Championnat du monde d'endurance FIA





Page d'aide sur l'homonymie Pour les articles homonymes, voir WEC.


Page d'aide sur l'homonymie Cet article concerne le championnat créé en 2012. Pour le championnat organisé de 1953 à 1992, voir Championnat du monde des voitures de sport.



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Championnat du monde d'endurance FIA



Description de l'image FIA WEC logo.png.









































Généralités
Sport
Endurance
Création
2012
Autre(s) nom(s)
WEC
Organisateur(s)
FIA, ACO
Éditions
6
Catégorie
Sport-prototypes (LMP1 et LMP2)
Grand tourisme (GTE)
Périodicité
Annuelle
Statut des participants
Pilotes professionnels
Pilotes amateurs
Site web officiel
www.fiawec.com


















Palmarès
Tenant du titre
Drapeau : Allemagne Timo Bernhard
Drapeau : Nouvelle-Zélande Brendon Hartley
Drapeau : Nouvelle-Zélande Earl Bamber
Plus titré(s)
Constructeurs prototypes :
Drapeau : Allemagne Porsche (3)
Constructeurs GT :
Drapeau : Italie Ferrari (5)
Pilotes prototypes :
Drapeau : Allemagne Timo Bernhard (2)
Drapeau : Nouvelle-Zélande Brendon Hartley (2)
Pilotes GT :
Drapeau : Italie Gianmaria Bruni (2)



Crystal Clear app kworldclock.png
Pour la compétition en cours voir :
Championnat du monde d'endurance FIA 2018-2019







La Toyota TS040 Hybrid, auto avec laquelle le constructeur est champion du monde d'endurance en 2014.


Le championnat du monde d'endurance FIA (FIA World Endurance Championship ou FIA WEC) est un championnat de course automobile organisé par l'Automobile Club de l'Ouest sous le parrainage de la Fédération internationale de l'automobile (FIA). Créé en 2012, le championnat du monde d'endurance FIA est issu de l'Intercontinental Le Mans Cup, lui-même créé en 2010 et fait revivre une compétition mondiale vingt ans après l'arrêt de l'ancien championnat du monde des voitures de sport[1].




Sommaire






  • 1 Histoire


    • 1.1 Le retour d'un championnat mondial : l'Intercontinental le Mans Cup (2010)


    • 1.2 Création du championnat du monde d'endurance FIA (2012)


    • 1.3 Domination d'Audi en LMP1 et départ des écuries privées


    • 1.4 Nouvelle réglementation des systèmes hybrides en LMP1 (2014)


    • 1.5 Duel Audi / Porsche et Toyota en retrait (2015)


    • 1.6 Dernière saison à trois constructeur en LMP1 et départ d'Audi (2016)


    • 1.7 Championnat en délicatesse, malgré un duel Porsche / Toyota




  • 2 Format


  • 3 Participants


    • 3.1 LMP1


    • 3.2 LM GTE Pro




  • 4 Circuits


  • 5 Épreuves


  • 6 Pilotes


    • 6.1 Champions du Championnat du monde


    • 6.2 Personnalités du WEC




  • 7 Voitures


    • 7.1 Catégories


    • 7.2 Balance des performances




  • 8 Attribution des points


    • 8.1 Premier barème (2012-2017)


    • 8.2 Second barème (2018-)




  • 9 Courses


    • 9.1 2018-2019


    • 9.2 2017


    • 9.3 2016


    • 9.4 2015


    • 9.5 2014


    • 9.6 2013


    • 9.7 2012




  • 10 Résultats


  • 11 Victoires en courses


  • 12 Médias


    • 12.1 Presse écrite


    • 12.2 Médias audiovisuels




  • 13 Notes et références


  • 14 Annexes


    • 14.1 Articles connexes


    • 14.2 Bibliographie


    • 14.3 Liens externes







Histoire |



Le retour d'un championnat mondial : l'Intercontinental le Mans Cup (2010) |


Article détaillé : Intercontinental Le Mans Cup.



