congo, de la Namibie et de la Zambie.


Le pays est un quadrilatère situé entre l’Afrique centrale francophone et l’Afrique australe anglophone. Il est le deuxième pays lusophone par son étendue et le troisième par sa population. Cette ancienne colonie portugaise est membre de la communauté des pays de langue portugaise. Les frontières actuelles résultent de la colonisation européenne.




Sommaire






  • 1 Histoire


  • 2 Politique


  • 3 Géographie


    • 3.1 Le relief


    • 3.2 Climat




  • 4 Subdivisions


  • 5 Économie


  • 6 Démographie


    • 6.1 Éducation




  • 7 Langues


  • 8 Religions


  • 9 Culture


  • 10 Sport


  • 11 Codes


  • 12 Notes et références


  • 13 Voir aussi


    • 13.1 Bibliographie


    • 13.2 Filmographie


    • 13.3 Articles connexes


    • 13.4 Liens externes







Histoire |


Articles détaillés : Histoire de l'Angola, Royaume Lunda et Angola portugais.

L'Angola a été, avec le Ghana et le Mozambique, une des trois principales régions de départ du commerce triangulaire qui emmenait des esclaves vers l'Amérique. Après des années de guérilla contre la métropole coloniale, l’Angola est devenu indépendant en 1975, comme État communiste appelé république populaire d'Angola. Les populations n’acceptant pas toutes ce régime, vingt-cinq ans de guerre civile ont suivi, le conflit étant attisé par le contexte de la guerre froide et par les rivalités autour des ressources minières du pays : Cuba, l’Afrique du Sud (qui a tenu la Namibie jusqu'en 1989) et d’autres états s’en sont mêlés de part et d’autre. Il a fait à peu près 1 million de morts et laissé des millions de mines anti-personnel qui tuent encore. Les identités sociales ethniques se maintiennent, mais, depuis la paix, un sentiment national s'est développé dans les dernières décennies.



Politique |


Articles détaillés : Politique en Angola, Liste des présidents de la république d'Angola et Liste des chefs de gouvernement de l'Angola.

Le 11 novembre 1975, jour de l'indépendance, Agostinho Neto devient le premier chef de l'État. À sa mort en 1979, José Eduardo dos Santos prend le pouvoir, même si la guerre civile limite de fait son contrôle sur le pays pendant 26 ans. Lui et son parti, le Mouvement populaire de libération de l'Angola, ont remporté toutes les élections depuis le cessez-le-feu de 1992, et Dos Santos est donc resté président de l'Angola sans discontinuer.


Des élections générales se sont tenues le 23 août 2017. Ces élections se déroulaient dans le contexte de l'annonce par le président lui-même de sa renonciation au pouvoir. La victoire du MPLA lors de ces élections amène au pouvoir son successeur désigné João Lourenço en septembre de la même année.


En septembre 2018, le président de la République João Lourenço, est élu chef du parti MPLA, suite à la décision de José Eduardo dos Santos de prendre sa retraite.



Géographie |


Articles détaillés : Géographie de l'Angola et Villes d'Angola.

La superficie de l'Angola est de 1 246 700 km2. Sa densité de population est de 20 hab./km2.
Ses frontières terrestres mesurent 5 198 km. Celle avec la république démocratique du Congo  mesure 2 511 km, celle avec la Namibie mesure 1 376 km, celle avec la Zambie 1 110 km et celle avec la république du Congo 201 km. Le littoral d'Angola a une longueur de 1 600 km. Le point le plus haut d'Angola possède une altitude de 2 620 m. La frontière avec la république du Congo comprend celle de l'enclave de Cabinda, séparée du reste du pays par le couloir de Moanda, à l'embouchure du fleuve Congo, où la république démocratique du Congo a un accès maritime.



Le relief |


Deux régions s’opposent sur le plan orographique. Un relief varié s’élevant en gradins (revers de plateau) depuis l’étroite plaine côtière (200 km maximum de large) vers des plateaux et massifs intérieurs. Le point culminant est le Môco à 2 620 mètres[4]. L’ensemble le plus massif est le plateau angolais qui déborde à l’Est les frontières de l’État. L'altitude moyenne y est 1 000 m. À l’Est, se trouve le bassin de très grands fleuves vers l’océan Indien. Le plateau est situé directement sur le bouclier granitique qui contient très peu de structure sédimentaire.



