Carrières-sous-Poissy





















































































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Carrières-sous-Poissy
Siège de la communauté d'agglomération des Deux Rives de Seine, ancienne mairie.
Administration

Pays

Drapeau de la FranceFrance

Région

Île-de-France

Département

Yvelines

Arrondissement

Saint-Germain-en-Laye

Canton

Poissy

Intercommunalité

Grand Paris Seine et Oise

Maire
Mandat
Christophe Delrieu
2014-2020

Code postal
78955

Code commune
78123
Démographie

Gentilé
Carriérois

Population
municipale
16 035 hab. (2016 en augmentation de 3,77 % par rapport à 2011)
Densité 2 230 hab./km2
Géographie

Coordonnées

48° 56′ 55″ nord, 2° 02′ 22″ est

Altitude
Min. 17 m
Max. 44 m

Superficie
7,19 km2
Localisation


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Carrières-sous-Poissy





Liens

Site web

http://www.carrieres-sous-poissy.fr/


Carrières-sous-Poissy est une commune française située dans le département des Yvelines en région Île-de-France.


Ses habitants sont appelés les Carriérois.




Sommaire






  • 1 Toponymie


  • 2 Géographie


    • 2.1 Hydrographie


    • 2.2 Occupation du territoire


    • 2.3 Communications




  • 3 Héraldique


  • 4 Histoire


    • 4.1 Historique des hameaux




  • 5 Politique et administration


    • 5.1 Tendances politiques et résultats


    • 5.2 Liste des maires




  • 6 Démographie


    • 6.1 Évolution démographique


    • 6.2 Pyramide des âges




  • 7 Économie


  • 8 Culture


    • 8.1 Équipements culturels


    • 8.2 Patrimoine




  • 9 Espaces verts


  • 10 Enseignement


  • 11 Sports


  • 12 Santé


  • 13 Personnalités liées à la commune


  • 14 Voir aussi


    • 14.1 Bibliographie


    • 14.2 Articles connexes


    • 14.3 Liens externes




  • 15 Notes et références


    • 15.1 Notes


    • 15.2 Références







Toponymie |


Au fil des siècles, la ville a changé plusieurs fois de nom. En 1660, la ville était connue sous le nom de « Carrières » ; huit ans plus tard, l'appellation était accompagnée de « sous Poissy ». L'adjonction disparaissait en 1675 et revenait en 1680. En 1736, une carte inscrivait le nom de « Carrières » et le cadastre de 1821 faisait référence à « Carrières sur Poissy ». Le nom « sous Poissy » a été rétabli en 1832 sur une carte d'état-major.


Les premières carrières de moellons[1] (pierre calcaire tendre, riche en fossiles) auraient été découvertes et creusées à l'époque romaine. Le nom de la commune, apparue au XIIe siècle, viendrait donc de son activité principale.



Géographie |





Position de Carrières-sous-Poissy dans les Yvelines.


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Carrières-sous-Poissy se situe dans le nord-est des Yvelines, à dix kilomètres au nord-ouest de Saint-Germain-en-Laye, chef-lieu d'arrondissement et à 26 kilomètres au nord-ouest de Versailles, préfecture du département, en bordure de la Seine, sur la rive droite du fleuve, face à Poissy.


Les communes limitrophes sont Triel-sur-Seine au nord-ouest, Chanteloup-les-Vignes au nord, Andrésy au nord-est, et sur l'autre rive de la Seine, Achères au nord-est, Poissy à l'est et au sud et Villennes-sur-Seine au sud-ouest.


Le territoire communal occupe une partie d'une boucle de la Seine dans sa partie convexe, sur environ trois kilomètres de large. Le relief est plat avec une légère pente du nord vers le sud. Sa superficie de 719 hectares place la commune dans la moyenne yvelinoise (872 ha).


La commune comprend plusieurs quartiers : Saint-Blaise/les Arpents (nord), le Parc/Champfleury (est), Saint-Louis/les Fleurs (du nord-ouest au sud-est) et Saint-Louis/les Étangs (sud). Dans chaque quartier se tient deux fois par an un forum pour améliorer la vie communale.



Hydrographie |


La commune de Poissy longe la rive gauche de la Seine sur environ cinq kilomètres. Elle englobe une île : l'île de la Dérivation. Il s'agit d'une île artificielle, créée lors de la construction d'une écluse au XIXe siècle. Cette île est habitée.


Par sa situation, la commune est très exposée aux risques d'inondation, particulièrement les quartiers riverains de la Seine, notamment aux Grésillons[2].
Ces zones ont déjà été inondées[3], notamment lors de la grande crue de 1910.