Création du championnat du monde d'endurance FIA (2012) |



Le 9 juin 2011, au musée automobile de la Sarthe, l'Automobile Club de l'Ouest (ACO) et la Fédération international de l'automobile (FIA) annoncent lors d'une conférence de presse la création d'un championnat du monde d'endurance FIA. Jean-Claude Plassart, président de l'ACO, s'exprime en premier puis donne la parole à Jean Todt, président de la FIA et principal artisan de la création de ce championnat : « Je suis très attaché depuis plusieurs décennies aux 24 Heures du Mans. Quand je suis arrivé à la FIA, j'ai fait l'inventaire de la situation et il manquait un grand championnat d'endurance. Nous nous sommes rencontrés très vite avec Jean-Claude Plassart et Pierre Fillon, mais cela a pris un certain temps car ce n'était pas une décision facile. Nous avons appris à nous apprécier et nous sommes désormais en mesure d'avoir ce championnat du monde »[2],[3]. Il ajoute que la technologie utilisée sera au centre des réflexions pour ce championnat et annonce : « promouvoir l'innovation et le développement de nouvelles technologies permettant ainsi aux constructeurs automobiles de démontrer, grâce à la rigueur de la compétition, leur capacité d'inventivité »[2],[4].



Domination d'Audi en LMP1 et départ des écuries privées |




Nouvelle réglementation des systèmes hybrides en LMP1 (2014) |




Duel Audi / Porsche et Toyota en retrait (2015) |



À la suite de son échec dans la discipline, le constructeur Nissan décide fin 2015 de quitter le championnat, le constructeur japonais n'aura donc disputé que les 24 Heures du Mans[5].



Dernière saison à trois constructeur en LMP1 et départ d'Audi (2016) |



Le 26 octobre, Audi se retire lui aussi du championnat à la fin de la saison 2016[6]. Après ce départ, nombreux sont les observateurs à être méfiant sur l'avenir du championnat et de la catégorie LMP1 « hybride » qu'ils jugent trop coûteuse[7]. Pour certains, les organisateurs ont privilégié la promotion et la médiatisation des constructeurs avec la technologie hybride à juste titre, mais au détriment de la présence des écuries privées en LMP1[8].



Championnat en délicatesse, malgré un duel Porsche / Toyota |


Seuls deux constructeurs LMP1 disputent la saison 2017. Cette décroissance n'est pas inversée pour cette année car Porsche annonce le 28 juillet 2017 quitter le championnat à la fin de la saison pour rejoindre la Formule E[9], laissant Toyota seul constructeur en LMP1. Les causes possibles de ce départ sont multiples, entre l'affaire Volkswagen, ou la volonté d'implication totale en Formule E[10]


À l'occasion des 6 Heures de Mexico, une nouvelle réglementation et un nouveau calendrier sont dévoilés. La saison se disputera dorénavant sur deux années civiles, avec pour sa transition 2018-2019, une double participation aux 6 Heures de Spa et aux 24 Heures du Mans, et verra le retour des 12 Heures de Sebring au sein du championnat après cinq ans d'absence[11]. Concernant la réglementation, le niveau de performance des prototypes non-hybrides sera uniformisé avec la réglementation des LMP1 hybrides[12].



Format |


Le principe du championnat pour la saison 2012 est de récompenser le meilleur constructeur LMP1, la meilleure équipe privée des catégories LMP1 et LMP2, le meilleur constructeur LMGTE, et la meilleure équipe en LMGTE Pro et LMGTE Am. De plus, un classement des pilotes est créé.


Pour la saison 2013, des modifications seront apportés dans les classements[Lesquelles ?].


La saison 2014 marque l'arrivée d'une nouvelle catégorisation en LMP1, la catégorie a été divisée en deux sous-catégories : le LMP1-H pour les LMP1 hybrides et les LMP1-L pour les LMP1 « lights »[13].