Climat |


Situé entre le tropique du Capricorne et l’équateur, l'Angola est le pays le plus étendu au sud du Sahara après la république démocratique du Congo. L'Angola connaît de fortes variations de températures. Plus on avance vers le nord, plus les précipitations sont importantes. Au nord, le climat est tropical humide avec la présence d'une saison sèche qui s'étend de juin à septembre où le temps est très voilé. Les Angolais parlent « d’hivernage ».


Plus on avance vers le tropique, plus le climat est désertique ; le désert de Namibie est l’un des plus anciens, les plus secs du monde. Ce n’est pas un désert de sable mais d’ergs. L’orographie, ici le plateau de climat tempéré, modifie ces données[5]. Le long de la côte passe le courant de Benguela. Depuis la côte Angola – Namibie, un brouillard se dessine au-dessus de la mer quand la plage elle-même est dégagée. La côte est ainsi très sèche. La présence du plateau suscite des précipitations au sud, dans la région de Huambo. Les plaines côtières sont relativement sèches et reçoivent annuellement environ 300 millimètres de précipitation. Le climat est particulièrement humide dans l’enclave équatoriale de Cabinda. Les plateaux reçoivent 1 000 à 1 800 millimètres par an.



Subdivisions |


Article détaillé : Subdivisions de l'Angola.

L'Angola est divisé en dix-huit provinces :






Carte des subdivisions numérotées de l'Angola



  • 1 Bengo


  • 2 Benguela


  • 3 Bié


  • 4 Cabinda


  • 5 Kwando-Kubango


  • 8 Kunene


  • 6 Kwanza-Nord


  • 7 Kwanza-Sud


  • 9 Huambo


  • 10 Huila


  • 11 Luanda


  • 12 Lunda-Nord


  • 13 Lunda-Sud


  • 14 Malanje


  • 15 Moxico


  • 16 Namibe


  • 17 Uige


  • 18 Zaire




Économie |


Article détaillé : Économie de l'Angola.

La république d'Angola est un producteur de matières premières, notamment des hydrocarbures et des pierres précieuses.


Son PIB par habitant était de 3 514 dollars en 2016 selon le FMI[6].


L'Angola est à la huitième place au palmarès des producteurs OPEP pendant la décennie 2010, derrière l'Arabie saoudite et l'Irak, l'Iran et les Emirats, mais aussi le Koweït, le Nigéria et le Venezuela.



Démographie |


Article détaillé : Démographie de l'Angola.



Centre de formation dans la province de Moxico[7].


Le dernier recensement du pays a eu lieu en mai 2014 (Il n'y en avait pas eu depuis 1970). Les résultats définitifs ont été publiés en mars 2016. Selon ces données, la population de l'Angola est de 25 789 024 habitants, dont 12 499 041 hommes et 13 289 983 femmes, soit 100 femmes pour 94 hommes. Avec 6 945 386 habitants, on compte 26,9 % de la population du pays résidant dans la province de Luanda[8].


En 2014, toujours selon les résultats du recensement de mai 2014, la pyramide des âges comprend 47,2 % de 0-14 ans ; 50,3 % de 15-64 ans et 2,3 % de plus de 65 ans. 65 % de la population a moins de 24 ans[8].


Les groupes ethniques les plus importants sont les Ovimbundu (37 % de la population), les Ambundu (25 %) et les Bakongo (13 %). On compte également 2 % de métis et 1 % de Blancs.



Éducation |


Une minorité importante de la population adulte se constitue d'analphabètes[9].


Le recensement de mai 2014 annonce que 66 % des plus de 15 ans sait lire et écrire et que 48 % de la population de plus de 18 ans n'a aucun diplôme[8].


15 % des dépenses du gouvernement du pays de la période 1998-2007 étaient destinées à l'éducation[9].
Le pays est confronté au défi de l'enseignement supérieur[10].



Langues |


Article détaillé : Langues en Angola.

La Constitution du 11 novembre 1975 a été révisée le 7 janvier 1978, le 11 août 1980, le 6 mars 1991 (loi de décembre 1991, pluralisme), le 26 août 1992 en juillet 1995 ainsi que le 1er janvier 2010. Jusqu'à la dernière version, les constitutions ne contenaient pas de disposition à caractère linguistique. Le portugais était la langue officielle de facto, puisqu’il n’était proclamé dans aucun texte juridique. Dans les lois ordinaires, quelques-unes contiennent une ou quelques rares dispositions d'ordre linguistique, que ce soit au sujet du portugais ou des langues nationales[11].


