Società Sportiva Lazio
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Nom complet | Società Sportiva Lazio S.p.A. |
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Surnoms | I Biancocelesti Le Aquile |
Fondation | 9 janvier 1900 |
Couleurs | Bleu ciel et Blanc |
Stade | Stadio Olimpico (70 634 places) |
Siège | Via Santa Cornelia 1000 00060 Formello |
Championnat actuel | Serie A |
Président | Claudio Lotito (it) |
Entraîneur | Simone Inzaghi |
Joueur le plus capé | Giuseppe Favalli (401)[1] |
Meilleur buteur | Silvio Piola (149)[1] |
Site web | www.sslazio.it |
National[2] | Championnat d'Italie (2) Coupe d'Italie (6) Supercoupe d'Italie (4) Championnat d'Italie D2 (1) |
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International[2] | Supercoupe de l'UEFA (1) Coupe des coupes (1) Coupe des Alpes (1) |
Maillots
Domicile | Extérieur | Neutre |
Actualités
Pour la saison en cours, voir :
Championnat d'Italie de football 2018-2019
La Società Sportiva Lazio, abrégée en SS Lazio, couramment appelée Lazio en italien et généralement Lazio de Rome en français, est un club de football italien fondé en 1900 à Rome sous le nom de Società Podistica Lazio et ayant actuellement son quartier général basé à Formello, une ville au nord de la région métropolitaine de la capitale italienne.
Les couleurs traditionnelles de la Lazio sont le blanc et le bleu ciel, choisies au moment de sa fondation, en l'honneur de la Grèce, le berceau des Jeux olympiques, tandis que le symbole de la société est un aigle, entendu comme symbole de connexion territoriale, historique et d'inspiration avec la Rome antique. C'est au Stade olympique de Rome, inauguré en 1953, que joue l'équipe à domicile, ainsi que l'AS Roma, ennemie historique des Biancocelesti (les « blancs et ciel » du Lazio). Les deux équipes romaines s'y affrontent et y jouent le Derby romain.
La Lazio joue en Serie A, division dans laquelle ils ont joué la majeure partie de leur histoire: 71 championnats de Serie A sur 82 au total. Les Biancocelesti ont remporté 2 Scudetti, et également remporté 6 Coupes d'Italie, 4 Supercoupes d'Italie et au niveau international, ont gagné 1 Coupe des coupes, 1 Supercoupe de l'UEFA, et 1 Coupe des Alpes, atteignant aussi la finale de la Coupe de l'UEFA en 1998.
Dans le classement mondial des clubs de l'International Federation of Football History & Statistics de tous les temps, mis à jour février 2013, la Lazio occupe la 14e place. En avril 1998, la Lazio termine au sommet du classement mondial du rendement des clubs IFFHS (IFFHS The World's Club Team for the Month).
L'activité de la Polisportiva S.S. Lazio s'intéresse à de nombreuses disciplines, incluant 46 sections sportives[3].
Sommaire
1 Histoire
1.1 Année 1950-1980
1.2 Année 1990-2000
1.3 2002 à aujourd'hui
2 Palmarès et résultats
2.1 Palmarès
2.2 Trajectoire en championnats
3 Structures du club
3.1 Stade
4 Supporters
4.1 Affluences
4.2 Jumelage et rivalité
5 Joueurs et personnalités du club
5.1 Présidents
5.2 Entraîneurs
5.3 Effectif actuel 2018-2019
5.4 Joueurs emblématiques
6 Sanction du club
7 Annexes
7.1 Notes et références
7.2 Liens externes
Histoire |
La Società Podistica Lazio, ce n'est seulement qu'en 1925 qu'elle est rebaptisée Società Sportiva Lazio, est fondée le 9 janvier 1900 sur la Piazza della Libertà, dans le quartier Prati à Rome, par un groupe de neuf jeunes Romains, dirigé par l'athlète Luigi Bigiarelli, jeune sous-officier chez les bersagliers.
La Lazio, qui dans ses premières années de son histoire ne dispute que le championnat local, s'affilie à la Fédération italienne de football en 1908. Elle participe à sa première compétition fédérale en 1910. Le club romain atteint la finale du tournoi national à quatre reprises, il s'incline à ce niveau contre Pro Verceil Calcio en 1913, puis la Casale Calcio en 1914, et le Genoa en 1923. La finale de 1915 n'est jouée en raison de la Première Guerre mondiale.
