Amstel Gold Race






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Amstel Gold Race



Description de l'image Logo Amstel Gold Race.svg.

















































Généralités
Sport
Cyclisme sur route
Création
1966
Éditions
53 (en 2018)
Catégorie
UCI World Tour
Type / Format
Classique ardennaise
Périodicité
Annuelle (avril)
Lieu(x)
Drapeau des Pays-Bas Pays-Bas
Flag of Limburg.svg Limbourg
Participants
175 (en 2018)
Statut des participants
Professionnel
Directeur
Leo van Vliet
Site web officiel
www.amstelgoldrace.nl


















Palmarès
Tenant du titre
Drapeau : Danemark Michael Valgren
Plus titré(s)
Drapeau : Pays-Bas Jan Raas
(5 victoires)



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Pour la dernière compétition voir :
Amstel Gold Race 2018





L'Amstel Gold Race est une course cycliste d'un jour créée en 1966 et patronnée par la marque de bière Amstel[n 1]. Elle parcourt le sud de la province du Limbourg aux environs de Maastricht, ainsi que parfois la Belgique voisine. Les principales difficultés se trouvent à la Montagne Saint-Pierre et à Fauquemont-sur-Gueule (Valkenburg). Depuis 2003, l'arrivée de la course se situe au sommet du Cauberg.


Entre 1989 et 2004, cette course est inscrite au calendrier de la Coupe du monde, puis elle fait partie du ProTour entre 2005 et 2010 avant d'intégrer le calendrier UCI World Tour en 2011. C'est la première des classiques ardennaises, se déroulant avant la Flèche wallonne et Liège-Bastogne-Liège. Elle sert traditionnellement de passage de relais au cours des classiques printanières, entre les flandriens, spécialistes des courses avec des secteurs pavés et les puncheurs-grimpeurs.


Seule course d'un jour de niveau World Tour organisée aux Pays-Bas, elle est considérée comme l'épreuve la plus importante du calendrier sur route néerlandais[n 2],[1]. Le Néerlandais Jan Raas détient le record de succès avec cinq victoires. Une course féminine, également World Tour, est organisée le même jour.




Sommaire






  • 1 Histoire


    • 1.1 La première édition


    • 1.2 En quête d'identité


    • 1.3 Déplacement vers Maastricht


    • 1.4 L'arrivée au Cauberg


    • 1.5 Nouvelle arrivée




  • 2 Parcours


    • 2.1 Course actuelle


    • 2.2 Changements de parcours




  • 3 Caractéristiques de l'épreuve


    • 3.1 Semaine ardennaise


    • 3.2 Côtes


    • 3.3 Nervosité de la course




  • 4 Palmarès


  • 5 Statistiques


    • 5.1 Multiples vainqueurs


    • 5.2 Victoires par pays




  • 6 Course féminine


  • 7 Cyclotour Gold Race


  • 8 Notes et références


    • 8.1 Notes


    • 8.2 Références




  • 9 Liens externes





Histoire |



La première édition |


L'Amstel Gold Race est créée par les promoteurs sportifs néerlandais Ton Vissers et Herman Krott, qui dirigent une société appelée Inter Sport[n 3][n 4]. Leur rêve est de créer une classique néerlandaise capable de rivaliser avec les classiques « Monuments » belges et italiennes[2]. La première édition est prévue pour le 30 avril 1966, jour de la fête nationale des Pays-Bas. Le plan initial est de commencer la course à Amsterdam, puis de se diriger à l'est du pays pour terminer la course à Maastricht, dans le sud-est du pays, sur un total de 280 km[n 5].


Cependant, de nombreux problèmes apparaissent[2]. Krott et Vissers n'ont pas pris en compte les nombreux cours d'eau le long du parcours et ils ont mal calculé les détours nécessaires pour les franchir, ce qui rend la distance réelle beaucoup plus longue que 280 km. De nouvelles villes départ sont envisagées comme Utrecht, puis Rotterdam, tandis que l'arrivée est déplacée dans le petit village de Meerssen dans le Limbourg. Cependant, moins de trois semaines avant le début, les organisateurs réalisent qu'ils n'ont pas obtenu la permission de traverser le pont de Moerdijk (en), la seule façon de quitter Rotterdam au sud. Le parcours doit de nouveau être redessiné et le départ est déplacé plus au sud, à Breda. En plus de tout cela, les militants hippies de Provo ont déclaré les Pays-Bas comme un état d'anarchie en 1966[n 6]. Les autorités craignent qu'une course organisée le jour de la célébration de la famille royale cause de possibles soulèvements.





Jean Stablinski remporte la première Amstel Gold Race en 1966.


Quatre jours avant la date prévue, Vissers et Krott abandonnent l'idée d'organiser la course et tiennent une conférence de presse, lorsque le ministère des routes néerlandaises à La Haye appelle pour dire que la course peut se tenir, à condition qu'elle n'ait plus jamais lieu lors du jour du Roi[2].


