Honfleur





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Honfleur
Le Vieux Bassin en 2007.

Blason de Honfleur
Blason

Administration

Pays

Drapeau de la France France

Région

Normandie

Département

Calvados

Arrondissement

Lisieux

Canton

Honfleur-Deauville

Intercommunalité

CC du Pays de Honfleur-Beuzeville

Maire
Mandat
Michel Lamarre
2014-2020

Code postal
14600

Code commune
14333
Démographie

Gentilé
Honfleurais

Population
municipale
7 454 hab. (2015 en diminution de 7,9 % par rapport à 2010)
Densité 545 hab./km2
Population
aire urbaine
17 189 hab. (2013)
Géographie

Coordonnées

49° 25′ 08″ nord, 0° 13′ 59″ est

Altitude
Min. 0 m
Max. 117 m

Superficie
13,67 km2
Localisation


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Honfleur est une commune portuaire normande (département du Calvados) située sur la rive sud de l'estuaire de la Seine, en face du Havre, tout près du débouché du pont de Normandie.


Elle est peuplée de 7 454 habitants[Note 1](les Honfleurais).


Elle est surtout connue pour son Vieux Bassin pittoresque, caractérisé par ses maisons aux façades recouvertes d'ardoises, et pour avoir été maintes fois représentée par des artistes, dont Gustave Courbet, Eugène Boudin, Claude Monet et Johan Barthold Jongkind, formant l’École de Honfleur qui contribua à l'apparition du mouvement impressionniste. Alphonse Allais et Erik Satie y sont nés dans la même rue.


La commune est classée quatre fleurs au concours des villes et villages fleuris.




Sommaire






  • 1 Géographie


  • 2 Toponymie


  • 3 Histoire


  • 4 Héraldique


  • 5 Politique et administration


    • 5.1 Tendances politiques et résultats


    • 5.2 Liste des maires




  • 6 Démographie


    • 6.1 Évolution démographique


    • 6.2 Pyramide des âges




  • 7 Écologie et environnement


  • 8 Économie


  • 9 Patrimoine


    • 9.1 Vieux bassin


    • 9.2 Église Sainte-Catherine


    • 9.3 Église Saint-Étienne


    • 9.4 Église Saint-Léonard


    • 9.5 Greniers à sel


    • 9.6 Musées


    • 9.7 Bateaux


    • 9.8 Autres monuments


      • 9.8.1 Chapelle Notre-Dame-de-Grâce






  • 10 Activité et manifestations


    • 10.1 Jumelages


    • 10.2 Arts


    • 10.3 Sports




  • 11 Personnalités liées à la commune


    • 11.1 Naissances


    • 11.2 Décès


    • 11.3 Autres




  • 12 Honfleur dans les arts


    • 12.1 Cinéma


    • 12.2 Musique




  • 13 Notes et références


    • 13.1 Notes


    • 13.2 Références




  • 14 Voir aussi


    • 14.1 Bibliographie complémentaire


    • 14.2 Articles connexes


    • 14.3 Liens externes







Géographie |


Honfleur est située sur la rive gauche de l'estuaire de la Seine, au nord du pays d'Auge. Elle se trouve géologiquement à la limite des formations calcaires du Jurassique (oolithique) à l'ouest et du Crétacé (crayeux) au nord et à l'est. Son agglomération est à 15 km au nord-est de Trouville-sur-Mer, à 16 km au nord de Pont-l'Évêque, à 24 km à l'ouest de Pont-Audemer et à 25 km au sud-est du Havre (par le pont de Normandie)[1].


La ville est accessible en transport en commun par les lignes 20, 39, 50 des bus verts du Calvados.






















Communes limitrophes de Honfleur[2]

Mer de la Manche

Mer de la Manche

Mer de la Manche,
La Rivière-Saint-Sauveur

Pennedepie,
Équemauville
Honfleur[2]
La Rivière-Saint-Sauveur

Équemauville

Gonneville-sur-Honfleur

La Rivière-Saint-Sauveur,
Gonneville-sur-Honfleur



Toponymie |


Le nom de la localité est attesté sous les formes Hunefleth en 1025 ; Hunefloth vers 1062 ; Honneflo en 1198[3],[4] ; Honflue en 1246 ; Honnefleu, encore au XVIIIe siècle.


La prononciation dialectale est [χõ'fjø], rhonfyeu, avec un h initial fortement expiré proche du Ach-Laut allemand ou de la jota espagnole.


L'appellatif fleur, jadis fleu, est assez commun en Normandie sous forme de terminaison (cf. Barfleur, Vittefleur, Harfleur, Crémanfleur, Fiquefleur et la Gerfleur, rivière du Cotentin). Son sens est donné par un document du XIIIe siècle mentionnant le fleu de Lestre, c'est-à-dire « la rivière de Lestre », Lestre étant une actuelle commune du Cotentin.