En 2015, le championnat revient à une seule catégorie LMP1 en fusionnant les catégories LMP1-H et LMP1-L.


Les saisons 2016 et 2017 conservent le même format que la saison 2015.



Participants |



LMP1 |

























































Constructeur

2012

2013

2014

2015

2016

2017

2018-
2019
Toyota
Drapeau : Japon
 •  •  •  •  •  •  •
Audi
Drapeau : Allemagne
 •  •  •  •  •
Porsche
Drapeau : Allemagne
 •  •  •  •
Nissan
Drapeau : Japon
 •

Pour les débuts du championnat en 2012, deux constructeurs sont engagées dans la catégorie LMP1 : Audi et Toyota. Avec le retrait de Peugeot en janvier 2012 et l'arrivée tardive de Toyota, Audi est présenté comme étant le grand favori de cette première saison[14],[15].


Depuis l'année 2014, trois constructeurs sont engagés dans la compétition avec Audi, Porsche et Toyota dans la catégorie reine (LMP1). C'est Audi qui remporte le titre constructeur du WEC en 2012 et 2013, suivi de Toyota en 2014 puis de Porsche en 2015. Nissan a lui aussi participé au WEC lors de la saison 2015. Présentant un concept innovant avec un moteur avant et des roues avant plus larges que les roues arrière, le constructeur n'a participé qu'aux 24 Heures du Mans 2015 et n'a marqué aucun point pour le championnat, décidant à la fin de la saison de mettre un terme à ses activités en WEC dans la catégorie LMP1[16].


Un autre retrait a lieu fin 2016 avec Audi, le constructeur annonçant la fin de son engagement dès la fin de la saison afin de concentrer ses ressources sur d'autres disciplines.Fin 2017,c'est Porsche qui se retire de la catégorie reine du WEC laissant pour seul constructeur de la catégorie Toyota, présente depuis les débuts du WEC.[17],[18].



LM GTE Pro |




































































Constructeur

2012

2013

2014

2015

2016

2017

2018-
2019
Ferrari
Drapeau : Italie
 •  •  •  •  •  •  •
Porsche
Drapeau : Allemagne
 •  •  •  •  •  •  •
Aston Martin
Drapeau : Royaume-Uni
 •  •  •  •  •  •  •
Ford
Drapeau : États-Unis
 •  •  •
BMW
Drapeau : Allemagne
 •

Dans la catégorie GTE, quatre marques sont représentées officiellement, avec Aston Martin, Ferrari, Ford et Porsche. Ferrari est la plus titrée avec cinq coupes du monde d'endurance des constructeurs de la FIA obtenues en 2012, 2013, 2014, 2016 et 2017, le titre 2015 est quant à lui remporté par Porsche. BMW s'engage à partir de 2018.



Circuits |




Vue nocturne du circuit des 24 Heures en 2012.


Article détaillé : Liste des circuits du championnat du monde d'endurance FIA.

Le championnat du monde d'endurance de la FIA se dispute depuis 2012 sur un minimum de huit épreuves dans le monde. La majorité des circuits où se déroulent les épreuves sont des circuits routiers fermés, la plupart du temps permanents. Le circuit des 24 Heures fait exception avec une longueur de tracé de 13,626 km[19], ce qui fait de ce circuit l'un des circuits automobiles les plus longs du monde. Sa particularité est l'utilisation pour trois quarts de portions routières ouvertes à la circulation publique pendant le reste de l'année, le circuit n'étant utilisé qu'une dizaine de jours par an.