Ce risque a motivé l'adoption d'un plan de prévention contre les risques d'inondation (PPRI), entré en vigueur avec un arrêté préfectoral du 30 juin 2007[4]. Il concerne dans le Yvelines 57 communes riveraines de la Seine et de l'Oise. Il détermine plusieurs zones, prioritaires sur les plans locaux d’urbanisme (PLU) des communes concernées : une zone rouge pour les zones les plus exposées (rouge clair, inondations de 1 à 2 mètres, rouge sombre, inondations supérieures à 2 mètres où les nouvelles constructions sont interdites et le renouvellement urbain strictement réglementé), une zone bleue où le risque d'inondation est modéré et permet le maintien d'activités économiques importantes, une zone verte, non bâtie et devant le rester et une zone marron d'environ 25 mètres le long des rives, qui a pour objectif de reconquérir une capacité d'écoulement en contrôlant l'urbanisation[5].



Occupation du territoire |
























Type d'occupation
Pourcentage
Superficie
(en hectares)
Espace urbain construit
37 %
269,70
Espace urbain non construit
12 %
87,16
Espace rural
51 %
371,98


Le territoire communal est très urbanisé, toutefois l'espace rural occupe encore 51 % de la superficie totale[6]. Dans l'espace rural sont inclus plusieurs plans d'eau en bord de Seine, résultant de l'exploitation ancienne de sablières.


L'espace urbain construit représente 37 % du total, soit 119 hectares. Il comprend les zones d'habitation, soit 265 ha (44 % de l'espace urbain construit), réparties en deux groupes de part et d'autre de la RD 190, le bourg ancien et ses extensions à l'est, le quartier des Grésillons à l'ouest, les zones d'activités, 50 ha (13,9 %), relativement dispersées, comprennent notamment le centre de recherche PSA-Peugeot-Citroën en bord de Seine, une unité d'incinération d'ordure ménagères le long de la RD 190 et d'importantes surfaces (plus de 20 %) consacrées aux équipements et à des chantiers divers.



Communications |


Au plan routier, le principal axe est la route départementale 190 qui traverse la commune dans le sens sud-est-nord-ouest. Cette route (ancienne RN) rejoint d'un côté Poissy par un pont sur la Seine et au-delà Saint-Germain-en-Laye et de l'autre côté Triel-sur-Seine et au-delà Meulan et Mantes-la-Jolie. Un deuxième axe important dirigé vers le nord, la RD 190, rejoint Conflans-Sainte-Honorine en contournant Andrésy par l'ouest.


La commune n'est pas desservie par le chemin de fer. La gare la plus proche est celle de Poissy, desservie par une branche du RER A. La gare de Chanteloup-les-Vignes se trouve à quelques kilomètres au nord.



Héraldique |







Armes de Carrières-sous-Poissy


Les armes de Carrières-sous-Poissy se blasonnent ainsi :
de gueules au fer à cheval accompagné à dextre d'une masse, à senestre d'un pic de carrier, en pointe d'un épi de blé, le tout d'or, au chef ondé cousu d'azur, chargé d'une losange d'argent surchargée d'une moucheture d'hermine de sable et accostée de deux fleurs de lys d'or.


Le choix de ce blason résulte d'une décision du Conseil municipal du 9 novembre 1984.


Les meubles du champ évoquent les activités historiques de la commune : carrières de pierre calcaire pour les outils, agriculture pour l'épi de blé et hippisme pour le fer à cheval.


Le chef évoque les anciens seigneurs locaux[7], les Dominicaines du prieuré royal de Poissy pour les fleurs de lys et la famille Turgot de Boisgelin pour la moucheture d'hermine. Sa bordure ondée symbolise la Seine[8].






Histoire |


Jusqu'au XVIIe siècle Carrières, qui dépendait de la paroisse de Triel n'était composées que de quelques maisons construites sur les carrières. Le chemin des Trépassés indique probablement les premiers habitants de Carrières étaient portés au cimetière de Triel par cette voie, avant la construction de l'église en 1663.


C'est à cette même époque, que le château de Champfleury, qui a appartenu longtemps à la famille Turgot de Boisgelin, fut construit.
Le territoire de Carrières était autrefois essentiellement un vignoble.


Jusqu'en 1789, Carrières est un hameau de Triel et ce n'est qu'à partir de cette époque qu'il a été formé en commune, à laquelle les hameaux, ou écarts, de Denouval, L'Écluse, Saint-Blaise, Saint-Louis et Les Grésillons ont été rattachés.