L'identification de la langue d'origine du terme fleu a donné lieu à diverses hypothèses : le vieux norrois[5], l'anglo-scandinave[6], le saxon[7] et enfin l'anglo-saxon[8].


Dans le nom de Barfleur qui est plus riche en formes anciennes, -fleur est attesté successivement sous les formes : -flueth en 1066-77 ; -floth en 1081-1087 ; -fluet au XIIe siècle ; -flo en 1160-1174 ; -flet en 1200 ; -flue en 1227 ; -flu en 1359 ; puis -fleu, etc.


Le vieux norrois flóð « flux, marée, flot » (cf. islandais flóð « inondation, marée haute », anglais flood, même sens) suggéré dans la première hypothèse convient assez mal sur le plan phonétique et sémantique, même s'il s'est hypothétiquement croisé avec l'ancien scandinave flói « rivière qui se jette dans la mer », ce sens est d'ailleurs rendu par l'ancien scandinave fljót « (grande) rivière, fleuve » (islandais fljót « grande rivière, fleuve » cf. Markarfljót, l'islandais flói signifiant « baie, golfe, terrain marécageux », ce qui fait douter pour flói du sens de « rivière qui se jette dans la mer »). Fljót correspondrait mieux pour la forme et pour le sens[Note 2]. Certes, phonétiquement, il explique difficilement les formes anciennes en -flet, -fluet, -fleth que l'on retrouve aussi pour les autres noms en -fleur. Quant au vieil anglais flōd « flux, marée, flot » (> anglais flood, même sens) proposé dans la seconde hypothèse, il ne se justifie pas davantage pour des raisons analogues.


On doit sans doute leur préférer le vieil anglais flēot « ruisseau, estuaire, bras de mer » et « flot » (cf. anglais fleet)[9] qui convient mieux, tant sur le plan phonétique que sur le plan sémantique. En effet, seule la diphtongue assez instable de l'anglo-saxon peut expliquer le flottement entre les formes flueth / fleth / floth au XIe siècle. À partir du XIIIe siècle, l'évolution en -flo / -flue, puis -fleu au XVe siècle va engendrer une confusion avec la prononciation dialectale du mot fleur[8], d'où cette réécriture « officielle » en -fleur.


On constate, comme pour d'autres appellatifs et toponymes de Normandie, une analogie avec les noms de lieux anglo-scandinaves d'Angleterre (Yorkshire notamment) qui se terminent par -fleet : Adlingfleet (en) (Adelingesfluet 1086), Marfleet (en) (Merefluet 1086), Ousefleet (en) (Useflete 1100–1108), etc.


L'élément Hon- serait issu, quant à lui, d'un nom de personne anglo-saxon Huna ou vieux norrois Húni (variante Húnn)[10] que l'on retrouve probablement à La Rivière-Saint-Sauveur (commune contiguë à Honfleur) dans le nom de Honnaville, homonyme du hameau de la Honneville à Saint-Georges-du-Mesnil.


Une autre explication a été proposée pour l'élément Hon-, c'est-à-dire l'étymon vieux norrois horn « corne », d'où également « coin », « angle », et donc pour Honfleur le sens hypothétique de « la rivière du tournant ». Il est vrai que la rivière de Claire fait un angle de 90° degrés à l'embouchure de la Seine[11]. Cependant, cette interprétation se heurte à une difficulté de taille : aucune attestation ancienne ne la confirme, ni la présence d'un [r], ni d'un [n] géminé (du moins avant le XIIIe siècle), trace de son assimilation. Elle différerait en cela des autres toponymes d'origine scandinave comportant un [r] devant [n], tel que Barneville par exemple[8].


De plus, un élément semblable peut souvent être reconnu dans deux toponymes contigus, ce qui suggère une relation entre les deux : ainsi Honfleur peut être associé à Honnaville, tout comme Crémanfleur l'est à Crémanville ou encore Barfleur à Barbeville. Ce genre de relation se retrouve par ailleurs fréquemment dans la toponymie normande : Muneville-sur-Mer (Manche, Mulevilla s. d., Mulleville 1349, toponyme en -ville basé sur le nom de personne norrois Muli) et le ruisseau le Mulambec qui arrose la commune[12]. En revanche, l'association d'un appellatif vieux norrois avec l'élément -ville est très rare, voire douteuse.


La ressemblance avec le nom de la baie de Húnaflói en Islande est sans doute fortuite[13].


Le gentilé des habitants de Honfleur : les Honfleurais n'est donc pas étymologique, alors que l'on nomme les habitants de Barfleur le plus souvent les Barflotais.



Histoire |



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La première mention écrite attestant l'existence de Honfleur émane de Richard III, duc de Normandie, en 1027. Il est également avéré qu'au milieu du XIIe siècle, la ville représentait un important port de transit des marchandises au départ de Rouen vers l'Angleterre.