Le samedi 30 avril 1966, la première Amstel Gold Race se déroule entre Breda et Meerssen, sans incidents graves[2]. Trois coureurs de l'équipe Ford France sprintent pour la victoire. Le Néerlandais Jan Hugens subit un problème mécanique dans les derniers mètres et est battu par le Français Jean Stablinski qui s'adjuge la première édition[2]. Tracée sur 302 km, il s'agit de la plus longue édition de l'histoire de la course. Sur les 120 coureurs au départ, 30 terminent la course. En dépit de son intention initiale, l'Amstel Gold Race n'a jamais commencé à Amsterdam, Rotterdam ou Utrecht, les trois plus grandes villes du pays[n 7].



En quête d'identité |


En 1967, l'emplacement du départ est déplacé à Helmond, en face du siège de l'Amstel, le sponsor principal de la course. La distance est réduite à 213 km. Arie den Hartog remporte la deuxième édition, en devenant le premier vainqueur néerlandais. En 1968, la course a lieu le 21 septembre à cause d'un conflit de calendrier. C'est la seule fois où l'Amstel Gold Race est organisée à l'automne. Le Néerlandais Harry Steevens gagne la course sur une distance de 254 km.


En 1969, la course est à nouveau déplacée en avril. Guido Reybrouck s'adjuge la quatrième édition, la première d'une série de victoires belges. La course est sévèrement affectée par la neige et la grêle, forçant de nombreux coureurs à abandonner en raison d'hypothermie[2].


En tant que jeune course, l'Amstel Gold Race lutte pour trouver sa place dans le calendrier international, entre les classiques pavées beaucoup plus anciennes et les classiques ardennaises. Elle a des difficultés pour attirer les meilleurs coureurs. Durant plusieurs années, le meilleur coureur Eddy Merckx ne participe pas à l'épreuve parce que les organisateurs ne peuvent pas payer ses frais de départ. En 1973, le directeur de course Herman Krott accepte de payer une somme considérable à l'équipe de Merckx, à condition qu'il gagne la course. Merckx prend le départ et remporte l'Amstel Gold Race avec plus de trois minutes d'avance sur le deuxième[2]. Deux ans plus tard, il devient le premier coureur à remporter l'épreuve une deuxième fois.


À la fin des années 1970, le Néerlandais Jan Raas remporte l'Amstel Gold Race un record de cinq fois (en six ans), dont quatre consécutives. Raas peut compter sur sa pointe de vitesse pour s'imposer au sprint, mais il remporte également deux victoires en solitaire. Les médias néerlandais surnomment alors la course l'« Amstel Gold Raas ». En 1983, l'Australien Phil Anderson devient le premier vainqueur non-européen[3].





Michael Boogerd compte cinq podiums et une victoire sur son épreuve nationale.



Déplacement vers Maastricht |


En 1991, l'arrivée de l'Amstel Gold Race est déplacée vers Maastricht, le chef-lieu du Limbourg. Depuis 1998, Maastricht est également le lieu de l'arrivée. Le caractère propre de la course devient de plus en plus défini par la zone des côtes dans le sud de la province. Entre 1992 et 2015, seuls deux coureurs néerlandais, Michael Boogerd et Erik Dekker, remportent la course. Ils s'imposent à chaque fois lors d'un sprint à deux face à l'Américain Lance Armstrong à Maastricht, respectivement en 1999 et 2001[4],[5],[6]. Lors de l'édition 2001, seuls 37 coureurs sur les 190 au départ terminent la course, le plus petit nombre des temps modernes[7]. Avant sa disqualification pour dopage[8], Boogerd, partageait le record de sept podiums avec Jan Raas, après avoir obtenu une victoire, quatre deuxièmes places, deux troisièmes places et plusieurs autres top 10.



L'arrivée au Cauberg |


De 2003 à 2012, l'arrivée est déplacée peu après le sommet de la montée du Cauberg à Fauquemont-sur-Gueule. Alexandre Vinokourov remporte la première édition avec cette arrivée en côte, grâce à une attaque avant le Cauberg[9]. En 2013, l'arrivée est déplacée de 1,8 km après le sommet du Cauberg, près du centre de Fauquemont, sur une dernière ligne droite essentiellement plate[10]. Le coureur avec le plus de succès au cours des dernières années est le spécialiste des classiques Philippe Gilbert. Le Belge remporte la course à quatre reprises dans les années 2010, en fondant ses victoires sur des attaques puissantes et décisives sur le Cauberg[11]. En 2015, le Polonais Michał Kwiatkowski devient le premier champion du monde à remporter la course depuis Bernard Hinault en 1981[12],[13],[14].





Steffen Wesemann sur l'Eyserbosweg en 2006.



Nouvelle arrivée |


En 2017, les organisateurs de la course déplacent l'arrivée pour que la dernière ascension du Cauberg soit située à 19 kilomètres de l'arrivée, dans l'espoir d'une course "plus ouverte"[15]. Cette édition s'avère être l'une des plus animées des dernières années et est remportée pour la quatrième fois par Philippe Gilbert lors d'un sprint à deux avec Michał Kwiatkowski.