En 1927 la Lazio est la seule société de la capitale à résister à l'idée de réunir toutes les équipes de Rome dans un seul club, qui allait devenir l'AS Roma, grâce à l'intervention décisive de Giorgio Vaccaro, un général piémontais de la Milice volontaire pour la sécurité nationale, c'est-à-dire la milice du Parti national fasciste, position qui lui a permis d'aider et de protéger la Lazio[4]. Les « Biancocelesti », menés par Silvio Piola, attaquant italien le plus prolifique de tous les temps, participent au premier championnat de Serie A en 1929. La Lazio termine deuxième lors de la saison 1936-1937, leur meilleure place avant la Seconde Guerre mondiale. la Lazio atteint la finale de Coupe d'Europe centrale (par la suite rebaptisée Coupe Mitropa) durant laquelle elle perd les deux matches contre l'équipe hongroise Ferencváros.
Année 1950-1980 |
Les années 1950 voient la Lazio obtenir des résultats mitigés. Le club remporte son premier trophée officiel, la Coupe d'Italie en 1958. Pour ce succès, les « Biancocelesti » reçoivent une cocarde tricolore. La Lazio descend pour la première fois en Série B en 1961, mais remonte en Série A deux ans plus tard.
Après quelques années en milieu de tableau, le club est de nouveau relégué pour la saison 1970-1971. De retour en Série A pour la saison 1972-1973, la Lazio lutte pour le titre jusqu'à la dernière journée. Une défaite sur le terrain de Naples met fin à ses espoirs. Les joueurs majeurs de cette équipe, menés par l'entraîneur Thomas Maestrelli, sont le défenseur et capitaine, Joseph Wilson, les milieux de terrain Luciano Re Cecconi et Mario Frustalupi, l'attaquant Giorgio Chinaglia. Avec cet effectif, la Lazio remporte l'année suivante son premier scudetto.
Après cet exploit accompli par le « gang Maestrelli », la Lazio doit faire face à des événements qui marqueront d'une manière profonde les saisons à venir: la disparition tragique de Re Cecconi et Maestrelli et le transfert soudain de Chinaglia aux États-Unis, diminuent le potentiel de l'équipe. La seule consolation vient de Bruno Giordano qui est, en 1979, le meilleur buteur du championnat.
L'année suivante, la Lazio est par sentence de justice sportive, reléguée en série B en raison du « Totonero », scandale de paris illégaux, impliquant certains de ses joueurs, ainsi que ceux d'autres équipes. La formation biancoceleste passe trois saisons en série B. Elle revient dans l'élite en 1983 et ne conserve sa place dans l'élite que lors de la dernière journée. La saison 1984-1985 est marquée par une nouvelle relégation après une dernière place en championnat, avec seulement quinze points, malgré l'apport de joueurs comme Vincenzo D'Amico, Bruno Giordano, Lionello Manfredonia et Michael Laudrup.
En 1986, la Lazio est frappée par une nouvelle pénalité de neuf points, en raison d'une nouvelle affaire de paris illégaux, le « Totonero-bis », qui implique le capitaine Claudio Vinazzani (it). L'équipe, dirigée par l'entraîneur toscan Eugenio Fascetti, lutte alors pour ne pas descendre en Serie C. La Lazio retrouve finalement la Série A en 1988.
Année 1990-2000 |
L'arrivée du Romain Sergio Cragnotti, en 1992, change radicalement l'histoire du club grâce à ses investissements importants et l'arrivée de joueurs comme Juan Sebastián Verón, Christian Vieri et Paul Gascoigne.
La Lazio termine deuxième de Série A en 1995, cette même saison, le 11 juin, le président Cragnotti annonce le transfert de l'attaquant Giuseppe Signori à Parme FC. La nouvelle déclenche la protestation des supporters de la Lazio qui affluent en masse dans les rues de la capitale en destination de via Novaro où la société est basée pour contester le départ du joueur. En fin d'après-midi, le président, sous la pression des fans, est forcé de retirer sa parole donnée aux dirigeants de Parme et le joueur reste à Rome.
