Élevage porcin
L'élevage porcin consiste à élever des porcs (Sus scrofa domesticus) pour l'alimentation humaine. Dans les pays industrialisés intégrés dans la mondialisation, cette production de porc a évolué vers des élevages intensifs : les élevages rentrent dans le cadre de l'agriculture intensive.
En 2014, 24,1 millions de porcs ont été élevés en France dont 23,7 millions ont été abattus. Cette production a représenté 2,2 millions de tonnes équivalent de carcasses (tec) de viande. Ce chiffre ne cesse de baisser depuis 2010 puisque 2,3 millions de tonnes de porc avaient alors été produites.
La consommation moyenne de porc par habitant diminue régulièrement en France ; elle a baissé de 2,5 kg au cours de la dernière décennie, pour s'établir à 32,5 kg par habitant en 2014[1].
Sommaire
1 Histoire
2 Systèmes d'élevage
2.1 Élevage intensif
2.1.1 Le porc mâle entier
2.1.2 Critiques
2.1.3 Chiffres
2.2 Élevage en plein air
2.2.1 L'élevage biologique
2.2.1.1 Souffrance animale en élevage biologique
3 Production
4 Alimentation
4.1 Alimentation biphase
5 Impact environnemental
5.1 Évaluation des impacts environnementaux des élevages porcins
5.2 En France : installation classée pour la protection de l'environnement
6 Chiffres
7 Indications géographiques protégées
8 Références
9 Voir aussi
9.1 Articles connexes
9.2 Liens externes
Histoire |
L'élevage du porc date de la sédentarisation des humains, puisqu'il n'est pas capable de transhumer. Il est attesté dans l'Égypte antique. Il a été développé dans l'Empire romain, en particulier en Gaule, et dans l'Asie du Sud-Est.
Le processus d'élevage a conduit à la domestication et à l'émergence de races spécialisées.
Les grandes zones de production sont la Chine, l'Union européenne à 27 et les États-Unis. En Europe, les principaux producteurs sont l'Allemagne, l'Espagne, la France, le Danemark, la Pologne, les Pays-Bas et l'Italie[2].
En France à l'époque contemporaine, du fait d'une forte population rurale au sortir de la guerre 39-45 et à cause de terres agricoles moins fertiles que dans d'autres bassins français, beaucoup d'agriculteurs bretons se sont spécialisés en production porcine afin de dégager un revenu suffisant pour maintenir leur activité agricole. En outre, cela permit à la France d'atteindre en matière porcine son équilibre alimentaire dans les années 1970 : aujourd'hui, la France est légèrement excédentaire vis-à-vis de ses besoins en viande porcine (102,3 % en 2014[2]), mais déficitaire pour les produits transformés, jambon notamment. La Bretagne représente 58 % de la production porcine française en 2014[3], avec les départements des Côtes-d'Armor et du Finistère comme premiers producteurs.
Systèmes d'élevage |
Il existe aujourd'hui 3 types d'élevage porcin en France[4] :
- Le bâtiment sur caillebotis qui représente 95 % des élevages en France. C'est le plus répandu en Europe et dans le monde. Les porcs sont élevés au sein de bâtiments dont le sol est couvert de caillebotis permettant l'évacuation des excréments et de l'urine des animaux. Ce mode d'élevage facilite le travail de l'éleveur pour nourrir, surveiller et soigner les animaux. Cependant, de nombreuses interrogations peuvent être soulevées en termes de bien-être animal puisque les animaux sont confinés dans des espaces exigus[5].
- Le bâtiment en litière bio-maitrisée qui représente 5 % des élevages français. Le sol des bâtiment est bétonné et recouvert d'une litière en sciure, paille etc. qui absorbe excréments et urines.
- L'élevage en plein air, enfin, représente 5 % des élevages français seulement. Les animaux sont élevés en extérieur et disposent d'abris paillés avec toiture en tôle.
Élevage intensif |
Les races de porcs sélectionnées pour l’élevage porcin intensif sont dépourvues de glandes sudoripares. Les animaux sont donc sensibles au « choc thermique ». Pour optimiser la production, il faut les élever dans des porcheries ventilées avec un contrôle de la température. Pour éviter le développement des pathologies liées à l’élevage intensif, on donne aux animaux des compléments alimentaires vitaminiques et les systèmes de prévention sanitaires sont renforcés. L'administration d'antibiotiques en prévention afin de limiter l'apparition et la propagation de maladies infectieuses diminue afin de limiter le développement de l'antibiorésistance (Plan Ecoantibio 2017).