L'épandage des eaux d'égouts de la ville de Paris a fait de la plaine de Carrière-sous-Poissy le centre d'une importante exploitation maraîchère.



Historique des hameaux |


Saint-Louis

Situé à l'Ouest de la RN190, la route de Cherbourg, le hameau de Saint-Louis-sous-Poissy, ou Saint-Louis-de-Poissy, possédait en 1885, un hippodrome construit par Edmond Blanc. En 1906, la propriété est rachetée par William Kissam Vanderbilt, fils de William Henry Vanderbilt, qui fait bâtir un château et moderniser l'hippodrome. En 1918, William K. Vanderbilt revend sa propriété de Carrières-sous-Poissy à Abraham Kingsley Macomber (en), un homme d'affaires américain, qui agrandit le château et fait construire une infirmerie pour chevaux. En raison de la crise de 1929, A. Kingsley Macomber abandonne l'exploitation de l'hippodrome et fait démolir une partie des installations. Après sa mort, l'hippodrome redevient à vocation agricole puis l'ensemble est vendu en 1978 à la SCI du Domaine de Saint-Louis, filiale des Grandes Sablières Modernes, qui exploite alors le sous-sol. Après avoir servi de siège social, le château est laissé à l'abandon à partir de 1999. En 2009, la ville passe une convention et restaure le parc et, en 2012, le château[9],[10],[11],[12].


Les Grésillons

Tout comme Saint-Louis-sous-Poissy, Les Grésillons s'étendent à l'Ouest de la RN190 jusqu'en face de Villennes. « Le 26 avril 1696, le roi passe la revue de ses gardes du corps et de ses mousquetaires dans la plaine des Grésillons, au-delà de Poissy. Le 26 août 1699, le roi passe la revue de ses gardes du corps, de ses grenadiers à cheval et de ses deux compagnies de mousquetaires dans la plaine des Grésillons ».



Politique et administration |


La commune fait partie de la sixième circonscription des Yvelines, dont le député est, depuis la mort de Michel Péricard en 1999, Pierre Morange (UMP)[13].


La commune fait partie du canton de Poissy-Nord (48 074 habitants), dont le chef-lieu est Poissy et a pour conseiller général Jean-François Raynal.


Le conseil municipal comprend 33 élus, dont le maire, neuf adjoints et vingt-trois conseillers[14].



Tendances politiques et résultats |


Article connexe : Élections municipales de 2014 dans les Yvelines.



Liste des maires |













































































Liste des maires successifs[15],[16]
Période
Identité
Étiquette
Qualité
mars 2014
En cours
Christophe Delrieu

LR
 
mars 2008
mars 2014
Eddie Aït

PRG
Conseiller régional
octobre 2002
mars 2008
Daniel Schalck

UMP
 
mars 1983
octobre 2002
Daniel Blervaque

DVD
 
mars 1977
mars 1983
Michel Thouzeau

PCF
 
mars 1965
mars 1977
Francis Berthier
DVD
 
mars 1959
mars 1965
Joseph Lépicier
DVD
 
octobre 1947
mars 1959
André Boquillon
DVD
 
1945
1947
Eugène Rouzic
 
 





Démographie |



Évolution démographique |


L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[17],[Note 1].



En 2016, la commune comptait 16 035 habitants[Note 2], en augmentation de 3,77 % par rapport à 2011 (Yvelines : +1,29 %, France hors Mayotte : +2,44 %).





























Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
371 378 451 440 497 497 503 558 500



























1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
490 530 565 612 612 724 810 783 823



























1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
973 1 130 1 296 1 392 1 696 2 129 2 136 2 119 2 444



























1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
4 222 6 054 10 324 10 244 11 353 13 472 13 968 15 453 16 035

De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[18] puis Insee à partir de 2006[19].)



Histogramme de l'évolution démographique





Pyramide des âges |


La population de la commune est relativement jeune. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (12,3 %) est en effet inférieur au taux national (21,6 %) et au taux départemental (17,5 %).
Contrairement aux répartitions nationale et départementale, la population masculine de la commune est supérieure à la population féminine (50,9 % contre 48,4 % au niveau national et 48,8 % au niveau départemental).