Située au débouché de la Seine, un des principaux fleuves du Royaume de France, au contact de la mer et appuyée sur un arrière-pays relativement riche, Honfleur bénéficiait d'une position stratégique qui s'est révélée à partir de la guerre de Cent Ans. Charles V fait fortifier la bourgade afin d'interdire l'estuaire de la Seine aux Anglais avec l'appui du port d'Harfleur, situé juste en face et de l'autre côté de l'estuaire. Cela verrouillait du même coup l'entrée de la Seine aux navires ennemis. Honfleur fut cependant prise et occupée par le roi d'Angleterre en 1357, puis à nouveau de 1419 à 1450. En dehors de cette période, son port servit de base de départ à de multiples expéditions françaises se livrant à des razzias le long des côtes anglaises, avec notamment la destruction partielle de la ville de Sandwich dans le comté de Kent autour de 1450, après que les Anglais eurent quitté la Normandie à la suite de la défaite de Formigny[14].


Après la fin de la guerre de Cent Ans et jusqu'à la fin du XVIIIe siècle, Honfleur continue de se développer notamment grâce à la construction navale, au commerce maritime et aux expéditions lointaines. Cependant, de graves troubles vont éclater lors des guerres de Religion dans la seconde partie du XVIe siècle. La ville est prise par Henri IV au début de 1590[15].


Dans le même temps, la cité participera aussi au mouvement des grandes découvertes[16], avec notamment Jehan Denis qui visitera le Labrador et Terre-Neuve dont il prendra possession au nom du roi de France en 1506. Ces nombreuses expéditions feront du port un des tout premiers de France vers les Amériques et notamment les colonies françaises du Nouveau Continent, d'où les voyages répétés de Samuel de Champlain à partir d'ici, dont l'un aboutira à la fondation de la ville de Québec en 1608. Honfleur fut également une cité corsaire et un de ses fils, Jean Doublet, s'illustrera dans la guerre de course.


À partir de cette période, le commerce de Honfleur prospère avec la multiplication des relations avec le Canada, la Louisiane, les Antilles, les côtes africaines et les Açores, faisant de la ville l'un des cinq principaux ports négriers de France. Cette époque voit la ville s'agrandir avec le démantèlement d'une partie de ses fortifications, devenues obsolètes, sur l'ordre de Colbert. Abraham Duquesne fait transformer le « hâvre du dedans », simple port d'échouage, en un véritable bassin à flot qui sera terminé en 1684, que l'on surnomme aujourd'hui le Vieux Bassin, et qui contribue à la réputation actuelle de la ville. Une partie de la richesse de la cité est assurée aussi par la Grande Pêche sur les bancs de Terre-Neuve, la pêche à la morue, et le commerce des peaux. D'autres marins honfleurais vont s'illustrer dans les guerres de la Révolution française et de l'Empire, il s'agit du capitaine de vaisseau Morel-Beaulieu et des contre-amiraux Hamelin et Motard.


La perte des colonies françaises d'Amérique, la concurrence avec le port du Havre, les guerres de la Révolution française et du Premier Empire, avec notamment le blocus continental, causent la ruine de Honfleur, qui ne se releva que partiellement au cours du XIXe siècle avec la reprise du commerce du bois en provenance du Nord de l'Europe. Cet essor fut pourtant limité par l'ensablement du port, qui parvient pourtant à fonctionner encore aujourd'hui. Cependant, il ne constitue plus à l'heure actuelle qu'une annexe du port de Rouen, dont il est l'avant-port, en partenariat avec la chambre de commerce et d'industrie du Pays d'Auge.


Honfleur a été libérée le 25 août 1944 par l'armée belge (brigade Piron)[17]. La ville n'a subi aucune destruction pendant la Seconde Guerre mondiale, la faisant figurer parmi les rares cités normandes épargnées.



Héraldique |







Armes de Honfleur


Les armes de la commune de Honfleur se blasonnent ainsi :
De gueules à la tour donjonnée d'argent maçonnée de sable, accostée de deux fleurs de lys d'or, au chef cousu d'azur chargé de trois fleurs de lys aussi d'or[18].






Politique et administration |



Tendances politiques et résultats |


Article connexe : Élections municipales de 2014 dans le Calvados.



Liste des maires |




Une rue de Honfleur.


En 1973, Honfleur a fusionné avec la commune de Vasouy (159 habitants en 2007), qui dispose depuis lors du statut de commune associée.










































Liste des maires
Période
Identité
Étiquette
Qualité

1944
1947
Albert Patin
 
 

1947
1971
Maurice Delange
 
 

1971
1995
Marcel Liabastre

DVD
Conseiller général

1995
en cours
Michel Lamarre[19]

DVD[20]
Conseiller général

Pour les données antérieures, dérouler la boîte ci-dessous.



Le conseil municipal est composé de vingt-neuf membres dont le maire et huit adjoints[21]. L'un de ces conseillers représente la commune associée de Vasouy et en est le maire délégué.