Le porc mâle entier |
Les mâles entiers sont des porcs non castrés. Dans les élevages conventionnels les jeunes porcs sont castrés au bout de 9 à 10 jours pour éviter qu'au moment de la consommation, la viande dégage une « odeur de verrat » jugée désagréable (due à une trop forte quantité d'hormones dans les muscles). En 2016, en Europe une loi sur le bien-être animal va interdire la castration des porcs (aujourd'hui 27 % des porcs européens ne sont plus castrés).
De plus, d'après le groupement de producteurs français Cooperl, les porcs non castrés ont un meilleur classement que les porcs castrés.
Critiques |
Les porcelets sont retirés de leur mère entre trois à quatre semaines d'âge, alors que l'âge naturel de sevrage se situe entre 3 et 4 mois. Ils sont mis dans des groupes destinés à l'engraissement. Le stress survient lorsque les porcelets sevrés sont mélangés avec des porcelets non familiers. Les porcs sont élevés à l'intérieur, souvent dans des bâtiments surpeuplés, sur du béton nu ou sur caillebotis intégral. Dans ce type d'élevage, les porcs souffrent de troubles du comportement dont le cannibalisme. Ils se mordent et se dévorent la queue si celle-ci n'est pas coupée car ils ne peuvent pas exprimer leur comportement naturel. Pour prévenir ces troubles, les éleveurs coupent les queues des porcelets[6].
Chiffres |
60 % des exploitations ont 2 000 têtes ou plus ; 23 % ont de 1 000 à 1 999 têtes ; 10 % ont de 500 à 999 têtes ; 7 % ont de 20 à 499 têtes ; 0,3 % de 1 à 19 têtes[7].
En 2016, la France produit 2,488 millions de tonnes équivalent carcasses (Mtec), importe 0,567 Mtec, exporte 0,638 Mtec et consomme 2,417 Mtec[8].
En France, le porc charcutier consomme environ 1 kg par jour. Elle est composée de 61 % de céréales, 35 % d'oléo-protéagineux et 4 % de minéraux[9]. La France est déficitaire à 56 % de ces protéines. Ces protéines sont essentiellement du soja OGM importé à hauteur de 1,084 millions de tonnes[10]. Le soja OGM consommé par les porcs est interdit de culture en France[11].
Élevage en plein air |
Des élevages en plein air prenant en compte le bien-être des cochons existent, mais ne représentent qu’un très faible pourcentage de l'élevage porcin[réf. nécessaire]. Les animaux élevés en plein air disposent d'abris, généralement des petites cabanes en tôle paillées à l'intérieur. Les porcs élevés en plein air (Label Rouge) ou dans le cadre de l'agriculture biologique et de l'agriculture biologique certifiée ont un accès au plein air. De plus, les truies doivent être élevées en groupe durant la plus grande partie de leur gestation. Les porcelets restent avec leur mère plus longtemps (jusqu'à 6 à 8 semaines). L'agriculteur évite de mélanger les cochons qui ne se connaissent pas et la coupe de la queue n’est pas pratiquée dans les élevages biologiques et certains élevages plein air. Les porcs sont moins stressés au sevrage.
Dans un souci de la qualité de la viande produite et du bien-être animal, l'élevage des porcs en plein air a connu récemment un nouveau développement. Le prix de revient est plus élevé, mais la viande, de meilleure qualité et contenant beaucoup moins de composants pharmaceutiques, peut être mieux valorisée que celle issue de l'élevage intensif. En France, il existe trois filières qui suivent les critères d'élevage porcin de plein air, nécessaires pour obtenir différents labels : l'Auvergne, la Vendée et le Sud Ouest. La viande Porc de Vendée bénéficie d'une indication géographique protégée (IGP) depuis 1988. La viande issue de porcs élevés en Vendée a obtenu la médaille d'argent au Concours Général Agricole à Paris en 2017. La viande porc d'Auvergne, issue de porcs élevés en plein air a, quant à elle, obtenu l'IGP en 2011. Cette marque de reconnaissance sur le plan européen délimite l'aire géographique de naissance, d'élevage et d'engraissement des animaux et l'attache à cette dénomination.
En France, ce mode d'élevage n'est adopté que par 1 % des éleveurs de porcs[12]. Certains exploitants et transformateurs agroalimentaires font valoir quelques spécificités via les mentions valorisantes « plein air » ou « montagne », comme Porc du Ventoux.