Parcours |


Bien que les Pays-Bas soient connus pour leur météo venteuse et leurs routes plates, l'Amstel Gold Race se déroule au sud dans la région vallonnée du Limbourg. Le parcours offre de nombreuses routes tortueuses à travers la campagne du Limbourg, ainsi que de nombreux changements de direction plus abrupts les uns que les autres et de nombreuses côtes (bergs)[1]. La montée la plus notable est le Cauberg, qui est franchie quatre fois, la dernière fois dans le final de l'épreuve[16]. La distance totale est de 250 km. Les tactiques des équipes, le placement et les connaissances du parcours jouent souvent un rôle essentiel dans la détermination du vainqueur de la course.



Course actuelle |




Parcours de l'édition 2012


Le départ de l'Amstel Gold Race est donné à Maastricht et l'arrivée est jugée à Berg en Terblijt après 263 kilomètres de course[17],[18]. Le parcours est formé par quatre boucles sinueuses autour de Fauquemont. Seule la dernière boucle, longue de 16 km, est modifiée afin d'emprunter des routes plus étroites. Les organisateurs entendent ainsi rendre le final plus difficile à contrôler par un peloton[18],[19]. Maastricht et la commune de Fauquemont-sur-Gueule accueillent le départ et l'arrivée de la course respectivement depuis 1998 et 2003. Toutes deux se sont engagées en début d'année avec l'organisation de la course pour continuer à l'accueillir jusqu'en 2022[20].


Le parcours comprend 35 côtes en général relativement courtes, mais dont la pente et la répétition font la difficulté de la course[18]. Alors que de 2003 à 2016 l'arrivée était jugée au Cauberg, celui-ci n'est plus, depuis 2017, la dernière côte franchie. Il est néanmoins emprunté à trois reprises, la dernière étant l'antépénultième côte de la course, suivie du Geulhemmerberg et du Bemelerberg (nl). Cette dernière difficulté est située à 7 km de l'arrivée[18].



Changements de parcours |


















































Évolution des villes de départ et d'arrivée
Année
Départ
Arrivée
1966 Breda
Meerssen
1967 Helmond Meerssen
1968 Helmond
Elsloo
1969-1970 Helmond Meerssen
1971-1990 Heerlen Meerssen
1991-1997 Heerlen
Maastricht
1998-2002 Maastricht Maastricht
Depuis 2003 Maastricht
Fauquemont

Bien que la course soit plus jeune que beaucoup d'autres classiques cyclistes, le parcours a considérablement changé au fil des ans. La première édition de la course part de Breda dans le Brabant-Septentrional, mais rapidement se rapproche de la région vallonnée. De 1971 à 1997, le départ est donné à Heerlen. Depuis 1998, la course commence sur la place du marché central de Maastricht Inner City.


Depuis 2005, la course se déroule entièrement dans les limites du Limbourg. Les éditions précédentes avaient couvert des parties importantes de Liège en Belgique, abordant la Côte de Hallembaye, destinée à provoquer une plus grande sélection.


De 1991 à 2002, la course se termine à Maastricht. L'arrivée a lieu sur le Maasboulevard, sur une fin de parcours plate. En 2001, le spécialiste du sprint Erik Zabel remporte la course devant un groupe de 20 coureurs.


De 2003 à 2012, l'arrivée est au sommet de la montée du Cauberg, dans la commune de Valkenburg (Fauquemont-sur-Gueule), près de Maastricht. L'arrivée est remaniée en 2013 pour être déplacée à l'ouest, au hameau de Berg en Terblijt, à 1,8 kilomètre du sommet du Cauberg. L'arrivée modifiée reflète l'emplacement utilisé pour les championnats du monde de cyclisme sur route 2012 à Fauquemont[21].


À partir de 2017, l'emplacement de la ligne d'arrivée n'est pas modifié, mais son approche dans l'ultime boucle diffère. La montée finale du Cauberg est abandonnée, après avoir été la dernière montée de la course pendant 14 ans. Néanmoins, le Cauberg, le passage le plus difficile et emblématique, est abordé trois fois pendant la course. La troisième traversée est situé à 18 kilomètres de l'arrivée et est suivie par le Geulhemmerberg à 13 kilomètres et le Bemelerberg à 7 kilomètres de l'arrivée.



Caractéristiques de l'épreuve |



Semaine ardennaise |


Article connexe : Classiques ardennaises.

Bien que l'emplacement de la course dans le Limbourg ne fasse pas partie des Ardennes, ni géographiquement, ni géologiquement, l'Amstel Gold Race est souvent considérée comme la course d'ouverture de la Semaine des Ardennes[22]. En 2004, l'Amstel Gold Race a inversé sa position dans le calendrier international avec Liège-Bastogne-Liège[23]. Depuis, la course a lieu le dimanche suivant Paris-Roubaix (classique pavée) et avant la Flèche Wallonne (classique ardennaise) qui a lieu le mercredi suivant.




Vue de l'Oud-Lemiers, près de Vaals, dans le sud-est du Limbourg.


Jusqu'en 2002, l'arrivée de l'Amstel Gold Race a lieu sur une route plate et est souvent remportée par des coureurs excellant dans les classiques pavées, notamment le Tour des Flandres. Au cours des dernières décennies, les organisateurs ont choisi de mettre l'accent de la course sur les côtes et la nature de la course a changé. Le peloton est généralement constitué des mêmes coureurs durant les classiques ardennaises : des coureurs de classiques avec des capacités de grimpeur suffisantes et même des spécialistes de grand tour.