Épreuves |


















































































































































Épreuve

2012

2013

2014

2015

2016

2017

2018-2019

2019-2020
1000 Miles / 12 Heures de Sebring
Drapeau : États-Unis
 •  •  •
6 Heures de Spa-Francorchamps
Drapeau : Belgique
 •  •  •  •  •  •  •  •
24 Heures du Mans
Drapeau : France
 •  •  •  •  •  •  •  •
6 Heures / 4 Heures de Silverstone
Drapeau : Royaume-Uni
 •  •  •  •  •  •  •  •
6 Heures de São Paulo
Drapeau : Brésil
 •  •  •  •
6 Heures / 8 Heures de Bahreïn
Drapeau : Bahreïn
 •  •  •  •  •  •  •
6 Heures de Fuji
Drapeau : Japon
 •  •  •  •  •  •  •  •
6 Heures / 4 Heures de Shanghai
Drapeau : République populaire de Chine
 •  •  •  •  •  •  •  •
6 Heures du circuit des Amériques
Drapeau : États-Unis
 •  •  •  •  •
6 Heures du Nürburgring
Drapeau : Allemagne
 •  •  •
6 Heures de Mexico
Drapeau : Mexique
 •  •


  • Note : lors de la saison 2018-2019, les 6 Heures de Spa et les 24 Heures du Mans sont disputées à deux reprises.

  • Note : lors de la saison 2019-2020, les 6 Heures de Silverstone et les 6 Heures de Shanghai deviennent des épreuves de 4 heures et les 6 Heures de Bahreïn deviennent une épreuve de 8 heures.



Pilotes |




Tom Kristensen en 2013.


Le championnat du monde d'endurance présente un panel varié de pilotes, permis notamment par le nombre d'engagés important chaque année.


Une des particularités du championnat est de regrouper des pilotes professionnels et amateurs. En effet, les catégories LMP1 et GTE Pro sont destinées aux professionnels, alors que les catégories LMP2 et GTE Am accueillent les amateurs.



Champions du Championnat du monde |


Article détaillé : Liste des champions du Championnat du monde d'endurance FIA.


Personnalités du WEC |


Parmi les pilotes les plus célèbres du WEC, on dénombre Tom Kristensen, nonuple vainqueur des 24 Heures du Mans et champion du monde en 2013, Allan McNish, champion la même année, Alexander Wurz et Mark Webber, champion du monde d'endurance 2015 et connu pour sa carrière en Formule 1.


Depuis la création du championnat, le directeur général du WEC est Gérard Neveu.


Le premier prix Man of the Year a été attribué à Leena Gade, une ingénieure de course britannique.


L'acteur américain Patrick Dempsey a participé à l'intégralité du championnat en 2015.



Voitures |




Trois Porsche 919 Hybrid et deux Audi R18 e-tron quattro lors des 24 Heures du Mans 2015.


Les voitures de plus haut niveau du WEC sont les Le Mans Prototype. En ce qui concerne le LMP1, le choix du moteur étant libre, les différents constructeurs peuvent opter pour des solutions techniques différentes. Ils sont cependant exposés à certaines restrictions.
Les voitures actuellement engagées officiellement en LMP1 sont la Toyota TS050 Hybrid, la Rebellion R13, la BR Engineering BR1, la CLM P1/01 et la Ginetta G60-LT-P1.


Depuis les débuts du championnat en 2012, Michelin et Dunlop sont les deux fournisseurs de pneumatiques et ce pour les quatre catégories participantes.



Catégories |




  • LMP

    • LMP1

    • LMP2




  • LM GTE

    • GTE Pro

    • GTE Am





Balance des performances |


Comme dans d'autres championnats, le championnat du monde d'endurance applique un système de balance des performances. Dans chaque catégorie, pour chaque modèle sont observés les meilleurs temps au tour au fur et à mesure, qui servent de référence de comparaison. À partir de cette référence, les courses suivantes, les voitures se voient appliquées des contraintes spécifiques à chaque modèle : des masses minimums différentes, des brides sur l'apport d'air ou le rapport de pression de suralimentation[20]. Les tailles maximum de réservoir sont aussi variables. L'objectif de cette réglementation est d'égaliser les performances, afin par exemple d'obtenir un spectacle supérieur[20].


