Court métrage
Un court métrage, ou court-métrage, est un film d'une durée inférieure à une heure.
On retrouve dans le court métrage les mêmes catégories que dans le long métrage : film documentaire, fiction, film d'animation, film expérimental, film politique, etc. Il est toutefois à signaler que l'écrasante majorité des films d'animation indépendants, tels qu'on les voit au Festival international du film d'animation d'Annecy, et des films expérimentaux sont des courts métrages, à la fois pour des questions budgétaires et des soucis esthétiques.
Des festivals, comme celui de Brive[1] ou Hors Pistes au Centre Pompidou[2], s'attachent à la promotion des « moyens métrages » (des courts métrages sont aussi programmés, ainsi la sélection peut inclure des films allant de une seconde à 59 minutes), mais ce genre n'est pas officiellement admis, il relève donc de la catégorie des courts métrages. Le festival Côté court de Pantin[3] se spécialise également dans la programmation de courts-métrages documentaires ou de fiction, ainsi que de films expérimentaux et art vidéo.
Sommaire
1 La définition d'un court métrage
2 Économie du court métrage
2.1 Des modes de distribution alternatifs et de réflexion sur le genre
2.2 La politique du court métrage en France
3 Une école pour jeunes réalisateurs et un format privilégié pour cinéastes singuliers
4 Festivals
5 Records
6 Diffusion sur Internet
7 Notes et références
8 Voir aussi
8.1 Bibliographie
8.2 Articles connexes
8.2.1 Genres
8.2.2 Organismes professionnels
8.3 Liens externes
La définition d'un court métrage |
La limite entre court, moyen et long métrage peut varier selon les définitions :
- en France, le Centre national de la cinématographie (CNC) se base sur un décret officiel datant de 1964[4], qui définit un court métrage comme un film dont le métrage n'excède pas 1 600 mètres en format 35mm (ou la longueur équivalente dans les autres formats), soit une durée d'environ 59 min ;
- cependant, pour Gilbert Cohen-Séat, « Quel que soit le contenu d'un film — ou sa nature — on appelle « courts métrages » les films dont la longueur est inférieure à 900 m (moins de 33 min, moins de trois bobines, en 35 mm), et « longs métrages » les films dépassant 2 400 m (plus de 1 h 28 min, plus de huit bobines) »[5].
- les films de plus de 30 minutes sont d'ailleurs généralement appelés moyens métrages et ne sont pas toujours acceptés dans les festivals ;
- depuis quelques années, on appelle très courts les films dont la durée n'excède pas trois minutes, titre et générique non-compris. Un festival est devenu la référence de ce type de format : le Très Court International Film Festival qui se tient chaque année partout dans le monde et simultanément, début juin ;
- en anglais, le long métrage est appelé feature film, et sa durée est au-dessus de 40 minutes. En dessous de 40 minutes, c'est un court métrage, appelé featurette film, ou short film, et de moins de trois minutes, un très court, very short film.
Économie du court métrage |
Des modes de distribution alternatifs et de réflexion sur le genre |
Peu répandu dans les circuits de distribution classique, le court métrage profite néanmoins d'un intérêt certain dans les festivals spécialisés (vidéo et argentique) ainsi que sur Internet où des sites web lui sont consacrés. On les retrouve même sur les téléphones mobiles.
Il faut souligner les efforts du CNC et de certains distributeurs pour promouvoir le court métrage : il est de plus en plus fréquent de voir en salle des programmes constitués uniquement de courts métrages. Ce type de film profite également du développement de la télévision par câble et satellite, plusieurs chaînes achetant et diffusant régulièrement des courts métrages. Enfin, l'essor du DVD offre un nouveau support de diffusion à ces films, sous forme de suppléments ou de DVD leur étant exclusivement consacrés.