Démographie |



Évolution démographique |


L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population
effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les
populations légales
des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur
une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous
les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est
réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par
interpolation ou extrapolation[22]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[23].


En 2015, la commune comptait 7 454 habitants[Note 3], en diminution de 7,9 % par rapport à 2010 (Calvados : +1,53 %, France hors Mayotte : +2,44 %).
L'évolution du nombre d'habitants suit une certaine constance. Le maximum de la population a été atteint 1866 avec 9 946 habitants.





























Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
9 256 8 664 9 724 9 637 8 888 9 130 9 580 9 912 9 361



























1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
9 129 9 553 9 946 9 061 9 271 9 601 9 726 9 450 9 297



























1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
9 610 9 451 9 298 8 707 8 491 8 031 7 861 7 931 8 661



























1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2009 2014
9 141 9 292 9 188 8 495 8 272 8 178 8 139 8 163 7 440



























2015 - - - - - - - -
7 454 - - - - - - - -

De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[24] puis Insee à partir de 2006[25].)



Histogramme de l'évolution démographique





Pyramide des âges |


La population de la commune est relativement âgée. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (23 %) est en effet supérieur au taux national (21,6 %) et au taux départemental (21,4 %).
À l'instar des répartitions nationale et départementale, la population féminine de la commune est supérieure à la population masculine. Le taux (53,2 %) est supérieur au taux national (51,6 %).


La répartition de la population de la commune par tranches d'âge est, en 2007, la suivante :



  • 46,8 % d’hommes (0 à 14 ans = 21,3 %, 15 à 29 ans = 19,7 %, 30 à 44 ans = 20,9 %, 45 à 59 ans = 19,9 %, plus de 60 ans = 18,2 %) ;

  • 53,2 % de femmes (0 à 14 ans = 18,7 %, 15 à 29 ans = 16,6 %, 30 à 44 ans = 19,2 %, 45 à 59 ans = 18,4 %, plus de 60 ans = 27,1 %).














































Pyramide des âges à Honfleur en 2007 en pourcentage[26]
Hommes Classe d’âge Femmes


0,5 

90  ans ou +

1,1 



5,8 

75 à 89 ans

12,4 



11,9 

60 à 74 ans

13,6 



19,9 

45 à 59 ans

18,4 



20,9 

30 à 44 ans

19,2 



19,7 

15 à 29 ans

16,6 



21,3 

0 à 14 ans

18,7 














































Pyramide des âges du département du Calvados en 2007 en pourcentage[27]
Hommes Classe d’âge Femmes


0,3 

90  ans ou +

1,1 



5,9 

75 à 89 ans

9,4 



12,3 

60 à 74 ans

13,7 



21,0 

45 à 59 ans

20,4 



20,5 

30 à 44 ans

19,2 



20,3 

15 à 29 ans

19,0 



19,7 

0 à 14 ans

17,3 




Écologie et environnement |


La ville de Honfleur a inauguré, le 5 novembre 2004, une nouvelle station d'épuration, qui utilise le procédé phytorestauration pour la dépollution.


La commune est une ville fleurie (quatre fleurs) au concours des villes et villages fleuris[28].



Économie |



  • Siège de la chambre de commerce et d'industrie du pays d'Auge, qui gère en partie le port de Honfleur et l'aéroport de Deauville - Saint-Gatien.

  • Tolsa (Espagne) : ensachage de litière pour chat.

  • Commerce : art, restauration, etc.

  • Tourisme.

  • La marque de prêt à porter Anne Fontaine a son siège.

  • Le village des marques (ouvert en 2017).



Patrimoine |


Article détaillé : Liste des monuments historiques de Honfleur.


La commune compte 57 monuments historiques, parmi lesquels l'église Sainte-Catherine, l'église Saint-Étienne, l'église Saint-Léonard, deux greniers à sel, la lieutenance et la plupart des maisons du quai Sainte-Catherine.



Vieux bassin |


Article détaillé : Vieux bassin de Honfleur.


Église Sainte-Catherine |


Article détaillé : Église Sainte-Catherine de Honfleur.

L'église Sainte-Catherine a été classée monument historique par liste de 1875[29].



Église Saint-Étienne |


Article détaillé : Église Saint-Étienne de Honfleur.

L'église Saint-Étienne a été classée monument historique par arrêté du 28 septembre 1932[30].


Ancienne église paroissiale de style gothique, en partie des XIVe et XVe siècles. C'est la plus ancienne de la cité. Elle est construite en pierre calcaire crayeuse avec silex et en pierre de Caen, la ville de Honfleur étant située à la limite de ces deux types de formations calcaires. Le clocher est recouvert d'un essentage en bois de châtaignier. De nos jours, elle abrite le musée de la Marine.



Église Saint-Léonard |


Article détaillé : Église Saint-Léonard de Honfleur.

L'église Saint-Léonard a été classée monument historique par arrêté du 15 janvier 1980[31].