Troisième du championnat en 1996 et quatrième en 1997, la Lazio atteint, en 1998, la finale de la Coupe UEFA où elle s'incline 3-0 face à l'Inter Milan et remporte la Coupe d'Italie. Cette même année, les « Biancocelesti » remportent leur première Supercoupe d'Italie. En 1998 également, la Lazio devient le premier club italien à être coté en bourse.
Deuxième en 1999, le club gagne sa première coupe d'Europe, la Coupe des coupes en la même année contre Real Majorque 2-1. Le club gagne son deuxième titre européen en 1999, la Supercoupe de l'UEFA contre Manchester United. Alex Ferguson déclare que le plus grand regret de sa carrière comme entraîneur était d'avoir « perdu la Super Coupe d'Europe contre la Lazio, qui, à ce moment-là était la meilleure équipe du monde[5] ». Elle remporte ensuite son deuxième « Scudetto » en 2000, avec le Suédois Sven-Göran Eriksson en tant qu'entraîneur. Elle réalise la même saison, année du centenaire du club, le doublé en remportant également la Coupe d'Italie, trophée qu'elle remporte de nouveau en 2004.
2002 à aujourd'hui |
À partir de 2002, en raison des problèmes financiers du président Cragnotti et de sa société Cirio, les résultats de la Lazio commencent à s'aggraver et le club est contraint de se priver de ses plus grands joueurs, y compris le capitaine et le symbole Alessandro Nesta. À l'été 2004, après une gestion de deux ans menée par le groupe bancaire Capitalia et Ugo Longo comme président du club, la Lazio se trouve au bord de la faillite, malgré deux augmentations de capital largement souscrites par les supporters.
En juillet 2004, le Romain et entrepreneur Claudio Lotito acquiert le club biancoceleste grâce à un accord avec les dirigeants de Capitalia. Il réussit à sauver la société de la faillite grâce à une transaction avec le fisc italien, puis s'engage à payer sur vingt-trois ans les dettes accumulées de la SS Lazio avec les autorités fiscales en mars 2005. Cette saison, qui voit le retour à la Lazio de l'attaquant Paolo Di Canio, se termine par une défaite en finale de Supercoupe d'Italie contre le Milan AC, et une qualification en Intertoto. L'année suivante, sous la direction de l'entraîneur Delio Rossi, l'équipe se qualifie pour la Coupe UEFA 2006-2007, mais à la suite du scandale du Calciopoli elle est évincée des compétitions européennes et pénalisée de onze points en championnat pour le championnat suivant, sanction réduite ensuite à trois points. Malgré ce handicap, La Lazio se classe troisième et se qualifie ainsi pour la Ligue des champions de l'UEFA.
En 2009, la Lazio remporte sa cinquième Coupe d'Italie, le premier trophée sous la présidence Lotito. En fin de la saison Delio Rossi est remplacé par Davide Ballardini et le club remporte ensuite sa troisième Supercoupe d'Italie en battant en finale à Pékin le champion d'Italie l'Inter Milan 2-1.
Le 9 février 2010 Edoardo Reja remplace Davide Ballardini avec pour mission de sauver le club de la relégation. Cet objectif est atteint en terminant à la douzième place. Les deux saisons suivantes, la Lazio se classe cinquième puis quatrième, manquant de peu la qualification pour le tour préliminaire de la Ligue des champions de l'UEFA. Le 2 juin 2012, Edoardo Reja est remplacé par Vladimir Petkovic. Le 26 mai 2013 la Lazio remporte sa sixième Coupe d'Italie en battant son rival la Roma 1-0. Ce succès permet au club d'accéder à la Ligue Europa et de jouer la Supercoupe d'Italie contre la Juventus, championne d'Italie.
Lors de la saison 2014-2015, la Lazio retrouve le podium de la Série A, après notamment huit victoires d'affilée en championnat en février et mars. Lors de l'ultime journée, les Laziali arrachent une victoire décisive face au Napoli (2-4), qui leur permet d'assurer la troisième place synonyme de tour préliminaire de la Ligue des Champions.