L'élevage biologique |
L'élevage de porc biologique repose sur trois principes[13] :
- l'origine biologique de l'alimentation
- le bien-être animal et son espace de vie
- le lien au sol
En agriculture biologique, les races de porcs pouvant s'adapter le mieux à la vie en extérieur sont privilégiées. Les truies disposent de 1 000 m2 en plein air avec un abri paillé. Le porc, quant à lui, est élevé soit sur paille, dans un bâtiment ouvert, soit en plein air dans un champ avec abri. Une truie consomme 1 600 kg d'aliments par an : 60 % de céréales, les 40 % restant étant composés de pois, féveroles et de minéraux[13].
L'élevage bio garantit des conditions d'élevage plus respectueuses de l'environnement et une alimentation plus saine pour les animaux. Cependant, elle n'offre pas de garanties totales en matière de bien-être animal.
En 2010, l'élevage de porcs biologiques représente moins de 0,5 % de la production nationale de porcs en France. L'agence Bio dénombre 286 producteurs de porcs biologiques notifiés en France (activité d'élevage en vente directe inclus)[14].
Souffrance animale en élevage biologique |
La castration des porcelets pratiquée en agriculture conventionnelle est également prévue dans le cahier des charges bio. 85 % des porcelets d'une semaine subissent cette mutilation censée empêcher une odeur désagréable à la cuisson, nommée « odeur de verrat ». La castration doit être pratiquée avec une anesthésie ou une analgésie comme la bombe à froid. Or très souvent, les porcelets ne bénéficient pas d'anesthésie car l'éleveur ne peut pas la pratiquer lui-même. Les analgésiques, de leur côté, sont très insuffisants pour contrer l'effet d'une telle douleur[15].
Production |
Viande : c'est la production primordiale. Elle a donné lieu à des procédés spécialisés de conservation de la viande par salaison et fumage : la charcuterie.- Soies : elles sont utilisées pour la fabrication de brosses à cheveux ou de pinceaux.
- Peau : bouillie, elle devient de la gélatine qui est utilisée dans la confection de friandises.
Fumier : dans l'élevage traditionnel, les déjections du porc contribuent à fertiliser le potager familial. Actuellement, le lisier produit par les élevages industriels est utilisé pour la fertilisation des sols ; certains le considèrent plutôt comme un déchet difficile à éliminer. La méthanisation à la ferme l'utilise pour la production de biogaz à l'aide de fermenteur (ou digesteur).- Chasse : il s'agit de l'élevage de Sus Scrofa, le sanglier, à des fins de repeuplement cynégétique.
Alimentation |
Dans l'élevage traditionnel, le porc est élevé avec les déchets alimentaires humains (épluchures, restes de table…).
Dans les élevages modernes français, l’alimentation des porcs n'est constituée que de produits végétaux sélectionnés pour leurs grandes qualités nutritives. Sous forme de granulés ou bien de farine, les aliments du porc sont composés de céréales (blé, maïs et orge), d'oléoprotéagineux (soja, tournesol et colza), d'huiles, de graisses (graisses végétales et produits laitiers) et de minéraux. L'alimentation des porcs répond à des exigences qualitatives et sanitaires strictes donc les éleveurs se réfèrent à des tables d’alimentation correspondant à chaque stade physiologique de l’animal et à ses besoins particuliers. À la naissance, le porcelet tète le colostrum, très riche en anticorps. Pendant 4 semaines, il va être nourri par sa mère. Au sevrage, un porcelet pèse 8 kilos et consomme surtout de la poudre de lait mélangée avec du blé et des céréales en flocons. Cette phase dure 5 à 6 semaines. Le jeune porc pèse alors 25 à 30 kg à sa sortie de post-sevrage. Pendant la phase d’engraissement, le porc absorbe un kilo d'aliment par jour. Celle-ci est composée de maïs, de blé et d’avoine, de pois et de soja, il grossit de 600 grammes par jour. Cette phase dure 4 mois et demi et le porc atteint un poids de 115 à 120 kg à sa sortie d'engraissement. La ration moyenne d'un porc charcutier contient : 61 % de céréales; 35 % d’oléo-protéagineux; 4 % de minéraux. Les céréales constituent 75 % de l'alimentation des porcs, ces derniers sont engraissés pour la production de viande. Les aliments réservés aux truies, quand elles portent des petits ou qu’elles allaitent, contiennent 60 % d'orge, qui leur apporte l’énergie et les fibres dont elles ont besoin[16].