La répartition de la population de la commune par tranches d'âge est, en 2007, la suivante :



  • 50,9 % d’hommes (0 à 14 ans = 23,5 %, 15 à 29 ans = 21,6 %, 30 à 44 ans = 22,7 %, 45 à 59 ans = 20,1 %, plus de 60 ans = 12,2 %) ;

  • 49,1 % de femmes (0 à 14 ans = 22,1 %, 15 à 29 ans = 21,3 %, 30 à 44 ans = 23,9 %, 45 à 59 ans = 20,2 %, plus de 60 ans = 12,5 %).














































Pyramide des âges à Carrières-sous-Poissy en 2007 en pourcentage[20]
Hommes Classe d’âge Femmes


0,1 

90  ans ou +

0,4 



2,3 

75 à 89 ans

4,0 



9,8 

60 à 74 ans

8,1 



20,1 

45 à 59 ans

20,2 



22,7 

30 à 44 ans

23,9 



21,6 

15 à 29 ans

21,3 



23,5 

0 à 14 ans

22,1 














































Pyramide des âges du département des Yvelines en 2007 en pourcentage[21]
Hommes Classe d’âge Femmes


0,3 

90  ans ou +

0,9 



4,3 

75 à 89 ans

6,6 



11,2 

60 à 74 ans

11,6 



20,3 

45 à 59 ans

20,7 



22,1 

30 à 44 ans

21,5 



19,9 

15 à 29 ans

18,9 



21,9 

0 à 14 ans

19,8 




Économie |



  • L'exploitation des carrières de moellons a été pendant longtemps une des activités d'appoint de la commune. À la fermeture, les carrières ont alors été utilisées comme champignonnières puis transformées en abris pendant les deux guerres. Aujourd'hui, la plupart sont fermées et interdites d'accès. Certaines servent de caves aux habitants.

  • Un centre d’essais des Groupes Moto Propulseurs consacré aux activités de recherche et d’innovation (Centre technique) du groupe PSA Peugeot Citroën.

  • La ville possède plusieurs zones d'activités : la zone d'activité des Bords de Seine (40 000 m2 d'habitat collectif et 40 000 m2 d'espaces d'activités tertiaires), la zone d'activité des trois Cèdres (15 ha couvrant les secteurs des « Blanchardes », des « Bouveries » et des « Basses Blanchardes »)[22].



Culture |



Équipements culturels |


La commune dispose d'une bibliothèque municipale[23], d'une école de musique[24], d'une école de théâtre[25] et d'un espace culturel avec plusieurs salles[26].


La ville publie un mensuel : Carrières Les Nouvelles[27].


Le groupe automobile PSA a inauguré le 27 novembre 2002 sur son centre de Carrières un musée rassemblant plus de 70 véhicules. La « collection de l'aventure automobile de Poissy » (CAAPY) retrace les marques Ford SAF, Simca, Chrysler France, Talbot et Peugeot. La collection, qui comporte également des modèles Simca Nanterre, Talbot Suresnes, Matra-Simca et Matra, est complétée par des maquettes, des outillages, des panneaux publicitaires et des accessoires divers.



Patrimoine |



  • Château Champfleury[28],[29]

  • Château Vanderbilt[30],[31]

  • Églises[32]

  • L'église Saint-Joseph[33],[34]

  • L'hôtel de ville[35]

  • Les cinq mairies, de 1789 à nos jours[36]


  • Ancien pont[37],[38]

  • Le pont de Poissy[39]

  • La vieille ferme[40]

  • La reine blanche[41]


  • Île de la Dérivation et bords de Seine[42]

  • Le puits artésien[43],[44]

  • Les écluses[45],[46]

  • Le monument aux morts[47].

  • L'ancienne gare[48]



Espaces verts |


La ville possède des parcs et des lieux de promenade : l'étang de la Galiotte, l'île de la Dérivation, le parc de l'Hôtel-de-Ville, et le Terrain de la Fosse.


Le projet dit « Pont d'Achères », du Conseil général des Yvelines, est à l'étude. Il s'agit d'un pont autoroutier de 4 voies, long de 600 m et qui surplomberait l'île à une hauteur de 20 m. L'association locale Non-Pont-d'Achères a attaqué au tribunal administratif la déclaration d'utilité publique de ce projet.


La ville participe au Concours des villes et villages fleuris et possède deux fleurs en 2007.


Le parc du Peuple de l'Herbe le long des rives de Seine.



Enseignement |


La commune compte six écoles maternelles dont trois en ZEP (zone d'éducation prioritaire) pour 738 élèves et 28 classes, six écoles élémentaires dont quatre en ZEP pour 1075 élèves et 45 classes dont 2 spécialisées, et deux collèges dont un en ZEP/REP pour 673 élèves.


Ces écoles dépendent de l'Inspection de l'Éducation nationale de Chanteloup-les-Vignes et du rectorat de Versailles.



Sports |


La commune offre des complexes sportifs : le complexe Bretagne, le complexe Alsace, le complexe Provence, le gymnase Champfleury, la salle Pasteur et le stade Raymond-Mazières.