Palmarès et résultats |
Palmarès |
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Trajectoire en championnats |
Structures du club |
Stade |
La Lazio évolue au Stadio Olimpico, qu'il partage avec son rival l'AS Rome. Le match d'inauguration est joué le 17 mai 1953 opposant l'Italie et la Hongrie. Le Stadio Olimpico est la propriété du comité national olympique italien. Le stade connaît plusieurs liftings, en 1953 notamment et à l'occasion de la Coupe du monde 1990. Durant les travaux effectués lors de la saison 1989-1990, le club romain a évolué au stade Flaminio. Le Stadio olimpico devient ainsi le premier stade d'Italie en termes de places disponibles, devant le Stadio Giuseppe Meazza, avec une capacité de 82 656 spectateurs. En plus de cela, il fait également partie des deux stades italiens évalués par l'UEFA au rang de stades « cinq étoiles » (classement remplacé en 2006 par la « catégorie 4 UEFA »). En raison de la finale de la Ligue des champions 2009, le stade se voit réduire sa capacité de 9 758 places pour assurer une meilleure sécurité.
Supporters |
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Les supporters de la Lazio se situent principalement dans la périphérie de Rome, chef-lieu de la région Lazio. Même s’il est risqué et faux de ranger tous les supporters dans une même catégorie, les Ultras Laziali sont étiquetés à droite voire à l’extrême droite dans l’échiquier politique italien[6].
Selon une enquête menée par studio Grizzaffi, une société spécialisée dans les études de marché, la SS Lazio est la sixième équipe d'Italie en nombre de supporteurs (4,8 % du total), avec environ 1,2 million supporteurs en Italie, ce qui la place derrière la Juventus Football Club, l'Inter Milan, le Milan AC, le SSC Naples et l'AS Roma.
Le 28 octobre 1979, peu avant le début du derby entre la Lazio et l'AS Roma, un supporteur laziale, Vincenzo Paparelli, est tué, atteint par une fusée lancée par un supporter romanista de la Curva Sud à la Curva Nord.
Avec l'arrivée du président Sergio Cragnotti au début des années 1990, la Lazio revient sur la scène européenne. Les laziali conquièrent les stades d'Europe: 4 000 à Dortmund, Vienne et Madrid, 20 000 à Paris, 15 000 à Birmingham, 10 000 à Monaco. En 2002, la société décide de retirer le numéro 12 en honneur de la Curva Nord. Le 11 novembre 2007, un supporteur laziale, Gabriele Sandri, est tué par un agent de police.
Affluences |
Affluences de la SS Lazio depuis la saison 1962-1963[7]
Jumelage et rivalité |
Le rapport entre les ultras de l'Inter Milan et de la Lazio est sûrement le plus solide d'Italie : il est né au milieu des années 1980 et il s'est renforcé à la fin des années 90 avec la finale de la Coupe UEFA 1997-1998 à Paris et le 5 mai 2002, quand tout le Stade Olympique de Rome souhaitaient aux "amis" interisti la conquête du Scudetto. Un autre épisode significatif Lazio-Inter du 2 mai 2010, l'Inter qui était en course pour le Scudetto avec la Roma.
Au niveau international, les jumelages les plus importants sont ceux avec le Real Madrid Club de Fútbol et l'Espanyol: le premier naît en 2001 pendant un match de Ligue des Champions entre les deux équipes et l'autre, comme ceux avec Chelsea Football Club et Levski Sofia, naît de convergences surtout pseudo-politique.
La rivalité historique est celle avec les supporteurs de équipe de Rome : l'AS Roma. L'hostilité des ultras de la Lazio avec les supporteurs du SSC Naples naît du jumelage qu'il y a eu dans les années 1980 entre Napolitains et Romanisti. Avec les supporters du Milan AC, une forte rivalité existe surtout après le championnat 1998-99, gagné par le Milan AC à la dernière journée avec 1 point d'avance sur la Lazio. La rivalité avec la Juventus Football Club est due au championnat 1999-00 remporté par la Lazio avec un 1 point d'avance sur la Juventus Football Club et du jumelage avec l'Inter Milan.
Au niveau international, les rivalités les plus animés sont celles avec les supporters de Olympique de Marseille, Arsenal Football Club, Atlético de Madrid et Panathinaïkos.