Dès la proclamation de l’indépendance, les dirigeants politiques angolais ont privilégié la langue qui leur paraissait la seule immédiatement disponible et opérationnelle: la langue du colonisateur, le portugais. Ce n'est qu'en 2010 que la Constitution du 21 janvier a inclus des dispositions d'ordre linguistique. En effet, l'article 19 de la Constitution proclame pour la première fois que le portugais est la langue officielle de la république d'Angola.


Selon les données du recensement de mai 2014, la langue portugaise est utilisée par 71 % des Angolais comme langue principale du foyer[8]. Le portugais d'Angola est proche du portugais du Portugal, mais présente des caractéristiques propres aussi bien dans le vocabulaire et la syntaxe que dans la prononciation.


Six langues bantoues ont le statut de langue nationale[12] : umbundu (23 %), kikongo (8 %), kimbundu (8 %), tchokwé (7 %), nganguela (3 %) et kwanyama (2 %)[8],[12],[1]. Au total, 38 langues bantoues sont parlées comme langue maternelle ou seconde langue par les Angolais[13],[12]. Le lingala est aussi présent depuis les années 1970 avec les quelque 400 000 Angolais de l'ethnie kongo qui ont fui du Nord-Ouest de l'Angola à la suite de la répression coloniale, réponse à l'insurrection anti-coloniale de l'UPA, en 1961, et qui se sont installés en république démocratique du Congo (ancien Zaïre). Surtout dans la région de Kinshasa, ces Angolais ont très souvent abandonné leur langue d'origine, le kikongo, pour passer au lingala, et en retournant en Angola ils ont « importé » cette langue. Il y a déjà une génération d'enfants, et de jeunes de plus de 25 ans, qui sont nés lingalophones en Angola sans avoir jamais été au Zaïre ou au Congo[14].



Religions |


Article détaillé : Religion en Angola.

La religion principale en Angola est le christianisme[15]. On dénombre près de 1 000 églises ou organisations / institutions religieuses officiellement reconnues[16]. Un peu plus de la moitié de la population est constituée par les membres de l'Église catholique introduite par les Portugais dès le XVe siècle. Environ un quart appartient aux Églises protestantes fondées pendant la période coloniale, aux XIXe et XXe siècles, surtout à l'Église évangélique congrégationnelle, concentrée dans le Plateau Central et les villes côtières avoisinantes, à l'Église méthodiste dont le fief est une région allant de Luanda jusqu'à Malange, ainsi que l'Église baptiste au Nord-Ouest, mais aussi les Églises luthériennes et reformées[17]. À ces Églises chrétiennes « traditionnelles » s'ajoutent les adventistes, les néo-apostoliques mais à partir de l'indépendance, souvent sous influence brésilienne, surtout d'innombrables communautés pentecôtistes ou semblables (y compris les Témoins de Jéhovah), qui surgissent en général dans les grandes villes où elles suscitent des adhésions massives. Il y a encore deux Églises chrétiennes-syncrétiques, l'Église kimbanguiste dont le centre se trouve en république démocratique du Congo, et l'Église tocoïste que s'est formée en Angola, toutes les deux des créations datant du temps colonial. Une proportion faible de la population, certainement inférieure à 5 %, se dit croyante d'une religion « animiste », mais il y a parmi les chrétiens, plus spécialement en milieu rural, un certain nombre qui maintient des croyances et pratiques « traditionnelles ». La proportion des musulmans, tous sunnites, est inférieure à 1 %. Il s'agit principalement d'immigrés de l'Afrique de l'Ouest.



Culture |


Article détaillé : Culture de l'Angola.





































































































Fêtes et jours fériés
Date Nom français Nom local Remarques

1er janvier
Nouvel An Ano Novo
4 janvier Jours des martyrs de la répression coloniale Dia dos mártires da repressão colonial
25 janvier Jour de Luanda Dia de Luanda Seulement à Luanda
4 février Début de la lutte armée Início da luta armada
8 mars Jour de la Femme africaine Dia da Mulher africana
27 mars Fête de la Victoire Festa da Vitória
4 avril Jour de la paix et de la réconciliation nationale Dia da Paz e da Reconciliação Nacional
Vendredi saint Sexta-feira Santa

1er mai
Fête du Travail Dia do Trabalho
25 mai Fête de l'Afrique Dia de África Le jour de la fondation en 1963 de l'Organisation de l'unité africaine

1er juin
Fête des Enfants Dia das Crianças
17 septembre Anniversaire du Président Neto Aniversário do nascimento do Presidente Neto
Agostinho Neto est le fondateur de la république d'Angola
2 novembre Jour des Morts Festa de Finados
11 novembre Fête de l'Indépendance Dia da Independência Fête Nationale
25 décembre Noël Natal

Lorsqu'un jour férié tombe un dimanche, le lundi suivant est chômé.


