Clermont-Ferrand





























































































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Clermont-Ferrand
En haut : le centre historique de Clermont vu depuis le parc de Montjuzet.
À gauche : l'entrée de la place de la Victoire et la cathédrale Notre-Dame-de-l'Assomption, puis vient la statue de Vercingétorix et la rue des Chaussetiers.
En bas : le tramway de Clermont-Ferrand.

Blason de Clermont-Ferrand
Blason

Clermont-Ferrand
Administration

Pays

Drapeau de la France France

Région

Auvergne-Rhône-Alpes

Département

Puy-de-Dôme (préfecture)

Arrondissement

Clermont-Ferrand

Canton

Bureau centralisateur de six cantons

Intercommunalité

Clermont Auvergne Métropole (siège)

Maire
Mandat

Olivier Bianchi
2014-2020

Code postal
63000, 63100

Code commune
63113
Démographie

Gentilé
Clermontois

Population
municipale
141 398 hab. (2015 en augmentation de 1,1 % par rapport à 2010 en augmentation de 1,1 % par rapport à 2010)
Densité 3 314 hab./km2
Population
aire urbaine
479 096 hab. (2015 en augmentation)
Géographie

Coordonnées

45° 46′ 59″ nord, 3° 04′ 56″ est

Altitude
358 m
Min. 321 m
Max. 602 m

Superficie
42,67 km2
Localisation


Géolocalisation sur la carte : Puy-de-Dôme



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Clermont-Ferrand





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Clermont-Ferrand





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Clermont-Ferrand





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Clermont-Ferrand





Liens

Site web

clermont-ferrand.fr


Clermont-Ferrand (prononcé : /klɛʁ.mɔ̃ fe.ʁɑ̃/ .mw-parser-output .prononciation>a{background:url("//upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/8/8a/Loudspeaker.svg/11px-Loudspeaker.svg.png")center left no-repeat;padding-left:15px;font-size:smaller}Écouter) est une ville située dans le centre de la France. C’est le chef-lieu du département du Puy-de-Dôme et la capitale historique de l’Auvergne. Ses habitants s’appellent les Clermontois.


La ville moderne est née de l'union au XVIIe siècle de deux anciennes villes rivales, Clermont et Montferrand. La ville d'Augustonemetum apparait après la disparition de la métropole arverne Nemossos. Elle prend ensuite le nom d'Arvernis puis de Clermont. Au début du XIIe siècle, les comtes d'Auvergne fondent la ville concurrente de Montferrand. En 1630, Louis XIII impose par l'édit de Troyes l'unification des deux villes voisines. Cette union sera réaffirmée par Louis XV en 1731.


En 2014, Clermont-Ferrand était la 24e commune de France avec 141 398 habitants[1],[INS2 1] et la 19e aire urbaine de France avec 479 096 habitants[INS2 2]. L’ensemble urbain a accédé au rang de métropole le 1er janvier 2018 sous le nom de Clermont Auvergne Métropole.


Grand centre universitaire et de recherche français[2],[3],[4],[5], la ville garde d’importantes fonctions administratives et de services intermédiaires. Elle est dotée de tous les équipements d'une métropole régionale et constitue un des trois pôles d'équilibre de la région Auvergne-Rhône-Alpes[6],[7]. Avec plus de 35 000 étudiants, soit un quart de la population municipale[8], et 6 000 chercheurs, elle est la première ville de France à intégrer le réseau ville apprenante de l'UNESCO[9].


Ville de tradition industrielle, siège d'un des deux plus grands fabricants mondiaux de pneumatiques[10], Clermont-Ferrand est également bien positionnée dans les industries pharmaceutiques, agro-alimentaires et aéronautiques. Elle accueille trois pôles de compétitivité[11].


La ville est située au pied de la faille de Limagne et de la chaîne des Puys, site naturel inscrit depuis juillet 2018 comme « haut lieu tectonique » au patrimoine mondial de l'UNESCO[12].





Sommaire






  • 1 Géographie


    • 1.1 Localisation


    • 1.2 Communes limitrophes


    • 1.3 Géologie et relief


    • 1.4 Hydrographie


    • 1.5 Climat


    • 1.6 Voies de communication et transports


      • 1.6.1 Liaisons routières


        • 1.6.1.1 Rocade de Clermont-Ferrand




      • 1.6.2 Liaisons ferroviaires


      • 1.6.3 Liaisons aériennes


      • 1.6.4 Liaisons pédestres


      • 1.6.5 Transports urbains


      • 1.6.6 Réseau cyclable






  • 2 Urbanisme


    • 2.1 Plan local d'urbanisme


    • 2.2 Morphologie urbaine et quartiers


      • 2.2.1 Le centre-ville


      • 2.2.2 Le Sud-Est


      • 2.2.3 Les quartiers nord


        • 2.2.3.1 Croix-de-Neyrat


        • 2.2.3.2 La Plaine


        • 2.2.3.3 Champratel


        • 2.2.3.4 Les Vergnes


        • 2.2.3.5 La Gauthière




      • 2.2.4 La Glacière – Chanteranne – Côtes-de-Clermont


      • 2.2.5 Les Salins – Vallières


      • 2.2.6 Montferrand – Les Bughes


      • 2.2.7 Saint-Jacques – Clermont Sud




    • 2.3 Environnement


      • 2.3.1 Parcs et jardins urbains


      • 2.3.2 L'arrière-pays




    • 2.4 Logement


    • 2.5 Aménagements


      • 2.5.1 Aménagements déjà réalisés


      • 2.5.2 En cours de réalisation


      • 2.5.3 En projet




    • 2.6 Risques naturels et technologiques


      • 2.6.1 Risques naturels


      • 2.6.2 Risques technologiques






  • 3 Toponymie


  • 4 Histoire


    • 4.1 Préhistoire et protohistoire


    • 4.2 Époque romaine


    • 4.3 Moyen Âge


    • 4.4 XVIIe siècle


    • 4.5 XVIIIe siècle


    • 4.6 XIXe siècle


    • 4.7 XXe siècle


      • 4.7.1 Développement de Michelin


      • 4.7.2 Seconde Guerre mondiale




    • 4.8 XXIe siècle




  • 5 Politique et administration


    • 5.1 Tendances politiques et résultats


      • 5.1.1 Élections nationales


      • 5.1.2 Élections locales


      • 5.1.3 Les circonscriptions législatives


      • 5.1.4 Les cantons




    • 5.2 Administration municipale


    • 5.3 Liste des maires


    • 5.4 Politique de développement durable


    • 5.5 Instances judiciaires et administratives


    • 5.6 Finances locales


    • 5.7 Jumelages et accords de coopération




  • 6 Population et société


    • 6.1 Démographie


      • 6.1.1 Évolutions


      • 6.1.2 Pyramide des âges




    • 6.2 Enseignement


      • 6.2.1 Établissements d'enseignement supérieur


      • 6.2.2 Établissements primaires et secondaires




    • 6.3 Manifestations culturelles et festivités


      • 6.3.1 Généralités vagues à classer


      • 6.3.2 Festivals


      • 6.3.3 Musées et lieux d'exposition


      • 6.3.4 Salles de spectacle et de concert


      • 6.3.5 Saisons musicales




    • 6.4 Santé


    • 6.5 Sports


      • 6.5.1 Clubs majeurs


      • 6.5.2 Infrastructures sportives




    • 6.6 Médias


      • 6.6.1 Presse écrite


      • 6.6.2 Télévision locale


      • 6.6.3 Radio




    • 6.7 Vie militaire


    • 6.8 Cultes, associations humanistes et philosophiques


      • 6.8.1 Culte catholique


        • 6.8.1.1 Vie religieuse


        • 6.8.1.2 Fêtes annuelles


        • 6.8.1.3 Organisation




      • 6.8.2 Culte orthodoxe


      • 6.8.3 Culte musulman


      • 6.8.4 Culte mormon


      • 6.8.5 Culte israélite


      • 6.8.6 Loges maçonniques






  • 7 Économie


    • 7.1 Revenus de la population et fiscalité


    • 7.2 Emploi


    • 7.3 Entreprises


    • 7.4 Agriculture


    • 7.5 Commerce


    • 7.6 Tourisme




  • 8 Culture et patrimoine


    • 8.1 Lieux et monuments


      • 8.1.1 Édifices religieux


      • 8.1.2 Monuments et lieux civils


      • 8.1.3 Architecture du XIXe siècle


      • 8.1.4 Architecture du XXe siècle


      • 8.1.5 Architecture du XXIe siècle




    • 8.2 Équipements culturels


    • 8.3 Patrimoine culturel


      • 8.3.1 Chansons


      • 8.3.2 Romans


      • 8.3.3 Films




    • 8.4 Personnalités liées à la commune


      • 8.4.1 Nés à Clermont


      • 8.4.2 Résidents célèbres




    • 8.5 Héraldique, logotype et devise


      • 8.5.1 Devise


      • 8.5.2 Héraldique






  • 9 Voir aussi


    • 9.1 Bibliographie


    • 9.2 Articles connexes


    • 9.3 Liens externes




  • 10 Notes et références


    • 10.1 Notes


    • 10.2 Références


      • 10.2.1 Insee


      • 10.2.2 Ministère de l'Intérieur


      • 10.2.3 Site de la mairie


      • 10.2.4 Autres références









Géographie |



Localisation |



Le sommet du Puy de Dôme depuis la place Sugny

Le puy de Dôme vu depuis la place Sugny.


À l'ouest, Clermont-Ferrand est surplombée par un plateau granitique (800 m en moyenne) sur lequel se trouve la chaîne des Puys, la plus grande chaîne de volcans d'Europe, parmi lesquels se dresse le plus célèbre, le puy de Dôme[Note 1].


Au nord de l'agglomération, s'étend la plaine fertile de la Limagne baignée par l'Allier, la deuxième plaine céréalière de France, riche de ses résidus volcaniques accumulés sur 400 000 ans.


Clermont-Ferrand est le carrefour des axes autoroutiers nord-sud Paris – Béziers (A71 et A75) et transversal est-ouest Lyon – Thiers – Ussel – Brive – Périgueux – Bordeaux (A89).



Communes limitrophes |









Onze communes (treize en incluant les quadripoints avec Malintrat et Orcines) sont limitrophes de Clermont-Ferrand[13] :






















Communes limitrophes de Clermont-Ferrand

Durtol

Blanzat
Cébazat

Gerzat
Malintrat (quadripoint)

Chamalières
Orcines (quadripoint)
Clermont-Ferrand
Aulnat
Lempdes

Chamalières

Beaumont
Ceyrat

Aubière
Cournon-d'Auvergne



Géologie et relief |



Vue de Clermont-Ferrand depuis le plateau de Chanturgue.

Le plateau central de Clermont-Ferrand et les quartiers qui l'entourent.


Une grande partie de Clermont-Ferrand se trouve au centre d'un ancien cirque volcanique. La ville est en fait bâtie au cœur d'un ancien volcan phréato-magmatique (lave puis lac volcanique) et au centre du cratère du maar de Jaude (de la place de Jaude au carrefour Europe de Chamalières) âgé d'environ 156 000 ans.


Cet ancien cratère volcanique, probablement le plus ancien de la chaîne des Puys, mesure environ 1,5 km de diamètre et a été comblé par les alluvions nées du lac volcanique issu de la Tiretaine, petit cours d'eau qui traverse la ville en souterrain et par les coulées magmatiques du Pariou, volcan plus jeune, proche voisin de la chaîne des Puys à l'ouest.


La ville s'est développée autour d'une butte volcanique dite plateau central sur laquelle sont construits les quartiers historiques et la cathédrale. Les autres coteaux à l'ouest, et notamment le Montjuzet (ancien mont aux Juifs), anciens coteaux viticoles, sont des restes des bordures de ce cratère ancien érodé.


Il y a aussi un neck, le puy de Crouel, à l'est de la ville.



Hydrographie |



Plusieurs petits cours d'eau coulent sur son territoire : la Tiretaine, l'Artière et le Bédat.


Au contraire de Vichy, Clermont-Ferrand est bâtie à l'écart de la vallée inondable de l'Allier.



Climat |


Clermont-Ferrand, avec 16,6 °C[Note 2], a une amplitude thermique annuelle plutôt moyenne en France métropolitaine, généralement typique du climat océanique. Cependant, située à l'est de la chaîne des Puys, elle possède d'importantes caractéristiques pluviométriques à caractère continental : de faibles précipitations hivernales (moins de 30 mm/mois), ainsi qu'un maximum de fin de printemps bien marqué (près de 80 mm en mai)[réf. souhaitée]. Par ailleurs, le nombre de jours de précipitations hivernales est faible pour un climat océanique (entre 10,7 en février et 12,5 en janvier). Tout ceci amène à considérer ce climat comme un mélange entre océanique et continental, soit un climat semi-continental[réf. nécessaire].


L'été y est plutôt chaud (un peu plus de 20 °C en moyenne) et marqué par des orages violents et localisés, tandis que l'hiver est plutôt froid et sec. La ville se situe en zone de rusticité végétale 8a[réf. nécessaire].


Clermont connaît un nombre de 1 913 heures annuelles d'ensoleillement (moyenne sur les années 1991 à 2010)[15]. Grâce à l'ombre pluviométrique de la chaîne des Puys, c'est aussi l'une des villes les plus sèches du pays (hors zone méditerranéenne).


Le record de froid date du 14 février 1929, avec -29,0 °C tandis que le record de chaleur, du 31 juillet 1983, est de 40,7 °C[16].






























































Ville
Ensoleillement
(h/an)
Pluie
(mm/an)
Neige
(j/an)
Orage
(j/an)
Brouillard
(j/an)
Moyenne nationale
1 973 770 14 22 40
Clermont-Ferrand[17]
1 914 579 20 29
25

Paris
1 661 637 12 18 10

Nice
2 724 733 1 29 1

Strasbourg
1 693 665 29 29 53

Brest
1 605 1 211 7 12 75





































































































































































































































































































































































































































































































































































































































































































































































































































Relevés météorologiques de la station de Clermont-Ferrand (1981-2010, sauf ensoleillement 1991-2010) et records depuis 1856
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) −0,1 0,3 2,7 4,7 8,7 11,9 14 13,7 10,6 8 3,3 0,8 6,6
Température minimale moyenne la plus basse (°C)
année du record
−7,3
1963
−11,8
1956
−1,7
1971
0,2
1938
5,4
1938
7,5
1923
10,7
1954
10,1
1924
6,3
1931
3,6
1974
−0,3
1985
−5,4
1933

4,5
1956
Température minimale moyenne la plus haute (°C)
année du record
4,8
1936
5,1
1990
6,3
2001
7,6
1961
11,1
1999
17
2003
17,3
2006
17,3
2003
14,1
1949
11
2006
6,7
1994
4,7
2002

7,9
1994
Température moyenne (°C) 3,7 4,8 7,9 10,2 14,4 17,7 20,3 20 16,5 12,8 7,3 4,4 11,7
Température maximale moyenne (°C) 7,6 9,2 13,1 15,7 19,9 23,4 26,5 26,1 22,3 17,6 11,4 8 16,8
Température maximale moyenne la plus basse (°C)
année du record
−0,3
1987
−2,2
1956
6,9
1925
10,8
1986
14,9
1984
19,5
1956
22,3
1936
21,8
1924
17,5
1931
10,2
1974
6,7
1985
1,3
1933

14,4
1956
Température maximale moyenne la plus haute (°C)
année du record
11,8
1936
15,6
1990
18
1948
21
2007
23,2
2011
30,2
2003
30,6
1983
32,1
2003
27,9
1929
21,5
2001
15,3
2011
12,3
2000

18,3
2011
Record de froid (°C)
date du record
−23,1
5/01/1971
−29
14/02/1929
−21,3
11/03/1931
−7,1
8/04/2003
−3,6
1/05/1976
1
2/06/1975
3,8
3/07/1948
2,4
24/08/1980
−3
24/09/1928
−9,2
29/10/1993
−11,8
23/11/1993
−25,8
18/12/1933

−29
14/02/1929
Température maximale la plus basse (°C)
date du record
−11,9
16/01/1985
−13,6
2/02/1956
−3,8
5/03/1971
1,7
11/04/1986
4,7
4/05/1987
9,3
1/06/1962
13
7/07/1996
12,8
24/08/1993
10,3
30/09/1925
2,5
27/10/1931
−2,9
19/11/1985
−13
18/12/1933

−13,6
2/02/1956
Température minimale la plus haute (°C)
date du record
12,5
19/01/2007
12,5
25/02/1997
15,2
11/03/1981
15
26/04/1969
18
25/05/2009
23,3
04/07/2015
21,9
26/07/1995
22,5
5/08/1946
22,6
13/09/1949
19
6/10/2009
15,7
1/11/1968
14,8
4/12/1961

22,6
12/06/1931
Record de chaleur (°C)
date du record
22,1
30/01/2002
25,9
28/02/1960
26,6
25/03/1981
31,3
16/04/1949
33
17/05/1945
37,4
27/06/2011
40,6
31/07/1983
39,6
2/08/1946
36,8
16/09/1987
29,7
7/10/2009
24,1
2/10/1970
21,9
30/12/1925

40,6
31/07/1983
Nombre de jours avec température minimale ≤ −10 °C 1,1 0,7 0 0 0 0 0 0 0 0 0,2 0,6 2,6
Nombre de jours avec température minimale ≤ –5 °C 5,5 4,2 1,8 0,1 0 0 0 0 0 0,1 1,5 3,7 16,9
Nombre de jours avec gel 15,1 13,2 8,7 3,7 0,2 0 0 0 0 1,4 7,4 13,8 63,5
Nombre de jours avec température maximale ≤ 0 °C 3,1 1,4 0,1 0 0 0 0 0 0 0 0,8 2,2 7,6
Nombre de jours avec température maximale ≥ 25 °C 0 0 0,2 0,8 4,9 11,1 19 17,1 8,8 1,8 0 0 63,7
Nombre de jours avec température maximale ≥ 30 °C 0 0 0 0 0,6 2,8 7,3 6,6 1,5 0 0 0 18,8
Nombre de jours avec température maximale ≥ 35 °C 0 0 0 0 0 0,2 0,9 1 0,1 0 0 0 2,2
Ensoleillement (h) 88,9 108,4 161,4 173,5 197,9 225,9 249,2 234,8 185,4 135,1 84 69,2 1 913,7
Ensoleillement la plus basse (h)
année du record
47
2001
60,7
1996
101,5
2001
114,6
2012
120,6
2013
131
1992
176,2
2014
169,8
2002
119,1
1995
49,2
1992
51,3
2004
36,5
1995
1 177,5
Ensoleillement la plus haute (h)
année du record
142,3
2008
186,7
2008
240,8
2012
287,3
1997
281,9
2011
307,8
2006
306
2013
314,4
1991
268,9
1997
192,6
2001
141,5
2011
141,7
2013
2 811,9
Record d'ensoleillement en 24 h (h) 9,2 10,5 12,1 13,7 14,9 15,4 15,3 14,3 13,4 11 9,5 8,3 15,4
Nombre de jours sans ensoleillement 7,5 5 2,5 2,5 2,1 0,9 0,4 0,5 1,4 3,4 6 8,4 40,5
Nombre de jours avec ensoleillement ≥ 1 h 18,3 19,1 24,8 24,9 25,9 27,1 29,6 28,9 26,3 23,4 18,7 16,2 283,3
Nombre de jours avec ensoleillement ≥ 5 h 8,1 10,3 14,9 15,7 16,6 19,5 22,7 22 18,3 13,4 8,5 6,8 176,7
Record de vent sur 10 minutes (km/h) 3 3,1 3,3 3,3 2,7 2,4 2,3 2,1 2,4 2,8 2,9 3,1 2,8
Nombre de jours avec rafales ≥ 57,6 km/h 6,3 4,9 5,5 5,4 2,9 2,3 2 1,9 2,3 5,3 4,7 6,4 49,9
Nombre de jours avec rafales ≥ 100,8 km/h 0 0,2 0,2 0,1 0 0,1 0 0 0,1 0,1 0,5 0,4 1,7
Pression atmosphérique au niveau de la mer (hPa) 1 021,6 1 019,8 1 018,3 1 014,6 1 015,3 1 016,8 1 016,9 1 016,6 1 017,4 1 017,1 1 018 1 019,4 1 017,6
Record de la pression la plus basse (hPa)
date du record
986,6
6/1/1994
987,5
12/2/1979
987,3
31/3/1992
989,5
3/4/1987
992,4
5/5/2004
998,2
5/6/2002
1 002,6
10/7/2000
1 002,7
8/8/1997
994,8
19/9/1999
983,8
31/10/2003
978,7
9/11/2010
981,2
24/12/2009