Greniers à sel |


Article détaillé : Greniers à sel de Honfleur.

Deux greniers subsistent sur les trois d'origine, l'un ayant été détruit par un incendie. Ces deux édifices contenaient 10 000 tonnes de sel, destinées à conserver le poisson de ce port de pêche important. Ils furent construits au XVIIe siècle, après que les habitants de la ville en ont reçu l'autorisation de Colbert. Le sel provenait essentiellement de Brouage.
Les murs sont construits en gros moellons de calcaire crayeux et les charpentes de bois, construites par les charpentiers de marine évoquent des coques de vaisseaux du XVIIe siècle.


Ils ont été classés monuments historiques par arrêtés des 31 juillet et 6 décembre 1916[32].



Musées |




Dessin anonyme XIXe siècle. La route de Lisieux.




  • Musée Eugène-Boudin et son annexe consacrée à l'art religieux, dans le clocher de l'église Sainte-Catherine.


  • Maisons Satie.

  • Musées du Vieux Honfleur :

    • musée de la Marine (dans l'ancienne église Saint-Étienne) ;

    • musée d'Ethnographie et d'Art populaire (dans le manoir Vigneron).





Bateaux |



  • Le cotre Sainte-Bernadette, dernière chaloupe crevettière toujours en état de naviguer, appartenant à l'association loi de 1901, La chaloupe d'Honfleur. Il fait l'objet d'un classement à titre d'objet aux monuments historiques depuis le 18 octobre 1992.

  • Le sloop coquillier François Monique, construit en 1935 et restauré par l'association Petit Foc de Deauville-Trouville.



Autres monuments |



Chapelle Notre-Dame-de-Grâce |


Article détaillé : Chapelle Notre-Dame-de-Grâce d'Équemauville.




Chapelle Notre-Dame-de-Grâce, Pierre Ucciani (1910), Collection Ucciani.


Situé sur les hauteurs dominant la ville, mais sur le territoire d'Équemauville, cet édifice reconstruit à la suite de l'effondrement de la falaise abrite des ex-voto, maquettes de bateaux et un orgue réalisé par le facteur d'orgue Dupont en 1990[33]. À l'extérieur, on peut voir les cloches des pèlerinages.



Activité et manifestations |



Jumelages |




  • Drapeau du Royaume-Uni Sandwich (Royaume-Uni) depuis 1959.


  • Drapeau de l'Allemagne Wörth am Main (Allemagne) depuis 2006.


  • Drapeau du Québec Honfleur (Québec) depuis 2009.


  • Drapeau des États-Unis Burlington (États-Unis) depuis 2013.



Arts |


Honfleur héberge un grand nombre d'artistes peintres, d'ateliers d'artistes et de galeries d'art.




Sports |


Le Club sportif honfleurais fait évoluer une équipe de football en ligue de Basse-Normandie et deux autres en divisions de district[34].



Personnalités liées à la commune |



Naissances |




Eugène Boudin.





  • Jehan Denis (XVe siècle), explorateur et navigateur, découvreur de Terre-Neuve ;


  • Pierre Berthelot (1600-1638), marin, moine et « Bienheureux » ;


  • Alexandre Olivier Oexmelin (1646-?), médecin, flibustier et chroniqueur de la Flibuste ;


  • Jean Doublet (1655-1728), corsaire ;


  • Michel-Charles Le Cène (1684-1743), imprimeur et éditeur hollandais ;


  • Pierre-Ange Romain (1751-1785), aéronaute victime de la première catastrophe aérienne de l'Histoire avec son compagnon Jean-François Pilâtre de Rozier ;


  • François Pierre Chauvel (1766-1838), général de la Révolution et de l'Empire ;


  • Claude-Pascal Morel-Beaulieu (1765-1815), marin ;


  • Jacques Félix Emmanuel Hamelin (1768-1839), contre-amiral ;


  • Léonard Motard (1771-1852), contre-amiral


  • Eugène Boudin (1824-1898), peintre ;


  • Amédée Dumontpallier (1826-1899), médecin, membre de l'Académie de médecine, président de la Société d'hypnologie.


  • Ernest Henri Besnier (1831-1909) médecin, chef de la dermatologie française et inventeur de la biopsie ;


  • Charles Bréard (1839-1913) historien de Honfleur ;


  • Albert Sorel (1842-1906), historien, cofondateur de l'École des sciences politiques, académicien.


  • Henri Prentout (1850-1915), armateur du France II, plus grand voilier du monde ;


  • Alphonse Allais (1854-1905), écrivain et humoriste ;


  • Adolphe Marais (1856-1940), peintre animalier des XIXe et XXe siècles.


  • Georges Ruel (1860-1942), architecte ;


  • Henri de Régnier (1864-1936), écrivain, membre de l'Académie française ;


  • Erik Satie (1866-1925), compositeur et pianiste ;

  • Léon Pierre Louis Leclerc-Trotel (1866-1930), artiste peintre, fondateur du musée ethnographique Vieux Honfleur en 1896 et de l'école des marins de la Baie de Seine, conservateur du musée municipal jusqu'en 1930[35].