Depuis 1989, il existe, en France, un magazine consacré au court métrage, Bref, le magazine du court métrage, qui parait cinq fois par an[6]. Ce magazine est édité par l'Agence du court métrage fondée en 1983[7]. Autour du rédacteur en chef Jacques Kermabon, on y note les signatures de Raphaël Bassan, Michel Chion, Rodolphe Olcèse, Christophe Chauville, Cécile Giraud, Donald James, Sylvie Delpech, Stéphane Kahn, Marc Mercier, Luc Moullet, Michel Roudevitch... Tous les genres du court métrage sont évoqués sous forme de critiques de films liés à l'actualité, de dossiers sur un cinéaste. Des genres tels que le cinéma documentaire, le cinéma d'art et d'essai, le cinéma expérimental, le cinéma d'animation, l'art vidéo, les films sur Internet sont suivis de près. Depuis 2007, chaque numéro est livré aux abonnés, accompagné d'un DVD contenantt les films critiqués dans le numéro. Ce DVD est édité par les éditions Chalet pointu. Par ailleurs, Lowave et Re : Voir éditent également des DVD de courts métrages. Les Editions Yellow Now ont publié, en 2004, Une Encyclopédie du court métrage français[8].
La politique du court métrage en France |
- Jusqu'en 1939, l'industrie du court métrage est entravée par deux phénomènes :
- l'absence d'aide d'État pour l'économie du court métrage ;
- les salles de cinéma pratiquent régulièrement le double programme (projection successive de deux longs métrages) ;
- par conséquent, les professionnels du court métrage se regroupent dans des coopératives de production et surtout de distribution (par exemple les Artisans d'art du cinéma).
- La loi 26 octobre 1940 (Loi de réglementation de l'industrie cinématographique, confirmée par la loi du 29 septembre 1948) constitue une étape majeure en instaurant une protection du court métrage :
- le passage d'un court métrage devient obligatoire en début de séance ;
- 3 % des recettes de la séance reviennent au court métrage.
Cependant, le système ne favorise pas nécessairement l'émergence de courts métrages de qualité. Ceux-ci sont trop fréquemment publicitaires.
- En 1953, la législation est modifiée deux fois :
- le 6 août 1953, une loi supprime la rémunération automatique du court métrage au prorata des recettes brutes au profit d'une prime à la qualité. Ceci à la grande satisfaction des réalisateurs ;
- le 21 août 1953, un décret-loi supprime l'obligation de projeter un court métrage français avant chaque long métrage français. Le double programme est donc en théorie de nouveau autorisé.
C'est la douche froide pour le monde du court métrage qui va se mobiliser au sein du Groupe des trente (Alexandre Astruc, Jacques Baratier, Yannick Bellon, Georges Franju, Paul Grimault, Robert Hessens, Marcel Ichac, Pierre Kast, Roger Leenhardt, Chris Marker, Jacques Demy, Robert Ménégoz, Jean Mitry, Fred Orain, Jean Painlevé, Paul Paviot, Alain Resnais, Georges Rouquier, etc.), dont l'action aura un grand retentissement[9]. Le court métrage français va gagner en qualité. Les Journées internationales du film de court-métrage de Tours (1955-1971), manifestation pionnière du genre en France, va assurer son rayonnement[10]. Le Festival de Tours va émigrer à Grenoble, puis à Lille dans les années 1970. Durant les dernières éditions du Festival de Lille, l'association Sauve qui peut le court métrage organise des rencontres, souvent nationales, de courts métrages à Clermont-Ferrand. En 1982, le Festival international du court métrage de Clermont-Ferrand est créé, il deviendra la manifestation-phare du genre, tandis que se multiplient les festivals consacrés aux courts métrages.
Une école pour jeunes réalisateurs et un format privilégié pour cinéastes singuliers |
Le court métrage représente un véritable tremplin pour les jeunes réalisateurs talentueux. Il demande beaucoup moins de moyens qu'un long métrage, et c'est pour cette raison que la plupart des plus grands réalisateurs a commencé par réaliser des courts métrages. Mais de la même manière qu'en littérature la nouvelle est un genre qui exige de concentrer ses efforts, le court métrage impose de rassembler toutes les qualités d'un long métrage dans une durée courte.