978,7
9/11/2010
Record de la pression la plus haute (hPa)
date du record
1 043,7
21/1/1983
1 039,8
3/2/1999
1 045,4
4/3/1990
1 034,8
1/4/1995
1 030,9
21/5/1991
1 029,8
8/6/2005
1 027,9
16/7/2012
1 028
26/8/1981
1 031,8
29/9/1986
1 033,9
24/10/1973
1 039,6
22/11/1978
1 042,8
25/12/1991

1 045,4
4/3/1990
Précipitations (mm) 26,7 21,8 25,8 53,4 76,8 72,9 54,9 61,9 65,6 49 39,5 30,6 578,9
Précipitations les plus basses (mm)
année du record
2
2011
2,6
2012
0,5
1938
1,2
1955
10,2
1933
4,5
1976
1,9
1949
4,2
1933
4,4
1977
5,6
1969
6,5
1953
3,2
2001

353,4
1991
Précipitations les plus hautes (mm)
année du record
85,6
1982
69,2
1994
95,1
1959
131,2
1989
152,3
1983
249,2
1992
148,9
2014
190
1927
165,2
1994
171,7
1979
92,3
1941
75
1923

831,4
1927
Record de pluie en 24 h (mm)
date du record
45,9
6/01/1982
25,2
3/02/1994
26,9
23/03/1977
60,8
26/04/1978
63,4
30/05/1934
57,6
26/06/1990
58,3
21/07/2010
76,8
24/08/1939
54,2
21/09/1992
66,5
10/10/1979
57,2
4/11/1994
43,2
24/12/1957

76,8
24/08/1939
Nombre de jours avec précipitations 12,5 10,7 11,4 13,2 15,1 11,9 9,7 10,4 10,7 12,1 12,9 12,1 142,9
Le moins de jours avec précipitations
année du record
1
1989
0
2012
0
1961
0
1955
0
1935
1
1976
0
1924
2
1962
1
1970
1
1969
1
1960
1
1926

61
1961
Le plus de jours avec précipitations
année du record
17
2004
13
1978
14
2001
18
1994
19
1977
17
1992
20
2014
15
1927
15
1933
17
1976
16
1923
17
1981

115
1932
dont nombre de jours avec précipitations ≥ 1 mm 6,3 5,3 6,4 8,8 10,6 8,7 6,4 7,5 6,8 7,3 7,1 6,1 87,4
dont nombre de jours avec précipitations ≥ 5 mm 1,5 1,1 1,4 3,3 5 3,9 3,1 3,9 3,6 2,9 2,2 1,7 33,8
dont nombre de jours avec précipitations ≥ 10 mm 0,2 0,3 0,4 1,3 2,3 2,4 1,8 1,8 1,9 1,3 0,9 0,7 15,3
Nombre de jours avec neige 5,3 4,6 2,6 1,6 0,1 0 0 0 0 0 2,1 3,6 19,5
Nombre de jours avec grêle 0 0,1 0 0,1 0,3 0,3 0,2 0,2 0,1 0 0 0 1,3
Nombre de jours d'orage 0 0,1 0,1 1,3 5,2 5,5 5,4 6,4 2,9 1,1 0,3 0,2 28,5
Nombre de jours avec brouillard 4,7 2,8 1,1 0,6 0,6 0,2 0,2 0,3 1,6 3,5 4,4 4,8 24,8
Relevé pluviométrique en 2009 (mm) 23,2 18 6,2 105,2 36,6 48,6 73,8 90,4 25 25 20,6 37,4 510
Relevé pluviométrique en 2010 (mm) 19,4 22,4 32,5 30,6 84,7 140,9 91,8 31,4 76,2 84 64,9 49,1 727,9
Relevé pluviométrique en 2011 (mm) 2 16,8 42,2 13,2 60,9 42,1 98,8 69,2 37,2 31,5 57,4 38,5 509,8
Relevé pluviométrique en 2012 (mm) 25,1 2,6 12,3 69,9 93 57,2 54,4 59,3 46,8 38,2 12,2 27,2 498,2

Source : meteo-climat-bzh.dyndns.org[18], Lamétéo.org[14] et Météo-France[15]

































Diagramme climatique
J F M A M J J A S O N D

 

 

 

7,6

−0,1

26,7


 

 

 

9,2

0,3

21,8


 

 

 

13,1

2,7

25,8


 

 

 

15,7

4,7

53,4


 

 

 

19,9

8,7

76,8


 

 

 

23,4

11,9

72,9


 

 

 

26,5

14

54,9


 

 

 

26,1

13,7

61,9


 

 

 

22,3

10,6

65,6


 

 

 

17,6

8

49


 

 

 

11,4

3,3

39,5


 

 

 

8

0,8

30,6

Moyennes : • Temp. maxi et mini °C • Précipitation mm

Le nombre de jours « avec chute de neige » par année est de 20. La pluviométrie est l'une des plus faibles de France avec 579 millimètres de précipitations par an ; les pluies provenant de l'ouest sont arrêtées par la chaîne des Puys (d'où les sources, comme celle de Volvic).



  • Jours de pluie par an ≥ 1 mm (moyenne 1981-2010) : 87

  • Jours de neige par an (moyenne 1971-2000) : 20

  • Jours d'orage par an (moyenne 1971-2000) : 29

  • Température la plus haute : 40,7 °C le 31 juillet 1983

  • Année la plus chaude : 2011

  • Année la plus ensoleillée : 1997 (2 219 h)

  • Année la moins ensoleillée : 1993 (1 731 h)

  • Température la plus basse : -29 °C le 14 février 1929

  • Année la plus froide : 1956

  • Année la plus sèche : 1991 (353 mm ou l/m2)

  • Année la plus pluvieuse : 1927 (831 mm ou l/m2)[19],[20].



Voies de communication et transports |



Liaisons routières |



Carte du réseau routier de l'agglomération de Clermont-Ferrand

Carte du réseau routier de l'agglomération.


Clermont est reliée par l'autoroute dans les quatre principales directions :



  • vers le nord : Clermont – Paris par l'A71 (environ 4 heures) ;

  • vers le sud : Clermont – Béziers par l'A75 (environ 3 heures) ;

  • vers l'est : Clermont – Lyon par l'A89 (environ 2 heures) et Saint-Étienne par l'A89 et l'A72 (environ 1 heure 30) ;

  • vers l'ouest : Clermont – Bordeaux (A89, environ 4 heures).


Ainsi, Clermont est reliée par l'autoroute à Lyon, aux Alpes, à Marseille par les autoroutes A89 et A72, à Limoges, Brive, Périgueux et Toulouse par l'A89, à Bourges, Montluçon, Nevers par l'A71, à Montpellier, Perpignan et l'Espagne par l'A75. La gratuité de l'autoroute A75 de Clermont-Ferrand à Montpellier (environ 300 km (à l'exception du viaduc de Millau, payant) fait de cet axe une voie importante vers le sud (notamment l'Espagne).


En outre, les liaisons routières sont bien développées. Depuis Riom ou l'échangeur de Pérignat-lès-Sarliève (sortie 2) de l'autoroute A75, la route départementale 2009, partie de l'ancienne route nationale 9 aménagée à 2×2 voies, dessert le Nord de l'agglomération et les quartiers est et sud-est de Clermont jusqu'à Aubière. L'axe est-ouest, constitué par la route nationale 89, déclassée (en RD 2089 sur le contournement sud), dessert quant à lui le sud de la ville et son agglomération (de Pont-du-Château à Ceyrat en passant par le centre-ville).


Vers la chaîne des Puys, les routes départementales 941 et 943 desservent l'Ouest de la ville, jusqu'à Pontgibaud et le Limousin (Aubusson et Limoges). La RD 942 constitue un axe alternatif à la RD 2089 en se rapprochant du sommet du Puy de Dôme. Quant à la RD 944, elle assure une desserte des communes de l'ouest de l'agglomération, de Durtol à Ceyrat via Chamalières et Royat.


Une voie rapide, la RD 69, est aménagée dans la continuité de l'autoroute A710W jusqu'au quartier Galaxie par le carrefour des Pistes afin de rejoindre plus rapidement ces deux dernières communes, et une autre existe correspondant au boulevard Jacques-Bingen (RD 771), pénétrante depuis l'autoroute de Thiers vers le quartier Saint-Jacques.


Le territoire communal est également traversé par les routes départementales 3 (vers Beaumont et Romagnat), 54 (vers Aulnat) et 54d (partie de la rue Élisée-Reclus), 69g, 765 (rue de l'Oradou et desserte des quartiers de La Pardieu et Ernest Cristal), 766 (vers Lempdes), 769 (vers l'aéroport), 772 (chemin de Beaulieu), 805 (vers Aubière) et 2099 (ancienne route nationale 9)[13].




Rocade de Clermont-Ferrand |

Article détaillé : Rocade de Clermont-Ferrand.



Tracé de la rocade de Clermont-Ferrand (en vert).


Les tronçons routiers autour de Clermont-Ferrand des autoroutes A71, A75 et de la route départementale 2089 réunis forment un aménagement routier assimilable à une rocade permettant de contourner la ville de Clermont-Ferrand. La rocade se compose alors de deux parties d'une longueur totale d'environ 21 kilomètres : la rocade est, composée des autoroutes A71 et A75 depuis la gare de péage de Gerzat (ou de Clermont-Barrière) sur l'A71 jusqu'à la sortie no 2 de l'A75 (aussi appelée échangeur de Pérignat-lès-Sarliève, puis la rocade sud, composée de la route départementale 2089 qui s'étend de l'échangeur de Pérignat-lès-Sarliève jusqu'à la commune de Ceyrat.



Liaisons ferroviaires |



Carte du réseau ferré (tramway et train) de l'agglomération

Carte du réseau ferré (tramway sur pneus et train) de l'agglomération.



Entrée principale et parvis rénové de la gare, en septembre 2017

Entrée principale et parvis rénové de la gare, en septembre 2017.


Articles détaillés : Gare de Clermont-Ferrand, Gare de Clermont-La Rotonde et Gare de Clermont-La Pardieu.

En 2015, Clermont-Ferrand compte trois gares sur son territoire : une gare principale, point névralgique du trafic ferroviaire auvergnat, et trois haltes, plus modestes : celle de La Pardieu, permettant la correspondance entre les TER Auvergne, reliant Clermont au sud de l'Auvergne, et la ligne A du tramway clermontois, et celle de La Rotonde desservant le pôle universitaire éponyme. Celle d'Aulnat-Aéroport, sur la commune limitrophe d'Aulnat, dessert l'aéroport, permettant la correspondance entre les TER Auvergne. Une nouvelle gare se situant au quartier des Vergnes est en projet.


Depuis le 14 décembre 2008, les trains Téoz (puis Intercités depuis 2012) relient Clermont à Paris en h 59 (pour la paire de trains sans arrêt) à h 23 (trains avec quatre arrêts intermédiaires[Note 3]), grâce à des travaux de réfection et de sécurisation des voies (suppressions de passages à niveau) qui ont permis d'élever la vitesse maximale de 160 à 200 km/h sur certaines portions de ligne situées entre les gares de Saincaize et de Varennes-sur-Allier. La ligne Clermont – Paris a été la première équipée des voitures Intercités par la SNCF[Note 4] La desserte de base en semaine comporte huit aller-retour, intégralement assurée en voitures Corail Téoz depuis le service annuel 2008 (Intercités à partir de 2012). Elle bénéficie du cadencement : les départs de Clermont se font à +32, de Paris à l'heure pile[24], mais sont inégalement répartis à travers la journée ; au départ de Paris, une importante lacune subsiste entre h et 13 h. Les travaux menés en gare de Clermont-Ferrand ont contraint à modifier les heures de départ de ces trains.


En direction de l'ouest ou de l'est, les liaisons sont peu développées et les temps de trajet sont élevés (plus de h 30 pour arriver à Lyon-Part-Dieu ou Lyon-Perrache). Le temps de trajet vers Lyon a cependant été réduit grâce au raccordement direct de Saint-Germain-des-Fossés, mis en service en décembre 2006, évitant ainsi le tête-à-queue qui pénalisait le temps de parcours de dix à vingt minutes. Le matériel régional neuf (X 73500 et AGC X 76500) explique aussi les gains obtenus sur ce parcours rendu difficile par le profil et par le tracé sinueux, surtout entre Roanne et Lozanne.


La dégradation du service ferroviaire, généralisée dans le Massif central, diminue le nombre de relations : outre la suppression de nombreux trains fin 2012 en zone périurbaine, conséquence de la préparation des travaux dans la gare principale, la fermeture de la section entre Eygurande et Laqueuille en juillet 2014, faute d'entretien, a supprimé les liaisons ferroviaires entre la capitale auvergnate et Bordeaux (plus de h) et Brive ou Limoges (h).


Aucune ligne à grande vitesse ne dessert la ville malgré de multiples pressions des élus et des habitants. Plusieurs projets ont été proposés dont une ligne à grande vitesse vers Paris, la LGV Paris – Orléans – Clermont-Ferrand – Lyon (rejetée en 2005) ou la Transversale Alpes Auvergne Atlantique défendue par le conseil régional d'Auvergne.


Le pôle d'échanges intermodal de la gare a été inauguré le 17 janvier 2015 en présence du président de la SNCF[25],[26] ; les travaux continuent cependant jusqu'en 2016[27].



Liaisons aériennes |



Vue aérienne de l'aéroport de Clermont-Ferrand Auvergne

Vue aérienne de l'aéroport de Clermont-Ferrand en 2007.


Article détaillé : Aéroport de Clermont-Ferrand-Auvergne.

L'aéroport international de Clermont-Ferrand se situe sur la commune d'Aulnat, à l'est de la métropole clermontoise. Il possède une piste d'une longueur de 3 015 m. Il a été géré par la Chambre de commerce et d'industrie de Clermont-Ferrand / Issoire jusqu'en 2006, puis actuellement par un consortium Keolis/Vinci.


L'aéroport a été relié entre le 21 mai et le 24 septembre 2011 à Southampton (45 minutes de Londres en train) à raison de trois allers-retours par semaine avec la compagnie Flybe.


De nombreux vols saisonniers directs s'ajoutent à cela (Autriche, Baléares, Canaries, Crète, Cuba, Sardaigne, Madère, Croatie, Espagne, Écosse, Grèce, Irlande, Italie, Malte, Portugal…).


L'aéroport avait dépassé le million de passagers en 2002 grâce à un large éventail de destinations faisant de la plateforme le hub de l'ancienne compagnie Regional Airlines. On évoquait alors la construction d'une seconde piste en dur. Depuis, bon nombre de ces destinations nationales (Bordeaux, Limoges, Pau, Biarritz, Dijon, Bâle-Mulhouse…) et internationales (Londres, Genève, Bruxelles, Milan, Turin) ont été supprimées par le groupe Air France, entraînant une chute inéluctable du trafic (un peu moins de 400 000 passagers en 2009). À la suite d'une action judiciaire de l'État en 2010 remettant en cause le principe de délégation de service public des lignes vers Lille, Rennes, Toulouse, Marseille et Strasbourg et exploitées auparavant par la compagnie Chalair (reprise des lignes à Régional qui les avait abandonnées), ces destinations ont également été supprimées.


Une filiale d'Iberia a exploité de début 2008 jusqu'à l'été 2009 des vols vers Madrid (six vols hebdomadaires).


Depuis avril 2013, deux nouvelles liaisons ont été mises en place avec Ryanair vers Porto ainsi que Charleroi[28]. Depuis 2015, le tour-opérateur Heliades propose des vols vers les îles grecques[29].


L'aéroport de Clermont est un des rares au monde à avoir reçu le Concorde (une première fois le 20 mai 1983 et une deuxième le 15 décembre 2001, ce deuxième accueil est rendu possible grâce à la pression de Michelin qui fournissait les pneumatiques du supersonique). L'aéroport a également accueilli le Beluga (avion cargo Airbus A300-600ST) en 1999 et 2013. Ainsi que l'Airbus A380 pour un touch & Go. L'aéroport accueille aussi beaucoup d'avions qui viennent faire des tests.


Il accueille le centre de maintenance de la compagnie aérienne Régional, filiale du groupe Air France. L'aéroport a accueilli 416 813 passagers en 2013.[réf. nécessaire]


La compagnie FlyKiss a exploité entre le 7 novembre 2016 et le 27 mai 2017 des vols vers Londres, Lille, Nice, Strasbourg et Brest[30].



Liaisons pédestres |


Clermont est le point de départ de la via Arvernha qui traverse les monts du Cantal, puis rejoint le camino francés jusqu'à Saint-Jacques-de-Compostelle.



Transports urbains |


Articles détaillés : Transports en commun de l'agglomération clermontoise, Tramway de Clermont-Ferrand, Ligne B du réseau T2C de Clermont-Ferrand, Ligne C du réseau T2C de Clermont-Ferrand et C.vélo.

Le réseau de transports clermontois est exploité par la régie EPIC T2C et géré par le SMTC. Le 1er janvier 2013, T2C a changé de statut juridique, passant de celui de société d'économie mixte à celui d'établissement public à caractère industriel et commercial[31].


La « colonne vertébrale » de ce réseau est le tramway sur pneus de technologie Translohr, dont une première tranche a été mise en service le 13 novembre 2006 (un mois de réglages techniques étant nécessaire après l'inauguration officielle du 14 octobre) entre Champratel et le CHU Gabriel-Montpied. La ligne a été prolongée le 27 août 2007 vers la gare de la Pardieu, dans la technopole, au sud-est de la commune, puis fin 2013 jusqu'au quartier des Vergnes. La ligne suit un axe nord-sud en reliant la quartier des Vergnes à la gare de Clermont La-Pardieu.


Depuis le 8 décembre 2012, la ligne B (reliant Royat – place Allard au stade Marcel-Michelin) du réseau a été convertie en ligne de bus à haut niveau de service, de même que la ligne C (reliant le lycée René Descartes de Cournon-d'Auvergne à Tamaris à Clermont-Ferrand) le 13 janvier 2014. Ces deux lignes assurent un desserte complémentaire par rapport au tramway en suivant un axe est-ouest.


Outre ces lignes, le réseau T2C comporte aussi 24 lignes régulières d'autobus classiques.


Depuis septembre 2004, le service MooviCité[32], initié par le Syndicat mixte des transports en commun de l'agglomération clermontoise (SMTC), propose des transports à la demande pour les personnes à mobilité réduite, ainsi que la location de vélos classiques et de vélos à assistance électrique (VAE), pour tous à l'intérieur de l'agglomération.


Enfin, depuis le 26 juin 2013, un service de vélos en libre-service et de location longue durée appelé C.vélo, géré par le SMTC est disponible dans la capitale auvergnate. À fin 2015, quarante stations sont disponibles aux usagers pour un total de 400 vélos[33].




Réseau cyclable |


Clermont-Ferrand est l'une des grandes agglomérations de France où la pratique du vélo est la plus faible[34], avec un taux de pratique quotidien du vélo inférieur à 2 % et un réseau cyclable assez peu développé[35].



Urbanisme |



Plan local d'urbanisme |




Agglomération de Clermont-Ferrand, vue du sommet du puy de Dôme.


En remplacement du plan d'occupation des sols (POS) adopté le 17 novembre 2000 et révisé plusieurs fois, la ville de Clermont-Ferrand élabore un plan local d'urbanisme (PLU), prescrit par le conseil municipal le 24 juin 2011[CLE 1]. Il doit être harmonisé avec le SCOT du Grand Clermont, approuvé fin 2011.


Le PLU devrait être approuvé à la fin de l'année 2016[CLE 2].



Morphologie urbaine et quartiers |


La ville est divisée en de nombreux quartiers.


Le quartier Saint-Jacques, aménagé de grandes tours, et dont la population au salaire moyen bas, est très marqué par les problématiques urbaines.


Les quartiers Nord (Croix-de-Neyrat-Champratel, les Vergnes, la ZUP et la Plaine) sont excentrés et pâtissent d'une mauvaise réputation.


Le quartier de La Plaine, construit durant la première moitié du XXe siècle, est une vaste cité-jardin, peuplée de retraités et de jeunes familles, à l'entrée nord de la ville.



Le centre-ville |



La cathédrale, place de la Victoire

La cathédrale, place de la Victoire.



La rue Montlosier

La rue Montlosier, prolongée par la rue André-Moinier en direction de la place Gaillard en 2007.


Le centre-ville de Clermont se concentre autour de la butte occupée par la cathédrale Notre-Dame-de-l'Assomption. Une grande partie est constituée de bâti ancien desservi par des rues souvent piétonnes.


C'est là que l'on trouve le cœur commerçant de la ville, notamment sur la place de Jaude où se situent deux centres commerciaux, le Carré Jaude et le Carré Jaude 2.


La plupart des administrations sont également situées dans ce secteur, notamment l'hôtel de ville, le conseil départemental du Puy-de-Dôme ainsi que la préfecture.


Plusieurs composantes des universités clermontoises sont installées dans le centre. Les UFR lettres, langues et sciences humaines et psychologie ainsi que la faculté de droit et de sciences économiques sont dans ce cas.