Les collines néerlandaises, dans l'extrême sud du Limbourg, sont l'unique région vallonnée des Pays-Bas. Ces côtes ont été formées par les contreforts des Ardennes voisines et l'Eifel. Les côtes définissent le caractère de la course : elles sont plus courtes et pas aussi élevé que dans les Ardennes, mais sont beaucoup plus nombreuses que dans Liège-Bastogne-Liège. Le point le plus élevé de la course est le Vaalserberg, situé à 322,7 mètres au-dessus du niveau de la mer. Le sommet du Cauberg est à 133,7 mètres d'altitude.



Côtes |





Philippe Gilbert attaquant sur le Cauberg lors du final des mondiaux 2012.


Le parcours actuel comprend plus de 30 courtes ascensions qui se succèdent au fur et à mesure que la course progresse, ce qui signifie que les coureurs ont peu de temps pour récupérer entre les côtes. 25 ascensions sont placées dans les 165 derniers kilomètres de la course, dont huit dans les 45 derniers kilomètres. Les plus difficiles sont le Cauberg, le Keutenberg et l'Eyserbosweg (nl). Certaines montées très raides atteignent une pente maximale à 22 % (Keutenberg), d'autres sont beaucoup moins pentues. Contrairement aux monts pavées du Tour des Flandres, toutes les côtes du Limbourg sont asphaltées de nos jours[24].


Pour tenter d'expliquer la difficulté du parcours, le journaliste Peter Easton évoque les calculs d'un mathématicien :



« ... appliquer une logique pour vaincre un sentiment d'incompréhension est la clé pour comprendre cette course. Et il y a la vérité dans les chiffres. Six des ascensions sont placées dans les 92 premiers kilomètres - soit une toutes les 15,2 kilomètres. Les 25 restantes viennent au cours des 165 derniers kilomètres. C'est une tous les 6,6 kilomètres. En allant plus loin, la dernière heure de course contient huit ascensions sur 42 kilomètres. Maintenant, nous en sommes à une tous les 5,25 kilomètres. À 40 km/h, c'est une toutes les 7 minutes 30 secondes. Pas vraiment drôle, et définitivement très intense[25]. »



Les côtes de l'Amstel Gold Race 2016 sont les suivantes[26] :



























































































































































































































































































Numéro
Nom
Distance du départ (km)
Longueur (m)
Pente moyenne (%)
Pente maximale (%)
1
Slingerberg
9.4
900
4,4 %
9,5 %
2
Adsteeg
14.1
700
4,3 %
7,5 %
3
Lange Raarberg
22.3
1700
3,7 %
6,6 %
4
Bergseweg
38.0
2700
3,3 %
6,8 %
5
Sibbergrubbe (1)
49.7
2100
3,6 %
6,0 %
6

Cauberg (1)
54.1
800
6,5 %
12,8 %
7

Geulhemmerberg (1)
58.6
1200
4,6 %
8,0 %
8
Wolfsberg
78.1
1200
2,8 %
12,0 %
9
Loorberg (1)
81.2
1500
5,3 %
8,6 %
10
Schweibergerweg
92.5
2700
4,5 %
7,1 %
11
Camerig
98.9
4400
4,0 %
7,7 %
12

Vaalserberg
109.5
3200
4,4 %
9,9 %
13
Gemmenich
114.0
2200
5,0 %
8,8 %
14
Vijlenerbos
117.8
2700
3,8 %
10,7 %
15
Eperheide
126.5
2100
4,7 %
8,0 %
16
Gulpenerberg (1)
135.1
600
5,7 %
13,9 %
17
Plettenberg
141.6
1200
3,7 %
8,0 %
18
Eyserweg
143.7
2100
4,4 %
9,0 %
19
Huls
148.2
900
7,8 %
10,7 %
20
Vrakelberg
153.5
600
7,2 %
11,4 %
21
Sibbergrubbe
161.2
2100
3,6 %
6,0 %
22

Cauberg (2)
165.5
800
6,5 %
12,8 %
23

Geulhemmerberg (2)
170.2
1200
4,6 %
8,0 %
24
Bemelerberg (1)
182.9
900
4,5 %
7,0 %
25
Loorberg (2)
198.2
1500
5,3 %
8,6 %
26
Gulpenerberg (2)
207.7
600
5,7 %
13,9 %
27

Kruisberg
216.7
600
8,8 %
15,5 %
28
Eyserbosweg
218.6
900
9,3 %
17,0 %
29
Fromberg
222.4
1600
3,6 %
8,0 %
30

Keutenberg
226.9
1200
5,9 %
22,0 %
31

Cauberg (3)
236.9
800
6,5 %
12,8 %
32

Geulhemmerberg (3)
241.5
1200
4,6 %
8,0 %
33
Bemelerberg (2)
251.0
900
4,5 %
7,0 %
34

Cauberg (4)
256.2
800
6,5 %
12,8 %


Nervosité de la course |


L'Amstel Gold Race est la plus grande course professionnelle des Pays-Bas, mais est souvent critiquée pour la dangerosité de son parcours[27]. Le parcours est tracé sur des routes étroites, à travers banlieues et villages souvent densément peuplées. En raison de la forte densité de population, de nombreuses maisons néerlandaises ne disposent pas de garages et les voitures sont le plus souvent garées à gauche dans la rue. Une grande partie du parcours est urbain, avec beaucoup de dispositifs d'apaisement de la circulation tels que des ralentisseurs, des bollards, des chicanes, des îlots et des ronds-points, ce qui incite le Britannique Robert Millar à surnommer la course « Tour of the Roundabouts », le Tour des ronds-points[28]. Les chutes y sont très nombreuses[29],[30],[31].