  • Raymond Pognon (1873-1959), un des auteurs du ralliement de la Nouvelle-Calédonie à la France libre le 19 septembre 1940, Compagnon de la Libération[36].


  • Lucie Delarue-Mardrus (1874-1945), poétesse ;


  • Jean Marie (1891-1983), président de la Compagnie générale transatlantique, concepteur des paquebots Normandie et France.


  • André Marie (1897-1974), homme politique, président du Conseil, ministre ;


  • Marcel Pinel (1908-1968), footballeur ;




  • Jean Dannet (1912-1997), artiste peintre ;


  • Jean Bassompierre (1914-1948), militaire et nationaliste ;


  • Marcel Caens (1919-2006), trompettiste ;


  • Gervais Leterreux (1930-2003), artiste peintre ;


  • Hugues R. Gall (né en 1940), directeur de l'Opéra de Paris ;


  • Denis Rivière (né en 1945), peintre français ;

  • Jean Orange (né en 1958), peintre français ;


  • Christophe Rocancourt (né en 1967), escroc ;


  • Sophie Mallebranche (née en 1976), artiste et designer textile.



Décès |




  • Jean-Baptiste Degaulle, qui y fut professeur d'hydrographie jusqu'à son décès en 1810.


  • Étienne-François de Sénovert (1753-1831), ingénieur militaire, général-major dans l'Empire russe, meurt à Honfleur.


  • Caroline Aupick, 1793-1871, mère de Charles Baudelaire y mourut.


  • Adolphe-Félix Cals (1810-1880), peintre.


  • Cécile Jubert, (1885-1979), artiste peintre, repose au cimetière de la ville.


  • Charles Pollaci (1907-1989), artiste peintre, repose au cimetière Sainte-Catherine.


  • Rob Goris, (1982-2012), coureur cycliste.



Autres |




Plaque commémorative des départs de Champlain dans le port de Honfleur.


par ordre chronologique



  • Samuel de Champlain (ca 1575-1635), explorateur, parti du port de Honfleur en 1603, fondateur de la ville de Québec.


  • Pierre de Chauvin (XVIIe siècle), marchand protestant de Honfleur (fin du XVIe siècle).


  • Paul Ernest Dupont (1816-1891), peintre, séjourne à Villers-sur-Mer et vient peindre à Honfleur[37],[38].


  • Charles Baudelaire (1821-1867), poète, séjourna régulièrement chez sa mère à partir de janvier 1859.


  • Jean Revel (1848-1925), écrivain normand et ami d'Albert Sorel, y étudia.


  • Pierre Ucciani (1851-1939), peintre corse, vient peindre à Trouville et Honfleur de 1902 à 1938 (il repose au cimetière de Cabourg)[39],[40].


  • Francis Warrain (1867-1940), philosophe, mathématicien et artiste, habitait à Vasouy, archiviste de la "Société du Vieux Honfleur", il est l’auteur de la statue de Pierre Berthelot qui orne l’église Sainte-Catherine de Honfleur.


  • Sacha Guitry (1885-1957), a épousé sa première femme, Charlotte Lysès, à Honfleur le 14 août 1907.


  • Pierre Hodé (1889-1942), artiste peintre né à Rouen, résida à Honfleur en 1924, y traitant le port et la Lieutenance par des toiles cubistes.


  • Henri Jeanson (1900-1970), y possédait le pavillon Louis-Philippe, où il vécut jusqu'à sa mort en 1970.


  • Lucien Coutaud (1904-1977), peintre qui posséda une propriété (Le Cheval de Brique) à Villerville de 1953 à 1977 et qui travailla et séjourna à Honfleur.


  • Jean Dries (1905-1973), peintre et conservateur du Musée Eugène Boudin.


  • Fernand Herbo (1905-1995), est un peintre de la Marine établi à Honfleur et qui a peint plusieurs centaines de tableaux sur la ville.


  • Jean Effel (1908-1982), dessinateur humoristique né à Paris; il habita la villa La Pige à Vasouy, où il passa six mois chaque année depuis 1951. Il est inhumé à Honfleur.

  • Georges Hersent (1925-2003), artiste peintre né au Havre. Il a vécu toute sa vie à Honfleur, où il fut peintre local pendant plus de 40 ans.


  • Michel Serrault (1928-2007), acteur français, habitait à Vasouy depuis 2001 et a été enterré au cimetière Sainte-Catherine de Honfleur avant d'être transféré en 2009 au cimetière de Neuilly.


  • Françoise Sagan (1935-2004), écrivain, possédait le manoir du Breuil à Équemauville et décéda à l'hôpital de Honfleur.


  • Jean-Louis Scherrer (1935-2013), couturier, résident secondaire à Vasouy[41].