Le Sud-Est |


Cette partie de la ville compte une mosaïque de petits quartiers aux architectures disparates : les Neuf-Soleils, la Raye-Dieu, les Landais, la Fontaine-du-Bac, la Pardieu, l'Oradou, Anatole-France, Herbet et Crouël.


La Fontaine-du-Bac est un quartier constitué de tours HLM construit dans les années 1970 et qui a été l'objet de rénovations urbaines en 2004 (réaménagement des abords de l'immeuble, station de tramway, terrain de basket-ball). Situé à proximité de La Pardieu, ce quartier n'en demeure pas moins une zone urbaine sensible où le chômage (même s'il est le plus faible des quartiers prioritaires avec 13,90 %[36]) et la précarité (39 % en 1996[36]) y sont marqués. D'une population de 4 955 habitants en 1999, ce quartier est composé d'une population vieillissante et du taux de jeunes de 10 à 19 ans le plus faible[36].


Le quartier d'Herbet est un ensemble de cités en tôle et d'immeubles HLM situé à la périphérie est de Clermont-Ferrand, près du boulevard Saint-Jean. Bâtie dans les années 1940, cette cité d'urgence était destinée à accueillir les travailleurs et tirailleurs maghrébins (essentiellement algériens) puis à être démolie. Aujourd'hui, une proportion non négligeable de la population est d'origine maghrébine et beaucoup d'habitants ont déserté le quartier pour des logements plus décents. Le quartier comptait 500 habitants environ[36]. La mairie a décidé de ne pas le raser et a effectué quelques rénovations pour redorer l'image de ce quartier qui a, jusque dans les années 1990, préoccupé les autorités par sa violence et sa marginalité (taux de chômage élevé, taux de précarité de 39,2 % en 1996[36]).



Vue de Clermont-Ferrand depuis le parc Montjuzet

Vue depuis le parc de Montjuzet en 2006.


Les cités en tôle devraient être démolies d'ici 2020.[réf. nécessaire]


L'Est de la ville compte de nombreux établissements industriels, notamment dans le quartier du Brézet. Le parc d'activités de la Pardieu accueille de nombreuses entreprises.


De nombreuses enseignes commerciales et plusieurs hypermarchés sont installées le long des grands boulevards qui traversent ces zones. Enfin, il faut noter la proximité du campus des Cézeaux.



Les quartiers nord |


Les quartiers du nord de Clermont-Ferrand rassemblent de gros complexes résidentiels de type HLM et un habitat individuel en développement. Ils n'avaient pourtant connu aucun programme de restructuration dans les années 2000[36]. Ces quartiers totalisent 25 000 habitants et connaissent un taux de chômage équivalent aux ZUS de France mais supérieur à la moyenne clermontoise[36].



Croix-de-Neyrat |

Article détaillé : Croix-de-Neyrat.

Croix-de-Neyrat est un quartier de plus de 8 000 habitants desservi par le tramway et une grande piste cyclable longeant la rue du Torpilleur-Sirocco.


Né au début des années 1960[37] pour répondre à l'arrivée massive de main-d'œuvre, ce quartier demeure le quartier le plus grand de Clermont-Ferrand en superficie, limité par Cébazat au nord, les Côtes-de-Clermont à l'ouest, La Plaine derrière la rue du Docteur-Bousquet, Champratel et encore La Plaine à l'est, de l'autre côté du boulevard Clémentel.


La population de ce quartier est composée de plus de cinquante nationalités, mais principalement d'immigrés d'Afrique du Nord et présente une densité de population importante. Elle présente une criminalité relativement modérée mais est plutôt d'assez mauvaise réputation[38], réputation qui va s'aggraver en 2005 lors de la crise des banlieues[37]. L'été 2013 voit la démolition de la célèbre passerelle désaffectée de Croix-de-Neyrat, qui a souvent servi de « base de tir »[39] pour caillasser le tramway qui passe dessous[40].


Cependant, le quartier bénéficie de caractéristiques qui diffèrent de la plupart des banlieues sociales d'autres grandes villes. Une partie du quartier est composée d'habitat individuel et comporte des espaces verts (vaste parc de la Fraternité, arboré, avec plusieurs aires de jeux pour les enfants). Un vaste complexe commercial et tertiaire y est en cours d'implantation près de l'actuel hypermarché[41]. On y trouve la deuxième médiathèque de la ville, plus spacieuse que celle du centre-ville, située au rez-de-chaussée du centre commercial Auchan Nord. Le quartier n'est pas enclavé et est fréquenté par les habitants des quartiers voisins de Clermont-Ferrand.


Croix-de-Neyrat est en zone franche urbaine depuis 2004[42].



La Plaine |

La Plaine est une cité-jardin tranquille et verdoyante, qui représente l'archétype de l'urbanisme à visage humain sous l'influence de l'industriel Michelin avec son quadrillage de rues plantées d'arbres et bordées de cités Michelin aujourd'hui souvent agrandies et rénovées, dont les plus vieilles datent des années 1920.


Une partie du quartier est déjà desservie par le tramway et par plusieurs lignes de bus. La prolongation de la ligne de tramway via le stade Gabriel-Montpied va compléter la desserte de la partie nord du quartier de La Plaine. Plusieurs pistes cyclables et d'innombrables rues paisibles permettent de le sillonner.


Au milieu du quartier se trouve un centre commercial avec supermarché, pharmacie, tabac-presse, esthéticienne, pressing…


Le cinéma d'Art et Essai Le Rio est implanté en bordure de ce quartier.



Champratel |

Champratel est un petit quartier, situé exactement au nord de Clermont entre le quartier Croix-de-Neyrat et celui des Vergnes, près du stade Gabriel-Montpied, à partir des années 1970, venant compléter la ZUP de Flamina jamais achevée[43]. Il se caractérise par l'indice de jeunesse le plus élevé de Clermont Communauté et d'une taille des ménages élevée[36], avec toutefois un fort taux de chômage et une population hétérogène[réf. nécessaire].


Ce quartier est en pleine transformation depuis les années 2000 : les anciennes tours emblématiques ont été démolies en 2003[36]et 2009[réf. nécessaire] ; il reste de ce fait très peu d'immeubles de cette époque (quatre immeubles de dix étages et deux de sept étages). Un écoquartier d'une superficie de 19,7 hectares est aménagé pour ré-urbaniser ce quartier résidentiel, avec « 665 logements bioclimatiques » complétant les 292 logements[44] réhabilités jusqu'en 2016, pour un coût de 6,3 millions d'euros[45]. Une école maternelle a ouvert à la rentrée 2013[44] ; la place René-Mayot et le square Rosa-Parks ont été livrés en 2015[46].


Le tramway le dessert depuis 2006 depuis le centre-ville et offre depuis fin 2013 une connexion avec le quartier des Vergnes.


À l'ouest, l'extension de la zone commerciale Auchan Nord, portée par Immochan sur le site des anciens laboratoires MSD-Chibret, à la limite avec Croix-de-Neyrat, accueille des enseignes spécialisées, des bureaux et des commerces[CLE 3] ; il permettra de favoriser le développement du quartier.



Les Vergnes |

Les Vergnes est le quartier le plus excentré de la ville, entre Champratel et Gerzat. Il comptait 3 881 habitants en 1999[36]. Nombreux espaces verts et pistes cyclables y permettent d'agréables promenades. On y trouve aussi une grande crèche de 55 places[CLE 4]. Ce quartier a fait l'objet d'une rénovation et d'aménagements (nouvelle place des Droits-de-l'Homme avec système de vidéoprotection[CLE 5]), avec un nouveau centre commercial[CLE 6]. Le pôle commercial, d'une superficie de 1 009 m2, comprend deux bâtiments avec une pharmacie et une supérette, « locomotives pour l'ensemble du centre commercial », ainsi qu'un espace de restauration rapide[47].


Ce quartier est majoritairement constitué de logements sociaux collectifs des années 1960-1970. En moyenne, 30 % de la population vit en dessous du seuil des bas revenus. Il est marqué par les violences urbaines que l'on constate chaque année : racket, trafic de stupéfiants, véhicules incendiés[48]. La délinquance a augmenté de 68 % entre 2011 et 2012, d'où son classement en zone de sécurité prioritaire depuis septembre 2013[49].


Depuis le 14 décembre 2013, il est desservi par le tramway prolongé après cinq ans de travaux et devient donc le terminus.



La Gauthière |

La Gauthière est un quartier regroupant notamment de longs bâtiments (barres) comme la rue des Jardiniers ou bien la rue Tourrette mais, jusqu'à avril 2012, encore trois tours de quinze étages chacune mais aussi le U dont une partie du bâtiment a été démolie en 2009.


Les premiers immeubles du quartier sont érigés au début des années 1960. À l'origine, des ouvriers de Michelin résidaient dans ces bâtiments, qui ont laissé place depuis à une population défavorisée, notamment des familles maghrébines[50]. Il est achevé en 1971 avec l'ouverture d'un centre commercial[51]. Dans le cadre de la requalification du quartier[CLE 7], l'ancien centre commercial a été démoli et laisse place à une nouvelle maison de quartier et des logements neufs, tout comme les trois tours[52]. 5 000 habitants résidaient dans le quartier dont 700 étrangers[50].



La Glacière – Chanteranne – Côtes-de-Clermont |


Ces quartiers essentiellement résidentiels jouxtent le parc de Montjuzet et occupent le bas des côtes de Chanturgue. Ce quartier plutôt tranquille mêle résidences, villas et quelques bâtiments HLM qui font de la Glacière un quartier homogène au point de vue social. Chanteranne est majoritairement constitué d'anciennes cités Michelin, construites pour accueillir les ouvriers qui travaillent dans les usines Michelin, c'est un quartier où se mêlent les origines (Portugais, Marocains, Français, Algériens, Chinois…).



Les Salins – Vallières |



Maison de l'Apothicaire


Maison de l'Apothicaire, à Montferrand.


Ces quartiers résidentiels sont proches du centre-ville. Le quartier des Salins abrite les sièges sociaux de grandes banques, un centre d'affaires, la gare routière, la mutuelle sociale agricole, la librairie Les Volcans sise en face de la Maison de la Culture et, sur la place des Salins, un marché aux puces a lieu tous les dimanches matin.


À noter le « trou » correspondant au projet abandonné de Grande bibliothèque qui devait être construit sur l'ancienne gare routière. Un rucher urbain est installé sur le toit de la Maison de la Culture.


Aux Salins, on trouve également le stade nautique Coubertin, piscine découvrable la plus vaste d'Europe en 2006.


Vers Vallières, le quartier se compose plutôt de pavillons et de petits immeubles d'habitation. Le stade Philippe Marcombes y est un pôle sportif fort.



Montferrand – Les Bughes |


Montferrand est un site d'origine médiévale mis en valeur par un classement en secteur sauvegardé.


Entre le Nord et le Centre, on rencontre deux grands types de quartiers comportant majoritairement les usines Michelin (Cataroux, Combaude, Carmes). À proximité immédiate des entrées, des quartiers populaires se dessinent, encore une fois avec des ouvriers et employés de la manufacture (Chanteranne) ou encore les « Bughes-Nord » se situant entre le boulevard Maurice-Pourchon et la Maison des Sports et connaissant l'influence architecturale des maisons Michelin mêlées à des bâtiments de type HLM ou résidences et des commerces florissants.



Saint-Jacques – Clermont Sud |



La Muraille de Chine, vue depuis le Viaduc Saint-Jacques.

La Muraille de Chine, vue depuis le Viaduc Saint-Jacques.


Le quartier de Saint-Jacques est essentiellement constitué de grands ensembles, majoritairement de type HLM. Il est relié au centre-ville par un viaduc depuis 1967[36]. Très dense, il est de taille comparable à celui de Croix-de-Neyrat. Il regroupe près de 15 000 habitants. Le bâtiment le plus emblématique du quartier est la Muraille de Chine, un immeuble situé en hauteur et de très grande longueur, soit 354 logements. Le quartier est une zone urbaine sensible et comprend aussi la tour la plus haute de la ville avec ses vingt étages et 121 HLM. La délinquance est de plus en plus marquée dans ce quartier construit dans les années 1970, classé lui aussi en zone de sécurité prioritaire[49] ; certains professionnels ont parfois été contraints de changer de quartier[53]. Malgré une mixité globale, il existe des disparités selon les sites : des zones de relégation (ensemble Winston Churchill, une barre d'immeubles située rue des Plats…) jouxtent des zones pavillonnaires. C'est à proximité que se situent le CHU Gabriel-Montpied ainsi que les facultés de médecine et de pharmacie.


Ce grand quartier comprend plus de logements sociaux (3 593[36]) que Clermont Nord.[réf. nécessaire]


Le 14 avril 2017 est discuté et accepté un plan de démolition de plusieurs logements sociaux dans la zone, y compris de la Muraille de Chine. Ces changements sont prévus pour 2023[54].



Environnement |



Parcs et jardins urbains |



Le jardin Lecoq

Le jardin Lecoq.



  • Le jardin Lecoq, encore appelé le jardin des plantes, est l'œuvre, comme le petit parc de la gare, du paysagiste Paul de Lavenne, comte de Choulot. Il contient une porte fortifiée du XVIe siècle provenant du manoir, aujourd'hui disparu, de la famille de Blaise Pascal ;

  • le parc de Montjuzet est un parc de 26 hectares qui domine la ville. Créé à la fin du XXe siècle, il présente un surprenant jardin d'essences méditerranéennes ;

  • le parc du Creux de l'Enfer est un parc de quatre hectares. Il est situé au sud-est de la ville, entre le quartier de Jouve et le quartier de la Fontaine-du-Bac. Ce parc présente un parcours d'orientation ;

  • le parc de la Gauthière ;

  • le parc de la Fraternité ;

  • le jardin botanique de la Charme.



L'arrière-pays |


Plusieurs espaces naturels entourent l'agglomération :



  • les monts Dômes ou chaîne des Puys, ensemble emblématique du parc des volcans d'Auvergne : il s'agit d'un des plus importants ensembles volcaniques d'Europe ;

  • le plateau de Gergovie et les coteaux secs (Chanturgue, Puy de Crouël, etc.) : ils abritent de nombreuses espèces thermophiles d'origine méditerranéenne dont des orchidées ;

  • la plaine de la Limagne ;

  • le val d'Allier, une des dernières rivières « sauvages » d'Europe présentant une dynamique fluviale très active.


De nombreux sites naturels situés sur le territoire de Clermont-Ferrand ou à proximité immédiate sont intégrés dans le réseau Natura 2000 et font à ce titre l'objet d'actions de préservation et de gestion.


Le territoire de Clermont-Ferrand abrite également la source de la Poix. Il s'agit d'un des derniers affleurements naturels de bitume de France. Il se présente sous forme de cavité d'un mètre de diamètre dont la profondeur est supérieure à 40 centimètres. Son débit est très faible : un litre seulement d'hydrocarbure s'en dégage chaque jour[55]. Cette source unique est actuellement utilisée comme une décharge sauvage.



Logement |



En 2012, la commune comptait 85 355 logements, contre 81 558 en 2007. Parmi ces logements, 88,3 % étaient des résidences principales, 2,7 % des résidences secondaires et 9 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 17,7 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 80,9 % des appartements[INS 1].


La proportion des résidences principales, propriétés de leurs occupants était de 32,6 %, en hausse sensible par rapport à 2007 (31,3 %). La part de logements HLM loués vides était de 22,9 % (contre 24 %)[INS 2].



Aménagements |






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Aménagements déjà réalisés |


Plusieurs aménagements ont déjà été réalisés à Clermont-Ferrand. Ne sont listés que les plus importants depuis 1999.


En 1999, la place du 1er-Mai a été rénovée et le bâtiment Polydome est livré. La Coopérative de Mai, salle de musiques actuelles, est inaugurée en 2000. Le stade nautique Pierre-de-Coubertin est livré en 2001, puis un autre équipement sportif, géré par la communauté d'agglomération, le stadium Jean-Pellez, ouvre l'année suivante sur la commune limitrophe d'Aubière.


La place de Jaude est réaménagée jusqu'en 2005, en même temps que le chantier de la ligne A du tramway qui est mise en service en 2006. Le bâtiment de l'École supérieure d'art de Clermont Métropole est livré en 2006.


En 2008, la basilique Notre-Dame-du-Port est restaurée ; le siège du journal La Montagne est déplacé à proximité de la place du 1er-Mai ; le centre commercial Jaude est agrandi et rénové.


En 2009, le campus des Cézeaux est mis en valeur ; le centre muséographique de Michelin, L'Aventure Michelin, est inauguré le 23 janvier.


En 2010, le FRAC Auvergne possède de nouveaux locaux, place du Terrail ; le nouvel hôpital d'Estaing est livré.


En mars 2012, un hôtel de police est construit avenue de la République ; en août, le centre commercial Auchan Nord est agrandi et son carrefour à son entrée est modifié. Le stade Marcel-Michelin gagne 1 200 places.


En septembre 2013, l'opéra municipal, rebaptisé Opéra-Théâtre, rouvre après plus de six années de rénovation[56]. En novembre de la même année, le complexe Grand Carré de Jaude est inauguré tandis que près du CHU Estaing, une nouvelle faculté dentaire est livrée pour un coût de 26 millions d'euros. La ligne A du tramway est prolongée de Champratel aux Vergnes, pour une mise en service le 14 décembre 2013 et la place des Droits-de-l'Homme est réaménagée pour un coût de 29,6 millions d'euros[57].


En juin 2014, le nouvel hôtel de région (conseil régional d'Auvergne) à Montferrand est livré, pour 85 millions d'euros ; Ikea s'implante dans la zone des Gravanches (le magasin ouvre le 6 août 2014, mais le projet de pôle commercial, un retail park de plus de 22 000 m2, qui a fait l'objet de recours auprès de la commission nationale d'aménagement commercial (CNAC) qui a refusé ce projet en juin 2013, a été rejeté, le Conseil d'État invoquant la trop grande proximité avec Croix-de-Neyrat[58]) ; la patinoire a été modernisée entre 2013 et août 2014.


Entre 2013 et fin 2014, l'autoroute A71 (et indirectement une partie de l'A89) a été élargie entre la barrière de péage « de Clermont-Barrière » (Gerzat) et l'échangeur avec les autoroutes A711 et A75. Cette réalisation de la société d'autoroutes APRR a coûté 100 millions d'euros.


L'école d'architecture est implantée sur le site de l'ancien hôpital-sanatorium Sabourin, en septembre 2015[CLE 8].



En cours de réalisation |




Portion orientale des remparts de Montferrand.


Montferrand est en cours de réhabilitation avec mise en valeur des remparts de la ville médiévale.


En complément du réaménagement d'une partie de l'avenue de l'Union-Soviétique, dont le parvis, le pôle d'échanges intermodal a été inauguré le 17 janvier 2015. Une partie des travaux a été réalisée.


Depuis 2012 et jusqu'en 2016, la friche industrielle des laboratoires MSD est aménagée en centre commercial de 1 500 m2, cinéma de douze salles pour 2 600 sièges, parc tertiaire de 8 000 m2 et parking de 1 500 places (Immochan)[41].


Commencés en 2010, les travaux du nouvel écoquartier de Trémonteix, dont les bâtiments sont certifiés HQE, se poursuivent. La seconde résidence est livrée au printemps 2015[59]. L'écoquartier doit accueillir deux mille habitants à terme[60].


Le siège social de Michelin est en cours de modernisation, entre 2011 et 2016. L'hôpital Sainte-Marie est en cours de restructuration (2009-2017).


Un projet immobilier d'envergure entre la place du 1er-Mai et l'avenue de la République est en cours d'élaboration sur cinq hectares : tertiaire, résidences étudiantes et seniors, logements, commerces, parkings pour une surface totale de 55 000 m2. S'étalant entre 2013 et 2017, ce projet coûte 120 millions d'euros.


Depuis fin 2013, Michelin construit un ensemble de bureaux « Campus RDI » pour son centre international de recherche « Urbalad » sur le site de Ladoux (Cébazat). L'investissement sera de 270 millions d'euros au total pour ce qui deviendra le plus gros bâtiment d'Auvergne : 67 000 m2 pour 1 600 personnes y travaillant[61]. L'ensemble sera livré en deux temps, à l'automne 2015 puis en 2017 ; elle comprend une ombrière, la plus grande de France, fabriquée près de Metz par Eiffage Énergie[62]. Plus de trois mille salariés travaillent sur le site R&D de Ladoux[63]. Le campus a été inauguré le 16 septembre 2016[64].


Le CHU Gabriel-Montpied est en cours de restructuration ; les travaux ont commencé en 2008 et la fin est prévue pour 2019.