La culture d'Angola est mélangée avec la culture portugaise et la culture bantoue, qui est d'origine angolaise.



Sport |


L'équipe d'Angola de football se qualifie pour la première fois de son histoire pour les phases finales de la coupe du monde de 2006 en Allemagne.


Le lundi 4 septembre 2006, l'Angola est désigné pour organiser la Coupe d'Afrique des nations de football en 2010.



  • Équipe d'Angola de football

  • Équipe d'Angola féminine de handball

  • Équipe d'Angola de basket-ball

  • Équipe d'Angola de rink hockey


Du 20 au 28 septembre 2013, l'Angola a organisé la 41e édition du championnat du monde de rink hockey à Luanda et Namibe.


Du 28 novembre au 7 décembre 2016, l'Angola organise la CAN 2016 de handball féminin à Luanda où l'équipe d'Angola, onze fois vainqueur de l'épreuve et organisateur, est l'un des pays favoris à la victoire finale.



Codes |


L'Angola a pour codes :



  • AGO, selon la norme ISO 3166-1, code alpha-3 (liste des codes pays) ;

  • AGO, selon la liste des codes pays utilisés par l'OTAN, code alpha-3 ;

  • ANG, selon la liste des codes pays du CIO ;

  • ANG, selon la liste des codes internationaux des plaques minéralogiques ;


  • .ao, selon le code des domaines internet ;

  • AO, selon la norme ISO 3166-1 (liste des codes pays), code alpha-2 ;

  • AO, selon la liste des codes pays utilisés par l'OTAN, code alpha-2 ;

  • D2, selon la liste des préfixes OACI d'immatriculation des aéronefs ;

  • FN, selon la liste des préfixes des codes OACI des aéroports.



Notes et références |




  1. a et bhttp://www.info-angola.ao/attachments/article/4087/Angola%20em%20numeros%202012.pdf


  2. http://www.governo.gov.ao/Arquivos/Constituicao_da_Republica_de_Angola.pdf


  3. (en) « The World Factbook — Central Intelligence Agency », sur www.cia.gov (consulté le 2 avril 2018).


  4. (en) Merriam-Webster, Geographical Dictionary, Third Edition, Springfield, Massachusetts, Merriam-Webster, 1997 (ISBN 9780877795469).


  5. Gérard Sournia (sous la direction de), Atlas de l'Afrique, 2000, Éditions du Jaguar, Paris.


  6. Présentation de l’Angola, sur France diplomatie, consulté le 26 juin 2017


  7. Bénéficiant du fonds de la campagne « Ta journée pour l'Afrique » de l'organisation humanitaire allemande Aktion Tagwerk.


  8. a b c d et e(pt) « Instituto Nacional de Estatística », sur www.ine.gov.ao (consulté le 31 décembre 2016).


  9. a et bhttp://www.unicef.org/infobycountry/angola_statistics.html


  10. GEO, no 403, septembre 2012, p. 116.


  11. « Angola », sur www.axl.cefan.ulaval.ca (consulté le 20 septembre 2016).


  12. a b et chttp://poing.me/layar/Colombia/brochuranoCrop.pdf


  13. Languages of Angola, dans ethnologue.com.


  14. Angolan People + United States Committee for Refugees and Immigrants, World Refugee Survey 2008 - Angola « Copie archivée » (version du 10 mai 2011 sur l'Internet Archive), 19 juin 2008.


  15. (en) Angola


  16. Fátima Viegas : Panorama das Religiões em Angola Independente (1975 - 2008). Ministério da Cultura / Instituto Nacional para os Assuntos Religiosos, Luanda, 2008


  17. Lawrence W. Henderson, The Church in Angola: A river of many currents, Cleveland / Ohio, Pilgrim Press, 1989. Benedict Schubert, Der Krieg und die Kirchen: Angola 1961 - 1991, Exodus, Luzerne, 1997.



Voir aussi |


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Bibliographie |



  • Jakkie Cilliers, Christian Dietrich (éd.)(2000): Angola’s war economy. Pretoria.