C'est dans le format court que se sont, aussi, développés les écoles les plus notoires du film d'animation, du film expérimental, du documentaire poétique, du cinéma militant. Le court métrage peut ne pas être, simplement, un tremplin pour futurs long-métragistes, mais offrir, également, la possibilité de développer une œuvre personnelle. Pour des cinéastes comme Chris Marker ou Johan van der Keuken, qui alternent longs et courts métrages dans leur carrière, le format n'est pas décisif en soi, mais il est choisi en fonction du sujet traité. Artavazd Pelechian, par exemple, n'a fait que des courts métrages, pourtant c'est un grand cinéaste. Luc Moullet ou Jean-Luc Godard, ont, indifféremment, réalisé des courts et des longs métrages depuis le début des années 1990.
Festivals |
Le Festival international du court métrage de Clermont-Ferrand a lieu tous les ans début février par l'association Sauve qui peut le court métrage. Il s'agit du plus grand festival consacré au court métrage au monde en termes d'entrée (plus de 160,000 en 2017). C'est le deuxième festival français de cinéma après Cannes. Le festival est composé de trois compétitions (nationale, internationale et Labo) et propose chaque année des rétrospectives thématiques et pays. En parallèle du Festival est organisé le Marché du Film Court, qui accueille plus de 3,500 professionnels du monde entier, venus défendre la création, la production et la diffusion du format court. Le Festival fêtera en 2018 sa quarantième édition.
A Paris, depuis 2000, le Très Court International Film Festival[11] se déroule chaque année, début juin, au Forum des Images[12]. 3 000 à 3 500 très courts issus du monde entier sont visionnés chaque année ; 150 sont retenus dans les sélections du festival (Compétition internationale, Paroles de femmes, Différences, Animation, Familiale, Music'n Dance, Trash'n Glam). Un jury professionnel récompense trois films (Grand Prix, Originalité, Animation[13]). Le Festival est diffusé simultanément dans une centaine de villes à travers le monde entier et l'ensemble du public est invité à décerner un prix dévoilé quelques jours après la fin du festival.
A Pantin, Le Festival Côté court est un festival consacré aux formes cinématographiques courtes, créé en 1992 à l'initiative du département de la Seine-Saint-Denis et de la ville de Pantin. Animé par l'association Côté court, que Sylvie Pialat a présidée de 2006 à 2015, il est organisé autour de quatre axes : les compétitions (Fiction et Art vidéo), la sélection du Panorama (hors compétition), les artistes invités, et les actions de formation et d'éducation à l'image1. La direction artistique de la manifestation est assurée par Jacky Evrard.
À Lille, l'Association Prix de Court organise depuis 1984 le Festival du Cinéma Européen. Sur plus de 3 000 films envoyés de toute l'Europe, 70 sont sélectionnés et diffusés lors de la semaine du festival. Les prix sont décernés par des jurys de professionnels.
À Bordeaux, l'association Extérieur Nuit organise en avril le Festival européen du court métrage[14] depuis 1997. Au fil des années des sélections classique, animation, junior, senior ou encore talents bordelais se sont succédé. Chaque année, les courts métrages viennent de toute l'Europe. Ce festival reçoit chaque année le soutien de Kedge Business School (anciennement Bem) ainsi que de celui de la Mairie de Bordeaux.
À Nice, l’Association héliotrope, organise Un festival c’est trop court[15] et réunit chaque année de nombreux programmes compétitifs européens autour de courts métrages.
À Brest, depuis 1986, sont projetés chaque année des courts et moyens métrages, au Festival Européen du Film Court de Brest[16]. Pendant une à deux semaines selon les années, des œuvres européennes sont sélectionnées, projetées et récompensées. L'association Côte Ouest, fondée un an plus tard, soutient cette manifestation.