En projet |


Outre les réalisations, totales ou partielles, déjà évoquée supra, la ville mène plusieurs projets :



  • la découverte et la renaturation de la rivière Tiretaine ;

  • la réalisation de la ligne B est-ouest du tramway via la gare SNCF ;

  • l'agrandissement du stade Gabriel-Montpied à 30 000 places, un projet relancé lors des élections municipales de 2014 par le candidat élu ;

  • le réaménagement du site de l'Hôtel-Dieu, concours Europan (2009-2010) ;

  • la construction de City stade à Herbet (RB) ;

  • une grande bibliothèque — ancien projet redimensionné du fait de l'impossibilité de la mutualisation ; le site de l'Hôtel-Dieu a été acté par la mairie en 2009 ;

  • la transformation du site des pistes Michelin en Cité de la mobilité, comprenant un parc-musée des transports, un lieu à vocation culturel et des logements ;

  • le centre commercial de la Plaine de Sarliève (68 000 m2, à Cournon-d'Auvergne) : en suspens ;

  • Clermont Scène nationale (Comédie de Clermont-Ferrand) sur le site de l'ancienne gare routière : ouverture prévue au 2e semestre 2019. La première pierre a été posée le 11 décembre 2017[65] ;

  • la construction d'un nouveau lycée professionnel aux Vergnes qui regrouperait les formations du lycée Camille-Claudel et les formations de services du lycée Marie-Curie.



Risques naturels et technologiques |


La commune de Clermont-Ferrand est soumise à des risques naturels et technologiques. Elle a élaboré un DICRIM en 2006[66] révisé[CLE 9].



Risques naturels |


Bien que située à l'écart de la rivière Allier, la ville court le risque d'une inondation par ruissellement urbain[67]. Trois plans de prévention du risque inondation sur les trois cours d'eau irriguant le territoire communal ont été élaborés et approuvés par un arrêté préfectoral du 6 mars 2002[67]. Clermont-Ferrand se situe dans un territoire à risque important d'inondation par arrêté du 26 novembre 2012[66].


Le risque mouvement de terrain, par affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines et par glissement de terrain[66], concerne aussi la commune. De tels glissements de terrain par retrait-gonflement des sols argileux se sont produits entre le 1er mai 1989 et le 31 décembre 1991 (arrêté de catastrophe naturelle du 31 juillet 1992) et en 2002 (arrêté du 30 avril 2003)[67], ainsi qu'un effondrement de cavité le 1er avril 2011, du fait de la présence de nombreuses caves[67].


Aucune des 467 communes du département du Puy-de-Dôme n'est en zone de risque sismique nul. La commune de Clermont-Ferrand appartient à la zone de sismicité modérée (niveau 3) selon la classification en vigueur depuis le 1er mai 2011. Elle a toutefois été frappée par un séisme meurtrier le 1er mars 1490 dont l'épicentre était situé à une quinzaine de kilomètres au nord-ouest de Clermont[67]. Une station sismologique est en place dans le quartier des Cézeaux, ainsi qu'un accéléromètre « pour l'étude des mouvements forts et des normes parasismiques » dans le secteur Ledru[67].


Le risque feu de forêt existe également[67].


La commune est également concernée par le risque tempête. Aucune partie du territoire n'est épargnée depuis les tempêtes de 1999. Des vents allant jusqu'à 169 km/h ont été relevés en 1951, 129 km/h en novembre 1982, 159 km/h juste avant l'an 2000[67].



Risques technologiques |


Concernant le risque industriel, Clermont-Ferrand possède une usine SEVESO seuil bas (Michelin) spécialisée dans l'industrie du caoutchouc. Le 14 décembre 1992, un incendie se déclara dans « une société spécialisée dans la transformation du papier pour l'industrie et l'alimentaire », engendrant la destruction de la quasi-totalité du stock — 700 tonnes — et de 3 500 m2 de bâtiments[67].


La commune est également soumise au risque « transport de marchandises dangereuses ». Autoroutes et voies ferrées, tout comme une canalisation de gaz naturel, passent dans la commune[67].



Toponymie |


Voici la liste des noms sous lesquels la ville est attestée au cours de son histoire[68] :




  • Augustonemetum du Ier au IIIe siècle, le sanctuaire d'Auguste (empereur romain)[69] ;


  • Arvernis à la fin de l'Antiquité[70], à partir du IIIe siècle et pour plusieurs siècles ;


  • Clermont au moins depuis l'époque carolingienne, nom usuel s'opposant à Arvernis qui reste le nom officiel pendant encore plusieurs siècles (au XIVe siècle, les deniers portent encore la mention Arvernis) ;

  • Clermont-Ferrand à partir du XVIIe siècle (1630 et 1731).


La ville moderne de Clermont-Ferrand est née de l'union de deux anciennes villes, Clermont et Montferrand.


La ville est appelée en auvergnat : Clharmou-Faran[71],[72] ou plus communément Clharmou[73],[74],[75], « le mont lumineux ».



Histoire |


Article détaillé : Histoire de Clermont-Ferrand.


Le tramway sur la place de Jaude

Le tramway sur la place de Jaude en 2007.



Préhistoire et protohistoire |


L'occupation du territoire de la commune est attestée dès le Néolithique comme en témoignent l'érection de plusieurs menhirs (Brézet, Sainte-Anne, Puy-de-la-Poix) et du dolmen du Puy-de-Crouël.


Il existe aussi quelques signes d'occupation protohistorique au pied de la butte sur laquelle sera édifiée la ville antique[76].



Époque romaine |


Article détaillé : Augustonemetum.

Augustonemetum (le sanctuaire d'Auguste, empereur romain) est une ville neuve[77] qui aurait été créée au cours du Ier siècle av. J.-C.[69] Le forum de la ville romaine est placé au sommet de la butte de Clermont, à l'emplacement des actuelles cathédrale et place de la Victoire[78]. La population de Nemossos s'y transfère et elle est estimée entre 15 000 à 30 000 personnes au IIe siècle, ce qui en fait une des villes les plus peuplées de la Gaule romaine[79]. La phase d'expansion d'Augustonemetum se termine au milieu du IIIe siècle, moment où la ville se replie fortement et se fortifie autour du forum.


Article détaillé : Arvernis.

Au IVe siècle, alors que le christianisme s'implante, la population n'est plus estimée qu'à environ 700 habitants[79]. La ville prend alors le nom d'Arvernis, du nom du peuple gaulois habitant la région. Les fortifications sont à l'époque percées de cinq portes qui existeront durant tout le Moyen Âge[80]. Les restes de la ville antique sont abandonnés à la ruine ou réduits à l'état de petits faubourgs comme celui de Fontgiève. Néanmoins, le tracé des cardo et decumanus maximus, ainsi que le tramage des rues romaines en découlant, a survécu partiellement jusqu'à nos jours, où certaines rues et voies en forment la continuation directe, notamment en centre-ville[81].



Moyen Âge |


Article détaillé : Clermont-Ferrand au Moyen Âge.



Le prêche du pape Urbain II au concile de Clermont. Miniature de Jean Colombe, extraite des Passages d'outremer, vers 1474, BNF, Fr.5594.


Les Wisigoths assiègent plusieurs fois Arvernis entre 471 et 475. Malgré la défense du patrice Ecdicius et de l'évêque Sidoine Apollinaire, la ville est cédée aux Wisigoths par l'empereur Julius Nepos, et fait partie du royaume wisigoth jusqu'en 507.


Le haut Moyen Âge est marqué par les pillages dont elle est l'objet de la part des peuples qui envahissent la Gaule et n’aurait pas été épargnée par les Vikings lors de l'affaiblissement de l'Empire carolingien.





Le pape Urbain II prêchant la première croisade sur la place de Clermont, tableau de Francesco Hayez (1835).


En 761, Pépin le Bref pille l'« Urbem Arvernam » (la ville des Arvernes) et prend son château fort « Claremontem Castrum » (le « château du mont clair »)[82]. Au fil du temps, la ville prend dans le langage oral un nom dérivé de celui de la forteresse, Clermont, même si officiellement le nom Arvernis restera longtemps utilisé, comme en témoignent encore les deniers du XIVe siècle[83]. La ville aurait ensuite été ravagée par les Normands du chef Hasting en 862[84]. L'évêque Sigon entreprend sa reconstruction, mais elle est de nouveau ravagée en 898 ou 910 (la date n'est pas connue avec précision) : seule la tradition moderne accorde crédit à ces hypothèses, tant les sources médiévales manquent et les chroniques carolingiennes ont donné lieu à surinterprétation.


L'évêque Étienne II fait bâtir une cathédrale romane ; du moins la consacre-t-il à une date indéterminée mais que la tradition locale place en 946 à l'emplacement de la cathédrale actuelle. Elle sera détruite lors de la construction de la cathédrale gothique actuelle.


En 1095, lors du concile de Clermont, le pape Urbain II prêche la première croisade sur la place du Champ Herm, que les actuelles recherches tendent à placer au niveau de l'actuelle place Delille[85].




Siège de Clermont de 1122 par les troupes françaises du roi Louis VI le Gros ; à gauche Aimeric mande l'aide au roi.Chroniques de Saint-Denis, British Library.


En 1120, pour contrecarrer le pouvoir des évêques, les comtes d'Auvergne fondent à proximité de la ville épiscopale la cité de Montferrand selon un plan orthogonal[86]. Pendant tout le Moyen Âge et jusqu'à l'époque moderne, Clermont et l'actuel quartier de Montferrand sont deux villes distinctes : Clermont est la cité épiscopale, Montferrand, la ville comtale.


En 1202, le comte Guy II d'Auvergne abandonne à l'évêque les droits qu'il possède sur la cité de Clermont. Désormais et jusqu'au milieu du XVIe siècle, l'évêque et le chapitre cathédral sont les maîtres de la ville. Les trois juridictions sont ecclésiastiques, entre les mains de l'évêque (justice correspondant approximativement à l'actuelle partie occidentale de la commune de Clermont-Ferrand), du chapitre cathédral (justice personnelle, non territoriale, exercée par les chanoines sur le chapitre et sur leurs dépendants) et de l'abbé de Saint-Alyre (petite justice abbatiale enclavée dans celle de l'évêque). À partir du milieu du XIIIe siècle commence le chantier de la cathédrale gothique, qui se poursuit lors des siècles suivants[87].


En août 1480, par ses lettres patentes, le roi Louis XI crée un consulat à Clermont[88].


En 1490, la ville de Clermont subit de gros dommages à cause d'un tremblement de terre. Douze tours de l'enceinte s'effondrent totalement ou partiellement ainsi qu'une tour de la basilique Notre-Dame-du-Port. La cathédrale subit également des dommages (une fissure sur le portail sud est toujours visible).


En 1551, Clermont devient ville royale, puis en 1610, propriété inséparable de la Couronne. Henri II transforme l’administration de Clermont en échevinage le 18 octobre 1556 (quatre échevins puis trois en 1559).


En 1557, Clermont reçoit le titre de Chef et ville capitale du pays d'Auvergne alors que Riom devient Chef du duché d'Auvergne et pays pour l'exercice de la justice prenant ainsi l'avantage pour les fonctions judiciaires. Cependant, la création, en 1582 à Clermont, d'un présidial de dix magistrats rétablit l'équilibre.



XVIIe siècle |




Maison de Blaise-Pascal à Clermont-Ferrand. L'emplacement actuel correspond au point de rencontre entre la place de la Victoire et la place Edmond Lemaigre.


Blaise Pascal naît à Clermont en 1623 où il vit jusqu'en 1655[89].


Le 15 avril 1630, l'édit de Troyes (1er édit d'Union) rassemble autoritairement Clermont et Montferrand. Cette union est confirmée en 1731, sous Louis XV, par Daniel-Charles Trudaine, avec le 2e édit d'Union.



XVIIIe siècle |


En 1789, la région de Clermont est représentée aux états généraux par :




  • Jean-François Gaultier de Biauzat et Jean-Antoine Huguet pour le tiers état ;

  • le comte de Montboissier pour la noblesse ;

  • l'évêque François de Bonal pour le clergé.



XIXe siècle |





Eugène Isabey : Rue des Gras à Clermont (1833, Metropolitan Museum of Art).


En 1832, Aristide Barbier et Édouard Daubrée fondent une usine de balles en caoutchouc et de machines agricoles. Cette usine sera à l'origine du groupe Michelin. La première usine, construite place des Carmes en 1889, fabrique des patins de frein pour vélo. Le premier brevet de pneu pour vélo est déposé en 1891. Le siège du groupe se trouve encore à cette adresse.


Les 9, 10 et 11 septembre 1841, Clermont fut en proie à de violentes émeutes provoquées par le recensement décidé en vue d'une réforme fiscale par le ministre Humann. Les émeutiers, auxquels s'étaient joints des habitants de localités rurales voisines (Aubière, Beaumont), manifestèrent leur colère à l'encontre des autorités municipales. Dépassée par l'ampleur de la révolte, la municipalité présidée par Hippolyte Conchon fut contrainte d'annoncer la suspension des opérations de recensement, qu'elle ne faisait pourtant qu'encadrer. En allant au-devant des insurgés réunis sur la place de Jaude, le maire fut agressé, on lui jeta des pierres et il dut fuir pour échapper au lynchage. La maison de Conchon, située sur cette même place, fut pillée et incendiée.



Gare de Clermont-Ferrand en 1908

La gare de Clermont en 1908.


La première gare ferroviaire est construite entre 1855 et 1857.



XXe siècle |



Développement de Michelin |


L'expansion de Michelin provoque la création des cités Michelin où était logé le personnel. Ces cités répondent aux objectifs de paternalisme, marqué de catholicisme dans le cas de la famille Michelin, typique du patronat de l'époque, de contrôle social du personnel. Mais plus simplement, cela permet de faire face à la très forte augmentation de la population clermontoise liée à l'expansion de l'activité industrielle — elle passe de 52 000 en 1900 à 82 000 en 1921 — et aux très mauvaises conditions de logement des ouvriers qui viennent travailler à la « manufacture ». Il y a 3 000 logements Michelin pendant la décennie 1930. De nouveaux quartiers ouvriers sont donc entièrement construits, à l'instar du typique lieu qu'est la plaine avec ses rues strictement symétriques et ses blocs de maisons divisés en quatre logements familiaux. Des rues qui ne portent pas le nom de personnages célèbres ou de lieux mais de qualité ou de vertus rue de la Bonté ou la rue de la Foi. Ces noms reflétaient les valeurs défendues par la famille Michelin à cette époque.


Le développement de ces cités s'accompagne de la création de cliniques, d'écoles, d'une église, de coopératives où le personnel va faire ses courses. Pierre-Jules Boulanger, PDG de Citroën et cogérant de Michelin, achète ses costumes à la coopérative Michelin. Le groupe finance un club omnisports : l'Association sportive Michelin. Une vie s'organise à l'intérieur de l'institution Michelin.



Seconde Guerre mondiale |


Le 23 novembre 1939 Clermont-Ferrand accueille l'université de Strasbourg (française), chassée de la capitale alsacienne par les autorités nazies qui y ont installé la Reichsuniversität Straßburg (l'Alsace étant annexée de fait).


Alors que les autorités françaises négocient l'armistice à Rethondes, la division SS Adolf Hitler investit la ville le 21 juin 1940 et cherche à y débusquer[90] les éléments de résistance subsistants.


Le 29 juin 1940, le gouvernement qui vient tout juste de signer l'armistice se replie de Bordeaux à Clermont qui devient de fait capitale de la France. Mais la ville se révèle rapidement peu adaptée et ne plait pas aux ministres et fonctionnaires[91]. Manquant de logements adaptés, les autorités sont dispersées : le président de la République est ainsi logé à Royat, les présidents de la Chambre des députés et du Sénat à La Bourboule (dans les villas Paradiso et San Pedro)[91]. Les ministres étaient mal installés et se plaignaient des difficultés à travailler[91]. Ainsi le ministère des Affaires étrangères se retrouve dans une maison clermontoise de quelques pièces seulement, avec une capacité téléphonique et électrique insuffisante[91]. Finalement, le gouvernement se transfère dans les 1ers jours de juillet à Vichy, à l'exception de l'armée qui restera 2 ans à Clermont[91].


Le tribunal militaire de Clermont-Ferrand a eu à juger quatre des hommes politiques, passagers du Massilia arrêtés le 31 août 1940 à Casablanca et accusés de désertion. Il condamna le 4 octobre 1940Pierre Viénot, Alex Wiltzer et Jean Zay, puis le 9 mai 1941Pierre Mendès France, alors lieutenant de l'Armée de l'air française. Ce dernier, condamné à six ans de prison, s'évade le 21 juin 1941 de l'hôpital militaire pour rejoindre le général de Gaulle à Londres. Le même tribunal rapportera ces condamnations en 1946.


La Résistance à Clermont s'articule autour du quotidien La Montagne. Son fondateur, le socialiste Alexandre Varenne ayant déclaré qu'il « préférait briser sa plume » plutôt que de la mettre au service de l'ennemi. Le journal subit régulièrement la censure. Il est interdit de publication à plusieurs reprises. À la Libération, La Montagne aura le bonheur de pouvoir ressortir sous le même nom.


En 1944, le 92e régiment d'infanterie de ligne s'installe définitivement dans la ville.



XXIe siècle |



La place de Jaude de nuit et son reflet dans une fontaine

La place de Jaude de nuit et son reflet dans une fontaine.


L'entreprise Michelin perd de son poids en termes d'emplois. Clermont-Ferrand connaît ainsi un rééquilibrage au profit du secteur tertiaire.


Une politique de grands travaux est menée par la municipalité : la place de Jaude est réaménagée, une ligne de tramway est inaugurée en octobre 2006 (il faut noter que la ville avait eu le premier tramway électrique de France, et que celui-ci avait été démantelé en 1956). Le conseil régional d'Auvergne construit dans l'agglomération clermontoise, une salle de spectacles de grande capacité, le Zénith d'Auvergne ainsi qu'une gigantesque halle d'exposition, la Grande Halle d'Auvergne, tous deux inaugurés en fin d'année 2003.



Politique et administration |



Tendances politiques et résultats |


La ville a longtemps été tournée à gauche, au vu des résultats des dernières élections présidentielles, notamment en 2007 et 2012, ainsi qu'aux élections régionales et municipales.



Élections nationales |


Aux élections présidentielles de 2002, Jacques Chirac a recueilli 88,45 % des voix au second tour. Pourtant, au premier tour, Lionel Jospin avait obtenu 18,86 % des suffrages, devançant légèrement Chirac de 134 voix. 79,52 % des électeurs ont voté au second tour contre 71,02 % au premier[MIN 1]. En 2007, le PS domine la ville avec 57,43 % des voix attribuées à Ségolène Royal (mais Nicolas Sarkozy remporte l'élection) avec un taux de participation de 83,43 %[MIN 2]. En 2012, François Hollande est élu président de la République grâce au vote des Clermontois, avec 65,32 % des voix. 79,82 % des électeurs ont voté[MIN 3].


Aux élections européennes, les listes de gauche ont recueilli le plus de voix en 2004 (36,33 % pour Catherine Guy-Quint[MIN 4]) et en 2014[MIN 5], mais pas en 2009 (23,99 % pour Jean-Pierre Audy contre 20,73 % pour Henri Weber[MIN 6]). Les taux de participation sont très faibles : 41,31 % en 2004[MIN 4], 39,53 % en 2009[MIN 6] et 40,00 % en 2014[MIN 5].



Élections locales |


Aux élections régionales de 2004 en Auvergne, Pierre-Joël Bonté a recueilli 56,95 % des suffrages exprimés, devançant Valéry Giscard d'Estaing. Ce premier est élu à la tête du conseil régional d'Auvergne jusqu'à son décès en janvier 2006. 63,22 % des électeurs ont voté[MIN 7]. En 2010, René Souchon obtient 68,11 % des voix et est réélu président de la région, mais avec un taux de participation plus faible (50,05 %)[MIN 8]. En 2015, dans la nouvelle région Auvergne-Rhône-Alpes, Jean-Jack Queyranne obtient 50,69 % des suffrages exprimés contre 38,60 % pour Laurent Wauquiez élu au conseil régional[MIN 9].


Aux élections municipales de 2008, Serge Godard (liste « Vivre Clermont, réussir »)[MIN 10] a été élu au second tour avec 51,69 % des suffrages exprimés et 42 sièges sur les 55[MIN 11]. Il était opposé à Anne Courtillé (« L'avenir à grande vitesse »[MIN 10], 22,34 % des voix et six sièges[MIN 11]), Alain Laffont (« À gauche 100 % »[MIN 10], 15,34 % et quatre sièges[MIN 11]) et Michel Fanget (« Bougeons la ville »[MIN 10], 10,63 % et trois sièges[MIN 11]). 51,44 % des électeurs ont voté, soit 37 931 votants sur 73 739 inscrits[MIN 11].


En 2014, le maire sortant, Serge Godard, ne s'est pas représenté. Huit candidats étaient opposés au 1er tour. Olivier Bianchi a été élu au second tour à l'occasion d'une triangulaire, avec 47,82 % des voix. Il bat Jean-Pierre-Brenas (UMP), qui obtient 41,31 % des voix, et Antoine Rechagneux (FN) qui n'obtient que 10,85 % des voix. Le taux de participation est de 55,33 %, soit 40 476 votants sur 73 156 inscrits[MIN 12].