Palmarès |










































































































































































































































































































































Année
Vainqueur
Deuxième
Troisième

1966

Drapeau : France Jean Stablinski

Drapeau : Belgique Bernard Van De Kerckhove

Drapeau : Pays-Bas Jan Hugens

1967

Drapeau : Pays-Bas Arie den Hartog

Drapeau : Pays-Bas Cees Lute

Drapeau : Pays-Bas Harry Steevens

1968

Drapeau : Pays-Bas Harry Steevens

Drapeau : Belgique Roger Rosiers

Drapeau : Belgique Daniel Van Rijckeghem

1969

Drapeau : Belgique Guido Reybrouck

Drapeau : Belgique Joseph Huysmans

Drapeau : Belgique Eddy Merckx

1970

Drapeau : Belgique Georges Pintens

Drapeau : Belgique Willy Van Neste

Drapeau : Belgique André Dierickx

1971

Drapeau : Belgique Frans Verbeeck

Drapeau : Pays-Bas Gerben Karstens

Drapeau : Belgique Roger Rosiers

1972

Drapeau : Belgique Walter Planckaert

Drapeau : Belgique Willy De Geest

Drapeau : Pays-Bas Joop Zoetemelk

1973

Drapeau : Belgique Eddy Merckx

Drapeau : Belgique Frans Verbeeck

Drapeau : Belgique Herman Van Springel

1974

Drapeau : Pays-Bas Gerrie Knetemann

Drapeau : Belgique Walter Planckaert

Drapeau : Belgique Walter Godefroot

1975

Drapeau : Belgique Eddy Merckx

Drapeau : Belgique Freddy Maertens

Drapeau : Belgique Joseph Bruyère

1976

Drapeau : Belgique Freddy Maertens

Drapeau : Pays-Bas Jan Raas

Drapeau : Belgique Luc Leman

1977

Drapeau : Pays-Bas Jan Raas

Drapeau : Pays-Bas Gerrie Knetemann

Drapeau : Pays-Bas Hennie Kuiper

1978

Drapeau : Pays-Bas Jan Raas

Drapeau : Italie Francesco Moser

Drapeau : Pays-Bas Joop Zoetemelk

1979

Drapeau : Pays-Bas Jan Raas

Drapeau : Pays-Bas Henk Lubberding

Drapeau : Suède Sven-Åke Nilsson

1980

Drapeau : Pays-Bas Jan Raas

Drapeau : Belgique Fons De Wolf

Drapeau : Irlande Seán Kelly

1981

Drapeau : France Bernard Hinault

Drapeau : Belgique Roger De Vlaeminck

Drapeau : Belgique Fons De Wolf

1982

Drapeau : Pays-Bas Jan Raas

Drapeau : Irlande Stephen Roche

Drapeau : Allemagne Gregor Braun

1983

Drapeau : Australie Phil Anderson

Drapeau : Belgique Jan Bogaert

Drapeau : Pays-Bas Jan Raas

1984

Drapeau : Pays-Bas Jacques Hanegraaf

Drapeau : Danemark Kim Andersen

Drapeau : Belgique Patrick Versluys

1985

Drapeau : Pays-Bas Gerrie Knetemann

Drapeau : Belgique Jozef Lieckens

Drapeau : Pays-Bas Johnny Broers

1986

Drapeau : Pays-Bas Steven Rooks

Drapeau : Pays-Bas Joop Zoetemelk

Drapeau : Belgique Ronny Van Holen

1987

Drapeau : Pays-Bas Joop Zoetemelk

Drapeau : Pays-Bas Steven Rooks

Drapeau : Royaume-Uni Malcolm Elliott

1988

Drapeau : Pays-Bas Jelle Nijdam

Drapeau : Pays-Bas Steven Rooks

Drapeau : Belgique Claude Criquielion

1989

Drapeau : Belgique Eric Van Lancker

Drapeau : Belgique Claude Criquielion

Drapeau : Canada Steve Bauer

1990

Drapeau : Pays-Bas Adrie van der Poel

Drapeau : Belgique Luc Roosen

Drapeau : Pays-Bas Jelle Nijdam

1991

Drapeau : Pays-Bas Frans Maassen

Drapeau : Italie Maurizio Fondriest

Drapeau : Belgique Dirk De Wolf

1992

Drapeau : Allemagne Olaf Ludwig

Drapeau : Belgique Johan Museeuw

Drapeau : Russie Dimitri Konyshev

1993

Drapeau : Suisse Rolf Jaermann

Drapeau : Italie Gianni Bugno

Drapeau : Allemagne Jens Heppner

1994

Drapeau : Belgique Johan Museeuw

Drapeau : Italie Bruno Cenghialta

Drapeau : Italie Marco Saligari

1995

Drapeau : Suisse Mauro Gianetti

Drapeau : Italie Davide Cassani

Drapeau : Suisse Beat Zberg

1996