La réglementation de la balance des performances évolue régulièrement, et plus encore les valeurs des limitations imposées. Ceci entraîne quelques fois de fortes protestations des pilotes et des écuries, par exemple en GTE Pro aux 24 Heures du Mans 2016[21]. À partir de 2017 un système automatique de balance des performances est créé pour le GTE Pro suivant les performances au cours des manches, les 24 Heures du Mans font exception avec l'élaboration d'une balance spécifique[22].



Attribution des points |



Premier barème (2012-2017) |


De la création du championnat en 2012 jusqu'en 2017, l'attribution des points se fait de la façon suivante[23] :


































Système des points
Position

1er

2e

3e

4e

5e

6e

7e

8e

9e

10e
Au-delà
Points
25
18
15
12
10
8
6
4
2
1
0,5

L'obtention des points est accordée lorsque la voiture a complété au minimum 70 % de la distance parcourue par l'équipage gagnant. Également, 1 point est donné aux équipages de chaque catégorie ayant obtenu la pôle dans leur catégorie respective. Excepté la pôle, les points sont doublés lors des 24 Heures du Mans.



Second barème (2018-) |


Le barème d'attribution des points de points évolue à partir de la super saison 2018-2019[24]. En effet, les points ne sont plus doublés pour le Mans mais seulement augmentés de 50 %[24]. Cependant, la manche mancelle est dorénavant présente à deux reprises durant la saison[25]. La manche de Sebring bénéficie elle aussi d'un barème spécifique puisque les points y seront augmentés de 25 %[25]. L'ensemble de ce système de points est détaillé dans le tableau ci-dessous :




























































Système des points
Position

1er

2e

3e

4e

5e

6e

7e

8e

9e

10e
Au-delà
6 heures
25
18
15
12
10
8
6
4
2
1
0.5
Le Mans
38
27
23
18
15
12
9
6
3
2
1
Sebring
32
23
19
15
13
10
8
5
3
2
1

L'obtention des points est toujours accordée lorsque la voiture a complété au minimum 70 % de la distance parcourue par l'équipage gagnant. Également, 1 point est donné aux équipages de chaque catégorie ayant obtenu la pôle dans leur catégorie respective.



Courses |




Résultats |





















































































Saison
Pilotes
Constructeurs
Équipes
LMP
GTE
LMP
GTE
LMP1
LMP2
GTE Pro
GTE Am

2012

Drapeau : Allemagne André Lotterer
Drapeau : France Benoît Tréluyer
Drapeau : Suisse Marcel Fässler

Non décerné

Drapeau : Allemagne Audi

Drapeau : Italie Ferrari

Drapeau : Suisse Rebellion Racing

Drapeau : États-Unis Starworks Motorsport

Drapeau : Italie AF Corse

Drapeau : France Larbre Compétition

2013

Drapeau : Royaume-Uni Allan McNish
Drapeau : Danemark Tom Kristensen
Drapeau : France Loïc Duval

Drapeau : Italie Gianmaria Bruni

Drapeau : Allemagne Audi

Drapeau : Italie Ferrari

Drapeau : Suisse Rebellion Racing

Drapeau : France OAK Racing

Drapeau : Italie AF Corse

Drapeau : États-Unis 8Star Motorsports

2014

Drapeau : Suisse Sébastien Buemi
Drapeau : Royaume-Uni Anthony Davidson

Drapeau : Italie Gianmaria Bruni
Drapeau : Finlande Toni Vilander

Drapeau : Japon Toyota

Drapeau : Italie Ferrari

Drapeau : Suisse Rebellion Racing

Drapeau : Russie SMP Racing

Drapeau : Italie AF Corse

Drapeau : Royaume-Uni Aston Martin Racing

2015

Drapeau : Australie Mark Webber
Drapeau : Allemagne Timo Bernhard
Drapeau : Nouvelle-Zélande Brendon Hartley

Drapeau : Autriche Richard Lietz

Drapeau : Allemagne Porsche

Drapeau : Allemagne Porsche

Drapeau : Suisse Rebellion Racing

Drapeau : Russie G-Drive Racing

Drapeau : Allemagne Porsche Team Manthey

Drapeau : Russie SMP Racing

2016

Drapeau : Allemagne Marc Lieb
Drapeau : Suisse Neel Jani
Drapeau : France Romain Dumas