Article connexe : Élection municipale de 2014 à Clermont-Ferrand.


Les circonscriptions législatives |


En 2007, les électeurs votaient dans les 1re, 2e et 3e circonscriptions du Puy-de-Dôme. Les députés respectifs étaient Odile Saugues[MIN 13], Alain Néri[MIN 14] et Louis Giscard d'Estaing[MIN 15].


La commune fut concernée par les redécoupage des circonscriptions législatives de 2010. Les électeurs votaient dans les 1re, 3e et 4e circonscriptions du Puy-de-Dôme, avec comme députés respectifs Odile Saugues[MIN 16], Danielle Auroi[MIN 17] et Jean-Paul Bacquet[MIN 18].



Les cantons |


Jusqu'en 1982, la ville de Clermont-Ferrand était divisée en plusieurs cantons englobant des communes périphériques. Un décret crée plusieurs cantons limités à la commune elle-même[92],[93]. La ville est alors divisée en neuf cantons :












































































Cantons de Clermont-Ferrand de 1982 à 2015
Canton
Population 2012[INS2 3]
Dernier conseiller général
Étiquette
Qualité
Clermont-Ferrand-Centre 18 342 hab.
Patricia Guilhot PG
Clermont-Ferrand-Est 14 361 hab.
Mireille Lacombe PS
Clermont-Ferrand-Nord 16 407 hab.
Alexandre Pourchon PS
Clermont-Ferrand-Nord-Ouest 16 356 hab.
Michèle André PS
Sénatrice du Puy-de-Dôme
Clermont-Ferrand-Ouest 12 438 hab.
Jean-Yves Gouttebel DVG Président du conseil général du Puy-de-Dôme (2004-2015)
Clermont-Ferrand-Sud 12 495 hab.
Serge Lesbre DVG
Clermont-Ferrand-Sud-Est 19 508 hab.
Sylvie Maisonnet PS
Clermont-Ferrand-Sud-Ouest 20 445 hab.
Dominique Briat PS
Montferrand 11 045 hab.
Nadine Déat PS

À la suite du redécoupage des cantons du département appliqué par décret en 2014[94], applicable depuis les élections départementales de 2015, Clermont-Ferrand ne compte plus que six cantons :





















































































Cantons de Clermont-Ferrand depuis 2015
Canton
Population 2012[INS2 4]
Conseillers départementaux
Étiquette
Qualité
Clermont-Ferrand-1 21 953 hab.
Valérie Bernard PS
Alexandre Pourchon PS

1er vice-président du conseil départemental[95]
Clermont-Ferrand-2 24 501 hab.
Gérald Courtadon PS

11e vice-président du conseil départemental[95]
Manuela Ferreira de Sousa app PS

4e adjointe à la Ville[CLE 10]
Clermont-Ferrand-3 23 497 hab.
Pierre Danel PS

Sylvie Maisonnet PS

4e vice-présidente du conseil départemental[95]
Clermont-Ferrand-4 22 021 hab.
Damien Baldy PS

Dominique Briat PS

10e vice-présidente du conseil départemental[95]
Clermont-Ferrand-5 25 082 hab.
Jean-Yves Gouttebel PRG
Président du conseil départemental[95]
Élise Serin DVG
Clermont-Ferrand-6 24 515 hab.
Nadine Déat PS
12e vice-présidente du conseil départemental[95]
Patrick Raynaud PS

Clermont-Ferrand est la seule commune du département comportant plusieurs cantons.



Administration municipale |


En 2011, Clermont-Ferrand comptait 140 957 habitants[INS2 5]. Ce chiffre a été retenu pour déterminer le nombre de membres au conseil municipal. Compris entre 100 000 et 149 999, ce nombre de membres du conseil municipal s'élève à 55.


Le conseil municipal a désigné dix-sept adjoints (dont un de quartier) par délibération du conseil municipal du 4 avril 2014[CLE 11] dans les domaines suivants[CLE 10] :




  1. finances et évaluation des politiques publiques ;

  2. sports, grands événements et promotion de la ville ;

  3. espace public et embellissement de la ville ;

  4. tourisme et égalité des droits ;

  5. vie associative ;

  6. politique de la ville, jeunesse et animation ;

  7. politique culturelle ;

  8. urbanisme, habitat et logement ;

  9. éducation, enfance et petite enfance ;

  10. sécurité ;

  11. transports et circulation ;

  12. enseignement supérieur, recherche, vie étudiante et relations internationales ;

  13. solidarité et action sociale ;

  14. économie, économie sociale et solidaire et congrès ;

  15. commerce et artisanat ;

  16. démocratie de proximité ;

  17. écologie urbaine, développement durable, eau et assainissement.



Les autres élus sont des conseillers municipaux. En outre, 39 des 55 membres sont élus au conseil communautaire[MIN 12]. Sa composition est la suivante[MIN 12],[MIN 19] :


































Composition du conseil municipal en 2014
Nuance
Liste
présidée par
Sièges
Statut
UG « Réinventons Clermont-Ferrand » Olivier Bianchi 41 majorité
UMP « Le renouveau pour gagner » Jean-Pierre Brenas 11 opposition
FN « Rassemblement bleu marine pour Clermont-Ferrand » Antoine Rechagneux 3 opposition


Liste des maires |


Article détaillé : Liste des maires de Clermont-Ferrand.


Une partie de la façade de l'hôtel de ville de Clermont-Ferrand

L'hôtel de ville.


Le maire actuel de la ville est Olivier Bianchi (PS), élu le 4 avril 2014[CLE 11].
















































Liste des maires successifs depuis 1935
Période
Identité
Étiquette
Qualité
1935
1944

Paul Pochet-Lagaye

radical-socialiste
également maire sous l'État Français
1944
1973

Gabriel Montpied

SFIO puis PS
Sénateur du Puy-de-Dôme
1973
1997

Roger Quilliot

PS
Sénateur du Puy-de-Dôme
1997
2014

Serge Godard

PS
Sénateur du Puy-de-Dôme
2014
en cours

Olivier Bianchi

PS
 


En 2010, la commune de Clermont-Ferrand a été récompensée par le label « Ville Internet @@@@ »[96],[97].



Politique de développement durable |


La ville a engagé une politique de développement durable en lançant une démarche d'Agenda 21 en 2003[98]. L'agenda 21 local est renouvelé tous les ans[99]. Le plan climat est obligatoire dans une commune de plus de 50 000 habitants ; Clermont-Ferrand est donc concernée. Des concertations ont lieu dans les différents quartiers[CLE 12].




Instances judiciaires et administratives |


Clermont-Ferrand est le siège d'un tribunal d'instance, d'un tribunal de grande instance, d'un tribunal de commerce, d'un tribunal administratif, d'un tribunal pour enfants, d'un tribunal des pensions, d'un tribunal paritaire des baux ruraux et d'un conseil de prud'hommes.


Elle relève de la cour administrative d'appel de Lyon, de la cour d'appel de Riom et de la cour d'assises du Puy-de-Dôme à Riom[100].



Finances locales |




Jumelages et accords de coopération |


Clermont-Ferrand est jumelée avec onze villes[101] :





  • Drapeau de l'Angleterre Salford (Angleterre) depuis le 15 mai 1966 ;


  • Drapeau de l'Allemagne Ratisbonne (Allemagne) depuis le 12 mai 1969 ;


  • Drapeau de la Biélorussie Gomel (Biélorussie) depuis le 21 octobre 1977 ;


  • Drapeau de l'Écosse Aberdeen (Écosse) depuis le 2 juillet 1983 ;


  • Drapeau de l'Espagne Oviedo (Espagne) depuis le 14 octobre 1988 ;


  • Drapeau des États-Unis Norman (États-Unis) depuis le 18 avril 1994 ;


  • Drapeau de la Tunisie Bizerte (Tunisie) depuis octobre 1998 ;


  • Drapeau du Maroc Marrakech (Maroc) depuis octobre 1998 ;


  • Drapeau du Portugal Braga (Portugal) depuis le 8 décembre 1999 ;


  • Drapeau du Gabon Oyem (Gabon) depuis le 12 avril 2006 ;


  • Drapeau de la République populaire de Chine Anshan (Chine) depuis le 4 novembre 2006.



Le nom de Clermont a été donné à la ville de Clermont au Québec, en hommage à Blaise Pascal[102].



Population et société |



Démographie |



Évolutions |


L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population
effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les
populations légales
des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur
une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous
les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par
sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un
recensement réel tous les cinq ans[103],[Note 5].



En 2015, la commune comptait 141 398 habitants[Note 6], en augmentation de 1,1 % par rapport à 2010 (Puy-de-Dôme : +2,4 %, France hors Mayotte : +2,44 %).





























Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
30 000 30 000 30 982 30 010 28 257 32 427 35 152 34 083 33 516



























1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
38 160 37 275 37 461 37 357 41 772 43 033 46 718 50 119 50 870



























1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
52 933 58 363 65 386 82 577 111 711 103 143 101 128 108 090 113 391



























1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2015
127 547 148 759 156 763 147 224 136 181 137 140 138 992 140 957 141 398

De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[104] puis Insee à partir de 2006[105].)



Histogramme de l'évolution démographique





Pyramide des âges |


La population de la commune est relativement jeune. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (21 %)[INS 3] est en effet inférieur au taux national (23,6 %) et au taux départemental (25,8 %).


À l'instar des répartitions nationale et départementale, la population féminine de la commune est supérieure à la population masculine. Le taux (52,8 %) est supérieur au taux national (51,6 %).






























Répartition de la population de la commune par tranches d'âge en 2012
Tranche d'âge
0 à 14 ans
15 à 29 ans
30 à 44 ans
45 à 59 ans
60 ans et plus
47,2 % d'hommes
14,5 % 31,9 % 19,8 % 15,9 % 17,8 %
52,8 % de femmes
13 % 30 % 16,6 % 16,6 % 23,8 %













































Pyramide des âges de Clermont-Ferrand en 2012 en pourcentage[INS 4]
Hommes Classe d’âge Femmes


0,4 

90 ans ou +

1,2 



5,6 

75 à 89 ans

9,3 



11,8 

60 à 74 ans

13,3 



15,9 

45 à 59 ans

16,6 



19,8 

30 à 44 ans

16,6 



31,9 

15 à 29 ans

30 



14,5 

0 à 14 ans

13 














































Pyramide des âges du Puy-de-Dôme en 2012 en pourcentage[INS2 6]
Hommes Classe d’âge Femmes


0,5 

90 ans ou +

1,3 



6,9 

75 à 89 ans

10,8 



15,7 

60 à 74 ans

16,2 



20,8 

45 à 59 ans

20,3 



19,8 

30 à 44 ans

18,2 



19,2 

15 à 29 ans

17,7 



17 

0 à 14 ans

15,5 




Enseignement |



Établissements d'enseignement supérieur |



Photographie du bâtiment Lettres et Sciences Humaines de l’université Blaise-Pascal

La faculté de lettres et sciences humaines.


Clermont abrite près de 40 000 étudiants répartis, jusqu'en 2016, dans deux universités, l'université d'Auvergne (Clermont-I, environ 15 200 étudiants en 2012-2013[Note 7]) et l'université Blaise-Pascal (Clermont-II, environ 14 500 étudiants en 2012-2013[106]) ainsi que six écoles d'ingénieurs ou de management. Les deux universités précitées ont fusionné le 1er janvier 2017. La nouvelle université se dénomme « Université Clermont-Auvergne »[107], elle a obtenu la marque d'excellence « Label I-Site » en 2017[108].


La ville se situe au 8e rang national et au 1er rang au classement des grandes villes pour l'enseignement supérieur, selon le palmarès établi par le magazine L'Étudiant en 2015 à partir de critères ayant « trait à la formation, à la vie étudiante, au cadre de vie et à l'emploi »[109].




Entrée du centre des langues et du multimédia sur le campus Carnot.


Près de 15 % de la population étudiante (4 900) vient de l'étranger. On rencontre de nombreux européens accueillis grâce aux programmes d'échanges type Erasmus[110]. Cette population comprend également des Américains, des Chinois, ainsi que des étudiants venant de plusieurs pays d'Afrique (en particulier dans les cursus d'Économie du Développement). La population estudiantine chinoise est en pleine expansion grâce à des partenariats avec plusieurs campus chinois.


Les principales écoles supérieures :




  • Polytech Clermont-Ferrand (appelée avant 2007 : Centre universitaire scientifique et technique de Clermont-Ferrand, CUST) ;

  • l'école nationale des finances publiques (ENFIP) ;

  • l'école nationale supérieure d'architecture de Clermont-Ferrand (ENSACF) ;


  • SIGMA Clermont (créée par fusion de l'IFMA et de l'ENSCCF en 2016) ;

  • l'école supérieure d'art de Clermont Métropole (ESACM) ;

  • l'école supérieure de commerce-Groupe ESC Clermont ;

  • l'institut supérieur d'informatique, de modélisation et de leurs applications (ISIMA) ;

  • l'institut d'enseignement supérieur et de recherche en alimentation, santé animale, sciences agronomiques et de l'environnement, appelé aussi VetAgro Sup (anciennement école nationale d'ingénieurs des travaux agricoles de Clermont-Ferrand, ENITAC).


Les universités et écoles sont dispersées dans différents sites en centre-ville ainsi que sur le campus des Cézeaux.


Le bâtiment de l'avenue Carnot, siège de l'université Blaise-Pascal, a accueilli l'université de Strasbourg pendant l'occupation allemande de la Seconde Guerre mondiale. Les cours de droit et de sciences politiques sont dispensés dans le pôle tertiaire de La Rotonde, un bâtiment d'architecture moderne.


Les universités de Clermont-I et Clermont-II ont constitué un pôle de recherche et d'enseignement supérieur (PRES) avec l'ENITAC, l'IFMA et l'École nationale de chimie : Clermont Université, créé par un décret de 2008[111], et dissous en 2014[112].


Les deux universités de Clermont ont été retenues pour faire partie des audits lancés par le gouvernement Fillon en 2008 en vue de l'autonomie des universités françaises.


Dans le cadre de l'adoption de ses nouveaux statuts, conformément à la loi LRU de 2007, l'université d'Auvergne a créé en avril 2008 la première fondation universitaire de France.



Établissements primaires et secondaires |


Outre les établissements d'enseignement supérieur, la commune de Clermont-Ferrand, dont la commune et son département, ainsi que la région, dépendent de l'académie de Clermont-Ferrand, gère 66 écoles publiques (maternelle et/ou élémentaire) dont 3 d'application[113] et cinq écoles privées sous contrat[114].


Le conseil départemental du Puy-de-Dôme gère huit collèges publics (Albert-Camus, Blaise-Pascal, Charles-Baudelaire, Gérard-Philipe, Jeanne-d'Arc, La Charme, Lucie-Aubrac[Note 8] et Roger-Quilliot)[116]. Il existe aussi six collèges privés sous contrat (Fénelon, Franc-Rosier, Massillon, Monanges, Saint-Alyre et Sainte-Thérèse-les-Cordeliers)[117].


Le conseil régional d'Auvergne-Rhône-Alpes gère les lycées publics (Ambroise-Brugière, Blaise-Pascal, Jeanne-d'Arc, La Fayette — avec section professionnelle —, Sidoine-Apollinaire, ainsi que les lycées professionnels Amédée-Gasquet, Camille-Claudel, Marie-Curie et Roger-Claustres — avec section professionnelle pour ces deux derniers —)[118]. Il existe aussi des lycées privés sous contrat (Fénelon, Godefroy-de-Bouillon, Massillon, Saint-Alyre, ainsi que les lycées professionnels Anna-Rodier, Godefroy-de-Bouillon, René-Rambaud, Saint-Alyre et Sainte-Thérèse-les-Cordeliers)[119]. Un nouveau lycée verra le jour dans le quartier Saint-Jean ; il ouvrira en 2019 ou 2020. Il sera axé sur « les métiers de la qualité de vie et le bien-être »[120].


En outre, la ville possède deux centres d'information et d'orientation : à Clermont Centre et à Clermont Nord[121].



Manifestations culturelles et festivités |




Généralités vagues à classer |


Clermont est la ville de France qui abrite le plus de groupes de musiques actuelles[122][réf. incomplète]. Par ailleurs, le Puy-de-Dôme abriterait à lui seul 7,5 % des groupes de rock français en activité[123][réf. incomplète],[124], comme Cocoon, Squeeze Groove, Sabayo ou Wazoo.


De nombreux artistes du mouvement street art sont présents à Clermont. On peut ainsi observer de nombreux collages ou graffitis artistiques dans les rues de la ville (Ziquicks de Maxime Tauban, Space Invaders, œuvres de Keymi), en particulier dans l'hypercentre de Clermont.


  • Semaine de la poésie, depuis 26 ans, parrain de la manifestation en 2013, le poète Tahar Bekri.

En 2013 a été fondée, par la bibliothèque du patrimoine avec l'aide de la bibliothèque nationale de France, une bibliothèque numérique nommée Overnia[125].



Festivals |



  • Le festival international du court-métrage, créé en 1979, il a acquis un rayonnement international. Il est considéré comme l'un des plus importants ;


  • Vidéoformes (vidéo et nouveaux médias dans l'art contemporain). Créé en 1986, il est devenu la référence en France et sur la scène internationale dans son domaine ;


  • Jazz en tête, le festival international de Jazz, créé en 1988. De nombreux artistes internationaux s'y sont produits : Miles Davis, Herbie Hancock, Wynton Marsalis et Michel Petrucciani, sans oublier les chanteuses Dee Dee Bridgewater, Dianne Reeves ou Cassandra Wilson ;

  • le festival Nicéphore +, festival international de l'image fixe et de la photographie ;

  • le Rendez-vous du carnet de voyage ;


  • Europavox, le festival européen de musique ;


  • Traces de vies. Depuis 1991, ce festival propose à un large public une sélection de plus de cinquante films documentaires en concours et une vingtaine de films hors concours ;

  • le festival des Musiques Démesurées, festival de musique contemporaine et expérimentale ;

  • le festival international des textiles extraordinaires (FITE), biennale dont le but est de valoriser les productions textiles empreintes de significations patrimoniales et culturelles fortes ;

  • Effervescences, festival de la culture d'échelle européenne.



Musées et lieux d'exposition |



Le musée Bargoin

Le musée Bargoin.






  • Atrium du musée d'art Roger-Quilliot ; œuvre figurant sur la photographie Le Martyre de Saint Jean à la porte latine de Daniel Hallé.

    L'Aventure Michelin, nouvel espace patrimonial de la marque (ouvert depuis janvier 2009) ;

  • le musée Bargoin ;

  • le musée d'art Roger-Quilliot ;

  • le muséum d'histoire naturelle Henri-Lecoq ;

  • le musée du tapis et des arts textiles ;

  • le musée « Art et Artisanat des Combattants 14/18 » ;

  • le FRAC Auvergne (Fonds régional d'art contemporain), dont le lieu d'exposition permanent est depuis janvier 2010 un immeuble de trois étages à proximité immédiate de la cathédrale (après avoir été abrité de nombreuses années par les Écuries de Chazerat) ;

  • l'hôtel de Fontfreyde – Centre photographique (lieu ayant abrité précédemment le musée du Ranquet) ;


  • La Tôlerie – Espace d'art contemporain.



Salles de spectacle et de concert |



La Coopérative de Mai

La Coopérative de Mai.



  • La Coopérative de Mai ;

  • le Zénith d'Auvergne ;

  • l'Opéra-Théâtre ;

  • la Maison des Congrès et de la Culture ;

  • la Maison des sports ;

  • la Maison du peuple ;

  • la chapelle du Bon Pasteur ;

  • la Cour des Trois Coquins ;

  • le Petit Vélo[126].



Saisons musicales |




  • Orchestre d'Auvergne ;


  • Quatuor Prima Vista ;


  • Chœur régional d'Auvergne.



Santé |



Les deux principaux hôpitaux clermontois sont l'hôpital Gabriel Montpied et l'hôpital d'Estaing.


Le CHU Gabriel – Montpied est en cours de restructuration, avec le désamiantage des bâtiments datant des années 1970.


Les soins psychiatriques sont dispensés par le Centre hospitalier Sainte-Marie (appartenant à l'Association hospitalière Sainte-Marie).



Sports |


Article détaillé : Sport à Clermont-Ferrand.


Clubs majeurs |



La statue équestre de Vercingétorix arborant le drapeau de l'ASM Clermont Auvergne

La statue équestre de Vercingétorix à Clermont-Ferrand arborant le drapeau de l'ASM Clermont Auvergne après le championnat de 2010.