Drapeau : Italie Stefano Zanini

Drapeau : Italie Mauro Bettin

Drapeau : Belgique Johan Museeuw

1997

Drapeau : Danemark Bjarne Riis

Drapeau : Italie Andre Tafi

Drapeau : Suisse Beat Zberg

1998

Drapeau : Suisse Rolf Jaermann

Drapeau : Pays-Bas Maarten den Bakker

Drapeau : Italie Michele Bartoli

1999

Drapeau : Pays-Bas Michael Boogerd
désattribué[n 8]

Drapeau : Italie Gabriele Missaglia

2000

Drapeau : Allemagne Erik Zabel

Drapeau : Pays-Bas Michael Boogerd

Drapeau : Suisse Markus Zberg

2001

Drapeau : Pays-Bas Erik Dekker
désattribué[n 8]

Drapeau : Belgique Serge Baguet

2002

Drapeau : Italie Michele Bartoli

Drapeau : Russie Serguei Ivanov

Drapeau : Pays-Bas Michael Boogerd

2003

Drapeau : Kazakhstan Alexandre Vinokourov

Drapeau : Pays-Bas Michael Boogerd

Drapeau : Italie Danilo Di Luca

2004

Drapeau : Italie Davide Rebellin

Drapeau : Pays-Bas Michael Boogerd

Drapeau : Italie Paolo Bettini

2005

Drapeau : Italie Danilo Di Luca
désattribué[8]

Drapeau : Italie Mirko Celestino

2006

Drapeau : Luxembourg Fränk Schleck

Drapeau : Suisse Steffen Wesemann
désattribué[8]

2007

Drapeau : Allemagne Stefan Schumacher

Drapeau : Italie Davide Rebellin

Drapeau : Italie Danilo Di Luca

2008

Drapeau : Italie Damiano Cunego

Drapeau : Luxembourg Fränk Schleck

Drapeau : Espagne Alejandro Valverde

2009

Drapeau : Russie Sergueï Ivanov

Drapeau : Pays-Bas Karsten Kroon

Drapeau : Pays-Bas Robert Gesink

2010

Drapeau : Belgique Philippe Gilbert

Drapeau : Canada Ryder Hesjedal

Drapeau : Italie Enrico Gasparotto

2011

Drapeau : Belgique Philippe Gilbert

Drapeau : Espagne Joaquim Rodríguez

Drapeau : Australie Simon Gerrans

2012

Drapeau : Italie Enrico Gasparotto

Drapeau : Belgique Jelle Vanendert

Drapeau : Slovaquie Peter Sagan

2013

Drapeau : République tchèque Roman Kreuziger

Drapeau : Espagne Alejandro Valverde

Drapeau : Australie Simon Gerrans

2014

Drapeau : Belgique Philippe Gilbert

Drapeau : Belgique Jelle Vanendert

Drapeau : Australie Simon Gerrans

2015

Drapeau : Pologne Michał Kwiatkowski

Drapeau : Espagne Alejandro Valverde

Drapeau : Australie Michael Matthews

2016

Drapeau : Italie Enrico Gasparotto

Drapeau : Danemark Michael Valgren

Drapeau : Italie Sonny Colbrelli

2017

Drapeau : Belgique Philippe Gilbert

Drapeau : Pologne Michał Kwiatkowski

Drapeau : Suisse Michael Albasini

2018

Drapeau : Danemark Michael Valgren

Drapeau : République tchèque Roman Kreuziger

Drapeau : Italie Enrico Gasparotto




Eddy Merckx, avec le maillot arc-en-ciel, sur le podium après sa victoire lors de l'Amstel Gold Race 1975.




Le recordman de victoires Jan Raas s'est imposé à cinq reprises sur l'épreuve.




Statistiques |




Multiples vainqueurs |



































# Coureurs Victoires
1.

Drapeau : Pays-Bas Jan Raas
5
2.

Drapeau : Belgique Philippe Gilbert
4
3

Drapeau : Belgique Eddy Merckx
2

Drapeau : Pays-Bas Gerrie Knetemann
2

Drapeau : Suisse Rolf Jaermann
2

Drapeau : Italie Enrico Gasparotto
2


Victoires par pays |









































































# Pays Victoires
1

Drapeau des Pays-Bas Pays-Bas
17
2

Drapeau de la Belgique Belgique
13
3

Drapeau de l'Italie Italie
7
4

Drapeau de la Suisse Suisse
3
5

Drapeau de l'Allemagne Allemagne
3
6

Drapeau du Danemark Danemark
2
7

Drapeau de la France France
2
8

Drapeau de l'Australie Australie
1
-

Drapeau du Kazakhstan Kazakhstan
1
-

Drapeau du Luxembourg Luxembourg
1
-

Drapeau de la Pologne Pologne
1
-

Drapeau de la République tchèque République tchèque
1
-

Drapeau de la Russie Russie
1




Course féminine |


Article connexe : Amstel Gold Race féminine.