Joueurs et personnalités du club |
Présidents |
- 1901 - 1904: Giuseppe Pedercini
- 1904 - 1923: Fortunato Ballerini
- 1923 - 1924: Enrico Giammei
- 1923 - 1925: Fortunato Ballerini
- 1925 - 1925 Giorgio Guglielmi
- 1925 - 1926: Gerardo Branca
- 1926 - 1928: Riccardo Barisonzo
- 1928 - 1929: Nicolò Maraini
- 1929 - 1930: Riccardo Barisonzo
- 1929 - 1932: Remo Zenobi
- 1932 - 1932 Alfredo Palmieri
- 1932 - 1933: Remo Zenobi
- 1933 - 1936: Eugenio Gualdi
- 1936 - 1938: Erberto Vaselli
- 1938 - 1939: Remo Zenobi
- 1939 - 1941: Andrea Ercoli
- 1941 - 1944: Giovanni Minotto
- 1944 - 1945: Andrea Ercoli
- 1945 - 1945 Arnaldo Coni
- 1945 - 1948: Andrea Ercoli
- 1948 - 1948 Renato Bornigia
- 1948 - 1949 Giuseppe Rivola
- 1948 - 1949: Giovanni Mazzitelli
- 1949 - 1953: Remo Zenobi
- 1953 - 1954: Antonio Annunziata
- 1953 - 1956: Costantino Tessarolo
- 1956 - 1960: Leonardo Siliato
- 1960 - 1961 Andrea Ercoli
- 1960 - 1961: Costantino Tessarolo
- 1961 - 1962: Massimo Giovannini
- 1962 - 1963: Ernesto Brivio
- 1963 - 1964: Angelo Miceli
- 1964 - 1965: Giorgio Vaccaro
- 1965 - 1966: Gian Chiarion Casoni
- 1965 - 1980: Umberto Lenzini
- 1980 - 1981: Aldo Lenzini
- 1981 - 1983: Gian Chiarion Casoni
- 1983 - 1986: Giorgio Chinaglia
- 1986 - 1987: Franco Chimenti
- 1986 - 1992: Gianmarco Calleri
- 1992 - 1994: Sergio Cragnotti
- 1994 - 1998: Dino Zoff
- 1998 - 2003: Sergio Cragnotti
- 2003 - 2004: Ugo Longo
- 2004 - : Claudio Lotito
Entraîneurs |
- 1901 - 1902 : Brutus Seghettini
- 1902 - 1906 : Sante Ancherani
- 1906 - 1924 : Guido Baccani
- 1924 - 1926 : Dezsõ Kőszegy
- 1926 - 1927 : Jenő Ligeti
- 1927 - 1929 : Franz Sedlacek
- 1929 - 1930 : Peter Peas
- 1930 - 1931 : Ferenc Molnár
- 1931 - 1932 : Amílcar
- 1932 - 1934 : Karl Stürmer
- 1934 - 1936 : Walter Alt
- 1936 - 1939 : József Viola
- 1939 - 1941 : Géza Kertész
- 1941 - 1943 : Alexandre Popovic
- 1943 - 1946 : Paniers Dino
- 1946 - 1948 : Tony Cargnelli
- 1948 - 1949 : Orlando Tognotti
- 1949 - 1951 : Mario Sperone
- 1951 - 1953 : Joseph Bigogno
- 1953 - 1954 : Mario Sperone
- 1954 - 1955 : Federico Allasio
- 1955 - 1956 : Roberto Copernic
- 1956 - 1957 : Jesse Carver
- 1957 - 1958 : Milovan Ciric
- 1958 - 1961 : Fulvio Bernardini
- 1961 - 1962 : Paul Todeschini
- 1962 - 1963 : Charles Facchini
- 1963 - 1964 : Juan Carlos Lorenzo
- 1964 - 1967 : Umberto Mannocci
- 1967 - 1968 : Renato Gei
- 1968 - 1971 : Juan Carlos Lorenzo
- 1971 - 1975 : Thomas Maestrelli
- 1975 - 1976 : Julius Corsini
- 1976 - 1978 : Luís Vinício
- 1978 - 1980 : Roberto Lovati
- 1980 - 1982 : Ilario Castagner
- 1982 - 1983 : Roberto Clagluna
- 1983 - 1984 : Juan Carlos Morrone
- 1984 - 1985 : Paul Carosi
- 1985 - 1986 : Luigi Simoni
- 1986 - 1988 : Eugenio Fascetti
- 1988 - 1990 : Giuseppe Materazzi
- 1990 - 1994 : Dino Zoff
- 1994 - 1997 : Zdeněk Zeman
- 1997 - 2000 : Sven-Göran Eriksson
- 2000 - 2001 : Dino Zoff
- 2001 - 2002 : Alberto Zaccheroni
- 2002 - 2004 : Roberto Mancini
- 2004 - 2005 : Domenico Caso
- 2005 - 2009 : Delio Rossi
- 2009 - 2010 : Davide Ballardini
- 2010 - 2012 : Edoardo Reja