Chaque année, la ville organise des manifestations sportives, comme le Cross des écoles[49], les Olympiades ou les « 15 km de Carrières ».



Santé |


La commune regroupe quatre cabinets médicaux de médecins généralistes et spécialistes, infirmiers, d'auxiliaires médicaux, etc.
La ville dépend du centre hospitalier intercommunal de Poissy-Saint-Germain-en-Laye.



Personnalités liées à la commune |



  • L'écrivain Octave Mirbeau a habité au Clos Saint-Blaise de 1893 à 1898.

  • Le peintre Georges Manzana-Pissarro, fils de Camille Pissarro, a habité aux Grésillons.

  • Le champion de France poids lourds de karaté kumité, Kamal Tahtah, habite à Ronceray.

  • Le comédien Saturnin Fabre est inhumé dans le cimetière de la ville.

  • L'écrivain et comédien Rachid Djaïdani.


  • Mgr Barthélemy Hanrion, franciscain, premier évêque de Dapaong (Togo), a fait ses études au séminaire de Champfleury[50].


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Voir aussi |



Bibliographie |




  • Carrières-sous-Poissy autrefois, Cercle d'études historiques et archéologiques de Poissy, 1983.


  • Carrières-sous-Poissy - Rues & chemins, Cercle d'études historiques et archéologiques de Poissy, 2008.


  • Carrières-sous-Poissy au temps de l'agriculture, Cercle d'études historiques et archéologiques de Poissy, 2014.



Articles connexes |


  • Liste des communes des Yvelines


Liens externes |



  • Site de la mairie

  • Carrières-sous-Poissy sur le site de l'INSEE

  • Carrières-sous-Poissy, histoire en photos



Notes et références |



Notes |





  1. Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.


  2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2019, millésimée 2016, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2018, date de référence statistique : 1er janvier 2016.




Références |





  1. carrières de moellons.


  2. Carte des zones inondables à Carrières-sous-Poissy, PPRI des Yvelines [PDF]


  3. Photos de l'inondation de 1910 à Carrières-sous-Poissy


  4. PPRI de la vallée de la Seine et de l'Oise, arrêté préfectoral du 30 juin 2007 [PDF]


  5. Plan de prévention des risques d'inondation dans la vallée de la Seine et de l'Oise - département des Yvelines


  6. Mode d'occupation du sol en 1999, Iaurif.


  7. Les seigneurs de Carrières


  8. Le blason de Carrières-sous-Poissy sur le site municipal.


  9. Le château de William Kissam Vanderbilt traverse un siècle et s'ouvre à l'ère numérique!


  10. Le Château Vanderbilt


  11. Le château Vanderbilt à Carrières


  12. Yvelines 2013 Petit Futé


  13. François Boulet, Leçon d'histoire de France: Saint-Germain-en-Laye : des antiquités nationales à une ville internationale, Dislab, 2006, 491 p. (lire en ligne)


  14. Le conseil municipal


  15. Maires de Carrières depuis 1789, site municipal


  16. Les maires de 1789 à nos jours


  17. L'organisation du recensement, sur insee.fr.


  18. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.


  19. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015 et 2016.



  20. « Évolution et structure de la population à Carrières-sous-Poissy en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le 26 avril 2011)




  21. « Résultats du recensement de la population des Yvelines en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le 26 avril 2011)



  22. Les zones d'activités.


  23. La bibliothèque municipale.


  24. L'école de musique.


  25. L'école de théâtre.


  26. Espace culturel.


  27. Carrières Les Nouvelles.


  28. Le château Champfleury.


  29. Le château de Champfleury (photos).


  30. Le château Vanderbilt.


  31. La propriété Vanderbilt(photos).


  32. Les églises


  33. L'église Saint-Joseph


  34. Vicaires et curés de Carrières-sous-Poissy de 1663 à nos jours.


  35. L'hôtel de ville


  36. Les cinq mairies, de 1789 à nos jours.


  37. L'ancien pont


  38. L'ancien pont (photos).


  39. Le nouveau pont


  40. La vieille ferme.


  41. La reine blanche.


  42. L'île de la Dérivation et les bords de Seine.


  43. Le puits Artésien.


  44. Le puits artésien et les châteaux d'eau de la place St-Blaise.


  45. Les écluses.


  46. Les écluses de 1975 à 2004


  47. Le monument aux morts.


  48. Le train, la voie ferrée et la gare.


  49. Cross des écoles


  50. Le séminaire franciscain de Champfleury





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