  • France Gall (1947-2018), chanteuse, résidente secondaire[42].


  • Pascal Lecocq (1958), artiste peintre, présente son univers surréaliste dans son atelier-galerie de 1988 à 2000[43].



Honfleur dans les arts |



Cinéma |


De nombreux films ont été tournés en tout ou partie à Honfleur, notamment :




  • Les Trois Mousquetaires (1953), d'André Hunebelle, avec Georges Marchal et Bourvil


  • L'Homme à la Buick (1967), de Gilles Grangier, avec Fernandel et Danielle Darrieux


  • Les Malheurs d'Alfred (1971), de Pierre Richard, avec l'auteur


  • Nous ne vieillirons pas ensemble (1972), de Maurice Pialat, avec Marlène Jobert et Jean Yanne


  • Docteur Françoise Gailland (1975), de Jean-Louis Bertuccelli, avec Annie Girardot et Jean-Pierre Marielle


  • La Chambre verte (1977), de François Truffaut, avec l'auteur et Nathalie Baye


  • Tendre Poulet (1978), de Philippe de Broca, avec Annie Girardot et Philippe Noiret


  • Le Quatrième Pouvoir (1985), de Serge Leroy, avec Philippe Noiret et Nicole Garcia


Depuis 1995, chaque année fin novembre, Honfleur accueille le Festival du cinéma russe à Honfleur, il s'agirait du plus important festival français consacré au cinéma russe[44]. Des réalisateurs, producteurs ou acteurs des films en compétition y sont invités.



Musique |



  • Honfleur apparaît dans les paroles de la chanson Vesoul, écrite, composée et interprétée par Jacques Brel en 1968.


  • Charles Dumont (un des compositeurs d'Édith Piaf), a composé et interprété la chanson écrite par Sophie Makhno : Nuit blanche à Honfleur. Cette chanson a été écrite et composée dans les années 1970, à l'hôtel du Cheval Blanc à Honfleur.

  • Le chansonnier québécois (et artiste peintre) Pierre Calvé a écrit, composé, chanté et enregistré la chanson Honfleur au sein de l'album Aquarelles (2003).



Notes et références |



Notes |





  1. Population municipale 2015.


  2. Quitte à imaginer une influence de plusieurs étymons différents, il convient sans doute davantage de proposer l'ancien scandinave fljót « (grande) rivière, fleuve », qui aurait été influencé phonétiquement par flóð « flux, marée, flot » à l'origine du mot français flot au sens de « marée montante », ce terme plus spécialisé s'étant perpétué dans la langue courante, en outre, il semble que l'ancien français connaissait une forme fluet « fleuve, flot » attesté au milieu du XIIe siècle in CNRTL : étymologie de flot (1) [1]


  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2018, millésimée 2015, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2017, date de référence statistique : 1er janvier 2015.




Références |



  • Altitudes, coordonnées, superficie : répertoire géographique des communes 2012 (site de l'IGN, téléchargement du 24 octobre 2013)




  1. Distances routières les plus courtes selon Viamichelin.fr


  2. « Géoportail (IGN), couche « Limites Administratives » activée »


  3. Jean Adigard des Gautries, « Les noms de lieux du Calvados attestés entre 911 et 1066 (suite) » in Annales de Normandie, 1953, Volume 3, Numéro 3-1, p. 26 (lire en ligne) [2]


  4. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France. 2. Formations non-romanes…, Volume 2, Librairie Droz, Genève 1991. p. 1012 / 18239


  5. René Lepelley, Dictionnaire étymologique des noms de communes de Normandie, Presses universitaires de Caen / éditions Charles Corlet 1993, p. 58.


  6. François de Beaurepaire, Les noms des communes et anciennes paroisses de la Manche, éditions Picard, 1986, p. 46 et 74.


  7. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologiques des noms de lieux en France, éditions Larousse, 1968, p. 354.


  8. a b et cDominique Fournier, Dictionnaire des noms de rues et noms de lieux de Honfleur, éditions de la Lieutenance, Honfleur, 2006. p. 124-125.


  9. T. F. Hoad, English Etymology, Oxford University Press 1993. p. 174.


  10. Origine du nom Húnn (Anglais)


  11. René Lepelley, op. cit., p. 148.


  12. François de Beaurepaire, Op. cit. p. 74 - 75-166.


  13. Jean Renaud, Les vikings et la Normandie, éditions Ouest-France université, 1989, p. 168.


  14. Aujourd'hui les villes de Sandwich et de Honfleur sont jumelées.


  15. Pierre Miquel, Les Guerres de Religion, Paris, Club France Loisirs, 1980(ISBN 2-7242-0785-8). p. 368.


  16. Le départ en 1503 de Binot Paulmier de Gonneville de Honfleur jusqu'aux côtes du Brésil, ainsi que sa découverte des terres australes est un récit purement mythique.