  • Michael Cromerford (2005), The Peaceful Face of Angola: Biography of a Peace Process (1991 to 2002), Luanda

  • Manuel Ennes Ferreira (1999): A indústria em tempo de guerra: Angola 1975-1991, Lisbonne

  • Fernando Florêncio (2010), 'No Reino da Toupeira', dans idem (éd.), Vozes do Universo Rural: Reescrevendo o Estado em África. Lisbonne

  • Global Witness (1999): A Crude Awakening: The Role of the Oil and Banking Industries in Angola’s Civil War and the Plunder of State Assets. Londres.

  • Global Witness (1998): A rough trade: The Role of Companies and Governments in the Angolan Conflict. Londres.

  • Global Witness (2000): Conflict Diamonds: Possibilities for the Identification, Certification and Control of Diamonds. Londres.

  • Global Witness (2002): Os Homens dos Presidentes. Londres.

  • Fernando Andresen Guimarães (1998): The Origins of the Angolan Civil War: Foreign Intervention and Domestic Political Conflict, Houndsmills, Basingstoke + New York

  • Franz-Wilhelm Heimer (1980), Der Entkolonisierungskonflikt in Angola, Munich

  • Franz-Wilhelm Heimer (éd.) (1973), Social Change in Angola, Munich

  • Tony Hodges (2001): Angola from Afro-Stalinism to Petro-Diamond Capitalism, London + Bloomington, Indianapolis.

  • Tony Hodges (2004): The Anatomy of an Oil State, Oxford + Bloomington, Indianapolis

  • Human Rights Watch (2001): The Oil Diagnostic in Angola: An Update Complete Report. New York.

  • International Monetary Fund (1999): IMF Staff Country Report No. 99/25: Angola: Statistical Annex. Washington, D.C..

  • International Monetary Fund (2002): Mission Concluding Statements: Angola-2002 Article IV Consultation, Preliminary Conclusions of the IMF mission. Washington D.C.

  • Yves Loiseau, Pierre-Guillaume Roux (1989): Jonas Savimbi. Cologne.

  • Jean-Michel Mabeko-Tali (2005): Barbares et citoyens: L'identité nationale à l'épreuve des transitions africaines: Congo-Brazzaville, Angola, Paris: L'Harmattan

  • Assis Malaquias (2007): Rebels and Robbers: Violence in Post-Colonial Angola, Uppsala: Nordiska Afrikainstitutet

  • Médecins sans frontières (2002): Angola uma população sacrificada. Bruxelles.

  • Christine Messiant (2008):L'Angola post-colonial: Guerre et paix sans démocratisation, Paris: Karthala

  • Christine Messiant (2009): L'Angola post-colonial: Sociologie politique d'une oléocratie. Paris: Karthala

  • Didier Péclard (éd)(2008), L'Angola dans la paix: Autoritarisme et reconversions, dossier dans Politique africaine, p. 5 - 121.

  • Manuel Alves da Rocha (2009), Economia e Sociedade em Angola, 2. Ausg., Luanda: Nzila.

  • Keith Somerville (1986): Angola: Politics, Economics and Society, London + Boulder, Colorado

  • Inge Tvedten (2002): La scène angolaise. Limites et potentiel des ONG, Lusotopie 2002/1, p. 171-188.

  • Nuno Vidal & Justino Pinto de Andrade (éd.)(2008): O processo de transição para o multipartidarismo em Angola, 3e éd., Luanda

  • Nuno Vidal & Justino Pinto de Andrade (éd.)(2008): Sociedade civil e política em Angola: Enquadramento regional e internacional, Luanda



Filmographie |




  • Angola, Saudades From the One Who Loves You, film documentaire angolais de Richard Pakleppa, 2005, 66 min


  • Angola, le bonheur est dans le train, film documentaire français de Adama Ulrich, 2009, 52 min


  • A Única Mulher série portugaise qui se passe pour partie en Angola


  • [vidéo] Angola, El dorado Africain ? sur YouTube, Le Dessous des cartes.



Articles connexes |



  • Villes d'Angola

  • Santé en Angola


  • Affaire des ventes d'armes à l'Angola (Angolagate)

  • Ngola (titre)



Liens externes |



  • Ambassade de l'Angola aux États-Unis

  • Cartes et statistiques sur l'Angola

  • Divers articles sur l'Angola (tourisme, société, traditions, etc.)


  • Exposition sur les arts de l'Angola au musée Dapper jusqu'en juillet 2011 : Angola, figures de pouvoir


  • ANGOLA, Situation institutionnelle par M. Boubacar Issa Abdourhamane, doctorant au CEAN, IEP-Université Montesquieu-Bordeaux IV, récupéré 3 septembre 2011


  • [1] (anglais) Betelsmann Transformation Index 2012 - Angola Country Report




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