  • Le club de rugby ASM Clermont Auvergne, champion de France de rugby en 2010 et 2017. Il a également été vice-champion du Championnat de France onze fois depuis la création du club en 1911 (1936, 1937, 1970, 1978, 1994, 1999, 2001, 2007, 2008, 2009 et 2015). Il évolue actuellement en Top 14 et dans l'élite du championnat de France sans interruption depuis 1925 ;

  • le club de football Clermont Foot 63, quart de finaliste de la Coupe de France en 1997 et 2005. Le club joue en Ligue 2 après avoir été sacré deux fois champion de National ;

  • la JA Vichy-Clermont Métropole Basket, nouveau club de basket-ball évoluant en Pro B issu de la fusion du Stade clermontois (basket-ball), qui évoluait en Nationale masculine 2 depuis 2012-2013, et de la Jeanne d'Arc de Vichy Val d'Allier Auvergne Basket, promu de Nationale masculine 1 ;

  • le SCAB 63 (basket-ball, féminines) a évolué en Ligue féminine jusqu'en juin 2009 ;

  • le Clermont-Auvergne Hockey Club (CAHC) rebaptisé Hockey Clermont Communauté Auvergne (HCCA) en 2005. Évolue en D2[Passage à actualiser] ;

  • le Stade clermontois Handball dont l'équipe féminine évoluait en championnat de Nationale 3 (5e échelon national) et les hommes en excellence régionale (7e échelon) en 2011-2012 ;

  • le Clermont Judo ;

  • le Karaté Club Gorinkan[127] dont le dojo se trouve au gymnase Ferdinand-Buisson présente de nombreux compétiteurs au niveau national. Sensei trois fois champion de France vétéran en kata par exemple. De nombreux jeunes juniors et séniors, masculins comme féminins se sont dotés de médailles d'or au niveau départemental et de bronze au niveau national en combat, comme en kata ;

  • les Arvernes de Clermont-Ferrand (baseball) évoluent en Élite (huit meilleures équipes françaises) après avoir été champions de National 1 en 2007 ;

  • les Servals, club clermontois de football américain, champion de France de division 2 (casque d'Or) en 1998, 2002 et 2006 ;

  • le club Clermont Athlétisme Auvergne ;

  • le Stade clermontois tennis de table ;

  • le Stade clermontois natation ;

  • le Stade clermontois tir à l'arc (Sébastien Flute) ;

  • le club de lutte de l'ASM (Association sportive montferrandaise) ;

  • le club de gymnastique UFOLEP Clermont Saint-Jacques Gym (maintes fois finaliste pour les championnats de France) ;

  • le club de cyclisme toutes disciplines et tous âges l'Étoile cycliste de Clermont-Ferrand (podium au championnat du monde) ;

  • le Clermont Université Club (CUC) multisport situé au stade universitaire ;

  • le club de Roller Hockey, Les « Volcanix » de Clermont-Ferrand ;

  • le club de Clermont basket évolue en Nationale masculine 3 (entre les saisons 2010-2011 et 2014-2015) et accède à la Nationale masculine 2 pour la saison 2015-2016 ;

  • le club d'échecs Clermont-Ferrand Échecs[128] qui évolue depuis de nombreuses années en Nationale 2 (avec des équipes aussi en Nationale 3 et Nationale 4), ainsi qu'en Nationale 2 féminine (descente de Nationale 1 lors de la saison 2013-2014).



Infrastructures sportives |



  • le stade Gabriel-Montpied (football et judo) ;

  • le stade nautique Pierre-de-Coubertin ;

  • le parc des sports Marcel-Michelin (stade de rugby à XV de l'ASM Clermont Auvergne) ;

  • le stadium Jean-Pellez (stade couvert d'athlétisme de 6 462 m2, commune d'Aubière) ;

  • le stade Philippe-Marcombes ;

  • la Maison des Sports ;

  • le gymnase Honoré et Jean Fleury ;

  • le circuit de Charade (commune de Saint-Genès-Champanelle) ;

  • la patinoire de Clermont Communauté ;

  • le stade Camille Leclanché, situé à la Plaine et rénové en 2007, qui abrite des terrains de football et de rugby bordés d'allées plantées de grands arbres, constituant un cadre de verdure très agréable. Il est ouvert librement aux promeneurs, familles ou joggeurs dans la journée ;

  • l'Arténium, centre couvert de tennis de table et d'arts martiaux (commune de Ceyrat).



Médias |



Presse écrite |




  • La Montagne, journal régional du groupe Centre-France ;


  • Info Magazine, hebdomadaire gratuit comportant un magazine et des petites annonces ;


  • Le Semeur Hebdo, hebdomadaire régional ;


  • Sports Auvergne, magazine bimestriel spécialisé du groupe Centre-France ;


  • Zap63, mensuel culturel gratuit ;


  • Cyberbougnat, site internet traitant de l'actualité locale ;


  • 7 Jours à Clermont, magazine numérique culturel et d'information sur la semaine à venir.



Télévision locale |




  • TV8 Clermont-Ferrand, chaîne municipale clermontoise. Elle émet uniquement sur le réseau Numéricable clermontois ;


  • France 3 Auvergne est présente sur la région. Ses studios se trouvent dans l'agglomération, à Chamalières ;


  • iC1 (anciennement Clermont Première) était la chaîne locale clermontoise privée. Elle a cessé d'émettre le 1er juin 2015 après avoir arrêté la production d'émissions 1 an et demi avant[129]. Elle a souffert de pertes budgétaires allant jusqu'à 12 millions d'euros en 2009, ce qui a provoqué une restructuration tant en suppression de postes qu'en réduction des programmes[130].


Clermont-Ferrand reçoit les chaînes de la TNT grâce au site de diffusion du puy de Dôme mais aussi à 2 réémetteurs TDF chargés de couvrir les zones blanches du puy de Dôme[131] :



  • le site du puy de Gravenoire à Royat, qui émet aussi quelques radios FM. Il couvre une partie à l'ouest de Clermont-Ferrand ;

  • le site du Puy Blanc à Romagnat. Il émet sur une partie au sud de Clermont, vers Ceyrat.



Radio |


Clermont-Ferrand, comme de nombreuses grandes villes, dispose de plusieurs radios locales :



  • Radio Altitude, radio associative, émet sur 97,0 MHz ;


  • Radio Arverne, radio associative basée à Gerzat, qui émet sur 100,2 MHz ;


  • Radio Campus Clermont-Ferrand, radio étudiante de Clermont-Ferrand adhérente de l'IASTAR (groupement des radios campus de France) qui diffuse ses programmes sur 93,3 MHz ;


  • RCF Puy-de-Dôme, antenne clermontoise de RCF, captable sur 91,6 MHz et dans tout le département du Puy-de-Dôme ;


  • Radio Espérance, radio catholique, dispose aussi d'une fréquence clermontoise (91,2) ;


  • Logos FM, radio musicale pop-rock émettant sur 101,6 MHz à Clermont-Ferrand. Ses studios se trouvent à Chamalières et elle diffuse aussi son programme à Issoire sur 94,7 MHz et dans l'Allier à Moulins sur 92,1 et à Vichy sur 93,8 ;

  • RVA, radio régionale commerciale appartenant au groupe lyonnais Espace émettant sur 92,0 MHz à Clermont-Ferrand et un peu partout en Auvergne ;


  • Radio Scoop est une radio locale commerciale basée près de Lyon émettant sur plusieurs fréquences rhônalpines (à Lyon, Bourg-en-Bresse, Saint-Étienne…) et auvergnates : Clermont-Ferrand 98,8, Vichy 98,8, Le Puy-en-Velay 104,0 et Yssingeaux 88,2. Elle possède un bureau au centre-ville de Clermont-Ferrand lui permettant de vendre des écrans publicitaires. Elle émet sur toutes ses fréquences avec un programme local quotidien, dont à Clermont-Ferrand, qui est aussi diffusé à Vichy. Le Puy-en-Velay et Yssingeaux disposent d'un programme indépendant ;


  • France Bleu Pays d'Auvergne est la radio locale publique de la région, elle émet sur Clermont-Ferrand et aux alentours sur 102,5 MHz depuis le puy de Dôme. Elle possède aussi d'autres réémetteurs sur l'Auvergne et émettait anciennement à Roanne sur 100,2 MHz et au Puy-en-Velay sur 101,1 MHz. Ces fréquences émettent aujourd'hui le programme de France Bleu Saint-Étienne Loire ;


  • Virgin Radio (89,6) possède une antenne locale sur Clermont-Ferrand proposant un décrochage local entendu partout dans l'Allier et dans la Haute-Loire ;


  • NRJ (101,2), Nostalgie (87,7) et Chérie FM (100,8) émettent aussi avec un décrochage local sur Clermont-Ferrand.


Et enfin, de nombreux réseaux nationaux (RTL, Europe 1, RMC, Fun Radio, RTL2, RFM, Skyrock, Radio FG, Rire & Chansons…) diffusent aussi leur programme sur Clermont-Ferrand.



Vie militaire |


Les unités militaires ayant tenu garnison à Clermont :



  • l'état-major de la 13e région militaire (1875-1940) ;

  • l'état-major du 13e corps d'armée (1875-1939) ;

  • l'état-major de la 25e division d'infanterie ;

  • l'état-major de la 26e division d'infanterie ;

  • le 139e régiment d'infanterie (1887) ;

  • le 16e régiment d'artillerie (1906) ;

  • le 36e régiment d'artillerie (1906) ;

  • la 13e légion de gendarmerie.


L'unité militaire actuellement stationnée à Clermont est le 92e régiment d'infanterie, depuis 1887.



Cultes, associations humanistes et philosophiques |



Culte catholique |



Vie religieuse |

Établissements


Dans le diocèse, la vie religieuse féminine possède neuf congrégations, répartie en 42 maisons, 19 congrégations réparties en 26 maisons et trois monastères de vie contemplative. Pour les hommes, on compte un monastère de vie contemplative et quatre congrégations de vie apostolique.


Organismes


Le Centre diocésain de Pastorale est un lieu de rencontre entre les responsables des mouvements qui y tiennent leurs permanences et entre les chrétiens du diocèse qui s'y retrouvent à l'occasion de réunions de formation et d'échanges. Depuis 1988, une radio chrétienne, Réseau RCF, fonctionne sous la responsabilité d'un directeur nommé par l'évêque.


Le bulletin diocésain, Les Nouvelles du diocèse de Clermont, est un hebdomadaire chrétien d'actualité qui tire à 11 500 exemplaires. L'Institut théologique d'Auvergne forme à la théologie chrétienne.



Fête de Notre-Dame-du-Port : arrivée dans la cathédrale

Fête de Notre-Dame-du-Port : arrivée dans la cathédrale.



Le chœur de la cathédrale de Clermont

Le chœur de la cathédrale de Clermont.


Les offices de la cathédrale


La cathédrale ne possède plus de maîtrise. Aucun office canonial n'est effectué dans la cathédrale. La messe est célébrée à h chaque jour dans la chapelle du Saint Sacrement. Les offices du dimanche dans la cathédrale sont célébrés à 10 h et à 18 h 30. Chaque messe est accompagnée par le Grand Orgue.



Le maître autel tridentin de la cathédrale.

Le maître autel tridentin de la cathédrale.


Les messes dans la ville


Chaque jour, la messe est célébrée entre autres, à la cathédrale à h (chapelle du Saint Sacrement), à l'église des Minimes à 18 h 30, à la chapelle des capucins à 19 h (liturgie ordinaire). Les vêpres sont accessibles à la chapelle des capucins à 18 h 30. Enfin l'adoration du Saint Sacrement est revenue dans la ville grâce aux capucins, chaque vendredi après-midi, dans la chapelle des capucins.


La liturgie traditionnelle


La forme tridentine du rite romain est célébrée à l'abbaye de Randol, à la chapelle des Capucins le dimanche matin à 10 h, et à la chapelle Notre-Dame de la Merci.



Fêtes annuelles |

En mai, les fêtes du Port sont un pèlerinage qui attire des pèlerins de tout le diocèse durant plusieurs jours. Une procession se déroule entre la basilique Notre-Dame-du-Port et la cathédrale.


La procession sort de la cathédrale par la porte nord pour descendre jusqu'à Notre-Dame du Port. Elle remonte ensuite pour rentrer par la porte sud.


La fête de Fatima est l'occasion pour la communauté portugaise de réaliser une procession. Organisée derrière la Vierge, la procession monte jusqu'à la cathédrale depuis l'église des Minimes.



Organisation |

Mgr François Kalist est l'archevêque de l'archidiocèse de Clermont depuis 2016[132].



Culte orthodoxe |



  • Paroisse de l'Annonciation de la Mère de Dieu (rattachée au patriarcat de Constantinople) ;

  • église orthodoxe roumaine Saint-Nicolas (rattachée au patriarcat de Roumanie).



Culte musulman |


La ville compte neuf mosquées ou salles de prières.[réf. nécessaire]


Une grande mosquée a été construite rue du Docteur-Nivet, à noter la construction d'un hammam et un centre culturel.



Culte mormon |


L'église de Jésus-Christ des saints des derniers jours compte un lieu de culte, la paroisse de Clermont-Ferrand, rue de l'Oradou.



Culte israélite |


La synagogue, datant de la deuxième moitié du XIXe siècle, est protégée auprès des monuments historiques[133]. Elle est située rue des Quatre-Passeports et a récemment été rachetée par la communauté juive de Clermont-Ferrand[134][précision nécessaire].



Loges maçonniques |


Clermont-Ferrand accueille depuis plusieurs siècles des loges maçonniques[135],[136], parmi lesquelles :




  • Grand Orient de France (région maçonnique Centre) : les Enfants de Gergovie, Gallia, Iter Clarum, Lux Perpetua, Tradition et Modernité, Saint-Just[137] ;


  • Grande Loge nationale de France (province Auvergne) ;


  • Grande Loge de France : loges Socrate (fondée en 1962), Héphaïstos (1991), Thot (2002), Mercure-Lug (2009)[138] ;


  • Droit humain[139] ;

  • Grande Loge régulière drançaise[140] ;

  • Alliance maçonnique Alma universelle : Nemossos[141].



Économie |





Siège de l'entreprise Michelin

Le siège de l'entreprise Michelin.


Depuis le milieu du XXe siècle, l'économie de Clermont est étroitement liée à la manufacture française de pneumatiques Michelin qui a fortement influencé le développement de la ville. La famille Michelin, très paternaliste, a fait construire de nombreux bâtiments publics (écoles, crèches, stade, etc.). À partir des années 1910, l'entreprise est l'une des premières à verser des allocations familiales à ses employés surnommés « Bibs » (de Bibendum, le nom de la mascotte de la société). En 1970, Michelin emploie jusqu'à 30 000 salariés. Depuis les grandes phases de licenciement de la fin du XXe siècle, son poids au sein de la ville est moindre, même si le nombre d'employés est encore d'environ 14 000, principalement dans les services administratifs, en ce début de XXIe siècle.


Clermont ou son agglomération sont un centre administratif d'importance. De nombreux emplois sont liés aux collectivités locales (région, conseil départemental, ville…), au secteur hospitalier ou d'enseignement ou aux services déconcentrés de l'État comme l'École nationale des impôts, l'Institut national de la formation de la police nationale ou l'Imprimerie nationale de la Banque de France (Chamalières).


Clermont est le siège de la Chambre de commerce et d'industrie de Clermont-Ferrand / Issoire.


La ville a été le siège de « Pharmaciens sans frontières », organisation non gouvernementale créée en 1985 par des médecins de la région clermontoise[142].



Revenus de la population et fiscalité |




Emploi |


En 2012, la population âgée de 15 à 64 ans s'élevait à 99 949 personnes, parmi lesquelles on comptait 66,8 % d'actifs dont 55,7 % ayant un emploi et 11,1 % de chômeurs[INS 5]. Sur les 66 706 actifs, la majorité (20 836) étaient des employés[INS 6].


On comptait 100 045 emplois dans la zone d'emploi. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la zone étant de 56 142, l'indicateur de concentration d'emploi est de 178,2 %, ce qui signifie que la commune offre plus d'un emploi par habitant actif[INS 7]. 92,6 % de ces emplois sont salariés et la moitié de ceux-ci sont occupés par des femmes[INS 8].


La répartition des 98 209 emplois par catégorie socio-professionnelle et par secteur d'activité est la suivante :










































Répartition des emplois selon la catégorie socio-professionnelle en 2012
Échelle
Agriculteurs exploitants
Artisans, commerçants, chefs d'entreprise
Cadres et professions intellectuelles supérieures
Professions intermédiaires
Employés
Ouvriers
Commune[INS 9]
0,1 % 3,8 % 20,9 % 28,4 % 29,2 % 17,7 %
Département[INS2 7]
2,5 % 6,5 % 15 % 24,6 % 28,3 % 23,1 %
France[INS2 8]
1,8 % 6,4 % 17 % 25,5 % 28,2 % 21,1 %

Les employés (au nombre de 28 632) sont les plus représentés dans la commune, suivant les tendances départementale et nationale. Suivent ensuite les professions intermédiaires (27 859 emplois), les cadres ou professions intellectuelles supérieures (20 510) les ouvriers (17 394), les artisans, commerçants et les chefs d'entreprise (3 711 emplois). Seuls 104 emplois sont affectés à l'agriculture.






































Répartition des emplois selon le secteur d'activité en 2012
Échelle
Agriculture
Industrie
Construction
Commerce, transports, services divers
Administration publique, enseignement, santé, action sociale
Commune[INS 10]
0,6 % 13,9 % 4,5 % 45 % 36 %
Département[INS2 7]
3,5 % 16,1 % 6,9 % 41,1 % 32,4 %
France[INS2 8]
2,8 % 12,8 % 6,9 % 46 % 31,4 %

Le secteur du commerce est le plus représenté dans la commune, avec plus de 44 000 emplois.


51 293 des 56 119 personnes âgées de 15 ans ou plus (soit 91,4 %) sont des salariés[INS 11]. La majorité des actifs (70,1 %) travaillent dans la commune de résidence[INS 12].



Entreprises |



En 2001, les cinq principaux employeurs de l'agglomération clermontoise furent[143] :



  • dans le secteur secondaire, Michelin, avec 13 000 salariés, l'imprimerie de la Banque de France (1 900), de l'AIA (maintenance aéronautique, 1 300), de Merck - Sharp - Dohme (pharmacie, 1 000) et de Trelleborg (650) ;

  • dans le secteur tertiaire, les hôpitaux publics de la ville (7 000 salariés), l'enseignement supérieur (4 000), les hôpitaux privés et cliniques (3 000), les directions régionales de la SNCF (1 700) et de France Télécom (1 350).


D'autres entreprises (inter)nationales ont leur siège social dans l'agglomération clermontoise. Clermont-Ferrand abrite le siège social français du groupe japonais Fuji Electric S.A., Babymoov, la banque Chalus, le siège européen d'Euromaster, VVF Villages ainsi que les bureaux de la délégation générale de l'association des Plus Beaux Villages de France. Prizee, site Internet spécialisé dans les jeux primés en ligne, lancé en 2000, a été racheté par Digital Virgo en 2012 ; le plan de sauvegarde de l'emploi s'est traduit par la fermeture définitive du site clermontois, installé dans le parc de la Pardieu, en raison « d'un chiffre d'affaires en forte baisse » ou « d'une chute de la rentabilité globale »[144].


La ville voisine d'Aubière abrite le siège de Besson Chaussures ainsi que la chaîne d'hôtels Arena. Babou et Touslesprix.com siègent à Cournon-d'Auvergne.


D'autres secteurs économiques sont aussi développés dans l'agglomération :



  • l'agroalimentaire grâce à la proximité de la riche plaine de la Limagne (Coopérative Limagrain, centre de recherche de l'INRA à Theix, commune de Saint-Genès-Champanelle) ;

  • l'industrie pharmaceutique (laboratoires Thea, MSD) ;

  • la métallurgie avec le groupe Aubert et Duval (La Pardieu) ;

  • le pôle des technologies de l'information et de la communication (TIC), Pascalis, Allegorithmic ;

  • l'aéronautique (Régional Maintenance, AIA, SECCMAS, NSE, Techno Logistique, Auvergne Aéronautique, ENHANCE Aero).


Au 1er janvier 2013, Clermont-Ferrand comptait 7 718 entreprises : 392 dans l'industrie, 714 dans la construction, 5 320 dans le commerce, les transports et les services divers et 1 292 dans le secteur administratif[INS 13]. Par ailleurs, la ville comptait 9 575 établissements en 2013[INS 14].



Agriculture |


Au recensement agricole de 2010, Clermont-Ferrand comptait dix exploitations agricoles. Ce nombre est en diminution par rapport à 2000 (14) et à 1988 (25). La surface agricole utile était de 505 hectares, aussi en diminution par rapport à 2000 (577 hectares et autant qu'en 1988)[145].



Commerce |



La base permanente des équipements de 2014 recense au moins un commerce par catégorie, dont quatre hypermarchés, 23 supermarchés, cinq grandes surfaces de bricolage, huit supérettes et 47 épiceries[INS2 9].