Alimentation biphase |
La technique de l'alimentation biphase permet d'ajuster les besoins nutritionnels aux besoins réels des animaux. Elle consiste à distinguer deux phases, et donc deux aliments successifs dans le processus d'élevage : croissance puis finition pour le porc à l'engrais, gestation puis allaitement pour la truie. L'alimentation biphase présente le double avantage d'autoriser une économie de protéines et de réduire les rejets azotés. Elle est particulièrement pratiquée en Bretagne. En France, l'alimentation biphase concerne 40 % des porcs charcutiers et plus de 60 % des truies reproductrices[17].
Impact environnemental |
Évaluation des impacts environnementaux des élevages porcins |
Les élevages porcins ont de nombreuses conséquences environnementales : émissions gazeuses (ammoniac et gaz à effet de serre), utilisation de l'énergie et de l'eau, rejets d'azote et de phosphore.
Les déjections porcines contiennent une importante quantité d'azote. Cet azote présent dans le lisier n'est pas totalement absorbé par les plantes et se retrouve donc souvent sous forme de nitrates dans les eaux, après le lessivage des terres[18]. Une grande quantité de nitrates dans l'eau entraîne ensuite la prolifération d'algues vertes[19]. Ce phénomène a notamment été très visible en Bretagne. Les algues vertes ont ainsi de nombreuses conséquences économiques (tourisme) et sanitaires (contamination de l'eau du robinet)[20]. Ces algues qui prolifèrent sur les plages sont riches en hydrogène sulfuré, gaz reconnu mortel pour l'homme[21].
En France : installation classée pour la protection de l'environnement |
Selon la législation française, les élevages de porcs sont des installations classées pour la protection de l'environnement (ICPE). En effet, ce type d'installation est concerné par la rubrique no 2102 de la nomenclature des installations classées (« élevage, vente, transit, etc. de porcs »)[22] :
- Les installations dont les activités sont également classées au titre de la rubrique no 3660 (« élevage intensif ») sont soumises à autorisation préfectorale. Cette autorisation est délivrée sous la forme d'un arrêté préfectoral qui impose à l'exploitant le respect d'un certain nombre de prescriptions techniques, notamment celles de l'arrêté ministériel du 27 décembre 2013 relatif aux prescriptions générales applicables aux installations relevant du régime de l'autorisation au titre des rubriques no 2101, 2102, 2111 et 3660[23].
- Les installations non classées au titre de la rubrique no 3660 et détenant plus de 450 animaux-équivalents sont soumises à enregistrement. Cette autorisation simplifiée est délivrée sous la forme d'un arrêté préfectoral qui impose à l'exploitant le respect d'un certain nombre de prescriptions techniques, notamment celles de l'arrêté ministériel du 27 décembre 2013 relatif aux prescriptions générales applicables aux installations relevant du régime de l'enregistrement au titre des rubriques no 2101-2, 2102 et 2111[24].
- Les installations non classées au titre de la rubrique no 3660 et détenant entre 50 et 450 animaux-équivalents doivent être déclarées. Les exploitants de ces installations doivent respecter les prescriptions techniques de l'arrêté ministériel du 27 décembre 2013 relatif aux prescriptions générales applicables aux installations classées pour la protection de l'environnement soumises à déclaration sous les rubriques no 2101-1, 2101-2, 2101-3, 2102 et 2111[25].
Le nombre d'animaux-équivalents est déterminé de cette manière[22] :
- Les porcs à l’engrais, jeunes femelles avant la première saillie et animaux en élevage de multiplication ou sélection comptent pour un animal-équivalent.
- Les reproducteurs, truies (femelle saillie ou ayant mis bas) et verrats (mâles utilisés pour la reproduction) comptent pour trois animaux-équivalents.
- Les porcelets sevrés de moins de trente kilogrammes avant mise en engraissement ou sélection comptent pour 0,2 animal-équivalent.
L'instruction des demandes d'autorisation et d'enregistrement ainsi que le contrôle du respect des prescriptions techniques par les exploitants sont réalisés par l'inspection des installations classées[26].
Chiffres |
La France est le 3e producteur européen de porcs avec 22 300 exploitations en 2010. La Bretagne détient 57 % du cheptel porcin du pays. C'est donc la région produisant le plus de porcs[27].
En 2014, 24,1 millions de porcs ont été élevés en France, dont 23,7 millions ont été abattus. Selon le ministère de l'Agriculture, la France comptait en 2013 17 400 éleveurs porcins.
95 % des porcs français sont abattus dans 23 abattoirs spécialisés. Dix d'entre eux concentrent 60 % de l'activité, tous situés en Bretagne et les Pays de la Loire. Les deux principaux acteurs du secteur, Bigard et la Cooperl, représentent chacun près de 20 % des capacités d'abattage en France.
En 2014, la consommation moyenne de porc s'est élevée à 32,5 kg par habitant en France[28].