Drapeau : Danemark Nicki Thiim
Drapeau : Danemark Marco Sørensen

Drapeau : Allemagne Porsche

Drapeau : Italie Ferrari

Drapeau : Suisse Rebellion Racing

Drapeau : France Signatech-Alpine

Drapeau : Royaume-Uni Aston Martin Racing

Drapeau : Italie AF Corse

2017

Drapeau : Allemagne Timo Bernhard
Drapeau : Nouvelle-Zélande Brendon Hartley
Drapeau : Nouvelle-Zélande Earl Bamber

Drapeau : Royaume-Uni James Calado
Drapeau : Italie Alessandro Pier Guidi

Drapeau : Allemagne Porsche

Drapeau : Italie Ferrari

Non décerné

Drapeau : Suisse Vaillante Rebellion

Drapeau : Italie AF Corse

Drapeau : Royaume-Uni Aston Martin Racing


Victoires en courses |


En gras : Pilotes ayant gagné un championnat du monde, une coupe du monde ou un trophée d'Endurance du WEC..


ButtonYellow.svg : Pilotes engagés pour le championnat 2018-2019 dans la même catégorie sur au moins une course.


Il est à noter que ces tableaux ne prennent en compte que les résultats bruts des courses. En effet, il est arrivé à plusieurs reprises qu'un équipage finisse premier de sa catégorie mais ne soit pas considéré officiellement comme le vainqueur car non-éligible pour marquer des points au championnat du monde.







Médias |



Presse écrite |


Le WEC est cité dans la presse omnisports quotidienne avec notamment L'Équipe en France. S'il existe une presse spécialisée sur l'automobile, la presse uniquement focalisée sur le WEC est plus rare, à l’exception du magazine Le Mans Racing[26],[27]. L'exposition du championnat est accrue lors de chaque édition des 24 Heures du Mans, où il entre dans la presse généraliste grâce à la renommée de cette épreuve qui constitue la course moderne la plus réputée dans l'endurance automobile.



Médias audiovisuels |


En France, le WEC est diffusé en intégralité sur Motorsport.tv, ainsi que sur Eurosport. Pour la saison 2016, le championnat est diffusé en clair sur L'Équipe[28],[29],[30],[31],[32],[33], exception faite des 24 Heures du Mans diffusées sur les chaines payantes ainsi que sur les chaines du groupe France Télévisions.



Notes et références |





  1. Championnat du Monde d'Endurance FIA 2012 - LeMans.org, 3 juin 2011 (voir archive)


  2. a et bHurel 2011, p. 6.


  3. « ACO: Jean-Claude Plassart va passer la main », sur Le Maine libre, 5 mai 2012(consulté le 13 avril 2017)


  4. Hurel 2011, p. 7.


  5. « Clap de fin pour le programme Nissan LM P1 », Endurance-info.com (consulté le 12 février 2016)


  6. Basile Davoine, « Audi annonce son retrait de l'Endurance dès la fin de saison », Motorsport.com, 26 octobre 2016(consulté le 26 octobre 2016).


  7. Laurent Chauveau, « Inventer un nouvel avenir au LMP1... », 86400.fr, 2 novembre 2016(consulté le 2 septembre 2017)


  8. Laurent Mercier, « Billet d'humeur : L'histoire n’est qu'un éternel recommencement… », Endurance-info.com, 4 août 2017(consulté le 2 septembre 2017)


  9. Basile Davoine, « Porsche officialise son retrait du LMP1 pour la Formule E », Motorsport.com, 28 juillet 2017(consulté le 22 septembre 2017)


  10. Alain Pernot, « Les conséquences du retrait de Porsche : Un abandon qui fait très mal », Sport Auto, no 668,‎ septembre 2017, p. 178-182


  11. Basile Davoine, « Calendrier, LMP1, équivalences : le WEC change tout ! », Motorsport.com, 1er septembre 2017(consulté le 2 septembre 2017).