Tourisme |




Vue aérienne de Clermont-Ferrand

Vue aérienne de Clermont-Ferrand montrant la proximité immédiate avec le Puy-de-Dôme (en bas à gauche).


Clermont-Ferrand possède un office de tourisme.


Elle comptait 44 hôtels totalisant 2 367 chambres (dont trois hôtels classés une étoile, seize classés deux étoiles, quinze trois étoiles et cinq quatre étoiles)[INS 15], cinq résidences de tourisme ou hôtelières comptabilisant 1 354 places lit ainsi qu'une auberge de jeunesse ou un centre sportif avec 123 places lit[INS 16] au 1er janvier 2015.



Culture et patrimoine |


Clermont est classée Ville d'Art et d'Histoire. Beaucoup de monuments peuvent déconcerter par leurs teintes sombres qui s'étendent du gris clair au noir intense. Le matériau de construction traditionnel est en effet la pierre de Volvic — issue des « cheyres » basaltiques de la chaîne des Puys. De nombreux monuments de la ville sont classés ou inscrits comme monuments historiques.



Lieux et monuments |


Article détaillé : Liste des monuments historiques de Clermont-Ferrand.


Édifices religieux |



Le chevet et le clocher de la basilique Notre-Dame-du-Port

Le chevet et le clocher de la basilique Notre-Dame-du-Port.



La cathédrale et la statue d'Urbain II, place de la Victoire

La cathédrale et la statue d'Urbain II place de la Victoire.



La rue des Gras

La rue des Gras.



La chapelle de l'ancien hôpital général

La chapelle de l'ancien hôpital général.



  • La basilique romane Notre-Dame-du-Port, construite au XIIe siècle, à l'emplacement (selon la légende) d'une église du VIe siècle. Elle a été classée au patrimoine mondial par l'UNESCO en 1998. Après avoir subi de lourds travaux de restauration intérieure de 2006 à 2008, elle a rouvert ses portes au public le 20 décembre 2008[146]. De proportions modestes mais parfaites, elle possède une nef majestueuse. Elle abrite une série de magnifiques chapiteaux en pierre et notamment La Tentation d'Adam et Ève par le serpent. Il est prévu d'achever sa restauration extérieure et de réaménager les abords de la basilique afin de mieux la mettre en valeur et de répondre aux exigences du label Unesco ;

  • l'église Saint-Laurent (rue Saint-Laurent) : à l'origine une très ancienne église (Grégoire de Tours mentionne en 551 que son oncle l'évêque Gallus de Clermont y est enterré). Elle est aujourd'hui encastrée dans les immeubles du quartier du Port et n'est pas visible de l'extérieur. L'église actuelle est en arkose comme la basilique Notre-Dame-du-Port. Elle comporte une nef de deux travées et un chœur avec une travée droite et une abside en semi-circulaire en cul-de-four. Elle est utilisée comme église pour les messes des enfants, mais aussi comme salle de réunion et d'exposition par la paroisse ;

  • la chapelle des Cordeliers-Vieux : construite probablement en 1241. Remarquable pour ses grands vitraux, elle est aujourd'hui la propriété du conseil général du Puy-de-Dôme et sert notamment de salle d'exposition ;

  • la cathédrale Notre-Dame-de-l'Assomption a été construite entre 1248 et 1902 en pierre de Volvic, noire, issue des éruptions volcaniques des « jeunes » volcans auvergnats (4 000 à 8 000 ans). Elle abrite entre autres deux immenses et magnifiques rosaces en vitraux, de très rares peintures murales datant des XIIIe et XIVe siècles dans les chapelles Sainte Madeleine et Sainte Agathe découvertes et restaurées en 1992-1993[147], ainsi qu'une horloge très ancienne sonnant toutes les demi-heures. Ses deux tours, hautes de 108 mètres, achevées par Viollet-le-Duc au XIXe siècle sont visibles de très loin et sont l'un des symboles de la ville. Remarquer également, adossée au nord de la nef, la tour de l'horloge dite de « la bayette ». Elle est surmontée d'une tourelle comportant un campanile en fer forgé ;

  • l'église Notre-Dame-de-la-Prospérité, dans le quartier de Montferrand, construite entre le XIVe et le XVIe siècle. De style gothique méridional, rare dans la région, l'extérieur de l'édifice termine une importante campagne de restauration qui va permettre de mettre en valeur l'Église. De plus, il est prévu par la municipalité de restaurer l'intérieur dont les peintures murales ont été restaurées dans les années 1990 par le plasticien Christian Karoutzos[148] ;

  • l'église des Carmes déchaussé, construite au XVIIIe siècle sur l'emplacement d'un ancien couvent donné par l'évêque Joachim d'Estaing aux Carmes déchaussé en 1653. Les travaux furent réalisés à partir de 1752 avec d'autres interventions plus tard. Elle est de style baroque. Son plan est dit en quatrefeuille. L'église jouxte le cimetière des Carmes où sont enterrées de nombreuses personnalités clermontoises. L'église a perdu sa vocation religieuse au début du XXe siècle et est aujourd'hui utilisée comme entrepôt ;

  • l'église Saint-Eutrope : construite sur l'emplacement d'une basilique dédiée à saint Étienne et détruite par les Normands. Une première église fut construite au XIIe siècle. Elle fut détruite partiellement en 1827 puis complètement en 1858. L'église actuelle a été construite entre 1858 et 1862 ;

  • l'église Saint-Joseph construite entre 1883 et 1897 sous l'impulsion de l'évêque Joseph Boyer par les architectes Banier et Mitton (ce dernier pour la façade). Le style imite les églises romanes auvergnates. Elle comporte, entre autres, des vitraux datant de la première moitié du XXe siècle et une Adorations des mages du sculpteur Émile Gourgouillon visible au-dessus du portail d'entrée ;

  • l'église Saint-Pierre-des-Minimes, située en plein centre de la ville, place de Jaude, abrite un magnifique retable et présente régulièrement dans une chapelle à gauche de l'entrée des œuvres d'art à caractère religieux ;

  • la chapelle des Capucins située en face du Jardin Lecoq, est une petite église ouverte au public et toujours utilisée et entretenue par le couvent des frères capucins attenant à l'église. La chapelle date de la moitié du XIXe siècle est son intérieur a été récemment restauré. Plusieurs peintures à fresques dans le chœur, dans les chapelles latérales et au revers de la façade relatent les textes bibliques ou représentent des saints anciens ou récents. L'ensemble du mobilier en accord avec les récentes conception de l'espace ecclésial sont de très grande qualité. Une partie de l'extérieur est en cours de restauration ;

  • la chapelle de l'ancien hôpital général est un édifice de style néoclassique datant du milieu du XIXe siècle et dédié à saint Vincent de Paul. Cette chapelle fut bâtie pour accueillir les pensionnaires de l'ancien gôpital général et les populations alentours. La chapelle possède de remarquables peintures représentant les quatre évangiles, ainsi qu'une série de vitraux signés Émile Thibaud, célèbre maître verrier de la région. Depuis 2010, elle est rouverte au public, notamment pendant l'été et elle sert de lieu d'exposition pour la ville de Clermont-Ferrand et l'hôtel de Fontfreyde ;

  • la synagogue de Clermont-Ferrand.



Monuments et lieux civils |




  • Le quartier historique de Montferrand :

    • la « Maison de l'Éléphant » (12, rue Kléber) datant du XIIe siècle[149] ;

    • l'hôtel de la Chanterie ;

    • l'hôtel d'Albiat (XVIe siècle) ;

    • l'hôtel Régin (fin XVe-début XVIe siècles) ;

    • l'hôtel de Fontenilhes (XVIe siècle).



  • Le château de Rabanesse ;

  • les caves du quartier historique ;

  • le vieux centre autour de la place de la Victoire ;

  • la rue du Port ;

  • les fontaines : 48 fontaines et bassins publiques, 115 fontaines privées[150], dont :

    • la fontaine d'Amboise (1511-1515) ;

    • la fontaine Desaix (1801) appelée « la pyramide » ;

    • la fontaine Urbain II avec des sculptures d'Henri Gourgouillon.



  • L'hôtel Savaron (1513) ;

  • l'hôtel de Fontfreyde (XVIe siècle) ;

  • l'hôtel Martial de Grandseigne ;

  • l'hôtel d'Aubierre ;

  • l'hôtel de Champflour ;



Hôtel de Chazerat

L'hôtel de Chazerat en relief.



  • l'hôtel de Chazerat : construit par le président de la cour des aides, Charles-Antoine-Claude de Chazerat, à la suite de l'incendie de sa maison en 1759. Les travaux sont achevés en 1769. Le bâtiment de style Louis XVI comporte, entre autres, une cour ovale bordée de pilastres cannelés et surmontés par des chapiteaux ioniques. Il est occupé depuis 1982 par la Direction régionale des Affaires culturelles d'Auvergne ;

  • la statue du général Desaix, inaugurée en août 1848, domine la place de Jaude. Elle a été réalisée par le sculpteur Charles-François Lebœuf dit Nanteuil ;

  • la statue équestre de Vercingétorix, inaugurée le 12 octobre 1903 est l'œuvre de Frédéric Auguste Bartholdi à qui l'on doit également la statue de la Liberté ;

  • le cimetière des Carmes : le plus ancien cimetière de la ville, on y trouve les tombes de nombreux Clermontois célèbres[151].



Architecture du XIXe siècle |



L'opéra municipal

L'Opéra-Théâtre en 2015.



  • l'Opéra-Théâtre (boulevard Desaix) : construit entre 1891 et 1894. (Architecture de Jean Teillard et façade d'Henri Gourgouillon).
    À la suite de chutes de parties du plafond dans les couloirs, la municipalité a décidé de fermer par précaution le bâtiment. L'Opéra de Clermont est fermé au public entre 2007 et 2013. De vastes travaux de rénovation ont été engagés de 2011 à 2013. Ils ont permis de redonner l'éclat d'origine aux œuvres, de remettre aux normes le bâtiment et de moderniser la machinerie scénique. L'Opéra-Théâtre a rouvert à l'occasion d'une inauguration officielle le 20 septembre 2013 ;

  • l'hôtel Côte-Blatin : construit en 1897 par Émile Camut pour Joseph Cote-Blatin. Il est inscrit depuis 2010 au titre des monuments historiques.



Architecture du XXe siècle |




Les anciennes Galeries de Jaude

Les anciennes Galeries de Jaude.



  • les Galeries de Jaude, aujourd'hui Galeries Lafayette. Le bâtiment date de 1907. Sa façade domine la place de Jaude ;

  • la polyclinique, située dans le complexe hospitalier de l'Hôtel-Dieu, date des années 1920, construite sous l'impulsion de Philippe-Marcombes ;

  • l'hôpital-sanatorium Sabourin[152] (rue du Docteur-Bousquet) : construit par l'architecte clermontois Albéric Aubert dans les années 1930, et nettement influencé par les théories récentes de Le Corbusier[153]. Il constitue le seul exemple d'architecture moderne de l'entre-deux-guerres en Auvergne. En 1997, le bâtiment est désaffecté après restructuration des services hospitaliers de la région. L'hôpital est classé monument historique en 2000. Au début des années 2010 des travaux de restauration sont entrepris et permettent le transfert de l'école d'architecture à l'hôpital-sanatorium Sabourin en 2015 ;

  • la gare routière[154] (boulevard François-Mitterrand) a été construite entre 1961 et 1964 par Valentin Vigneron. Son style est inspiré par celui d'Auguste Perret. Le bâtiment forme un ensemble cohérent avec les immeubles voisins de la Maison des Congrès et de la Culture, de la chambre d'agriculture, de la mutualité sociale agricole et du Crédit agricole qui borde la place des Salins[155]. Au milieu des années 2000, le projet de la transformer en grande bibliothèque est lancé[156]. Les fouilles archéologiques révèlent des éléments majeurs (dont le pied d'une statue de métal[157]) et repoussent le lancement des travaux. Finalement le projet est abandonné. En 2016, un nouveau projet de transformation et extension est confié à l'architecte Eduardo Souto de Moura. En 2019, la Comédie de Clermont-Ferrand Scène nationale proposera sur 8 000 m2 une salle de 900 places, une salle modulable de 350 places, un hall d’exposition, un espace de médiation culturelle, deux foyers, et une brasserie ;

  • la Maison des Congrès et de la Culture, intégrée à l'ensemble architectural de la gare routière et de la MSA, dans le quartier des Salins ;

  • la jetée (place Michel de L'Hospital) abrite l'association Sauve qui peut le court-métrage organisatrice du Festival international du court-métrage. Son architecture, ressemblant à un bateau, allie tradition et modernité ;

  • le marché Saint-Pierre (place Saint-Pierre) est un marché couvert destiné à la vente de produits alimentaires. Le bâtiment actuel a été construit entre 1985 et 1987 (inauguration le 4 mai 1987) par les architectes clermontois André Bosser et Jean-Claude Marquet. Un premier bâtiment de type Baltard avait été construit en 1873 sur l'emplacement d'un marché en plein air, puis détruit en 1931 et remplacé par un bâtiment en béton et en verre conçu par l'architecte clermontois Aubert.



Architecture du XXIe siècle |




La place de Jaude

La place de Jaude en avril 2007.





Centre Jaude 2, au printemps 2017.



  • L'école supérieure d'art de Clermont Métropole, naguère située dans l'ancien bâtiment XVIIIe siècle de la halle au blé, se situe, depuis janvier 2006, dans un bâtiment contemporain qui a été conçu par l'agence d'architecture Architecture-Studio, dans la rue Kessler, au sud du centre-ville ;

  • la piscine Pierre-de-Coubertin est agrandie et dotée d'une toiture ouvrante. Cela en fait une structure novatrice et des plus agréables en été ;

  • la place de Jaude a été urbanisée aux XIXe et XXe siècles. Elle a été complètement rénovée entre 2003 et 2005 ;

  • le Carré Jaude 2, mis en service en novembre 2013, est un important projet d'urbanisation du centre-ville. Il se situe le long de l'avenue Julien, et est contigu au Centre-Jaude. Il s'agit d'ailleurs d'une extension de ce dernier. Seule la ligne de tramway sépare l'ancien centre Jaude du nouveau. Sa surface de 51 000 m2 permet d'accueillir un hôtel quatre étoiles de 123 chambres, des commerces, un cinéma de sept salles comprenant 1 199 places[158], et divers locaux pour le secteur tertiaire ;

  • le Polydome, place du 1er-Mai, est le nouveau centre des congrès et d'exposition de la ville. Le bâtiment a pris la place d'une ancienne coopérative Michelin. Une partie du bâtiment est une salle de concert de musiques actuelles, la Coopérative de Mai, nom en hommage à l'ancienne fonction du bâtiment ;

  • de nombreux témoignages de l'architecture du début du XXe siècle ont disparu récemment (villas…) sous la pioche des promoteurs ;

  • La Carsat, avec un habillage complet en zinc, fait aussi partie de la régénération du secteur « Avenue de la République ».



Équipements culturels |



L'agglomération compte neuf cinémas, dont huit à Clermont : Ciné Jaude, Le Paris, les complexes du CGR Clermont Val Arena et Ciné Dôme, le CinéFac, dont trois d'art et essai : Les Ambiances, Ciné Capitole et Le Rio. Cournon compte également un cinéma, Le Gergovie.


Le réseau des médiathèques et bibliothèques est peu développé pour une ville de cette importance. Un ambitieux projet de construction ayant été abandonné dans le centre-ville, la communauté d'agglomération hésite encore sur l'avenir du réseau de lecture publique.



Patrimoine culturel |



Chansons |


Une chanson humoristique a été composée par Jean Maupoint sur Clermont, La Tiretaine. C'est une petite valse romantique rendant hommage à l'éponyme rivière clermontoise, qui a longtemps servi d'égout communal.


Plusieurs textes chantés par Jacques Brel font référence à l'Auvergne et à Clermont, en particulier La chanson de Jacky ; tout comme Georges Brassens avec L'Auvergnat.


Le groupe Wazoo, originaire de Clermont, fait plusieurs références à la vie locale dans sa chanson La manivelle.


Coluche a chanté The Blues In Clermont-Ferrand.



Romans |




  • L'Exposition coloniale, roman d'Erik Orsenna, prix Goncourt 1985, se passe en partie à Clermont-Ferrand.


  • Colette Stern, roman de Georges Conchon a en partie pour cadre Clermont-Ferrand.


  • Le Livre perdu des sortilèges, roman de Deborah Harkness, Orbit/Calmann-Lévy 2011, dont l'un des personnages principaux est natif de Clermont-Ferrand, se passe en partie à Clermont[réf. nécessaire].


  • Pascale et Christophe, de Christophe Masson (éditions Baudelaire), 2009, récit d'une jeunesse clermontoise dans les années 1975-85.


  • Ombre Chinoise, de Christophe Masson (éditions Revoir), 2014, sur la communauté chinoise à Clermont-Ferrand.



Films |




  • Gas-oil de Gilles Grangier, avec Jean Gabin, Jeanne Moreau, Roger Hanin, Marcel Bozzuffi (1955).


  • Ma nuit chez Maud d'Éric Rohmer avec Jean-Louis Trintignant (1969).


  • Le Chagrin et la Pitié de Marcel Ophüls (1969).


  • Sept morts sur ordonnance de Jacques Rouffio (décembre 1975) avec (Gérard Depardieu), Michel Piccoli, Charles Vanel.


  • La Double Vie de Véronique de Krzysztof Kieślowski (1991).


  • Drôle de Félix d'Olivier Ducastel et Jacques Martineau (2000).


  • Les Choristes de Christophe Barratier (2004).


  • Quand j'étais chanteur de Xavier Giannoli (2006).


  • Camping 2 de Fabien Onteniente (2009).


  • Accusé Mendès France téléfilm de Laurent Heynemann (2010), avec Bruno Solo.


  • La Nouvelle Guerre des boutons par Chistophe Barratier (2011).



Personnalités liées à la commune |



Nés à Clermont |



Blaise Pascal


Blaise Pascal, marbre d'Augustin Pajou, musée du Louvre.




  • Apollinaire de Clermont (mort en 515), comte d'Auvergne d'époque wisigothique ;


  • Gilles Durant, sieur de la Bergerie (1554-mort en 1614 ou 1615), poète ;


  • Jean Bonnefons (1554-v. 1614), poète néolatin ;


  • Grégoire de Tours (539-594), évêque, théologien et historien ;


  • Blaise Pascal (1623-1662), philosophe, théologien, mathématicien et physicien ;


  • Jacqueline Pascal (1625-1661), femme de lettres, sœur de Blaise Pascal ;


  • Jean Domat (1625-1696), juriste ;


  • Antoine Léonard Thomas (1732-1785), écrivain, Académicien français ;


  • Jacques Delille (1738-1813), homme d'Église, poète, Académicien français ;


  • Sébastien-Roch Nicolas de Chamfort (1740-1794), écrivain moraliste, Académicien français ;


  • Jacques-Antoine Dulaure (1755-1835), archéologue et historien ;


  • François Dominique de Reynaud de Montlosier (1755-1838), homme politique ;


  • Denis Terreyre (1756-1823), général français de la Révolution et de l’Empire ;


  • Étienne-Bernard Malye (1758-1821), général français de la Révolution et de l’Empire ;


  • Antoine Lhoyer (1768-1852), guitariste et compositeur ;


  • Gilbert Breschet (1784-1845), anatomiste ;


  • George Onslow (1784-1853), compositeur ;


  • Antoine-François Marmontel (1816-1898), pianiste et pédagogue ;


  • Léonard Morel-Ladeuil (1820-1888), sculpteur ;


  • Paule Minck (1839-1901), femme de lettres, journaliste, féministe et communarde ;


  • Ambroise Tardieu (1840-1912), historiographe ;


  • Louis Mékarski (1843-1923), ingénieur et inventeur ;


  • Edmond Lemaigre (1849-1890), organiste de la cathédrale et compositeur ;


  • Fernand Forest (1851-1914), inventeur du moteur à combustion interne ;


  • Édouard Michelin (1859-1940), industriel, inventeur avec son frère André du pneu démontable, fondateur de l'industrie clermontoise du pneumatique


  • Antonin-Gilbert Sertillanges (1863-1948), théologien ;


  • Albert Malet (1864-1915), historien et auteur de manuels scolaires ;


  • Étienne Clémentel (1864-1936), homme politique ;


  • Henri Quittard (1864-1919), compositeur, musicologue et critique musical français ;


  • Victor Pachon (1867-1939), médecin, inventeur d'un appareil destiné à mesurer la tension artérielle ;


  • Henri Mordacq (1868-1943), général de corps d'armée, chef du cabinet militaire de Clemenceau de 1917 à 1920 ;


  • Joé Descomps-Cormier (1869-1950), sculpteur et orfèvre ;


  • Jean Daragon (1870-1923), comédien ;


  • Alexandre Varenne (1870-1947), homme politique ;


  • Marguerite Teilhard-Chambon (1880-1959), femme de lettres ;


  • Mario Pérouse (1880-1956), peintre ;


  • Émile Pladner (1906-1980), champion du monde de boxe anglaise ;


  • Henri Vidal (1919-1959), acteur ;


  • Maurice Roche (1924-1997), écrivain ;


  • Fernand Raynaud (1926-1973), humoriste ;


  • Georges Besse (1927-1986), homme d'affaires ;


  • Claude Carrère (1930-2014), parolier et producteur musical ;


  • Yves Dreyfus (1931-), triple champion du monde d'escrime ;


  • Georges Groine (1934-), ancien pilote de Rallye-raid français.