De 2001 à 2003, trois éditions de l'Amstel Gold Race pour les femmes sont organisées. En 2003, elle fait partie de la Coupe du monde féminine[33]. La course commence à Maastricht, 30 minutes après que les hommes. Elle est tracée sur plus de 114 km, dont neuf ascensions (Maasberg, Adsteeg, Lange Raaberg, Bergseweg, Sibbergrubbe, Cauberg, Bemelerberg, Keutenberg) et l'arrivée sur le Cauberg[34].


La course est interrompue après la troisième édition, car l'organisation le même jour et en grande partie sur les mêmes routes que la course masculine s'avère trop difficile. Ainsi, les courses féminine et masculine de 2003 ont menacé de s'entrechoquer[35].


Elle réapparaît en 2017 et devient une manche de l'UCI World Tour féminin.



Cyclotour Gold Race |


Depuis 2001, a lieu une course pour cyclotouristes. Elle est organisée chaque année, la veille de l'épreuve pour les professionnels. Les fanatiques de vélo et les cyclistes de loisirs peuvent prend part à des parcours de 60, 100, 125, 150, 200 ou 240 km. Chaque distance se termine sur l'emplacement de la course professionnelle, immédiatement après la montée du Cauberg[36]. Le nombre de participants est limité à 12 000, en vue de garantir la sécurité des coureurs. En 2009, le site officiel est mis hors service, à cause de la ruée sur les billets. En 2010, les 12 000 billets sont vendus en seulement 38 minutes.



Notes et références |



Notes |





  1. Le nom ne se réfère donc pas directement à la rivière Amstel, qui traverse la ville d'Amsterdam.


  2. L'Eneco Tour, une course par étapes organisée conjointement avec la Belgique depuis 2005, est l'autre épreuve du circuit WorldTour


  3. Initialement, Vissers est un joueur de hockey sur gazon pour l'équipe de Rotterdam. Il rejoint le monde du cyclisme en 1963, quand un ami lui demande de gérer une équipe au Tour des Pays-Bas. Les témoins racontent qu'il était aussi mauvais que ses coureurs. Les commissaires l'ont banni après qu'il a fait un demi-tour et conduit en direction de la course en sens inverse après avoir entendu que l'un de ses coureurs avait crevé. Trois ans plus tard, en 1966, il devient directeur de l'équipe professionnelle Willem II, l'équipe du spécialistes des classiques Rik van Looy.


  4. L'expérience de Krott dans le cyclisme est à peine plus grande. Il ouvre un concessionnaire de pièces automobiles nommé HeKro. Comme il admire le coureur néerlandais Peter Post, il travaille pour lui en tant qu'son assistant personnel. Il a également travaillé comme vendeur pour Amstel. Ensemble, Krott et Vissers, organisent de petites courses à travers les Pays-Bas. Krott utilise également ses contacts à Amstel pour créer une équipe professionnelle Amstel, puis, plus tard, pour que la brasserie sponsorise une course professionnelle internationale.


  5. Les primes sont de 10 000 florins - environ 5 000 euros - dont un cinquième pour le vainqueur.


  6. À une autre extrémité de l'échelle sociale, les Néerlandais ont également protesté contre le mariage de la fille de la reine, Beatrix, à un Allemand, Claus von Amsberg.


  7. Inter Sport cesse ses activités en 1970 et Herman Krott dirige la course jusqu'en 1995, date à laquelle la course est reprise par l'ancien cycliste professionnel Leo van Vliet.


  8. a et bLance Armstrong, initialement deuxième en 1999 et 2001, a été déclassé par l'UCI[32]




Références |



  • (en) Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia en anglais intitulé « Amstel Gold Race » (voir la liste des auteurs).




  1. a et b(en) « Amstel Gold Race », sur uci.ch, UCI (consulté le 27 novembre 2015)


  2. a b c d e f et g(en) « Amstel Gold Race. Race History », sur Amstel Brewery (consulté le 2 décembre 2015)



  3. http://sporza.be/cm/sporza/videozone/retro/retro_voorjaarsklassiekers/retro_agr/1.1270886 Video of 1983 Amstel Gold Race (In Dutch)



  4. (en) « 34th Amstel Gold Race, World Cup Round 5 Netherlands, April 24, 1999 », sur autobus.cyclingnews.com, CyclingNews (consulté le 28 novembre 2015)



  5. http://www.cyclingfever.com/video.html?detp=view&video_idd=NDA5Ng== Video of 1999 Amstel Gold Race (In Dutch)



  6. (en) Tim Maloney, « 36th Amstel Gold Race (CDM) Netherlands, April 28, 2001 », sur autobus.cyclingnews.com, Cycling News (consulté le 28 novembre 2015)


  7. (en) TIm van Dijk, « Amstel Gold Race 2001 – Erik Dekker, de laatste Nederlandse winnaar, 12 April 2011 », sur Cyclingstory (consulté le 28 novembre 2015)