  12. Laurent Mercier, « Un nouveau visage pour le FIA WEC dès 2018 », Endurance-info.com, 2 septembre 2017(consulté le 2 septembre 2017)


  13. « Le règlement LMP1 2014 est disponible », Endurance-info.com (consulté le 27 avril 2016)


  14. « Le AAA de l’Endurance mis en péril ? », Endurance-info.com (consulté le 27 avril 2016)


  15. « 30 concurrents engagés à l’année ! », Endurance-info.com (consulté le 27 avril 2016)


  16. « Clap de fin pour le programme Nissan LM P1 », Endurance-info.com (consulté le 17 avril 2016)


  17. Laurent Mercier, « Audi Sport met un terme à l’Endurance fin 2016 ! », Endurance-info.com, 26 octobre 2016(consulté le 26 octobre 2016)


  18. Basile Davoine, « Audi annonce son retrait de l'Endurance dès la fin de saison », Motorsport.com, 26 octobre 2016(consulté le 26 octobre 2016).


  19. « La longueur du Circuit des 24 Heures du Mans passe à 13,626 km », Endurance-info.com, 6 décembre 2017


  20. a et bLaurent Mercier, « Gros plan sur la Balance de Performance GTE 2016 », Endurance-info.com, 27 février 2016(consulté le 24 juillet 2016).


  21. « 24 Heures du Mans 2016 : Ca balance en GTE Pro ! », LeBlogAuto.com, 18 juin 2016(consulté le 24 juillet 2016).


  22. « Un système innovant pour la Balance de Performance LMGTE 2017 », endurance-info.com, 5 avril 2017(consulté le 18 octobre 2018).


  23. « Règlement | FIA World Endurance Championship », FIAWEC.com (consulté le 27 avril 2016)


  24. a et bBasile Davoine, « Ce qui change en WEC et au Mans pour la Super Saison », sur fr.motorsport.com, 10 février 2018(consulté le 9 mai 2018).


  25. a et bJacques-Armand Dupuis, « LA FIA valide le nouveau barème de points », sur autohebdo.fr, 6 décembre 2017(consulté le 9 mai 2018).


  26. « Le retour de "Le Mans Racing" prévu pour Le Mans. », Endurance-info.com (consulté le 17 avril 2016)


  27. « Le Mans Racing vous demande votre avis… », Endurance-info.com (consulté le 17 avril 2016)


  28. « L'Équipe 21, nouveau diffuseur TV en France du FIA WEC | FIA World Endurance Championship », FIAWEC.com (consulté le 27 avril 2016)


  29. « L’Equipe 21 prend les droits du FIA WEC », Endurance-info.com (consulté le 17 avril 2016)


  30. « L'Équipe 21 diffusera la saison 2016 », sur Auto Hebdo (consulté le 17 avril 2016)


  31. « Le WEC diffusé en clair sur L’Équipe 21 ! », Motorsport.com (consulté le 17 avril 2016)


  32. « WEC - Le championnat débarque sur L'Equipe 21 », Sportauto.fr (consulté le 17 avril 2016)


  33. « Le Championnat du monde d'Endurance de la FIA sur L'Équipe 21 », sur L'Équipe, 13 avril 2016(consulté le 17 avril 2016).




Annexes |


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Articles connexes |



  • Championnat du monde des voitures de sport

  • Intercontinental Le Mans Cup



Bibliographie |


Document utilisé pour la rédaction de l’article : document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.



  • François Hurel, « Championnat du monde d'endurance : Au bonheur des fans », Le Mans Racing, no 68,‎ juillet-août 2011, p. 6-8 Document utilisé pour la rédaction de l’article


Liens externes |



  • (fr + en) Site officiel

  • Automobile Club de l'Ouest

  • Fédération internationale de l'automobile




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