À Cabestany, se tient depuis 1981, Rencontres internationales du court métrage Image In Cabestany créées par le cinéaste André Abet et reprises depuis 2010 par Florent Pallares.
En Île-de-France, l'École nationale supérieure de l'électronique et de ses applications (ENSEA) organise chaque année le Festival International du court métrage étudiant au cinéma Utopia de Pontoise, créé en 1990, qui regroupe sur trois jours une compétition de courts métrages en provenance du monde entier clôturée le dimanche une remise de 5 prix décernés par un jury de professionnels. Le 21e festival s'est déroulé le 2 et 3 avril 2011.
À Trouville se passe le festival de rencontre franco-québécoise, durant la première semaine de septembre[17].
À Toulouse se déroule durant deux semaines en novembre le Festival International Séquence court métrage, qui propose dans divers lieux de la ville et de la région Midi-Pyrénées, une projection de courts métrages venus du monde entier.
À Aix-en-Provence en décembre, le Festival Tous Courts[18], avec près de 180 films venus des cinq continents, tente de montrer toute la vitalité de la jeune création.
À Audincourt, en mai, se déroule le Bloody Weekend[19]. C'est un événement culturel réunissant d’un côté une compétition internationale de courts métrages (fiction et animation) sur le thème du fantastique, science-fiction, horreur. Un jury de professionnels du cinéma décerne quatre prix : grand prix, prix du meilleur scénario, prix des effets spéciaux, et meilleur court métrage d'animation.
À Angoulême, se déroule depuis 2004 le festival du Film Court d'Angoulême. Depuis longtemps consacré aux films d'étudiants, le festival diffuse maintenant des films indépendants et les films produits en région Nouvelle-Aquitaine. La manifestation se déroule en avril[20].
En Belgique, se retrouvent également de nombreux festivals désireux de promouvoir le court métrage. Parmi ceux-ci, le festimages[21], se tenant chaque année dans le courant du mois de mars à Charleroi. Il est l'occasion d'une rencontre entre le public et les professionnels du métier. Un concours des écoles de cinéma belges y est organisé afin de mettre en avant de tout jeunes cinéastes. On y retrouve aussi des séances pédagogiques destinées à sensibiliser les plus jeunes à la culture cinématographique. À Bruxelles se déroulent le « Brussels Short Film Festival » (festival du court métrage de Bruxelles)[22] et le Polycule[23], le festival du court-métrage étudiant où les cinéastes viennent présenter leur création[23]. Namur accueille également le festival du court métrage Média 10-10[24]. Neufchâteau organise le festival du court métrage d'animation. La Ville de Seraing organise le festival « Caméras Citoyennes » via son service audiovisuel Espace Media[25].
Au Canada, chaque année, se tient Regard sur le court métrage au Saguenay[26], une manifestation compétitive de cinq jours au mois de mars. Dix prix sont remis aux cinéastes internationaux. On y retrouve le seul Marché du court métrage au Québec.
En Grèce depuis 1978 existe le festival du court métrage de Dráma.
Records |
- Le court métrage le plus court ayant obtenu un visa d'exploitation américain est le film Soldier Boy réalisé par Les Sholes et dure 7 secondes[27].
- En 1993, Omnibus de Sam Karmann obtient l'oscar et la palme d'or du court métrage.
Le Mozart des pickpockets de Philippe Pollet-Villard et Logorama du studio H5 sont deux courts métrages français à remporter simultanément l'oscar et le césar du meilleur court métrage, respectivement en 2008 et 2011.- En 2012, le court métrage Lapsus de Karim Ouaret, qui remporte à ce jour plus de 62 récompenses dans le monde entier, devient le court-métrage français le plus récompensé de tous les temps[28],[29],[30].