  8. a b et cEn décembre 2015, Michael Boogerd qui a reconnu s'être dopé, perd le bénéfice de tous ses résultats acquis entre 2005 et 2007 (« Michael Boogerd est suspendu deux ans et perd les victoires acquises entre 2005 et 2007 », sur lequipe.fr, 6 janvier 2016(consulté le 9 janvier 2016))


  9. (en) John Wilcockson, « Amstel Gold: Vinokourov takes his first classic win », sur velonews.competitor.com, Velonews (consulté le 28 novembre 2015)


  10. (en) Jan Aubrey, « Preview: Can Sagan triumph at Amstel Gold Race? New finish line in 2013 to result in more definitive selection », sur cyclingnews.com, CyclingNews (consulté le 28 novembre 2015)


  11. (en) Gregor Brown, « Philippe Gilbert: ‘Amstel wins means a lot’ », sur cyclingweekly.co.uk, Cycling Weekly (consulté le 28 novembre 2015)


  12. (en) Stuart Clarke, « Michal Kwiatkowski wins Amstel Gold Race », sur cyclingweekly.co.uk, Cycling Weekly (consulté le 28 novembre 2015)


  13. (en) « Kwiatkowski wins Amstel Gold Race. World champion beats Valverde and Matthews on the Cauberg », sur cyclingnews.com, CyclingNews (consulté le 28 novembre 2015)


  14. http://sporza.be/cm/sporza/videozone/retro/retro_voorjaarsklassiekers/retro_agr/1.1602472 Video of 1981 Amstel Gold Race (In Dutch)


  15. « Cauberg finish removed from Amstel Gold Race », sur Cycling News (consulté le 17 avril 2017)


  16. (en) « De Amstel Gold race en de Cauberg. Enige klassieke fietsberg van Nederland », sur npogeschiedenis.nl, Nederlands Publieke Omroep (consulté le 28 novembre 2015)


  17. (nl) « ROUTE 53e AMSTEL GOLD RACE 15 April 2018 », sur amstel.nl (consulté le 12 avril 2018)


  18. a b c et d(en) « Amstel Gold Race 2018: Everything you need to know », sur cyclingtips.com, 10 avril 2018(consulté le 12 avril 2018)


  19. (nl) « Amstel Gold Race wil met smallere wegen finale spannender maken », sur wielerflits.nl, 15 février 2018(consulté le 12 avril 2018)


  20. (nl) « Amstel Gold Race verlengt samenwerking met Maastricht en Valkenburg », sur wielerflits.nl, 17 janvier 2018(consulté le 12 avril 2018)


  21. Finish Amstel Gold Race niet op Cauberg


  22. Sadhbh O'Shea, « Preview: Amstel Gold Race attracts the stars for 50th edition », sur cyclingnews.com, CyclingNews (consulté le 28 novembre 2015)


  23. (en) Jeff Jones, « 39th Amstel Gold Race - CDM. Netherlands, April 18, 2004 », sur Cycling News (consulté le 4 décembre 2015)


  24. (en) « Spring Classics: How to win cycling's hardest one-day races », BBC Sport (consulté le 27 mars 2015)


  25. (en) Peter Easton, « Amstel ’09 Preview: Double Dutch Does the Trick », sur pezcyclingnews.com, PEZ (consulté le 28 novembre 2015)


  26. (nl) « De Amstel Gold Race: draaien, keren, 34 hellingen en 4.000 hoogtemeters », Het Nieuwsblad,‎ 14 avril 2016(lire en ligne)


  27. (en) Emil Axelgaard, « Costa fights back from crash to take fourth in Amstel », sur cyclingquotes.com, CyclingQuotes (consulté le 28 novembre 2015)


  28. (en) Edmond Hood, « PEZ Preview: Amstel Gold Race », sur pezcyclingnews.com, PEZ (consulté le 28 novembre 2015)


  29. (en) Jared Gruber, « Fabian Cancellara closes spring campaign with a disappointing crash », sur velonation.com, VeloNation (consulté le 28 novembre 2015)


  30. (en) « Joaquim Rodriguez, Andy Schleck among crash victims at Amstel Gold. Published Apr. 20, 2014 », sur velonews.competitor.com, Velonews (consulté le 28 novembre 2015)


  31. (en) Jesper Ralbjerg, « Voeckler crashes out of Amstel Gold Race. 14.04.2013 », sur cyclingquotes.com, CyclingQuotes (consulté le 28 novembre 2015)


  32. « Armstrong perd ses 7 Tours », sur lequipe.fr, 22 octobre 2012(consulté le 22 octobre 2012)


  33. (en) Jeff Jones, « 38th Amstel Gold Race - World Cup status for women's Amstel », sur autobus.cyclingnews.com, CyclingNews (consulté le 28 novembre 2015)


  34. (en) Jeff Jones, « 38th Amstel Gold Race - CDM. Nicole Cooke holds off charging peloton », sur autobus.cyclingnews.com, CyclingNews (consulté le 28 novembre 2015)


  35. Anna van der Breggen powers to a solo victory at women’s Amstel Gold Race return


  36. (en) « Information Amstel Gold Race Tour version », sur amstel.com, Amstel (consulté le 28 novembre 2015)




Liens externes |


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