  17. « Histoire de la Brigade Piron - Campagne de Normandie » (consulté le 9 novembre 2011).


  18. « GASO, la banque du blason - Honfleur Calvados » (consulté le 27 mars 2013)


  19. Réélection 2014 : « Ouest-france.fr - Municipales à Honfleur. La nouvelle équipe municipale s'est installé » (consulté le 29 mars 2014)


  20. « Conseil-général-info.com - Liste des conseillers généraux du Calvados » (consulté le 7 mars 2009)


  21. « Honfleur - Le nouveau conseil municipal est installé », sur Le Pays d'Auge.fr (consulté le 6 avril 2014)


  22. L'organisation du recensement, sur le site de l'Insee.


  23. Calendrier départemental des recensements, sur le site de l'Insee


  24. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.


  25. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014 et 2015.



  26. « Évolution et structure de la population à Honfleur en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le 21 novembre 2010)




  27. « Résultats du recensement de la population du Calvados en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le 21 novembre 2010)



  28. « Palmarès du concours des villes et villages fleuris » (consulté le 7 octobre 2013)


  29. Notice no PA00111390, base Mérimée, ministère français de la Culture.


  30. Notice no PA00111391, base Mérimée, ministère français de la Culture.


  31. Notice no PA00111392, base Mérimée, ministère français de la Culture.


  32. Notice no PA00111393, base Mérimée, ministère français de la Culture.


  33. Honfleur, église Notre-Dame-de-Grâce, Orgue Dupont (1990).


  34. « Site officiel de la Ligue Basse-Normandie – CS Honfleur » (consulté le 7 octobre 2013).


  35. « Léon Leclerc, mémoire oubliée de Honfleur », Ouest-France.fr, {{Article}} : paramètre « date » manquant (lire en ligne)


  36. Fiche biographique sur le site de l'Ordre de la Libération[3]


  37. "Pays d'Auge", Septembre/Octobre 2012, 62e année, no 5 (ISSN 1149-3305)


  38. "Programme des expositions 2014 - Le Villare - Villers-sur-Mer - Paul Ernest Dupont"


  39. "Pays d'Auge", Septembre/Octobre 2012, 62e année, no 5. (ISSN 1149-3305)


  40. "Programme des expositions 2014 - Le Villare - Villers sur mer - Pierre Ucciani".


  41. « Jean-Louis Scherrer habitait Vasouy », Ouest-France, éd. Pays d'Auge, 21 juin 2013.


  42. « France Gall électrice à Honfleur », Dimanche Ouest-France, 22 décembre 2013.


  43. « Les décors de l'Opéra signés par un artiste honfleurais » Le Pays d’Auge, 23 novembre 1990 –


  44. Mathieu Girard, « Calvados. Festival du cinéma russe, à Honfleur. Stéphane Freiss et Mylène Demongeot attendus », sur normandie-actu.fr, 17 novembre 2015(consulté le 22 novembre 2015).




Voir aussi |



Bibliographie complémentaire |




  • Pierre Philippe Urbain Thomas, Histoire de la ville de Honfleur, 1840

  • Élizabeth Noël Le Coutour, Le Honfleurais aux sept naufrages, Jean Doublet, L'Harmattan 1996 (ISBN 2-7384-4745-7)

  • Pierre Boiteau (Piboi)


    • Honfleur et son canton au quotidien (1939-1945), tome I, préface de Claude Dulong, La Lieutenance, 2000 (ISBN 978-2-91-204407-5)


    • Honfleur et son canton au quotidien (1939-1945), tome II, La Lieutenance, 2001 (ISBN 978-2-91-204408-2)


    • Votez Démarais ?, La Lieutenance, 2001 (ISBN 978-2-86-743399-3)


    • La Fête des Marins à Honfleur des origines à nos jours, éditions de la Lieutenance (collection "Les carnets d'Honfleur"), Honfleur, 2011 (ISBN 2-912044-20-0)



  • Dominique Bougerie, Honfleur et les Honfleurais : cinq siècles d'histoires, cinq tomes, Honfleur, 2002-2009

  • Dominique Bougerie, Honfleur, terre d'élection d'une littérature normande, deux tomes, Honfleur, 2005-2007


  • Honfleur - La Ville de nos Rêves, Halwart Schrader, (ISBN 978-2-911870-17-0)



Articles connexes |



  • Liste des communes du Calvados

  • Côte Fleurie

  • Vasouy



Liens externes |


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  • Honfleur sur le site de la communauté de communes


  • (mul) Office de tourisme de Honfleur

  • Résumé statistique de Honfleur sur le site de l'Insee

  • « Œuvres architecturales à Honfleur », base Mérimée, ministère français de la Culture

  • « Œuvres mobilières à Honfleur », base Palissy, ministère français de la Culture

  • Lavergne, Claudius (1814-1887) : Notice historique sur la chapelle de Notre-Dame-de-Grâce de Honfleur (1865)




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