- En 2015, Madame est bonne ! réalisé par Vincent Vitte, Adrien Rogé et Daniel Cohen-Séat devient le 1er court métrage le plus soutenu de France sur une plateforme de financement participatif, avec 22 040 € collectés[31],[32].
Diffusion sur Internet |
Des plateformes de diffusion ont émergé depuis quelques années, offrant à ces films une nouvelle vie après leur exploitation en festival ou leur passage à la télévision. Un autre avantage de la diffusion sur Internet et l'accès à un public mondial grâce à la création de sous-titre par les utilisateurs[33],[34].
Notes et références |
« Festival du cinéma de Brive - Rencontres du moyen métrage », sur www.festivalcinemabrive.fr.
« Hors Pistes 2010 », Centre Pompidou.
http://www.cotecourt.org/.
Décret numéro 64-459 du 28 mai 1964.
Gilbert Cohen-Séhat, Essai sur les principes d'une philosophie du cinéma. Notions fondamentales et vocabulaire de filmologie., PUF, 1958 (nouvelle édition), collection Bibliothèque de Philosophie Contemporaine, p. 220. Cité dans Le Grand Robert à l'article « métrage ».
http://www.brefmagazine.com/ Bref.
« L’Agence du court métrage », sur www.agencecm.com.
« ÉDITIONS YELLOW NOW /// UNE ENCYCLOPÉDIE », sur www.yellownow.be.
Frederic Gimello, « Le Groupe des Trente », sur fgimello.free.fr.
[1].
Très Court International Film Festival.
Forum des Images.
Grand Prix, Originalité, Animation.
« DomRaider - Decentralized Blockchain Auctions in Real-Time », sur DomRaider / ICO.
« Portail Héliotrope », sur www.nicefilmfestival.com.
« Côte Ouest - Festival Européen du Film Court de Brest - Association organisatrice du Festival Européen du Film Court de Brest », 14 décembre 2017.
« Off-Courts Trouville », sur www.off-courts.com.
« Bienvenue au Festival Tous Courts - 35e Festival Tous Courts », sur 35e Festival Tous Courts.
« Festival Bloody Week-end », sur Festival Bloody Week-end.
« Film Festivals », sur www.festivalang.com.
« Festimages.be – Festival du court-métrage belge de Charleroi », sur festimages.be.
« Accueil - Brussels Short Film Festival », sur Brussels Short Film Festival.
http://www.polycule.be/.
« Média 10-10 », sur www.media10-10.be.
« EspaceMEDIA », sur YouTube.
http://www.regardsurlecourt.com.
Guiness World Records 2007 - Hachette - p. 183 - (ISBN 2012369928).
Film Lapsus sur come-one.fr
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« "Madame est bonne !", un nouveau record français ».
« "Madame est bonne !", 1er court métrage le plus soutenu en France », sur France 3.
Diffuser et visualiser des courts métrages.
Diffusion de courts métrages sous titrés.
Voir aussi |
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Bibliographie |
Ouvrages listés par ordre chronologique de leur première publication :
François Porcile, Défense du court métrage français, Paris, éditions du cerf, 1965- Jacky Evrard, Jacques Kermabon, Une encyclopédie du court métrage français, Éditions Yellow Now, 2004
- Jean-Marc Rudnicki, Écrire un court métrage, Dixit, 2006
- Thierry Méranger, Le Court métrage, Éditions Cahiers du cinéma, coll. Les petits Cahiers, 2007
- Chris Patmore, Réaliser son premier court métrage, Eyrolles, 2009
Articles connexes |
Moyen métrage (30 à 59 minutes)
Long métrage (>59 minutes)- Film de poche
Très court métrage (en) (1 à 3 minutes)
Genres |
- Clip
- Documentaire
Organismes professionnels |
Groupe des Trente (France, 1953)- Les Lutins du court métrage (France)
L'Agence du court métrage (France)
The Short Film Association (Luxembourg)
Liens externes |
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