Indications géographiques protégées |
Porc du Sud-Ouest, l'indication géographique protégée pour les carcasses de marque Porc du Sud-Ouest a été enregistré par la Commission européenne le 9 mai 2013 après dépôt d'un dossier le 7 novembre 2011 avec publication le 8 juin 2012[29].
Porc d'Auvergne est une marque enregistrée comme indication géographique protégée (IGP) en 2011[30], qui garantit au consommateur que les carcasses sont issues de porcs nés, élevés en plein air et abattus en Auvergne ou dans certains départements voisins. Bien que la seule dénomination officielle enregistrée de cette viande soit « Porc d'Auvergne »[31], celle-ci est couramment proposée aux consommateurs sous la forme « Porc fermier d'Auvergne » alors que chaque carcasse bouchère est anonyme et n'est pas issue d'une transformation effectuée par l'éleveur producteur fermier mais par l'industrie agroalimentaire.
Références |
« La filière porcine en chiffres, Porcs, Élevage », sur www.pleinchamp.com (consulté le 3 février 2018).
« Agreste, Enquête cheptel novembre 2014 », sur Agreste, avril 2015(consulté le 7 décembre 2015)
« DRAAF Bretagne, Memento de la statistique agricole 2015 », sur DRAAF Bretagne (consulté le 7 décembre 2015)
« L'organisation de l'élevage porcin en France », sur www.la-viande.fr (consulté le 3 février 2018).
« L'élevage porcin, étranglé entre productivité et bien-être animal », sur Le Monde.fr (consulté le 3 février 2018)
« élevage intensif des porcs », sur ciwf france, 25 avril 2016.
« Agreste graphique porcin ».
« Production Import Export Consommation ».
« Consommation »
« Soja »
« OGM ».
La Montagne, 15 octobre 2012, p. 7.
Caruel Baptiste, « Le Porc BiologiqueAB > Porc Biologique > L'élevage », sur www.porcbiologique.fr (consulté le 3 février 2018)
« Le porc biologique : les chiffres », sur porcbiologique.fr, 2010(consulté le 3 février 2018)
Sarah Finger, « Souffrance animale : C'est bio, c’est bon, mais c'est moche », Libération, 20 août 2017.
« l'alimentation des porcins », sur la-viande, 25 avril 2016
Agreste, Le biphase en alimentation porcine, une pratique d’élevage doublement intéressante
« Bretagne : la réduction de l'impact des élevages porcins reste insuffisante », Actu-Environnement, 27 septembre 2010(lire en ligne)
« Algues vertes : un rapport confirme la responsabilité des nitrates agricoles », sur Le Monde.fr (consulté le 3 février 2018)
« Nitrates et algues vertes », sur Association Agir pour l'Environnement (consulté le 3 février 2018)
Prisma Media, « Bretagne : les algues vertes mortelles pour l'homme », sur GEO.fr (consulté le 3 février 2018)
« 2102. Élevage, vente, transit etc. de porcs », sur www.ineris.fr (consulté le 8 juin 2016)
« Arrêté du 27/12/13 relatif aux prescriptions générales applicables aux installations relevant du régime de l'autorisation au titre des rubriques no 2101, 2102, 2111 et 3660 », sur www.ineris.fr (consulté le 8 juin 2016)
« Arrêté du 27/12/13 relatif aux prescriptions générales applicables aux installations relevant du régime de l'enregistrement au titre des rubriques no 2101-2, 2102 et 2111 », sur www.ineris.fr (consulté le 8 juin 2016)
« Arrêté du 27/12/13 relatif aux prescriptions générales applicables aux installations classées pour la protection de l'environnement soumises à déclaration sous les rubriques no 2101-1, 2101-2, 2101-3, 2102 et 2111 », sur www.ineris.fr (consulté le 8 juin 2016)
« Missions », sur installationsclassees.developpement-durable.gouv.fr (consulté le 8 juin 2016)
« agreste », sur agreste, 25 avril 2016
« La filière porcine en chiffres », sur pleinchamp.com, 11 août 2015(consulté le 3 février 2018).
« Porc du Sud-Ouest », sur Commission européenne, 9 mai 2013
Date d'enregistrement : règlement du 29 juillet 2011.
Base de données DOOR de la Commission européenne.
Voir aussi |
Articles connexes |
- Porc
- IFIP-Institut du porc
- Porc d'Auvergne
- Porc du Sud-Ouest
Liens externes |
PIGTrop le site du Centre de coopération internationale en recherche agronomique pour le développement sur la production porcine des pays du Sud
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