  • Benoît Allemane (1934-), comédien français spécialisé dans le doublage ;


  • François-Bernard Mâche (1935-), compositeur, pionnier de la musique concrète ;


  • Jean-Paul Demure (1941-), auteur de romans policiers ;


  • Jean-Paul Imbert (1942-), organiste ;


  • Didier Lombard (1942-), homme d'affaires ;


  • Henriette Bichonnier (1943-), auteur de livres pour la jeunesse ;


  • Victor Guitard (1943-), journaliste d'investigation ;


  • Patrick Depailler (1944-1980), pilote de Formule 1 ;


  • Gérard Bocholier (1947-), poète et enseignant ;


  • Vincent Bardet (1947-), éditeur, traducteur, essayiste ;


  • Claude Michy (1949-), promoteur d'évènements sportifs, et pilote automobile ;


  • Jean-Luc Petitrenaud (1950-), journaliste, critique culinaire ;


  • Jean-Pierre Malo (1951-), acteur ;


  • Bernard Gardon (1951-), international français de football


  • Dominique Perrault (1953-), architecte ;


  • François Taillandier (1955-), écrivain ;


  • Christian Sarron (1955-), champion du monde de vitesse moto ;


  • Bernard Larrouturou (1958-), chercheur ;


  • Alain Casanova (1961-), joueur puis entraineur de football ;


  • Lolo Ferrari (1963-2000), danseuse, actrice et actrice pornographique ;


  • Édouard Michelin (1963-2006), cogérant de l'entreprise Michelin ;


  • Fadela Amara (1964-), personnalité politique ;


  • Éric Laurrent (1966-), écrivain ;


  • Olivier Clodong (1968-), auteur et essayiste ;


  • Christian Ingrao (1970 -), historien ;


  • Abdennour Bidar (1971-), philosophe ;


  • Isabelle Fijalkowski (1972-), championne d'Europe de basket-ball, détentrice du record de points en équipe de France ;


  • Salim Medjkoune (1972-), champion du monde de boxe anglaise ;


  • Sylvain Legwinski (1973-), footballeur français ;


  • Nicolas Beaudan (1975-), champion du monde d'escrime par équipe ;


  • Élise Chassaing (1979-), journaliste, présentatrice sur Canal+ ;


  • Marie Poissonnier (1979-), championne de saut à la perche ;


  • Isabelle Delobel (1978-), championne du monde de patinage artistique ;


  • Audrey Prieto (1980-), championne du monde de lutte ;


  • Gauthier de Tessières (1981-), champion de ski ;


  • Damien Monier (1982-), cycliste ;


  • Anthony Floch (1983-), joueur de rugby ;


  • Mark Daumail (1984-), meneur du groupe Cocoon ;


  • Laure Boulleau (1986-), footballeuse ;


  • Morgane Imbeaud (1987-), chanteuse du groupe Cocoon ;


  • Grégory Gatignol (1988-), acteur ;


  • Gabriella Papadakis (1995-), championne du monde de patinage artistique.



Résidents célèbres |






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Henri Bergson

Henri Bergson, philosophe et prix Nobel de littérature en 1927, a enseigné à Clermont de 1883 à 1888.



Gilbert du Motier de La Fayette

Gilbert du Motier de La Fayette a siégé à la grande salle du collège royal de Clermont.




  • Sidoine Apollinaire (430-486), écrivain, homme d'Église ;


  • Urbain II (1088-1099), prêcheur de la première croisade ;


  • Jean-Baptiste Massillon (1663-1742), écrivain, homme d'Église ;


  • Jean-Philippe Rameau (1683-1764), compositeur, organiste à la cathédrale où il établit les lois de l'harmonie ;


  • François Thévenot (1728-1808), général des armées de la République, y est décédé ;


  • Jean-Baptiste Rivet (1748-1805), général de brigade de la Révolution française, mort à Clermont-Ferrand ;


  • Georges Couthon (1755-1794), personnalité de la Révolution française, membre du Comité de salut public ;


  • Jean Victor Rouyer (1756-1818), général français de la Révolution et de l’Empire, mort à Clermont-Ferrand ;


  • Marquis de La Fayette (1757-1834), personnalité de la guerre d'indépendance des États-Unis et de la Révolution française ;


  • Joseph Serrant (1767-1827), général français de la Révolution et de l’Empire, mort à Clermont-Ferrand ;


  • François Martin Valentin Simmer (1776-1847), général français de la Révolution et de l’Empire, mort à Clermont-Ferrand ;


  • Auguste Ricard de Montferrand (1786-1858), architecte ;


  • Claude Burdin (1788-1873), ingénieur des mines, inventeur de la turbine ;


  • Henri Lecoq (1802-1871), botaniste et géologue ;


  • Duc de Morny (1811-1865), financier, politicien, industriel ;


  • Louis Pasteur (1822-1895), scientifique ;


  • Georges Boulanger (1837-1891), militaire, politique ;


  • Léon de Beylié (1849-1910), militaire, archéologue, bienfaiteur ;


  • Paul Bourget (1852-1935), écrivain ;


  • André Michelin (1853-1931), industriel ;


  • Georges Desdevises du Dézert (1854-1942), historien, romancier, poète et critique littéraire ;


  • Raymond Bergougnan (1858-1942), industriel, principal concurrent de Michelin lors de la course au pneumatique ;


  • Henri Bergson (1859-1941), philosophe, professeur de philosophie au lycée Blaise-Pascal de 1883 à 1888, prix Nobel de littérature en 1927 ;


  • Arletty (1898-1992), actrice ;


  • Alexandre Vialatte (1901-1971), écrivain ;


  • Valentin Vigneron (1908-1973), architecte ;


  • Albert Soboul (1914-1982), historien ;


  • Jean Anglade (1915-2017), écrivain ;


  • Paul Eychart (1915-2005), historien ;


  • Jules Vuillemin (1920-2001), philosophe et professeur de philosophie à Clermont ;


  • Max Derruau (1920-2004), géographe spécialiste de géomorphologie ;


  • Bernard Mandeville (1921-2000), peintre ;


  • Claude Lanzmann (1925-), journaliste, écrivain et cinéaste, organisa la Résistance au lycée Blaise-Pascal ;


  • Valéry Giscard d'Estaing (1926-), homme politique, 20e président de la République française ;


  • Michel Foucault (1926-1984), philosophe et professeur de philosophie à l'université de Clermont entre 1960 et 1966 ;


  • Michel Serres (1930-), philosophe et professeur de philosophie à l'université de Clermont entre 1958 et 1968 ;


  • Danièle Gilbert (1943-), animatrice de télévision ;


  • Chantal Lauby (1948-), actrice et humoriste ;


  • Chantal Dupuy-Dunier (1949-), poétesse ;


  • Jean-Pierre Siméon (1950-), poète et écrivain ;


  • Youri Bandajevsky (1957-), scientifique ;


  • Hervé Mathoux (1966-), journaliste sportif spécialisé dans le football, présentateur de télévision ;


  • Bernard Diomède (1974-), champion du monde de football ;


  • Sylvain Armand (1980-), footballeur ;


  • Aurélien Rougerie (1980-), joueur de rugby (XV de France, ASM Clermont-Auvergne).




Héraldique, logotype et devise |



Devise |


La devise de Clermont est Arverna Civitas Nobilissima (« La plus noble cité Arverne »). Elle est écrite dans plusieurs églises et apparaît dans le blason végétal du Parc Lecoq.



Héraldique |


Les armes traditionnelles de la ville de Clermont-Ferrand se blasonnent ainsi : d'azur, à la croix pleine de gueules orlée d'or, cantonnée de quatre fleurs de lis aussi d'or.


Pendant le Premier Empire, le blason de Clermont-Ferrand était différent : Sous le chef des bonnes villes de l'Empire : d'azur à une croix cousue de gueules cantonnée : aux I et IV d'un fer de lance d'or ; aux II et III d'un écu d'or chargé d'un gonfanon de gueules franché de sinople, qui est d'Auvergne[159].




Voir aussi |


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Bibliographie |




  • André-Georges Manry, Histoire de Clermont-Ferrand, Bouhdida éditeur, 1993[détail des éditions] (ISBN 978-2-903377-15-1).


  • Louis Passelaigue, Histoire des rues de Clermont et Montferrand, Clermont-Ferrand, Éditions de Borée, 1997(ISBN 978-2-908592-58-0).


  • Denis Couders, Marie Deschamps et Christophe Camus, Clermont-Ferrand, le guide, Clermont-Ferrand, Les éditions du Dimanche, 2003(ISBN 978-2-85395-049-7).


  • Ambroise Tardieu, Histoire de la ville de Clermont-Ferrand, Éditions de la Tour du Gile, 1994 (réédition de l'ouvrage de 1870-1872).


  • Michelle Audoin, Clermont-Ferrand sous l'occupation, éditions Ouest-France, 1985.

  • John Sweets (trad. de l'anglais par René Guyonnet), Clermont-Ferrand à l'heure allemande [« Choices in Vichy France: The French Under Nazi Occupation »], Plon, 1er septembre 1996, 286 p. (ISBN 2-259-18336-0, EAN 978-2259183369)


  • Robert Ponceyri, Quarante ans d'élections clermontoises : le face-à-face de Giscard et des notables socialistes, Clermont-Ferrand, ADRED, 1994.


  • Charles-Laurent Salch, Dictionnaire des châteaux et fortifications de la France au Moyen Âge, Strasbourg, éditions Publitotal, 1978 (réimpr. 1991), 1287 p. (ISBN 2-86535-070-3)
    Une vision d'ensemble de l'architecture castrale. Pages 340-341 : Clermont-Ferrand.



  • Charles-Laurent Salch et Roland Pont, Nouvel Atlas Châteaux et fortifications du Puy-de-Dôme (63), Strasbourg, Châteaux-forts d'Europe, 2010, 210 p. (ISSN 1253-6008)
    Atlas nos 49/50/51/52, 2009, réalisé en collaboration avec Danielle Fèvre et Jérôme-M. Michel. Clermont-Ferrand p. 57-62.



  • François Taillandier et Bernard Deubelbeiss, Clermont-Ferrand absolu, Éditions page centrale, 2011(ISBN 979-10-90367-01-2).



Articles connexes |



  • Liste des rues de Clermont-Ferrand

  • Clermont Auvergne Métropole

  • Liste des communes du Puy-de-Dôme

  • Coq au vin de chanturgue

  • Liste des dauphins d'Auvergne


  • Concile de Clermont Ce lien renvoie vers une page d'homonymie

  • Liste des évêques et archevêques de Clermont

  • Province ecclésiastique de Clermont

  • Frères mineurs capucins à Clermont-Ferrand



Liens externes |




  • Site de la mairie.


  • Clermont Auvergne Tourisme, site de l'office de tourisme de la métropole.


  • Histoire antique de l'agglomération (Augustonemetum).


  • Le patrimoine architectural et mobilier de la commune sur le site officiel du Ministère français de la Culture (base architecture et patrimoine), archives de la médiathèque de l'architecture et du patrimoine, et service de l'inventaire général de la Région lorraine.


  • Notices d'autoritéVoir et modifier les données sur Wikidata : Fichier d’autorité international virtuel • International Standard Name Identifier • Bibliothèque nationale de France (données) • Système universitaire de documentation • Bibliothèque du Congrès • Gemeinsame Normdatei • WorldCat



Notes et références |



Notes |





  1. Si chacun des volcans de la chaîne des Puys peut être considéré comme éteint, la chaîne elle-même ne l'est à priori pas, vu la chambre magmatique active découverte récemment et le fait que les dernières éruptions datent de moins de 10 000 ans.


  2. Écart entre la température moyenne de juillet (20,3 °C) et celle de janvier (3,7 °C)[14].


  3. Riom, Vichy, Moulins et Nevers.


  4. La première rame composée de voitures Corail rénovées a été présentée le 22 novembre 2012[21] et le premier train commercial a circulé le 12 décembre 2012[22]. Ces trains rénovés, d'un meilleur confort[23], devaient cohabiter avec les Téoz.


  5. Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau
    des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999,
    que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les
    communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc.
    pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée
    par l’Insee pour l'ensemble des communes.



  6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2018, millésimée 2015, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2017, date de référence statistique : 1er janvier 2015.


  7. Le nombre d'étudiants est arrondi à la centaine. Pour l'université Clermont-I, ce chiffre inclut les étudiants inscrits dans le diplôme universitaire Institut de formation en soins infirmiers[106].


  8. Anciennement collège de l'Oradou, l'établissement scolaire a changé de nom le 30 mai 2016[115].






Références |



Insee |


  • Dossier relatif à la commune




  1. LOG T2 – Catégories et types de logements.


  2. LOG T7 – Résidences principales selon le statut d'occupation.


  3. POP T0 – Population par grandes tranches d'âges.


  4. POP T3 – Population par sexe et âge en 2012.


  5. EMP T1 – Population de 15 à 64 ans par type d'activité.


  6. EMP T3 – Population active de 15 à 64 ans selon la catégorie socio-professionnelle.


  7. EMP T5 – Emploi et activité.


  8. EMP T6 – Emplois selon le statut professionnel.


  9. EMP T7 – Emplois par catégorie socioprofessionnelle en 2012.


  10. EMP T8 – Emplois par secteur d'activité.


  11. ACT T1 – Population de 15 ans ou plus ayant un emploi selon le statut en 2012.


  12. ACT T4 – Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la zone.


  13. DEN T3 – Nombre d'entreprises par secteur d'activité au 1er janvier 2013.


  14. DEN T5 – Nombre d'établissements par secteur d'activité au 1er janvier 2013.


  15. TOU T1 – Nombre et capacité des hôtels au 1er janvier 2015.


  16. TOU T3 – Nombre d'autres hébergements collectifs au 1er janvier 2015.



  • Autres références :




  1. « Populations légales 2015 – Commune de Clermont-Ferrand (63113) » (consulté le 19 mars 2018).


  2. « Comparateur de territoire – Aire urbaine de Clermont-Ferrand (019) » (consulté le 19 mars 2018).


  3. Population municipale : « Population municipale 2012 des cantons du département » (consulté le 30 mars 2015).


  4. « Population légale 2012 des cantons - découpage 2015 », février 2015(consulté le 30 mars 2015).


  5. « Populations légales 2011 de la commune de Clermont-Ferrand » (consulté le 5 septembre 2015).


  6. « Chiffres clés Évolution et structure de la population - Département du Puy-de-Dôme (63) » (consulté le 22 septembre 2015).


  7. a et b« Chiffres clés Emploi - Population active : Département du Puy-de-Dôme (63) », 2012(consulté le 22 septembre 2015).


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  9. « Base permanente des équipements : commerce » [zip], 2014.




Ministère de l'Intérieur |





  1. Résultats de l'élection présidentielle de 2002.


  2. Résultats de l'élection présidentielle de 2007.


  3. Résultats de l'élection présidentielle de 2012.


  4. a et bRésultats des élections européennes de 2004.


  5. a et bRésultats des élections européennes de 2014.


  6. a et bRésultats des élections européennes de 2009.


  7. Résultats des élections régionales de 2004.


  8. Résultats des élections régionales de 2010.


  9. Résultats des élections régionales de 2015.


  10. a b c et dListes des élections municipales de 2008.


  11. a b c d et eRésultats des élections municipales de 2008.


  12. a b et cRésultats des élections municipales et communautaires de 2014.


  13. Résultats des élections législatives de 2007 dans la 1re circonscription du Puy-de-Dôme.


  14. Résultats des élections législatives de 2007 dans la 2e circonscription du Puy-de-Dôme.


  15. Résultats des élections législatives de 2007 dans la 3e circonscription du Puy-de-Dôme.


  16. Résultats des élections législatives de 2012 dans la 1re circonscription du Puy-de-Dôme.


  17. Résultats des élections législatives de 2012 dans la 3e circonscription du Puy-de-Dôme.


  18. Résultats des élections législatives de 2012 dans la 4e circonscription du Puy-de-Dôme.


  19. Listes aux élections municipales et communautaires de 2014.




Site de la mairie |





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  3. « Auchan Nord : un projet ambitieux à l'échelle du Grand Clermont », 18 avril 2013(consulté le 3 septembre 2015).


  4. « Petite enfance » (consulté le 3 septembre 2015).


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  8. « Nouvel écrin pour l'École d'architecture en 2015 » (consulté le 2 septembre 2015).


  9. « DICRIM : Un document pour connaître les gestes qui sauvent ! » (consulté le 2 septembre 2015).


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  12. Le Plan Climat.




Autres références |





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  22. Marc Carémantrant, « Les voitures Téoz rénovées de pied en cap », Rail Passion, no 184,‎ février 2013, p. 50-51.


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  27. Jean-Pierre Vacherot, « Après l'inauguration du pôle intermodal, les travaux vont continuer jusqu'en 2016 », sur La Montagne, 24 janvier 2015(consulté le 27 janvier 2015).


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  29. Franck Charvais, « Les nouvelles destinations au départ de l'aéroport de Clemont-Auvergne », sur La Montagne, 23 octobre 2014(consulté le 2 septembre 2015).


  30. Communiqué de presse de la compagnie FlyKiss, 10 mai 2017.


  31. « Changement de statut juridique pour la régie T2C », sur t2c.fr, 1er janvier 2013.


  32. MooviCité.


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  53. Anne Bourges, « Lassés par les incivilités, neuf médecins quittent le quartier Saint-Jacques », sur La Montagne, 21 décembre 2013(consulté le 3 septembre 2015).


  54. Laurence Coupérier, « Urbanisme - Clermont-Ferrand : la Muraille de Chine disparaîtra en 2023 », La Montagne,‎ 15 avril 2017(lire en ligne).


  55. Pierre Thomas (auteur) et Olivier Dequincey (publication), « Source et ruisseau d'hydrocarbures, Puy de la Poix, Limagne de Clermont-Ferrand (Puy de Dôme) », sur Planet-Terre, ENS Lyon, 7 janvier 2008(consulté le 2 septembre 2015).


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  58. Catherine Jutier, « Le projet de pôle commercial Ikea refusé », sur La Montagne, 28 janvier 2015(consulté le 28 janvier 2015).


  59. Cyrille Genet, « L'écoquartier de Trémonteix accueille de nouveaux habitants », sur France 3 Auvergne, 22 mai 2015(consulté le 22 septembre 2016).


  60. « Emmanuelle Cosse à Clermont-Ferrand : « l'État aux côtés des territoires » », Ministère du Logement, 16 septembre 2016(consulté le 22 septembre 2016).


  61. Alexandre Chatenet, « Pose de la première pierre du futur « Campus RDI » Michelin », sur La Montagne, 17 décembre 2013(consulté le 5 septembre 2015).


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  63. Alice Robinet, « Clermont-Ferrand : Michelin fête les 50 ans du centre technologique de Ladoux et accueille un nouveau bâtiment », sur France 3 Auvergne, 2 octobre 2015(consulté le 13 octobre 2015).


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  65. Juliette Micheneau, « Future scène nationale de Clermont-Ferrand : le chantier a commencé », sur francebleu.fr, 11 décembre 2017(consulté le 12 décembre 2017).


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  73. Pierre Bonnaud, Nouveau dictionnaire général français - Auvergnat, Nonette, Créer, 1999, 776 p. (ISBN 2-909797-32-5, lire en ligne).


  74. Karl-Heinz Reichel, Grand dictionnaire général auvergnat-français, Nonette, Créer, 2005, 878 p. (ISBN 2-8481-9021-3, lire en ligne), p. 184.


  75. Collectif, « Textes du XVIIe siècle en langue auvergnate sur les travaux d'urbanisme clermontois à la fin du siècle », Bïzà Neirà, Chamalières, Tarà d'Euvarnhà, no 110,‎ 2001(ISSN 0398-9453).


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  77. http://www.augustonemetum.fr/News/Info-67/Ou-sont-les-gaulois.html.


  78. http://www.augustonemetum.fr/News/Info-435/Le-forum.html.


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  83. Philippe Le Bas, l’Univers : Histoire et description de tous les peuples, Dictionnaire encyclopédique de la France, vol. Tome cinquième, Firmin Didot Frères, 1841(lire en ligne), p. 228.


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  85. André-Georges Manry, Histoire de Clermont-Ferrand, Clermont-Ferrand, Volcans, 1975, 450 p. (ISBN 2-85260-035-8).


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