- 2012 - 2013 : Vladimir Petković
- 2014 : Edoardo Reja
- 2014 - 2016 : Stefano Pioli
- 2016 : Marcelo Bielsa
- 2016 - : Simone Inzaghi
Effectif actuel 2018-2019 |
Joueurs | Encadrement technique | ||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
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Joueurs emblématiques |
Romolo Alzani (1945-1955)
Dino Baggio (2000-2003 et 2004-2005)
Albertino Bigon (1980-1982)
Pierluigi Casiraghi (1993-1998)
Giorgio Chinaglia (1969-1976)
Vincenzo D'Amico (1972-1980 et 1981-1986)
Omar Dahmeni (1993-1996)
Giuseppe Favalli (1992-2004)
Stefano Fiore (2001-2004)
Diego Fuser (1992-1998)
Renzo Garlaschelli (1972-1982)
Bruno Giordano (1975-1985)
Simone Inzaghi (1999-2005, 2005-2007 et 2008-2010)
Fabio Liverani (2001-2006)
Roberto Mancini (1997-2000)
Paolo Di Canio (1985-1990 et 2004-2006)
Luca Marchegiani (1993-2003)
Paolo Negro (1993-2005)
Alessandro Nesta (1993-2002)
Massimo Oddo (2002-2007)
Angelo Peruzzi (2000-2007)
Silvio Piola (1934-1943)
Tommaso Rocchi (2004-2012)
Lucidio Sentimenti (1949-1954)
Giuseppe Signori (1992-1998)
Christian Vieri (1998-1999)
Giuseppe Wilson (1969-1978 et 1979-1980)
Luciano Zauri (2003-2008)
Matías Almeyda (1997-2000)
Hernán Crespo (2000-2002)
José Chamot (1994-1998)
Claudio López (2000-2004)
Diego Simeone (1999-2003)
Pedro Antonio Troglio (1989-1991)
Juan Sebastián Verón (1999-2001)
Marcelo Salas (1998-2001)
Alen Bokšić (1993-1996 et 1997-2000)
Pavel Nedved (1996-2001)
Karel Poborský (2000-2002)
Michael Laudrup (1983-1985)
Paul Gascoigne (1992-1995)
Gaizka Mendieta (2001-2002)
Karl-Heinz Riedle (1990-1993)
Miroslav Klose (2011-2016)
Goran Pandev (2004-2010)
Jaap Stam (2001-2004)
Aaron Winter (1992-1996)
Sérgio Conceição (1998-2000 et 2003)
Fernando Couto (1998-2005)
Norberto Höfling (1948-1951)
Arne Selmosson (1955-1958)
Vladimir Jugović (1997-1998)
Siniša Mihajlović (1998-2004)
Dejan Stanković (1998-2004)
Mark Fish (1996-1997)
Rubén Sosa (1988-1992)
Stephan Lichtsteiner (2008-2011)
Ousmane Dabo (2003-2006 et 2008-2010)
Giorgio Venturin (1990-1991)
Antonio Candreva (2012-2016)
Sanction du club |
Annexes |
Notes et références |
(it) Records du club
Seuls les principaux titres en compétitions officielles sont indiqués ici.
(it) « Società Sportiva Lazio | Polisportiva Lazio | Sito ufficiale », sur www.sslazio.org (consulté le 27 juillet 2017).
Calcio Romanus Sum, di Piero Strabioni, E.n.n.e B.i., 2007.
http://www.calciomercato.it/news/136059/Lazio-il-rimpianto-di-Ferguson-Non-aver-vinto-Supercoppa-Europea-nel-99-.html.
« Ils se détestent : Roma-Lazio », La Grinta, 19 septembre 2013(lire en ligne, consulté le 3 février 2017).
« Historique des affluences », sur european-football-statistics.co.uk.
Seule la nationalité sportive est indiquée. Un joueur peut avoir plusieurs nationalités mais n'a le droit de jouer que pour une seule sélection nationale.
Seule la sélection la plus importante est indiquée.
Liens externes |
Notices d'autorité :- Fichier d’autorité international virtuel
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